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A plusieurs, on va plus loin. (Ilona)
Samael I. Esper
Jeu 28 Jan - 14:40 ||
Samael I. Esper
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Date d'inscription : 10/01/2021
Tu es revenu depuis quelques jours au camp d’Alden et déjà, Samael, tu passes ton temps à t’inquiéter pour la ferme et surtout, pour les habitants. Tu as déjà refait le point avec Max et même avec Desmond, mais tu recommences à faire le tour des bâtiments, t’arrêtant parfois pour parler avec certains survivants. Tu les rassures encore une fois sur ta santé, sur ton absence de 3 semaines où tout le monde t’a cru mort, avant de continuer ton chemin, un vague sourire sur les lèvres. Tu aimes cet endroit, et c’est clair pour toi qu’il n’y a que la mort qui pourrait t’en tenir loin à jamais, encore plus maintenant que tu as une raison de plus de revenir hein.

C’est en t’arrêtant, à l’orée de la serre, que tes yeux tombent sur une silhouette que tu connais. Ilona a rejoint le camp il y a quelque temps, et elle est probablement l’une de celle que tu mets toujours autant de temps à approcher. Pourtant, cette jeune femme qui s’investit sans hésiter dans les tâches du camp n’a rien d’inquiétant et encore moins de gênant. Non, la véritable raison de ta retenu, mon cher Sam, c’est que tu sens en elle des émotions vibrantes et parfois, oui, difficiles à porter pour toi.

Pourtant, comme toutes les fois où tu l’observes de loin, tu finis par gonfler ta poitrine et relâcher lentement ton souffle en chassant tes propres émotions négatives en te remettant à marcher. Tu vas vers elle sans hésiter. Tes yeux glissent sur son dos un instant, puis quand tu n’es plus si loin que ça de sa personne, tu viens étirer un sourire doux, rassurant même, sur tes lèvres et tu ouvres enfin la bouche :

« Bonjour Ilona. »

Tu finis par arrivé à ses côtés et comme à chaque fois, tes yeux viennent se poser doucement dans les siens. Cette femme est une force de la nature, c’est ce que tu penses d’elle depuis votre première rencontre. Une guerrière et une survivante. La chose qui t’inquiète, pourtant, c’est qu’elle ne semble pas réussir à retrouver une certaine forme d’espoir et de repos maintenant qu’elle est en sécurité ici. Chassant pourtant cette inquiétude de ton visage, tu viens t’arrêter à ses côtés et tu lui offres un sourire en coin et un coup d’œil.

« Ca faisait un moment. Tu vas bien ? Puis tu viens regarder autour de vous et comme toujours quand tu traînes dans le camp et que tu n’as pas un travail en cours, tu t’intéresses plutôt à ce qu’elle, elle faisait. Tu faisais quoi ? Je peux, peut-être, t’aider ? »

Et oui, tu es déjà prêt à remettre la main à la pâte, comme si tu n’avais rien fait depuis ton levé. La vérité, c’est qu’encore une fois, tu étais l’un des premiers réveillés. Tu t’es occupés de préparer le déjeuné, puis tu as fait le tour des stocks d’armes et d’outils avant de passer par l’infirmerie pour voir ce qu’il manque. Et te voilà maintenant dehors, prêt à continuer à travail comme tous ceux qui font partie de ce groupe.
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Ven 29 Jan - 13:35 ||
AnonymousInvité

à plusieurs, on va plus loin

Ilona avait troqué les voitures contre la serre, aujourd'hui. Elle faisait du sur-place avec les véhicules, et elle avait simplement besoin de se rendre utile. Besoin de justifier sa place dans cette communauté, au moins à ses propres yeux. Les champs l'inquiétaient un peu. Les récoltes de la serre seraient trop maigres pour nourrir tout le monde, elle le savait. Et la faim faisait péter les plombs aux gens, elle le savait aussi. Elle n'était pas experte en trucs agro-alimentaires, loin de là. Mais elle pensait sincèrement pouvoir proposer une solution si elle y réfléchissait assez. Ou, au moins, des pistes de réflexion. N'importe quoi qui puisse rendre ces foutus champs exploitables. Elle était justement passé voir les installations de la serre, elle avait aidé aussi comme elle avait pu en buvant littéralement les enseignements de ceux qui s'y connaissaient bien mieux qu'elle en agriculture. Un carnet qu'elle se trimballait depuis le début et un stylo en main, elle s'était installée là pour essayer de réfléchir à un système viable d'assainissement de la terre, pour les champs.

Son trait de crayon sursauta en même temps qu'elle lorsqu'elle entendit son prénom. Elle releva les yeux, puis se releva elle-même. Samael avait décidé de l'approcher, aujourd'hui. Elle ne l'avouerait probablement pas, mais elle était soulagée de l'avoir vu revenir sain et sauf. Après trois semaines, elle avait eu peu d'espoir de revoir un jour le conseiller. Ou seulement transformé en zombie, à grogner quelque part dans la nature. Et, ça elle pouvait l'admettre, ça aurait été une sacrée perte pour le camp. « Yep. » fut la seule réponse que Samael pu obtenir d'elle en lui demandant si elle allait bien. Ilona avait l'impression de ne même plus savoir ce que signifiait ce terme. Elle était en vie. Et elle faisait de son mieux pour le rester. C'était tout. Elle ne lui retourna pas la question, d'ailleurs. Non pas parce qu'elle s'en fichait, mais parce qu'elle n'était pas d'humeur à écouter un potentiel mensonge ; les gens ne disaient jamais lorsqu'ils allaient mal, ce n'était pas nouveau.

Ilona posa finalement les yeux sur ses croquis, avant de les tendre à Samael. « J'essaie de trouver un truc pour l'assainissement des champs. » Le projet était loin d'être viable. Ce n'étaient que des esquisses de potentielles solutions, qui demandaient beaucoup plus de matériel que ce qu'ils pouvaient se permettre d'avoir. « Ça reste à simplifier et à rendre crédible. C'est pas vraiment mon domaine. » se justifia-t-elle, tout en rangeant son stylo dans sa poche. Peut-être que d'autres personnes pourraient réussir à rendre les solutions pensées par son cerveau possibles et exploitables. « Tu sais que ça ne nourrira pas tout le monde, hm ? » demanda-t-elle, en indiquant du menton la serre. « Je suis inquiète, pour ça. Les pires trucs arrivent en période de famine. Et on va y entrer, si les champs ne deviennent pas exploitables très vite. » Ilona, ou l'art du pessimisme. Elle ne voulait pas voir le camp partir en sucette. Si elle n'était pas la plus sociable de la ferme, elle était très sérieusement impliquée dans la survie collective. Ce n'était un secret pour personne ; Ilona n'était pas là pour remuer du vent.

Tellement qu'elle en oubliait assez régulièrement de profiter du simple fait d'être en vie et partiellement en sécurité. Son père l'avait préparée toute sa vie pour une catastrophe d'une telle ampleur ; elle aurait eu l'impression de le trahir en oubliant qu'elle ne devait sa propre survie que parce que son père lui avait appris à ne jamais se reposer sur ses lauriers.  
(c) DΛNDELION
Samael I. Esper
Ven 29 Jan - 19:07 ||
Samael I. Esper
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Date d'inscription : 10/01/2021
Au final, quand tu la vois relever le regard vers toi et simplement répondre à ta question sur son état d’un “yep” rapide, tu es content d’être allé vers elle, Sam. Pourtant, tu sais aussi clairement ce qu’il y a en elle. Tu sens la tension et son inquiétude comme s’ils étaient directement en toi. Ca tire sur les muscles de tes épaules et ça noue ton estomac. Probablement que tu louperas le prochain repas, tant tu sens que ça vient te laisser une sale impression de nausée. Et tu vois, malgré ça, tu es content d’aller vers elle, parce que tu juges que, puisque tu sais ce qu’il se passe en elle, tu es apte à pouvoir lui changer les idées.

Ce n’est qu’en arrivant à ses côtés que tu jettes un œil à ses croquis. Elle te les tends et tu viens les attraper en écoutant ses explications. Un haussement de sourcil traverse ton visage, par surprise de la voir s’intéresser à ça. Si elle explique aussi sec qu’il y a encore du travail à faire dessus, et que tu sais que dans sa tête, ça doit tourner à plein régime, tu ne réponds rien. En faite tu prends deux minutes pour étudier ses schémas avec attention et sérieux et tu relèves enfin le nez vers elle, en lui tendant les feuilles.

« C’est un très bon début. Tu devrais en parler au prochain repas, il y aura peut-être quelqu’un qui pourra t’aider à travailler dessus ! Tes lèvres s’étirent, avec une douceur certaine, et tu lui rappelles un dicton que tu aimes par-dessus tout depuis ce début de fin du monde : Seul on va plus vite, mais à plusieurs, on va plus loin. L’entraide est la clé pour que tout se passe au mieux. »

Et tu fais probablement bien de lui rappeler ça parce que se remet à parler de vos réserves, de ce que la serre fait pousser péniblement et des champs que vous ne pouvez pas utiliser en hiver. IL n’y a qu’à entendre la manière dont elle formule ses pensées, pour que tu sentes cette tension qu’il y a toujours en elle. La peur du pire, ou simplement une propension à ne voir que le mauvais, peut-être, tu n’en es pas encore certain.

Sans réfléchir, te voilà à faire un pas vers elle, et ta main se pose lentement sur son épaule, en y mettant à peine de poids. C’est comme si tu mettais un lien physique entre vous sans la contraindre ou sans t’imposer. Elle a tout loisir de te repousser si elle le veut.

« Nous ne sommes pas aussi nombreux qu’avant, la famine, si un jour elle arrive, sera plus facile à gérer. Et puis, nous sortons tous les jours pour faire un maximum de provision. Nous tiendrons jusqu’au printemps, et là nous pourrons utiliser les champs pour faire pousser des réserves. Tu lui offres un nouveau sourire avant de te souvenir ce que Desmond t’a dit à ton retour. Prends ton temps, souffle à fond, inspire profondément. Ca va aller Ilona, nous ne sommes pas dans un état critique. Et si ça arrivait, je te rassure que des idiots dans mon genre sacrifieraient leur repas pour que la paix règne sur notre communauté. »

Tu finis par relâcher son épaule et tu te tournes vers les champs, plus loin la clôture et au-delà l’horizon. Tu observes le paysage quelques instants, avant de lui offrir le fond de ta pensée.

« Si tu ne profites pas de souffler aujourd’hui, le jour où la situation sera vraiment grave, tu seras déjà essoufflée, tu sais. »
Invité
Dim 31 Jan - 13:39 ||
AnonymousInvité

à plusieurs, on va plus loin

Depuis le début de l'apocalypse, il n'y avait pas eu une journée où Ilona n'avait pas pensé à la survie. Simplement à la survie, factuellement, froidement. Le reste ne semblait avoir qu'une importance relative pour elle... Les amitiés, les joies, les peines, tout ce qui faisait de l'humain un être humain ; autant de choses qu'elle avait soigneusement repoussé, rangé au fond d'un tiroir fermé à clef dans le fond de son esprit. Sam et elle n'avaient pas l'air de vivre sur le même plan d'existence. Et c'était certainement pour ça qu'elle appréciait Sam. Si son propre pessimisme effaçait parfois le réalisme de la situation, lui savait comment se servir de son optimisme – ou quelque chose du même genre – pour ramener les choses à un certain point d'équilibre. « Tu parles comme mon père, c'est perturbant. » glissa-t-elle en retenant un sourire. Elle faisait assez confiance à Sam pour mentionner son père, et elle en était la première surprise. Mais la surprise passée, Ilona fut incapable de faire taire ses inquiétudes.

La faim ferait taire toute forme d'entraide, pensait-elle. Les gens devenaient sacrément cons quand la faim les prenait en otage. Et la dernière chose qu'elle voulait était de voir ce camp tomber en ruine par manque de nourriture. L’œil un peu méfiant, Ilona regarda Sam réduire la distance physique entre eux, et son regard suivit machinalement la main de l'homme qui se posa sur son épaule. Son corps s'était tendu, plus par réflexe qu'autre chose. Sa mâchoire s'était également contractée. Mais elle ne le repoussa pas. Il était certainement le seul ici qu'Ilona n'avait pas viscéralement envie de repousser. Son geste n'était pas assez ferme pour qu'elle ne puisse pas s'en dégager si elle le souhaitait, et c'était le plus important, même si ses yeux étaient toujours fixés sur la main qui s'était installée sur son épaule. Au moins jusqu'à ce que Sam ne reprenne la parole et qu'Ilona ne remonte son regard sur le visage de son interlocuteur. Elle savait ce qu'il faisait. Elle lui en était même reconnaissante, même si elle préférerait crever de faim plutôt que de l'admettre. Les arguments de Sam s'abattaient sur elle avec calme, et Ilona ne pu que lever les yeux au ciel. Au moins pour la forme.

« Et combien de temps des idiots comme toi tiendraient sans pouvoir manger ? » rétorqua-t-elle. La main de Sam quitta son épaule et elle eut stupidement envie qu'il l'y remette. Trop fière pour admettre que le contact physique avait apaisé son anxiété, trop attachée à son image de femme trop indépendante pour dépendre du groupe, Ilona avait simplement rangé son carnet. « Je soufflerai quand on aura des champs qui supportent l'hiver, des véhicules qui fonctionnent à la perfection, des clôtures qui nous mettent vraiment à l'abri et assez d'armes et de munitions pour tenir pendant dix ans face à toutes les menaces qui se présenteront. » répondit-elle, presque du tac au tac mais avec une certaine pointe d'humour relatif, tout en reposant le regard sur Sam. « Je suis contente que tu sois revenu. » ajouta-t-elle, dans un ton qui semblait trahir l'effort qu'elle faisait pour parler de ce qu'elle ressentait. Il n'aurait probablement pas plus que cette déclaration de la part d'Ilona. Mais c'était déjà une déclaration d'une certaine valeur lorsque l'on connaissait la jeune femme. Une déclaration qu'elle décida de balayer en parlant rapidement d'autre chose.

« J'aimerais former des gens à la traque et à la chasse. Les provisions vont être de plus en plus difficiles à trouver, et le champs ne fonctionnera pas à l'année, il faudra laisser se reposer des parcelles de plus en plus grandes si on veut garder le sol en bonne santé et faire des roulements sur des parcelles de plus en plus petites... Je crois. » Elle marqua une pause, le temps de regarder ce qui se trouvait devant ses yeux. Ce n'était que de la théorie, pour elle. Tout ce qu'elle connaissait vraiment d'un potager était ce que son père avait tenté de lui inculquer dans celui qui se trouvait derrière la maison. Ilona n'avait jamais eu la main très verte. « Chasser, reconnaître les plantes comestibles, et ces conneries là, ça nous donnera un avantage quand tout aura fini par être pillé. Et je sais faire ça. » Elle adressa finalement un maigre sourire à Sam, en tournant de nouveau le regard vers lui. « J'aurais plus de facilité à me détendre si je sais que d'autres personnes savent le faire aussi. »   
(c) DΛNDELION
Samael I. Esper
Dim 31 Jan - 15:54 ||
Samael I. Esper
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Date d'inscription : 10/01/2021
Tu as une drôle d’expression, Samael, quand la jeune femme te fait cette remarque par rapport à son père. D’abord et surtout parce qu’elle ne parle jamais de son père, avec personne tu crois bien. Ensuite, parce qu’il y a ce sourire sur ses lèvres. Et finalement, tu prends ça pour ce que c’est sûrement : une marque de confiance ou d’apaisement. Tu réponds à son sourire par un autre et tu glisses juste, avec douceur.

« J’espère qu’au moins je peux te rappeler le meilleur de lui. »

Tu ne sais pas grand-chose sur sa vie avant, mais tu n’es pas du genre à vouloir rappeler aux gens des mauvaises choses. À la place, tu vois, il y a son angoisse et ce pessimisme qui ressortent et sans réfléchir tu as ce mouvement vers elle. Ses yeux suivent ta main mais elle ne se recule pas, et c’est sûrement pour ça que tu oses le faire et laisser ta main contre son épaule, légèrement, pendant quelques minutes avant de te reculer.

Tu l’observes réagir, chacun de ses gestes se grave en toi, alors que tu continues de tenter de la rassurer, parce que tu le sais, toi Sam, qu’à force d’être aussi inquiète, elle finira par se rendre malade. Et c’est vraiment quelque chose que tu ne lui souhaites pas. Donc si personne n’ose s’opposer à la jeune femme, tu tentes de la canaliser, sans réfléchir.

« Le temps qu’il faudra. Tu lui souris, avec douceur. Les humains sont capables de grandes choses, en cas de crise, tu sais. »

Tu la laisses pourtant revenir s’opposer à tes arguments. Et franchement, tu comprends bien son avis, tu vois bien pourquoi elle réagit de cette manière, dans le fond, sauf que vous ne serez probablement complètement préparer à ce qu’il se passe dehors. Il suffit de voir la violence et la rapidité de l’épidémie pour comprendre qu’il pourrait se passer autre chose d’encore plus grave, encore et encore. Ceci dit, tu évites de le lui dire et si tu t’apprêtes à répondre à ses remarques, c’est quand elle parle de ton retour que tu te figes, avec surprise. Un instant, tu as l’air presque timide, en faite, parce que tu ne comprends pas pourquoi tout le monde te dit ça. Tu ne te sens pas si indispensable et pourtant…

« Je suis content d’être de retour. Je n’ai eu de cesse de me faire un sang d’encre pour vous. Tu lui offres, avec honnêteté, lui prouvant que toi aussi, il t’arrive de céder à la peur. Et si ma présence peut aider ici, tant mieux. »

Tu parles de faire rouler le camp, c’est sûr, mais aussi plus précisément de l’aider elle. Tu ne sais pas vraiment ce dont elle a besoin, Sam, mais tu as la volonté sincère de pouvoir l’aider, être un pilier tant qu’elle en a besoin. Et dans le fond, ce qui t’anime, Sam, c’est peut-être un peu quelque chose comme un sentiment de protection paternel, mine de rien. Tu es en train de te faire happer par cette drôle d’idée quand elle rebondit sur une idée et te voilà à relever un regard surpris sur elle, avant de hocher la tête, avec énergie;

« Je suis d’accord avec cette idée. Il faudrait que j’en parle à Max et Desmond, au moins, mais je pense que ça pourrait être intéressant. Après, nous n’avons pas des tonnes d’armes à feu, mais peut-être poser des pièges… je ne sais pas si c’est faisable. Tu n’as jamais chassé, toi alors bon. Ou de l’archerie, mais là, ça risque d’être plus difficile. Tu es clairement emballé par l’idée, et te voilà à l’observer avec intérêt. Tu chasses depuis longtemps ? Tu penses que tu pourras apprendre ça à ceux qui sont partants ? »
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