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Alors c'est pas moi, chef, la fenêtre n'a juste pas résistée à mon charme ! (Aleksei)
Theresa Adams
Sam 30 Jan - 18:27 ||
Theresa Adams
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T’es perdue. Nan mais genre, t’es pas un peu perdue, Tessa, t’es… perdue perdue. Tout ça parce que t’avais repéré un groupe de grognons qui t’ont pris pour une gentille fifille et qui ont cru qu’ils pourraient te faire peur ou te rouler dans la farine avec des ronds de jambes. À la base, tu devais juste les éviter et retourner auprès de Gareth, sauf que… bah non en faite. T’as été bien incapable de passer ton chemin. Tu es venue trainer dans leur patte, faire les yeux doux. T’as même laisser un des gars te faire la “cour”, si on peut appeler ça comme ça. Puis au bout de 5 jours à les suivre sur les routes, t’as récupéré toute leur réserve de bouffe et t’avais prévu de fuir dans la nuit. Ca ne s’est pas passé comme tu l’imaginais en faite.

Du coup, ca fait une journée et une nuit que tu clopines sur le bord d’une route anonyme, avec du sang sur les fringues et les cheveux en pétard. Autant dire que si y a des survivants qui passent dans le coin en voiture, ils n’ont pas du tout envie de s’arrêter et dans le fond, gamine, tu peux les comprendre. Tu fais peur à voir, et t’as un peu trop l’air en colère contre le monde entier pour attirer la sympathie sur toi.

Le truc, tu vois, c’est que déjà t’as vraiment mal. Ces chiens on réussit à t’attraper, et quand t’as voulu sauter par-dessus un fossé, y’en a un qui s’est accroché à ta cheville. Du coup elle est rouge et endolori. Ils en ont profité pour te passer sous les coups de pieds et de poings. Et probablement qu’ils t’auraient tué, gamine, si leur raffut n’avait pas attiré un groupe de zombie. Ils se sont fait bouffer jusqu’au dernier, et toi t’as pu fuir. Et l’autre problème, aussi, c’est qu’en plus d’être perdue, tu as aussi perdu ton sac. Donc la bouffe que tu leur avais volée, la tienne et même ta gourde. Tu vois un peu où est le problème ?

La nuit est déjà tombée et tu continues de marcher de moins en moins droit, quand ton nez capte une odeur qui t’arrête d’un coup. Ca sent le feu, mais genre le feu de bois. Tes yeux tournent vers la forêt qui borde le chemin que tu suis et quand tu distingues de la fumée monter dans un coin, tu laisses tomber l’idée de trouver une ville. Y’a de la vie par là, et donc de la bouffe et de l’eau. Du coup, Theresa, te voilà à t’engager dans la forêt en grognant comme un vieux sanglier blesser. Tu te traines, t’as même l’impression de perdre ton chemin quand, d’un seul coup, tu tombes sur un chalet… ou une cabane de chasseurs peut-être.

« Ca a l’air calme. Que tu remarques en en faisant le tour sans un bruit, cachée dans l’ombre de la nuit. P’tain, si seulement pouvait y avoir un poulet sur le feu… ou des nuggets ! Un KFC ! »

Rêve va. En tout cas, tu laisses la porte d’entrée de côté, pour tourner et trouver une fenêtre qui te semble pas trop solide. Tu sors ton kit de crochetage, et il te faut approximativement une minute de gragattage pour parvenir à ouvrir la fenêtre. Sans un mot, tu entres en refermant derrière toi, puis un grand poignard en main tu te mets à faire le tour de la maison, en regardant autour de toi, prête à lutter s’il le faut. Et clairement, comme ça, t’as l’air d’une cambrioleuse. Une cambrioleuse sale, abimée et l’air hagard quoi.
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Dim 31 Jan - 14:22 ||
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T’es dans ta rage. Ça fait des semaines, et ça ne te quittes pas, parce que t’as beau fouillé, questionner les quelques personnes que tu croises sur ton chemin – et il faut le dire, ils ne sont vraiment pas nombreux – et bah, t’avances pas, Aleksei. Depuis que t’as vu ces pourris embarquer Aelita, depuis qu’ils t’ont balancé à moitié sur le côté d’une route et que t’as même pas été foutu de te lever pour faire un truc pour les empêcher et bah, ouais, t’es clairement et assurément dans ta rage, tu ne supportes rien, et quand t’es dans un tel état, tu n’arrives à rien non plus. T’es enfermé dans une situation qui te dépasses, tu ne sais plus quoi faire et ça, ça ne te ressemble pas le moins du monde alors ça t’énerves encore plus.

Tu as simplement pris la direction dans laquelle tu les as vus partir avec elle, vois-tu. Sauf que t’es pas non plus complètement idiot, tu sais qu’à partir de là, ils ont pu prendre n’importe quelle route, partir dans n’importe quel coin de l’état et peut-être même qu’ils en sont sortis de l’état, et toi, t’es tellement un acharné que tu veux pas te dire que peut-être, tu la retrouveras pas. N’empêche que c’est une possibilité, tu vois, et qu’à un moment, va bien falloir que tu regardes la vérité en face.

Au moins, Alek, t’as réussi à te mettre dans le crâne que si tu voulais la retrouver, tu devais rester en vie. Du coup, t’as cessé, depuis plusieurs jours, de faire n’importe quoi et de voyager de nuit, avec ta petite lampe frontale qui te donnes l’air d’un mineur fou, tellement t’as toujours l’air en pétard ces derniers temps. Ce soir, quand le soleil s’est mis à décliner, et bah, tu t’es arrangé pour dénicher un truc, et t’as été attiré par l’ombre de cette bicoque en bois. C’est humide, et ça se sent. C’est en bois. C’est quasiment vide, mais t’as quand même déniché une vieille boite de fèves au lard rouillée, tu l’as versée dans l’un de ces plats de campeur en métal que t’as trouvé pas loin, et puis, tu t’es débrouillé pour allumer un feu dans le semblant de cheminée, sans même penser que t’allais potentiellement foutre le feu. Du coup, pour une fois, t’es pas si mal loti pour la nuit, t’as chaud, t’as à manger, tes à l’abri, t’as pris soin de barricader la porte pour pas être surpris par l’une de ces merdes de cadavres ambulants et puis … ouais, voilà, c’est pas mal.

Mais tu vois t’as pas de bol dans ta survie, toi, alors, alors que tu viens de te poser au sol, la tête sur un coussin qui sent le moisi, et couvert d’une couverture un peu dégueulasse, mais bien grande et sacrément chaude, et bah, t’entends du bruit. Pas un bruit de zombie qui grogne et qui fou le bordel à gratter et taper, nan, un bruit plus discret que ton oreille fine capte aussitôt et qui te forces à venir choper une bèche qui traîne à l’entrée de la cabane, et à t’avancer, dans le noir, pour voir ce que c’est encore. T’as pas le temps de faire deux pas, que tu la vois, cette ombre qui avance, alors, tu te câles près du mur, tu la laisses approcher et puis finalement, tu délaisses ton arme de fortune, et tu te jettes littéralement sur la rouquine pour la plaquer au sol, tsé, comme on te l’a appris à l’armée. Sacrément efficace. « Bouge plus, où j’hésiterais pas à t’en coller une. » Nana ou pas, ouais. Pas de distinction. « T’es qui ? Qu’est-ce que tu veux ? » Bah probablement qui cherche à bouffer, comme toi à longueur de journée, mon pote.
Theresa Adams
Dim 31 Jan - 14:35 ||
Theresa Adams
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Vraiment, Theresa, ce qui est fou avec toi, c’est qu’à aucun moment tu te dis que ça risque d’aggraver les choses que d’entrer par effraction dans cette baraque, puis d’avancer comme une ombre dans le mini-chalet. Tu as même ton putain de poignard dans les mains. Donc si y’a bien quelqu’un (et t’imagines que oui, vu qu’il y a un feu qui craque dans la cheminée de fortune) tu vas bien passée pour quelqu’un de dangereux. T’aurais pu jouer à la gamine affamée pour amadouer les gens mais ça, tu vois, ça ne t’effleure pas l’esprit hein.

Du coup, t’avances tout doucement, les yeux braqués sur le feu, parce qu’en plus ça sent la bouffe… et la bouffe chaude. Ton estomac se tourne et retourne et toi, t’es limite en train de saliver à l’avance sans penser à vérifier autour de toi. T’es juste trop bête pour te dire que le mec qui est là a pu t’entendre et t’attendre. T’es juste trop bête et c’est pour ça que, d’un seul coup, tu sens qu’on te percute, tu tombes à la renverse et voilà que tu te mets à ruer sous lui, en grognant comme un chien enragé, jusqu’à comprendre que, bah, il te tient sacrément bien le bougre.

« MAIS ! Lâche moi, p’tain. J’suis pas un de ces putains de zombie, pas besoin d’me coller comme ça. Et tu vois t’arrives pas à le repousser, par contre, ma petite, tu tends le visage vers lui et tu fais claquer ta mâchoire pas loin de sa joue. Par contre j’peux mordre hein. Allez lâche-moi ! »

Le truc Theresa, c’est que tu gueules, tu râles, tu essaies de le repousser mais t’as toujours pas répondu. Alors tu finis par t’arrêtes de bouger pour laisser ta tête retomber sur le sol et tu l’observes bizarre, le nez plissé et l’air de te demander si vaudrait pas mieux que tu le laisses te cogner, en faite.

« Theresa. Et j’suis personne. J’suis perdue, j’ai soif et faim. C’est bon là ?! Tu es bizarrement calme maintenant en faite. Et toi, d’abord, t’es qui ? Tu attends d’autres gens ? Et voilà que ça te donne une idée, ma fille. Si y’a des gens qui t’veulent du mal, j’peux te défendre si tu m’files de la bouffe ! »

Tout est bon à donner contre de la nourriture, c’est ce que Gareth t’a appris en faite. Tout se monnaie, aussi, c’est comme ça que ta vie fonctionne !
Invité
Dim 31 Jan - 15:00 ||
AnonymousInvité
T’as zéro délicatesse, hein. Surement pas en ce moment, en plus. Tu te fiches bien de qui est cette nana, toi de toute façon, tout ce que tu vois, c’est qu’elle est venue foutre son nez là où t’étais planqué et que tu n’es absolument pas du genre à partager avec les inconnus. Et ouais, comme quoi, l’éducation de tes parents est toujours là, quelque part, bien enfouie, mais prête à resurgir quand tu t’y attends le moins et probablement de la pire des manières possibles. Du coup, au lieu de l’attendre, de rester à distance, de questionner avant d’agir et bah, tu lui sautes dessus, tu la plaques sur le plancher froid et poussiéreux, et par-dessus le marché, tu la menaces, sans doute pour essayer de lui faire peur et de lui faire comprendre qu’elle n’a qu’à dégager, que retourner dehors, c’est la meilleure des options pour elle.

Sauf que tu vois, elle se met à remuer, sous toi, que ça t’énerve encore plus alors, tu ressers ta prise, brutalement, sur cette pauvre fille toute maigre et au visage sacrément bien abimé, ça, au moins, tu le remarques. « Si t’étais un zombie, t’aurais déjà plus d’tête. » Que tu lui envoies au visage, en t’approchant un peu, comme si t’essayais de lui faire comprendre à quel point t’es sérieux, là. « Et si t’essaies de me faire chier, je te colle un coup de boule. » T’en es capable, hein, tu fais aucune distinction entre homme et femme quand on te casse les pieds, alors, franchement, qu’elle ne s’avise même pas de t’emmerder, parce que, celle qui est dans une position délicate, et bah c’est elle, pour le coup.

Et tu vois, comme si tes menaces finissaient par fonctionner, et bah, elle se calme, elle arrête de gesticuler comme un putain de ver, sous toi, et elle te donne son prénom. Elle a faim. Elle a soif. T’as déjà remarqué qu’elle était amochée, en clair, c’est quelqu’un qui essaie de rester en vie, comme toi, comme tout le monde ou presque, quoi. « C’est moi qui pose les questions, tu parles trop. » Tu supportes rien, hein, rien ni personne, juste parce que le sort t’as pas été bien favorable ces derniers temps. « Je te lâche, mais si tu m’emmerdes, c’est toi que je cuis et que je bouffe, même si t’as pas grand-chose sur la carcasse. » Joignant le geste à la parole, tu recules, tu la relâches, et te voilà assis sur le sol, tout prêt d’elle, sans la lâcher du regard. « Y’a un fond de boîte de conserve, si tu veux. » Autant qu’elle avale ça, toi, t’aurais abandonné le reste ici quoi qu’il arrive. En tout cas, tu laisses échapper un vieux rire bien moqueur, alors que ton regard passe sur elle sans retenue. « J’ai pas b’soin de toi pour me défendre, petite fille. T’as qu’à rester dans un coin si ça te chante, moi, je me débrouille. » Et puis, tu te lèves, tu l’abandonnes là pour la laisser aller manger si elle veut, s’installer si elle veut, tu t’en fou, c’est bien assez grand pour deux et d’ici l’aurore, t’auras déjà disparu.
Theresa Adams
Dim 31 Jan - 15:16 ||
Theresa Adams
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Putain Theresa, il y a du avoir une bonne fée sacrément déchirée qui s’est penchée sur ton berceau, parce que toi t’as jamais eu de belles choses dans ta vie. C’est plutôt qu’on finit toujours par te tomber dessus, te grogner dessus, te cogner aussi. Bon, dans 90% des cas, tu le cherches c’est vrai, mais là pour le coup, t’avais pas fait grand chose de mal et à la base tu pensais juste voler de la bouffe et partir, même pas lui faire du mal. T’es déjà trop abîmée pour te tenter dans un autre combat. Sauf que… bah ce type, il te laisse pas vraiment le choix.

« Ah je vois, t’es donc de c’genre de type ? Tu crânes toujours comme ça ? Ton sourire s’étire, moqueur et clairement amusé en faite. Vas-y, cogne-moi, j’ai pas peur de ça et j’suis pas à ça prêt. Par contre, si t’approches ton p’tit nez de moi, j’te jure que j’te le bouffe. »

Et le pire, hein, c’est que t’es bien capable de le faire. T’as encore jamais arraché un nez à quelqu’un, par contre, gamine, t’as déjà croqué des oreilles au point d’en arracher des parties. Même que ça a laissé un drôle de souvenir aux gens, parce que ce jour-là, t’avais particulièrement l’air d’une une sale bête sauvage. Enfin bon…

L’autre t’engueule, et il répond même pas à tes questions. C’est clairement un truc qui te met de travers, en faite, et quand il te relâche, tu te remets assise en grognassant de douleur. Il est pas loin, et toi tu l’observes avec ce regard qui veut clairement dire : “je fais ce que je veux et toi tu m’intrigues”. Ca fait longtemps, Tessa, qu’un type a pas été comme ça avec toi. Habituellement on te jette dehors ou on te drague. Lui il est juste terriblement neutre.

« J’parle pas trop, mais bon c’est la moindre des choses de me donner ton prénom hein, vu que j’t’ai dit le mien. T’as peur que j’puisse pas le prononcer ? Parce que t’es… heu… Il est chinois nan ?Asiatique je veux dire. »

C’est ça, va, rattrape-toi et évite d’être aussi raciste que les gens l’ont toujours été autour de toi. A la place, tu t’en vas à quatre pattes (ouais à quatre pattes, la flemme de te remettre debout avec ta cheville qui fait mal) et tu choppes la boite de bouffe avant de littéralement aspirer le contenu. Tu manges avec un air de plaisir extrême sur le visage, et c’est en entendant sa remarque que tu te souviens de sa présence et…. tu siffles. Ta main bouge brutalement, ton poignard siffle dans la pièce, passe sous son nez et se fiche en tremblant dans le mur derrière lui alors que maintenant t’as l’air en pétard.

« Tu crois quoi, mon vieux ?! Que j’peux pas me battre ? Qu’t’es plus fort que moi ?! Et tu bondis debout sans arriver à appuyer sur ta cheville douloureuse, l’air vraiment en pétard en face. Vas-y, va, viens donc y tester, tu vas finir avec la gueule dans le feu ! Et tu te gonfles, encore et encore, avant de finir par lâcher. Vous m’soulez tous, avec vos égos de mâle mal placés ! »
Invité
Ven 5 Fév - 14:58 ||
AnonymousInvité
Ce que tu peux être désagréable, c’est incroyable, ça. Quand on pense que pour ta sœur, tu es une véritable crème, mon vieux, mais alors avec le reste du monde, tu es littéralement imbuvable, et ça, c’est peu de le dire. Il n’empêche que, bon, t’es pas non plus le pire des enfoirés au monde, quand on y pense, parce que tu menaces, oui, mais tu lui laisses quand même la possibilité de rester à l’abri dans cette cabane à la noix. T’es pas un chien, elle aussi humaine que toi, t’as probablement aucune envie qu’elle se fasse dévorer au beau milieu de la nuit, seule, quelque part dans la pampa juste parce que tu auras décidé d’être con et égoïste.

Et tu sais quoi ? Tu es même complètement capable d’ignorer son putain de caractère si énervant, visiblement, elle est comme toi, elle adore aboyer et forcément, tu sais comment on peut calmer quelqu’un comme toi. En l’ignorant. Ouais, toi, ça a tendance à t’énerver, mais au moins, tu la fermes et tu vas râler dans ton coin quand c’est comme ça … au fond, tu espères peut-être qu’elle se décide à en faire de même. « En quoi t’en aurais besoin ? » Tu finis par lui demander, quand elle se met à te souligner le fait que, si elle t’a donné son prénom, toi, t’as gardé le tien pour toi. La vérité, c’est que tu t’en fou de savoir comment elle s’appelle, tu dis que c’est l’affaire de quelques heures, que dans deux jours, tu l’auras oubliée et qu’elle en aura surement fait de même avec toi. Autant, donc, éviter les dépenses d’énergie inutiles. Et pourtant, sa remarque suivante te fait échapper un sifflement désagréable. « Aleksei. » Que tu lui craches littéralement, comme pour lui faire comprendre que ce n’est pas parce que t’as les yeux bridés que tu t’appelles forcément Jacky Chan.

Et probablement que tu vas un peu trop loin dans tes paroles, toi aussi, parce que, quand tu viens lui faire savoir que t’as pas besoin d’une gamine maigrichonne pour te tenir en vie, et bah, elle qui était en train de finir ta gamelle se tourne vivement dans sa direction, le poignard siffle dans l’air pas si loin de toi pour aller se planter juste derrière, dans le bois. « Tu pouvais juste dire merci. » Que tu soupires. Bon, d’accord, c’est peut-être pas une gamine complètement inutile et toute naze – en même temps son état, et le fait qu’elle soit seule pour survivre actuellement aurait du te donner un indice là-dessus, mon pauvre vieux – mais … tu ne lui diras pas hein. « Ecoute madame la frustrée, je me fou de tes états d’âme, j’ai une longue route demain matin, alors j’aimerais bien avoir la paix. » Une vraie furie, cette nana, hallucinant. « Pis tu devrais t’occuper de ton bordel là … » Tu parles de ses blessures, ouais. « Tu vas foutre du sang partout … ou te vider pendant la nuit. Qu’est-ce que t’as foutu ? »
Theresa Adams
Dim 14 Fév - 14:42 ||
Theresa Adams
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T’es chiante, tu le sais. De toute façon, si tu le savais pas de base, vu que tout le monde te le dit toujours, on peut dire que maintenant tu peux plus trop faire comme si t’étais pas au courant. T’es une enquiquineuse, et même quand t’essaies de pas être si chiante, tu l’es. Regarde-toi, là, à avoir de la bouffe et un toit pour la nuit, tu continues de faire chier pour son prénom. Et bien entendu, il finit par te répondre, parce qu’une de tes grandes forces, c’est qu’on finit souvent par te donner les réponses… et quelques coups bien mérités.

« Bah voilà ! Que tu râles, parce qu’il a fait tout un drama pour rien lui. C’est quoi le problème, t’aime pas ton prénom ? C’est joli nan ? Moi j’aime bien ! »

Comme si ça pouvait vraiment changer la donne, que toi tu l’aimes bien, alors que tu es juste en train de piquer sa nourriture comme un rat. Et probablement que tu pourrais te montrer plus calme, en grignotant dans ton coin avant d’essayer de dormir. Sauf que tu finis par te remettre en colère, d’un coup, parce qu’il te compare à une gamine incapable de te battre. Et… ouais comme toujours. Tu te mets en pétard, tu lances une arme, tu te remets debout. Et tu fulmines gamine. T’es là, à grogner comme un animal sauvage alors qu’il soupire, lui.

« Merci. Que tu claques, en retour. Mais t’as pas à m’manquer de respect. Encore moins parce que j’suis une fille ou petite ! Et voilà qu’il te claque qu’il veut la paix et toi, ça te fait trépigner comme une idiote. AH ! Mais c’est toi qui commence. Putain t’es culotté comme type ! »

C’est quand t’appuies sur ta cheville un peu plus fort que tu t’arrêtes en grognant. Ca au moins, ça a le don de te calmer, ma petite. Alors tu te laisses tomber, le cul sur le sol et tu viens attraper ta patte pour retirer ta chaussure et dévoiler une cheville toute bleuit et enflée. Tu m’étonnes, Tessa, que t’as mal à c’point-là.

« Hm… Que tu souffles en l’entendant te parler encore. J’croyais que tu voulais être au calme… Tiens c’est gratuit ça, hein. J’me suis battue. Enfin… j’me suis fait battre. Ouais, on en doute pas vraiment là. Mais j’m’en fou, ces chiens se sont fait bouffer par les zombies, je suis vengée. Et tes lèvres étirent un grand sourire de démente. J’ai rien pour me soigner, ça se refermera tout seul, je suis une mauvaise plante, j’risque pas de mourir si facilement. »

À bien y réfléchir, Theresa, t’as même jamais imaginé que tu pouvais mourir d’une infection. Habituellement tu te baignes pour nettoyer, mais là, y’a juste pas de puit ou de ruisseau. Alors tu fais le seul truc qui te semble à peu près ok : tu retires ton sweatshirt puis ton débardeur et tu lui voles sa gourde d’eau pour imbiber le débardeur et venir frotter comme un bœuf sur ta peau pour décoller le sang.

« Ca pue sa mère… Que tu grognes, avant de faire comme toujours: te remettre à causer. Pis d’abord, pourquoi tu dois faire de la route ? Tu vas où toi ? »
Invité
Lun 22 Fév - 10:47 ||
AnonymousInvité
« J’m’en cogne de ton prénom. » Putain. Non mais sérieux, qui a eu l’idée d’ajouter ce trait à chacune des nanas que tu croises sur cette planète ? Pourquoi est-ce qu’il faut qu’elles soient toutes aussi chiantes, carrément insupportables, même. Il faut dire mon vieux que tu n’as certainement pas beaucoup de patience, surtout en ce qui concerne les femmes, t’es probablement incapable d’avoir une vraie relation, alors, imagine, te marier, et tout ce qui va avec ? Tu te flinguerais bien avant.

Enfin, au moins, t’as obtenu un merci et c’est déjà pas mal, même si elle continue de te saouler avec ses discours à la noix sur le fait que, ohlala, Alek, t’aurais pas dû souligner le fait qu’elle a l’air d’une gamine, à l’agonie en plus. Nan, mais, sérieux, elle a le teint presque aussi verdâtre que les cadavres de l’extérieur, elle est haute comme trois pommes et maigre comme un clou, t’es même pas certain qu’il reste un truc à toucher sur sa putain de carcasse et pourtant, elle continue de te les briser. Alors ouais, tu l’ignores, ou plutôt, tu te mets juste à lui faire remarquer l’état dans lequel elle est là, parce que, t’as pas spécialement envie de trouver un cadavre près de la cheminée d’ici demain matin, toi, c’est pas bon pour ta santé mentale, tout ce bordel. Déjà qu’elle est pas brillante …

Bon, et toi, tu finis par remuer un peu tandis qu’elle est en train de te raconter sa vie, t’essaies de t’installer un peu correctement pour espérer pioncer un peu, sauf que, tu t’arrêtes, tu reposes les yeux sur elle, et puis, tu pousses un énorme soupire avant de te redresser pour fouiller dans ton sac à dos. « T’es conne ou tu le fais exprès ? » Que tu demandes, toujours aussi poliment, gentiment, tout ça, hein, remarquons. Et pis t’es pas au bout de tes peines, hein, mon vieux, parce qu’alors que t’es de retour sur tes jambes, la voilà qui se dessape, et tu pourrais peut-être la regarder – t’es un mec qu’à pas touché une nana depuis des mois quoi – sauf que quand tu poses les yeux sur elle, et bah tu grimaces, et tu tournes à nouveau, tu te détournes, même. « Bordel … » Elle te gave, ça y est, et maintenant qu’elle te l’a fait remarquer, et bah, ouais, effectivement, ça pue la mort dans ta cabane. « Vire moi tes putains de fringues, tu schlingues autant que ces putains de rôdeurs de merde ! » Et tu sais quoi, et bah, t’es con, mais pas complètement encore parce que tu viens récupérer un sweat dans ton sac, qui est déjà bien trop grand pour toi et tu le lui balances en pleine poire avant de venir poser tes fesses face à elle pour chopper son pied. Et bon, t’es pas super délicat, quoi, mais t’es militaire – étonnant hein ? – alors t’as les bases pour ce genre de conneries. « Bouge pas, par contre. » Que tu la préviens, avant de jeter un œil au bordel, constater que tu peux pas faire grand-chose et finalement décider de venir enrouler son pied et sa cheville dans un bandage que tu fais bien serré pour maintenir l’ensemble et lui permettre de se bouger un minimum pour pas crever. « J’en sais rien. » Que tu finis par avouer, pour finalement répondre à sa question. « Y’a des connards qu’on embarquer ma sœur, alors je vais les trouver et leur faire la peau. »
Theresa Adams
Mar 23 Fév - 22:30 ||
Theresa Adams
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Date d'inscription : 26/01/2021
« Monsieur grognon… Que tu râles quand il recommence avec cette histoire de prénom. »

Faut dire qu’il a rien d’agréable ce mec et que toi t’es pas spécialement plus tendre. Ca fait de vous un drôle de duo de survivants et ce qui t’effleure l’esprit, Theresa, c’est que soit vous pourriez survivre ensemble, soit vous entretuer. L’un et l’autre ont autant de probabilité et ça te fait tout bizarre de te dire ça. Habituellement, tu considères tout le monde comme un problème, pas assez endurant pour te supporter, mais monsieur grognon sort du lot, visiblement.

Et voilà que ça continue en faite. T’es en train de causer quand cette espèce de rkufgzukyfg recommence à t’insulter et toi, tu grognes. Tu te tournes vers lui alors qu’il est en train de s’accroupir vers son sac et tu devrais lui sauter dessus pour lui apprendre la politesse que toi-même t’as jamais eue, mais tu préfères juste attaquer à distance.

« J’suis visiblement comme toi, hein. Si j’suis conne t’es pas mieux, mon vieux ! »

Tu sais même pas son âge, mais t’as décidé d’être casse-couille. Du coup tu retires tes vêtements qui puent la mort et te voilà à essayer vaguement de te laver comme tu peux sans t’inquiéter qu’il te regarde. Déjà y’a pas forcément grand-chose à voir, pis surtout t’as pas une pointe de pudeur… c’est ça de vivre avec des hommes depuis tes 15 ans hein.

« Ahhh mais tu vas arrêter de gueuler tout le temps. Que tu gueules tout autant en te mangeant le sweat dans la tête. T’es vraiment pire qu’une nana ! Et pis… EH ! Mais il est déjà assis près de toi et il attrape ton pied. J’te préviens, si tu me pète la cheville, j’te bouffe, littéralement. »

T’es en train de poser un regard de tueur sur lui, parce que t’es vraiment pas sereine à l’idée que ce détraqué vienne faire tu-sais-pas-quoi avec ta cheville. Pourtant, t’as pas vraiment le choix, alors tu le surveille pendant qu’il regarde puis bande ta patte. Et franchement, Theresa, toi tu piges plus grand-chose à ce qu’il se passe.

« Sérieux ? Toi, tout seul et tout maigrelet que t’es, tu vas les buter ? Tu te fous même pas de sa tronche, t’es bizarrement sérieuse parce que t’as l’impression de te voir toi-même, c’est super étrange. Si tu veux tuer des types, j’peux venir avec toi ? C’est une question, hein, pas une proposition. J’aime bien cogner sur les cons, et puis comme ça, tu es sûr de gagner. Même avec une patte en moins, je peux me battre. »

Et t’as vraiment pas un moment où tu t’arrêtes d’être toi, c’est fou. Sauf qu’en plus, vu que tu veux pas qu’il te dise non, bah tu viens l’attraper par le col de son vêtement et tirer sa tête vers toi, yeux verts dans ses yeux sombres.

« Si tu dis non, j’te suivrai quand même, hein. Que tu le préviens. »
Invité
Jeu 1 Avr - 14:22 ||
AnonymousInvité
Non mais vas-y, Alek, continue, gueule, peste comme une vieille corneille aigrie de toute façon, ça te ressemble bien, tu passes ta vie à saouler le monde qui t’entoure et franchement, l’épidémie, et ce que cette fin du monde t’as fait, tout ça n’a surement rien arranger à ton putain de sale caractère. T’es un militaire, mon vieux, tu devrais … être plus avenant, plus prompt à t’occuper de cette nana qui viens d’entrer ici et qui te sembles sérieusement dans un drôle d’état, sauf qu’à la place, et bah tu l’emmerdes, comme tu emmerdes le reste du monde en permanence tiens. C’est con, parce qu’au fond, t’es pas un mauvais bougre, c’est bien pour ça que finit par l’approcher et venir lui filer un coup de main, même si t’es pas doux, tu viens quand même t’occuper de sa cheville avec tes quelques petites connaissances et compétences et si t’es hargneux, tu te rends bien compte que la rouquine l’est tout autant ou presque. Une vraie hyène, ouais.

« Faut pas s’fier aux apparences. » Que tu lui craches, quand elle te fait remarquer qu’effectivement, t’es tout seul et pas forcément impressionnant. T’as une certaine musculature, hein, et de la force, aussi, autrement, tu ne serais jamais arrivé là où t’en étais dans ta pseudo carrière militaire mais, t’as un physique particulier qui fait que ça se voit pas. T’es pas épais. T’es pas baraqué. T’es pas taillé comme une armoire. Rien de tout ça. N’empêche que t’es sacrément hargneux, quoi, une vraie teigne, du coup, ça compense. Du moins, t’imagines. « Pourquoi je me ferais chier à t’embarquer ? T’es chiante, tu pues et t’as une cheville en moins. » Autrement dit, là, comme ça, elle te semble être plus un poids qu’autre chose et tu te dis juste que t’as autre chose à foutre que de t’occuper de la supporter. « La seule raison pour laquelle tu serais utile c’est pour faire un échange et encore, j’suis pas certain qu’ils veuillent bien d’toi. » Et te voilà, à ricaner comme un chien devant elle en relâchant enfin son pied, avant de soupirer, sacrément lourdement parce qu’à chaque fois que tu causes de ta sœur et de ce qui lui est arrivé, ça te fou les nerfs, autant contre ces connards que contre toi-même, tu vois.

Et ouais, pour toi, la discussion est close, t’as besoin de personne, du moins, t’as réussi à t’en convaincre alors, t’es déjà prêt à retourner dans ton coin quand elle t’attrape par le col pour te retenir et tu te retrouves littéralement nez à nez avec cette emmerdeuse qui vient t’envoyer à la tronche qu’elle s’en fou de ton autorisation, et qu’elle va te suivre quoi qu’il arrive. « Ça t’regarde pas, visiblement, t’as déjà bien assez d’problèmes comme ça avec mêle toi de tes propres emmerdes. » Et tu te penches sur elle, parce que t’as pas peur de ça, toi, hein, t’aimes à croire que t’as peur de rien, d’ailleurs, ouais, rien que ça, tu vois. « Qu’est-ce que tu m’veux, à la fin, tu te sens si seule que ça ? Crois-moi, c’est pas moi dont t’as envie pour combler un quelconque vide dans p’tite vie, la rouquine. » Et tu dégages ses foutues mains de ton col pour te redresser et remettre de la distance entre vous. « T’as vraiment besoin d’une douche, tu sais ça ? » Ouais, vu l’odeur, changer de vêtement ne servira pas à grand-chose, maintenant, t’en es convaincu. « Pourquoi tu cherches à te mettre dans les embrouilles ? » Tu lui demandes, tout de même, en t’installant au sol au milieu de tes quelques affaires, à distance de cette drôle de nana, quand même.
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Alors c'est pas moi, chef, la fenêtre n'a juste pas résistée à mon charme ! (Aleksei)
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