Acte Chevaleresque

Adam- Ostie de colisse de tabarnack ! (juron québécois du terroir)

J’évite une flaque de boue en jurant comme à mon habitude. Je progresse littéralement à l’aveuglette, ne sachant tout simplement pas où je vais dans ce bois maléfique. J’ai vu une fumée solitaire s’élever dans ce coin reculé et j’ai songé que j’aurai peut-être de la chance pour une fois. Car depuis le naufrage je suis seul comme un con dans une foule de putride.

Je me vois encore critiquer mon cousin de son choix de merde de longer les states les États-Unis à bord de son bateau. Il n’y a que nos voisins du sud qui croient que leur sexe n’est que la gâchette de leur arme à feu. Lui me disait qu’on devait trouver de nouveaux endroits pour farfouiller pour notre bouffe. Enfin du compte lui qui s’est fait déguster par des nécrophages qui se planquaient sous la flotte des Grands Lacs. Un peu comme les Marais Morts qui se trouvent au nord-ouest de la Porte Noire, l'entrée du pays de Mordor, et sont jonchés des cadavres des Hommes et Elfes tombés au combat lors de la bataille de Dagorlad et d'autres affrontements, qu'ils ont absorbé durant leur croissance continue. Bon me voilà encore parti sur l’œuvre de Maître Tolkien.  J’ai jamais nagé si vite pour me sortir le cul de l’eau, mais mon cousin à succomber au regard hypnotique comme Frodo et j’ai rien pu faire pour le sortir de là. Je peux juste passer ma rage et ma colère sur les nécrophages que je rencontre. Oui j’appelle les zombies des nécrophages et les hommes mauvais des nécrophiles. Une petite touche fantaisie de plus pour l’amateur de Gn que je suis.

Voilà bien une semaine que j’ai trouvé ma Motoped et que je recherche si on veut bien de moi dans le coin. Il y a beaucoup de zombies, mais heureusement que le froid semble jouer en ma faveur contre les nécrophages. Ils sont si faciles à buter car ils se déplacent moins vite que ma grand-mère de 90 ans qui a une marchette. Je me sens littéralement dans un jeu de tape la taupe format réel et je me maintien en forme.

Mais le problème de cette époque c’est qu’il n’y a pas juste les nécrophages qui essaient de me bouffer le bout du gras. Il y a les nécrophiles, des pillards en mes mots, qui profitent de la situation pour assouvir leurs envies de merdes et de jouer au roi de la montagne. Bordel o devrait faire comme les peuples de la Terre du Milieu et affronter l’envahisseur de front. Bien non il va toujours avoir des hommes qui vont n’écouter que leur côté mesquins et profiteurs. Moi je ne suis pas de ce bois, j’ai épousé les vertus chevaleresques de la bonté, de l’entraide et de casser les couilles aux méchants. Pas un Loyal Bon comme un paladin, mais plus un bon vieux chaotique bon comme un guerrier solitaire. Un type qui ne voit plus l’intérêt des lois, mais qui est prêt à tendre la main à son prochain.

Je décapite proprement un nécrophage d’un revers de ma lame d’acier tranchante comme un rasoir. Je l’adore ma création. Je me sens comme un nain qui va rayer une injustice dans le grand livre des Rancœurs de son clan. J’ai tout pour me défendre et en plus je suis un bretteur d’exception. Ma machette qui rock et ma rondache qui peut faire sonner les cloches. Tout à coup je dois rebrousser chemin pour une bonne raison. Je cours comme si je suis un chat sauvage qui a le feu à sa queue et bientôt je dois me planquer comme un lapin dans une vieille maison car je voie une horde de nécrophages qui semble remonter au Canada pour l’hiver. Je sens qu’ils ont bouffé de l’outarde et qu’ils se croient des oiseaux migrateurs. À moins que ce soit un Sauron version 2 qui vient de se réveiller et qui appelle ses troupes du Mal. Des fois j’ai un peu trop d’imagination. Je décide d’être productif et de farfouiller un peu mon abri provisoire. Dans un  tiroir je découvre un pistolet que je prends du bout des doigt avec dégout. Je n’aime guère les armes modernes, le style qui ne demande rien comme entrainement pour tuer un type. Je suis de la vieille école, duel et compagnie. Mais ça peut servir comme objet de troc qui sait. Je le range dans mon sac à dos de cuir et pour passer le temps je relis un chapitre de la Communauté de l’Anneau.  Bientôt je peux sortir de nouveau et je m’enfonce dans la forêt. Je me sens comme Grand Pas qui poursuit les Uruk-hai. Je peux presque me revoir dans la forêt près de Bicolline en train de faire du Grandeur Nature avec mes compagnons de l’époque. Des frères d’armes qui sont morts maintenant. Mais je suis sûr et certain qu’ils s’amuseraient à fond dans cette épopée que je vis à l’instant.

Mais je trouve ça bizarre de ne pas croiser un nécrophage. J’arrive enfin près d’un cours d’eau et j’entends des éclats de voix en anglais. Je m’avance alors en faisant le moins de bruit possible comme un Rôdeur qui doit espionner des ennemis. Mais je n’ai guère les compétences furtives des roublards car je me vois plus comme un guerrier. Heureusement que la dispute est très sonore. Je vois un des hommes et je souris de manière ironique et satirique. Manteau de chasse orange et casquette de FORD. Un véritable redneck de mon cul dans toute sa splendeur. Mais je ne comprends absolument rien de leur discussion. Mais j’ai le sang qui bouille quand j’entends alors une claque sonore au milieu d’une phrase qu’une femme semblait parler avec effroi. À cet instant je deviens incontrôlable. Bordel on ne frappe pas les femmes à part avec des armes de mousses injecter dans un GN!

Je saute dans la petite clairière avec la subtilité d’un Gmili qui fonce sur un orque et je me sers de mon élan pour percuter de plein fouet le redneck à la calotte de FORD (casquette). Un coup de gong se fit entendre et c’est l’extinction des feux pour ce gus. Chevaleresque dans mon armure de cuir, mes bracelets et mes jambières d’acier, je dégaine ma lame acéré. Bordel que je sens que je vais m’amuser en voyant mon adversaire armer sa batte de baseball pour me frapper. Au moins j’ai assommé celui qui avait le fusil de chasse.

Adam- Mon ostie de crotté d’enculée de ta mère! Je vais t’éventrer comme le Roi Gobelin et faire une corde à danser avec tes tripes!

L’agresseur me regard comme si j’avais une deuxième tête qui venait de me sortir du cul. Bien oui je viens de parler en français donc il comprend rien.

Adam- Eat shit motherfucker!

C’est moins percutant que mon autre phrase mais ça semble le faire réagir et j’en suis heureux alors que je me prépare à recevoir son attaque maladroite. Je vois du coin de l’œil une femme qui se relève, étourdit par un coup. Je ne peux pas bien la voir, mais je me place entre elle et le babouin à la batte pour la protéger. Ben quoi je suis un peu chevalier sur les bords…

@Úna Harlan

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C’est l’impression de bien des gens quand on me rencontre pour la première fois.  On m’associe pour un illuminé, une fanatique qui adore le médiéval fantastique. Hors je l’assume pleinement et j’en ai même fait une carrière. J’espère que mes créations ont servis à leur propriétaires pour les protéger des morsures des nécrophages et que les armes forger ont fendu bien des crânes des salopards putrides. La pipe coincé au coin de mes lippes charnues que bien des demoiselles ont jurées des plus accueillantes, je fais une révérence qui se veut autant moqueuse  que débordant de grâce digne d’un chevalier devant une tête couronné.

Adam- Movie of my life Silmarilli…

Bordel je viens de parler dans la langue gracieuse des elfes. Ma voix rauque et viril vient naturellement de faire un écart tout en poésie et qui ressemble à un lyrique autant charmant qu’aérien. D’un geste théâtrale je range le foulard en songeant pendant un instant que c’est un gage de sa beauté. Mais je rigole dans ma tête en me disant simplement qu’un pareil joyau, d’où le surnom en Elfique ci-haut, ne doit pas être folâtre comme les vents qu’on ne peut capturer. Mon sourire s’agrandit alors à la puissance mille quand j’entends les premiers mots français s’écouler de ses lèvres sensuelles. Je me redresse et je lui tends la main pour la serrer en signe de guerrier, de compagnons d’armes qui démarrent une nouvelle quête. Enserrer l’avant-bras de l’autre est ma marque de commerce, un salut venu de mon cœur qui ne bat que pour l’aventure et mes passions ardentes. À savoir le médiéval fantastique en son ensemble, la forge et les demoiselles qui veulent bien d’un forgeron qui va les traiter comme des dames de la haute royauté. Quand elle me fait signe des menottes, le commun des mortels auraient compris que la beauté aimerait une partie de Donjon grandeur nature avec l’arsenal de fouets et d’autres objets insolites pour crier à la délivrance et surtout de plaisir. Mais heureusement pour moi j’ai réussi mon jet de Sagesse ainsi qu’Intelligence et je comprends dans ce langage à demi-mots et de gestes que Siilmarilli n’aime guère rester derrière les fortifications de son empire. Je hoche la tête en levant les sourcils tout en abondant dans son sens.

Adam- Oui… Me too don’t like to rest same spot… Love going to find iron and help people… (Oui moi aussi je n’ai pas resté au même endroit. J’aime trouver de l’acier et aider les gens.)

D’un mouvement de bras théâtral je balaie les environs et embrasse de mon regard d’azur le décor.

Adam- I am… Chercher… find… gang pour aider et forger… i am alone in the Mordor.

C’est le paradis de Sauron dans un sens l’extérieur. Il y a bien de l’amusement pour trucider les nécrophages et les salopards qui profitent des innocents, mais disons que j’aimerais bien me trouver un endroit pour souffler un peu et surtout les équiper comme il faut. Je regarde avec dégoût la machette qu’elle possède et d’un geste autant élégant que d’une précision mortelle je sors de mon fourreau dorsal mon épée courte qui siffle sa colère alors que je fais un moulinet théâtrale. Ensuite je la dépose dans mes paumes en sine d'offrande à ma belle Silmarilli pour qu’elle puisse tester l’équilibre parfait et le confort de sa garde.

Adam- This is Sangahyando… Troop Killer en elvish. I forge him ( C’est Sangahyando. Le tueur de troupe. Je l’ai forger.)

Un clin d’œil complice et je rajoute avec un sourire à tomber littéralement sur les fesses.

Adam- Je peux t’en forger une qui aura de la gueule et non cette réplique de de surplus d’armée.

Alors je me rends compte de ma bévue et je lui demande un instant avec mon index alors que je sors mon dictionnaire anglais français usée que j’emporte partout. Je parvins à traduire mes derniers mots et je relève la tête fière de moi. Je rajoute quelques mots aussi dans mon anglais vacillant.

Adam- Sinon je te montre mes croquis et je te fais une qui va t’être fidèle pour tes promenades loin du camp…

Alors je prends un air inquisiteur et rajoute avec une moue amusante d’un écornifleur de bas niveau.

Adam- Tu semblais aussi chercher quelqu’un ou quelque chose… Je peux t’aider ce sera une bonne quête…

Je ne rajoute pas que c’est une quête secondaire pour moi, alors que ma principale est simplement de me trouver un lieu ou forger et aider des gens sympas…



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Quand elle papillonne les paupières je ne peux cacher que j’adore ça. C’est digne d’une scène du Trône de Fer lors qu’une demoiselle fait des avances aussi belles que symboliques au chevalier. Hors je ne peux faire une moue de douleur empathique en voyant la joue écarlate de la belle. Je comprends à demi ce qu’elle me dit avant d’aller fouiller les victimes. Pour ma part je prends un mouchoir et je place de la neige dedans. Pour ma part j’ai tout ce qu’il me faut. Mis je ne peux m’empêcher de la reluquer quand elle se penche et je grossis les yeux en lui matant ce derrière qui me semble fort chaleureux. Elle se redresse et je dois trouver quelques à observer à part son ses fesses qui sont juste à tomber. Tiens une branche c’est parfait. Elle me tend la cigarette et je lui fais non de la tête avec un sourire autant attachant que ravageur. Je lui tends cérémonieusement le mouchoir qui va soulager la morsure de feu de la gifle du connard. Battre une femme si jolie c’est comme cassé la Joconde… C’est une sculpture ou une peinture. Je ne suis plus sûr et je m’en fous ce n’est pas un truc du Seigneur des Anneaux. D’un geste plein de panache se sort ma blague tabac et cette pipe de bois sculpté qui est la copie direct de celle de Gandalf le Gris. D’un geste élégant j’allume la pipe et je fais un rond comme dans le film. Désolé je ne suis pas foutu de faire un bateau en prime.

Elle me zieute ouvertement et j’en fais pareil. Je ne vais pas me gêner et disons que j’apprécie bien ce que je vois. Elle regarde mon attirail de combat et pour ma part je regarde ses arguments et sa féminité. Ça fait un certain temps que je suis seul. Je comprends encore à moitié de ce qu’elle dit et théâtralement je fais le salut d’Aragorn avec ce grand sourire qui me va si bien.

Adam- Je suis a blacksmith (forgeron). Je construis medieval arms (armes) and armure. Iron outils…

On va repasser pour la langue du type qui a écrit Roméo et Juliette, mais je me débrouille en sortant une magnifique dague de lancer de mon brassard d’acier et adroitement je jongle avec. Je suis habile de mes mains et dans d’autres domaines si elle me le demande un jour.

Adam- I love fight like kight. (J’aime combattre comme un chevalier.) Like Aragorn in Lord of the ring (comme Aragorn dans le Seigneur des Anneaux.)

Je range ma lame de jet et je tire de nouveau une longue aspiration de ma pipe trop chouette et je sors en faisant une grimace de dégout l’arme de poing chargé à la gueule que j’ai trouvé. Heureusement que j’ai réussi mon jet de fouille pour le dégotter. Pinçant le canon avec mon pouce et l’index, comme si c’était un sac de merde, mon visage ciseler au burin si viril démolit par une grimace de haut le cœur.

Adam- You want? (Tu veux) Don’t love… (Je n’aime pas ça)

Je veux lui donner vu qu’elle a amassé les armes des types et sûrement que c’est pour son groupe. Je produis alors ma petite flasque d’alcool fort, du bon vieux whiskey conserver dans un prix pour être le meilleur forgeron du Québec, pour en prendre un petit coup. Je la tends ensuite à la demoiselle. Elle devrait porter mes oreilles d’elfes car elle à la stature et je pourrais surement lui dégotter un costume dans une boutique en ville. Si elle se montre en guerrière elfe je ne réponds plus de rien.

Adam- Good alcool… I come du Québec, Canada… Tu as un shelter (abri) pour la night? A gang de survivants?

Mon franglais est trop fluide, mais j’espère qu’elle va être sympa avec le pauvre guerrier solitaire que je suis. Je ne veux pas devenir totalement Grand Pas…



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C’est l’impression de bien des gens quand on me rencontre pour la première fois.  On m’associe pour un illuminé, une fanatique qui adore le médiéval fantastique. Hors je l’assume pleinement et j’en ai même fait une carrière. J’espère que mes créations ont servis à leur propriétaires pour les protéger des morsures des nécrophages et que les armes forger ont fendu bien des crânes des salopards putrides. La pipe coincé au coin de mes lippes charnues que bien des demoiselles ont jurées des plus accueillantes, je fais une révérence qui se veut autant moqueuse  que débordant de grâce digne d’un chevalier devant une tête couronné.

Adam- Movie of my life Silmarilli…

Bordel je viens de parler dans la langue gracieuse des elfes. Ma voix rauque et viril vient naturellement de faire un écart tout en poésie et qui ressemble à un lyrique autant charmant qu’aérien. D’un geste théâtrale je range le foulard en songeant pendant un instant que c’est un gage de sa beauté. Mais je rigole dans ma tête en me disant simplement qu’un pareil joyau, d’où le surnom en Elfique ci-haut, ne doit pas être folâtre comme les vents qu’on ne peut capturer. Mon sourire s’agrandit alors à la puissance mille quand j’entends les premiers mots français s’écouler de ses lèvres sensuelles. Je me redresse et je lui tends la main pour la serrer en signe de guerrier, de compagnons d’armes qui démarrent une nouvelle quête. Enserrer l’avant-bras de l’autre est ma marque de commerce, un salut venu de mon cœur qui ne bat que pour l’aventure et mes passions ardentes. À savoir le médiéval fantastique en son ensemble, la forge et les demoiselles qui veulent bien d’un forgeron qui va les traiter comme des dames de la haute royauté. Quand elle me fait signe des menottes, le commun des mortels auraient compris que la beauté aimerait une partie de Donjon grandeur nature avec l’arsenal de fouets et d’autres objets insolites pour crier à la délivrance et surtout de plaisir. Mais heureusement pour moi j’ai réussi mon jet de Sagesse ainsi qu’Intelligence et je comprends dans ce langage à demi-mots et de gestes que Siilmarilli n’aime guère rester derrière les fortifications de son empire. Je hoche la tête en levant les sourcils tout en abondant dans son sens.

Adam- Oui… Me too don’t like to rest same spot… Love going to find iron and help people… (Oui moi aussi je n’ai pas resté au même endroit. J’aime trouver de l’acier et aider les gens.)

D’un mouvement de bras théâtral je balaie les environs et embrasse de mon regard d’azur le décor.

Adam- I am… Chercher… find… gang pour aider et forger… i am alone in the Mordor.

C’est le paradis de Sauron dans un sens l’extérieur. Il y a bien de l’amusement pour trucider les nécrophages et les salopards qui profitent des innocents, mais disons que j’aimerais bien me trouver un endroit pour souffler un peu et surtout les équiper comme il faut. Je regarde avec dégoût la machette qu’elle possède et d’un geste autant élégant que d’une précision mortelle je sors de mon fourreau dorsal mon épée courte qui siffle sa colère alors que je fais un moulinet théâtrale. Ensuite je la dépose dans mes paumes en signe d'offrande à ma belle Silmarilli pour qu’elle puisse tester l’équilibre parfait et le confort de sa garde.

Adam- This is Sangahyando… Troop Killer en elvish. I forge him ( C’est Sangahyando. Le tueur de troupe. Je l’ai forger.)

Un clin d’œil complice et je rajoute avec un sourire à tomber littéralement sur les fesses.

Adam- Je peux t’en forger une qui aura de la gueule et non cette réplique de de surplus d’armée.

Alors je me rends compte de ma bévue et je lui demande un instant avec mon index alors que je sors mon dictionnaire anglais français usée que j’emporte partout. Je parvins à traduire mes derniers mots et je relève la tête fière de moi. Je rajoute quelques mots aussi dans mon anglais vacillant.

Adam- Sinon je te montre mes croquis et je te fais une qui va t’être fidèle pour tes promenades loin du camp…

Alors je prends un air inquisiteur et rajoute avec une moue amusante d’un écornifleur de bas niveau.

Adam- Tu semblais aussi chercher quelqu’un ou quelque chose… Je peux t’aider ce sera une bonne quête…

Je ne rajoute pas que c’est une quête secondaire pour moi, alors que ma principale est simplement de me trouver un lieu ou forger et aider des gens sympas…


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Je ne peux qu’être enchanté et surtout conquis par cette rencontre tiré sur la table du destin. Pour une fois que je ne tire pas groupes errants de nécrophages de niveaux 1 ou bien pillards chaotique mauvais de niveaux 2. Una me semble une personne de confiance et surtout une magnifique femme qui pourrait passer pour une éblouissante elfe avec un serre-tête en cuir végétale et une robe inspirer de cette gracieuse race. Quand elle m’annonce que je peux la rejoindre dans un lieu sûr et qu’elle me fait un de ses sourires qui me renverse littéralement le cœur avec son charisme si élever, je lui fais une révérence digne d’une royauté. Mais mon sourire devient flamboyant, éclatant de bonheur et même, je dois l’avouer séducteur et électrisant. Je remarque alors l’étincelle d’intérêt qui illumine sont regard d’un vert si pur et envoutant quand je parle de mes croquis d’armes et d’armures. Sans un regard derrière, je me fous de ces cadavres d’enfoirés comme de mon premier ensemble de dé de jeux de rôles,  je me place auprès d’elle tout en fouillant dans mon sac de cuir fabriquer et décorer par mes soins, Un chef-d’œuvre comme tout ce je fabrique avec mon cœur et mon âme. En fait comme tout artiste qui se laisse charmer par sa muse et se laisse transporter par sa passion. Mais mon regard oblique quelques vois pour apprécier la démarche gracieuse et presque sensuelle de ma compagne d’aventure. Une véritable beauté comme je n’ai vu depuis longtemps. J’ai fini de fumer et je vide le capot de ma pipe pour la ranger alors que je trouve enfin mon calepin de croquis pour mes idées de forge. Elle peut voir dans le sac mon matériel de forgeron, des matières pour réaliser mes créations surtout. Même du cuir de toute sorte pour ma passion de création d’objets utilitaires en cette noble matière. Quand elle me dit qu’elle va me dessiner un jour, elle peut lire la surprise et l’enthousiasme dans mon regard d’azur pétillant de malice. Je lui tends alors le calepin protéger par du cuir et  je prends une pause comique et coquette.

Adam- Comme Rose dans Titanic? Ce sera un honneur pour moi…

Je bouffe de rire et je farfouille de nouveau dans le sac pour en sortir cette fois un ouvrage finement décorer et protéger autant par le cuir et l’acier. Prenant un air mystérieux je sors un outil et je grave son prénom, son surnom en elfique que je lui ai donné qui est Silmarilli ainsi que des runes naines qui veut dire joyau.  Quand elle feuille mon livret de croquis je lui souris et essaie de bien expliquer. Heureusement que dans ce domaine je me débrouille vu que l’anglais était la langue officielle pour les transactions de par le monde. Je lui parle des armures et des armes. Je la regarde et tout è  coup la muse me visite grâce à son regard et son sourire. Je pourrais rajouter son corps et son charisme  qui est très élevé, mais je vais me garder une petite gêne. Je lui quémande alors mon livret et avec un air narquois je lui demande maladroitement de fermer les yeux. Charmant comme un ancien chevalier des contes ou la galanterie et la bravoure était à l’honneur, je lui fais de nouveau un baisemain avant de lui donner ce gage d’amitié entre ses mains graciles qui me souffles son talent artistique. Quand elle ouvre les yeux elle peut voir un magnifique livret à croquis de cuir travailler avec soin et protéger par des loquets d’aciers. Son prénom est bien graver dans une calligraphie soigné, son surnom elfique aussi et bien entendu les runes naines si parfaites. Trois pierres d’un vert envoutant, rappel de ce regard qui me renverse le cœur sont enchâssé dans la couverture. A l’intérieur il y a un cahier complet de feuille blanche pour le dessin. Mais aussi du fusain dans une pochette protectrice. J’ai fait cette pièce durant ma fuite à bord du bateau et maintenant je sais que le destin me l’avait ordonné d’accomplir cet œuvre comme Frodon qui doit porter l’anneau unique en terre du Mordor.

Adam- Cadeau pour toi mon amie… Silmarilli et ces runes veulent dire joyau digne d’un espoir aussi magnifique qu’un soleil levant. C’est de l’elfique et du nain.

Cette dernière phrase est laborieuse car je dois traduire avec mon dictionnaire anglais français. Rapidement tout en marchant près d’elle je dessine une lame elfique dans mon livret a croquis et je lui montre la forme gracieuse et élégante. Mortelle et dangereuse.

Adam- Voilà ce que j’ai en tête pour toi. Une ou deux mains pour le maniement? Une pierre verte pour rappeler ton regard déterminer et du bronze près de la garde pour ta chevelure. Magnifique et dangereuse… Aussi je peux changer la tête de cerf par ce que tu aimerais...

Nous sommes deux artistes et notre passion semble commune pour le sujet. Je la regarde sérieusement et lui dit avec un sourire apaisant et surtout confiant.

Adam- Si tu as besoin de ma lame pour retrouver ton ami, je vais te suivre juste aux portes du Mondor. À deux on pourra se protéger mutuellement et couvrir plus de superficie…

Tout dans un anglais approximatif bien entendu. Bordel pourquoi j’ai voulu apprendre l’elfique et le nain et ne pas me concentrer sur l’anglais aussi… Je vois une bagnole renverser non loin et mon sourire me chatouille les oreilles tellement que je crois que c’est une chance sans nom.

Adam- C’est où qu’on va? Aussi tu peux me parler de toi pendant que je récupère de l’acier pour ta lame? Ça fait des semaines que je cours partout et je n’entends que les râles des morts. Je parle mal anglais, mais je comprends mieux… Aussi quand je vais forger ta lame, tu peux m'aider si tu veux. Comme ça tu vas pouvoir y mettre ta touche d'artiste au résultat.

Je ne peux qu’exprimer ma joie en brandissant le poing en découvrant des lame de suspension au sol que je m’empresse de prendre. C’est une excellente source d’acier et je peux modeler selon mon envie et désire. Mais je porte une grande attention a ce que ma nouvelle amie me dit.

Dessins armes et armures:

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