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Personne ne croit en toi comme j'y crois, personne. Personne ! [Violet]
Samara Kennedy
Mar 19 Jan - 21:52 ||
Samara Kennedy
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La nuit avait enveloppé les épais murs en pierre de l'église depuis déjà plusieurs heures. Dehors, le froid se faisait sentir et l'intérieur était si grand qu'avoir une température convenable était assez compliqué. Alors, tout le monde dormait sous une tonne de couverture pour ne pas mourir de froid. Au début, c'était assez difficile de s'y habituer, oublier son confort pour se retrouver à la dur. Contrairement à certain, Jayce avait la chance d'avoir la plus belle des créatures contre lui pour lui tenir chaud, mais il lui tenait également chaud. Ceci pourrait peut-être rendre jaloux certain célibataire et s'ils osaient poser les yeux trop longtemps sur sa jolie fleur des champs, il n'hésitait pas à leur lancer des regards noir. Elle était à lui et lui seul et personne n'avait le droit de la lui voler. Ce qui était bien, c'est qu'il avait parfaitement confiance en elle. Ils s'aimaient et jusque là rien ne les avait séparé depuis leur rencontre. La mère de la jeune femme avait essayé et l'avait payé de sa vie. Alors quiconque voulait tester en subira le même sort. Même la justice n'avait pas réussi à l'éloigner de lui. Pour elle, il irait jusqu'à décrocher la Lune !

L'obscurité était toujours totale et pourtant ses yeux s'étaient ouverts. Légèrement, il pouvait distinguer les traits du visage de sa belle, toujours aussi fins et délicats. Sa main s'était tendrement posé sur ses cheveux pour les caresser. Ce qu'il pouvait l'aimer, personne ne pouvait imaginer que ce soit possible de ressentir ça pour quelqu'un et pourtant, il était totalement fou d'elle. Un psy dirait que c'était une obsession malsaine et narcissique, mais les psy ne disent que de le merde de toute manière... Il n'était peut être que cinq heures du matin, très tôt et il ne cherchait pas spécialement à la réveiller. Doucement, il vint se glisser un peu plus contre elle pour sentir sa chaleur contre lui, bien à l'abris sous l'épaisse couette qui les recouvraient tous les deux. Même si s'était la fin du monde, lui voyait ça comme le Paradis du moment qu'elle était à ses cotés. Personne ne pouvait les séparer à présent. "Je t'aime..." murmure t-il doucement à son oreille sans vouloir la réveiller, juste parce qu'il en ressentait le besoin.
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Mar 19 Jan - 22:21 ||
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d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif Sunshine, my Sunshine. Qui aurait cru que moi, Violet Hammton, je trouverais un jour l'homme parfait. Jayce était, unique et particulier. Au départ je ne l'avait pas vraiment regardé. Je crois que je l'ai remarqué ce jour où une de mes amies m'a dis quelques choses du genre " T'as vu ce mec il est flippant ! "J'aime ça ce qui est effrayant et j'ai posé mon regard sur lui. Ce fut comme un choc pour moi, il était ... parfait. Alors un jour je suis allée lui demandé une cigarette, comme ça, l'air de rien, à vrai dire je ne fumais même pas vraiment. Mon regard s'est plongé dans le sien et quelques choses s'est passés. Je crois que je ne pourrais pas vraiment l'expliquer mais ça a été comme un choc pour moi. Je savais que c'était lui et personne d'autre. Quand ma mère à voulu nous séparé, tout ça parce que j'avais empoisonné cette salope de voisine qui avait osé lui faire de la drague, je l'avais bien vu ce jour là alors qu'il venait me voir, lui parler cette sucette à la bouche, jouant avec ses cheveux blonds. Je lui aurais bien enfoncé dans la bouche cette sucette à la con. Je n'ai pas même réussis à la tuer, le dosage n'était pas assez fort, elle a juste été malade ... quel gâchis ! Néanmoins j'ai refais le mélange et ça a marché, sur ma mère. Elle n'avait pas compris la puissance de notre amour. Elle le sait à présent.

Nous n'ions pas séparé malgré tout ceux qui avait voulu se mettre sur notre chemin. Deux mots, il avait fait deux mots pour me libérer des griffes de ces monstres. Eux qui voulaient aussi nous séparer. Il était hors de question que ça arrive. Contre lui j'étais endormie, rêvant de notre bonheur. Notre vie était un rêve depuis que mon regard avait croisé le sien, cela pouvait paraître utopique mais c'était pourtant bien vrai. Il était tout ce dont j'avais besoin pour vivre heureuse. Je sentis sa main sur mes cheveux et un sourire pris naissance sur mes lèvres alors que je me réveillais doucement. J'avais froid, tellement froid. Il se rapprocha de moi et je vint enfouir mon visage dans son cou. Il me murmurait qu'il m'aimait et c'est une morsure, une délicieuse morsure que je vint poser dans son cou. L'amour entre nous était beau et immense. Rien ne pouvait nous réparer, je le savais, s'était une certitude. Doucement, au creux de son oreille je vint chantonner you are my sunshine, my only sunshine ... and i love you ever and ever.   J'étais folle, oui, mais avant tout folle de lui. Nous avions une confiance sans limite entre nous car nous savions parfaitement que ni l'un, ni l'autre ne pourrait aller voir ailleurs. Ce n'était pas même concevable.

Je reculais un peu ma tête pour plonger mon regard dans le sien, ma main vint jouer avec ses cheveux blonds et un doux sourire pris place sur les lèvres alors que mes yeux étaient criants d'amour. Si elle avait un peu mieux regardait ma mère aurait pu y lire mon bonheur, et elle n'aurait pas voulu nous éloigner. Après tout une mère ne veux que le bonheur de son enfant non ? Murmurant cette musique qui lui allait bien néanmoins il n'allait pas me quitter pour une autre, lui ne ferait jamais ça. Je ne m'étais pas même imaginer comment je mettrais fin à ces jours puis au miens si cela devait se produire. Non ce n'était pas possible ... Alors doucement les yeux clos, je vins poser mes lèvres sur les siennes pour me rapprocher de lui dans un froissement de couette. Je n'avais que faire des autres présences. Nous étions dans notre bulle et prêt à tous les tuer au besoin.
Samara Kennedy
Mer 20 Jan - 0:29 ||
Samara Kennedy
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Une douce morsure se fit sentir sur son cou, ceci le fit sourire de manière joyeuse. Elle était réveillée, s'était pas son intention à la base. Blottit contre lui, il la serra un peu plus dans ses bras. Chaque instant passé avec elle le rendait plus qu'heureux. Sa vie se résumait en un mot, Violet. Elle était tout pour lui et jamais on la lui arrachera. Sa bouche vint lui murmurer une douce chanson, un petit truc entre eux et encore une fois, son sourire se fit plus large. Ah qu'est-ce qu'il pouvait être fou d'amour, totalement obsédé par sa jolie fleur. "Désolé, je ne voulais pas te réveiller," murmure t-il doucement. Jayce n'avait pas l'intention de réveiller les autres, bien qu'il s'en fichait pas mal. Mais vu l'heure, ils devaient tous être trop profondément endormis pour être alerté par un chuchotement. Les matelas au sol n'était pas les un à coté des autres, histoire d'avoir un peu d'intimité. Le couple, s'était d'ailleurs mit dans un coin. Le jeune homme avait pour projet des trouver des paravents pour les mettre autour d'eux, histoire d'être tranquille. En plus de ça, il détestait que d'autres personnes que lui puissent voir sa princesse endormie, s'était son privilège, personne d'autre ne pouvait voir ce si beau spectacle.

Violet s'était rapprochée de lui tout en l'embrassant. Ce qu'il aimait quand elle faisait ça. Ces lèvres avaient toujours cette douce saveur sucrée qu'il adorait. De sur le côté, il passa sur le dos, l'entrainant pour qu'elle soit sur lui, ses mains glissant sous le t-shirt qu'elle portait pour venir caresser sa peau. Elle semblait avoir froid, sa peau n'était pas très chaude, alors il vint resserrer son étreinte. "Tu as froid ?" lui demande t-il doucement un peu inquiet. "Si tu me le demandes, je peux aller voler une couette supplémentaire à l'un d'entre eux..." C'était une idée un peu folle et qui pourrait clairement leur attirer des ennuis, mais elle était plus importante que tout les autres. Tous peuvent crever la bouche ouverte, il ne bougera pas d'un pouce, mais elle... il fera tout pour la protéger. Ce qu'elle exige, elle a, ce qu'elle demande elle l'obtient. Il est son humble serviteur, son prince dévoué, son roi fidèle et serviable. "Est-ce que tu veux que j'aille te chercher à manger ? Tout le monde dort, personne ne verra que je prends un peu plus," dit-il avec un petit sourire machiavélique. Rien n'est trop bon pour elle et pour la rendre heureuse.
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Mer 20 Jan - 11:18 ||
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d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif Sa douceur, son amour, sa folie .Tout me plaisait en lui et je ne pouvais pas nier que j'en étais complètement accroc à la manière d'une toxico qui a besoin de sa dose. Je me réveillais doucement, murmurant quelques paroles d'une chanson que j'aimais lui chantonner. C'était notre truc à nous et je ne voulais pas le perdre. Il s'excusa de m'avoir réveillée et je venais frotter mon nez contre le sien pour lui dire d'une voix douce. C'est toujours un bonheur d'être réveillé par toi mon amour. Oui nous étions peut être trop amoureux, enfin si cela était possible mais il était toute ma vie et je savais déjà que je mourrais avec lui.

J'avais froid, alors je me rapprochais de lui, en profitant pour l'embrasser avant de me retrouver sur ce garçon que j'aimais depuis maintenant un long moment. Ses mains chaudes passèrent sur ma peau, c'était fou, comment faisait il pour avoir les mains chaudes alors qu'il faisait si froid. Il me demanda si j'avais froid avec ce petit air inquiet que j'aimais beaucoup et qui me prouvait combien il tenait à moi. J'ai froid oui ... mais je ne veux pas de la couverture d'un autre, elle va sentir son odeur et je veux que la tienne. dis je avec tendresse enfouissant mon petit nez froid dans son cou. Je fermais les yeux un instant profitant de ces moments à nous. Nous avions installés notre petit coin à l'abris des autres, un peu éloignés. Je n'aimais pas être collés aux autres.

Je m'étire doucement quand il me propose d'aller me chercher à manger. Je me redresse restant à cheval sur lui puis je souffle sur mes mains. Et qu'est ce que tu dirais qu'on se prenne à manger à notre faim avant de filer ? On pourrait essayer de trouver un magasin de sport pour prendre un duvet, on aura surement moins froid, puis peut être une tente, comme ça on sera un peu chez nous ? dis je en penchant un peu la tête sur le coté, je lui souriais avec tendresse. C'était fou comme je pouvais être différente avec lui par rapport aux autres vivants de ce monde. Il était le seul à avoir droit à cette douceur, à cette tendresse. Jamais au grand jamais je ne pourrais lui faire de mal, mais je me montrais redoutable si d'autres le faisais.

Je me sentais bien tant qu'il était là. Je fouillais dans mon sac pour attraper ma veste plus chaude et la passa avant de me lever pour mettre mes baskets. Je tendis ma main vers lui pour l'aider à se relever. Tu as envie de manger quoi ? dis je avec tendresse, bon ce n'était pas fou ce qu'on avait mais j'avais remarquer une tablette de chocolat qui était précieusement gardée. Interdiction d'y toucher ... tu parles. Puis qui pourrait croire que s'était moi avec ma gueule d'ange ? J'attendais qu'il arrive à moi, je ne pouvais pas partir sans lui. Finalement j'ajoutais . Il faudrait que je trouve des plantes aussi .. .Ma bouteille est presque vide Dis je l'air soucieuse. Mon eau empoisonnée était très importante pour moi, j'avais toujours besoin de l'avoir dans mon sac.

Il faisait encore sombre, seule la lune nous éclairait par une des fenêtres. Mais je n'avait pas peur de sortir de nuit, en faite la mort ne me faisait pas peur, elle me fascinait au contraire. Combien de ces zombies avaient je laissais marché simplement pour voir ce qu'ils étaient capables de faire. Visiblement ils n'étaient malheureusement pas capable de grand chose et j'en étais la première attristée.
Samara Kennedy
Jeu 21 Jan - 1:46 ||
Samara Kennedy
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Les douces paroles qu'elle pouvait lui dire l'enchantait toujours. Dans ce monde, il n'y avait qu'une chose qui pouvait le rendre et s'était elle, sa jolie fleur. Sa vie entière lui était dédié, sans elle s'était la mort assurée. A quoi bon vivre sans son rayon de soleil, hein ? Son sourire se fit radieux, même si elle pouvait difficilement le distinguer dans l'obscurité. "Tu te réveilleras toujours à mes côtés ma douce." C'était une vérité, personne ne pourra changer ça. L'un et l'autre ne pouvaient pas être séparé et si quelqu'un veut essayer, il risque de le regretter plus qu'amèrement.

Jayce s'inquiétait que sa belle ait froid, s'était le cas et il n'aimait pas entendre ça, sauf qu'elle refusait une nouvelle couette, car elle ne voulait pas sentir une autre odeur que celle de son délicat prince. Encore une fois, il aimait entendre ces paroles, mais elle devait aussi penser à sa santé. Mourir de froid ce n'était pas une très bonne idée. "Alors, on en trouvera une nouvelle, qu'est-ce que tu en dis ? Comme ça, pas d'odeur... elle finira par s'imprégner de la notre." C'était la meilleure solution et ça évitait tout problème. Au moins pas de vol et personne pour les accuser.

Vu qu'ils étaient tout deux éveillés, il lui proposa d'aller chercher à manger, mais à son tour, elle émit l'idée qu'ils y aillent tout les deux pour manger ce qu'ils veulent, même si ce n'était pas bien. L'idée était machiavélique et il se fichait pas mal que ça puisse faire moins de nourriture pour les jours à venir. Sa tête bougea de haut en bas pour lui affirmer que ça lui convenait. Le programme, c'était aller manger, puis partir à la recherche d'une nouvelle couette ou duvet pour se tenir chaud, elle pensa même à une tente pour gagner en intimité et l'idée lui plaisait. "Tu les imagines... ils seront tous vert de jalousie quand ils verront notre magnifique palais..." murmure t-il doucement des fois qu'une oreille distraite soit aussi éveillée.

Violet commença à mettre des vêtements chaud et il fit de même en ajoutant son pull sur son t-shirt puis en enfilant un jean par dessus son caleçon. Une fois les chaussures à ses pieds, il se leva et s'en alla avec sa douce en direction de l'endroit ou était entreposé la nourriture. Sans bruit, ils quittèrent la nef, tout le monde dormait, ils étaient tranquille. Tout était dans la cuisine de l'église, un prête devait habiter là avant, alors il y avait une sorte de mini appartement. Les rations étaient disposées un peu partout, dans différents placards, souvent classé par genre, les conserves de légume, d'autre comme du pâté ou de la viande... Il y avait du riz, des pates et même des céréales. Le jeune homme prit l'un des paquets de céréale et fourra sa main à l'intérieur pour en piquet et le glisser dans sa bouche directement. Sa croustillait et s'était encore bon. "Il manque juste du lait et ça serait un petit déj' parfait !" confit-il en glissant de nouveau sa main puis tendant juste après la boite à la demoiselle. Les produits frais étaient rare comme le lait et les œufs. Il faudrait trouver des poules et au moins une vache pour avoir ce genre de produit. Dommage que cet endroit ne soit pas une ferme. Même un bon steak lui manquait, quoi que ça pouvait encore se faire s'il trouvait un animal à chasser. Par chance, en sortant de la ville, il était possible de trouver des animaux sauvages. Vakarian étant un ancien policier, il n'était pas mauvais quand il s'agissait de tirer, mais il lui faudrait une arme plus lourde avec plus de distance. Son rêve ça serait un fusil sniper pour la chasse, car un flingue... ça n'a pas une grande portée et les animaux s'enfuit hélas rapidement au premier bruit. "Tu sais ou on pourra trouver les plantes qui t'intéresses ? Tu sais... Je me disais que tu pourrais en ramener un pied pour le planter en dehors de l'église ? Un plan que tu auras à disposition facilement, juste au cas où. Personne n'aura besoin de savoir que c'est toi qui l'a planté. Qu'est-ce que tu en penses ?" demande t-il à sa belle en se rapprochant d'elle pour venir poser ses mains sur ces hanches avec un air charmeur.
Invité
Ven 22 Jan - 22:12 ||
AnonymousInvitéJayce c'était ma drogue. Et j'avais besoin de ma dose chaque jour. Je crois en toute sincérité qu'il me serait insupportable de vivre une journée sans sa présence. Je crois que j'en deviendrais violente et ingérable. Quand il affirmait que je me réveillerais toujours à ses cotés je ne pus que lui offrir un baiser emplis d'amour avant de lui dire avec douceur. Quitte à mettre ton rôdeur dans une cage, ou a mourir avec toi ... Oui de mon point de vus cette phrase n'avait rien d'étrange, elle représentait seulement la force de l'amour que j'avais pour lui.

Quand il proposa une nouvelle couverture, car je n'acceptais clairement pas l'odeur d'un autre garçon sur la mienne et encore moins l'odeur d'une fille sur celle de mon doux amour, je souris, il était tellement intelligent ! Va pour une nouvelle couverture alors, une à nous uniquement dis je avant de mettre mon nez dans son cou. Dieu que j'aimais son odeur, elle me rassurait. Finalement nous avions un plan, manger comme des princes, avant d'aller chercher une tante et un duvet. Un palais, oui nous allions avoir notre petit palais et ça me plaisait totalement. On avait besoin d'intimité c'était une chose claire et nette. Sans cela nous ne pourrions pas nous câliner. J'avais beau en avoir rien à faire des autres, hors de questions ils puissent nous voir à moitié nu ou totalement .. Non c'était même pas pensable. Ils pourraient bien crevés de jalousie ... ou d'autres choses, au moins nous aurions plus de place pour nous. Pas vrai ? La mort ne me gênait pas et la donner ne me posait pas de problème.

On partie en direction de la cuisine. J'attrapais le bras de mon prince charmant avant de rejoindre la réserve à pas de loup. Il pris rapidement un paquet de céréales pour en manger une poignet avant de me le tendre, je fis de même mais mangea plus doucement, j'étais quand même assez délicate et féminine pour certaine choses, puis j'attrapais la tablette de chocolat, bien cachée au fond des réserves pour la glisser dans mon sac pour plus tard. C'est vrai ... et puis il faudrait du pain, du pain encore chaud avec de la patte à tartiner ... ou des pancakes ... je pourrais t'en faire pleins pour le petit déjeuné ! Je me demandais parfois comment nous aurions été plus tard, à peut être quarante, ans , nous aurions certainement une jolie maison et des enfants, un ou deux. Je soupirais doucement à cette pensée, heureusement mon amoureux m'en sortie en me demandant où trouver des plantes. J'ai vus des habitations pas loin , je devrais pouvoir trouver des lauriers roses . On ne pourrait pas en planter en cette saison mais c'est une bonne idée oui pour la suite. Je pourrais peut être même trouver de la javel ou d'autres substance capable de tuer à forte dose. Mais je préférais les petits poisons plus discret. Le laurier rose était parfait pour ça.

Je repris une portion de céréales avant de récupérer quelques barres protéinées pour la route . Je pris également deux bouteilles d'eux pour Jayce et moi Je ne sais pas vraiment pour combien de temps nous allons en avoir. dis je sincèrement en ajoutant une boite de raviolis. Bien oui il fallait bien penser à manger là bas. Et puis il fallait aussi qu'ils se trouvent une planque pour mettre leurs vivres à eux, ils n'allaient quand même pas partager avec des inconnus?
Samara Kennedy
Dim 24 Jan - 3:13 ||
Samara Kennedy
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Entre eux deux, c'était l'amour fou, l'un sans l'autre n'était possible. Leurs vies étaient liées et rien ne pourra changer cela. En fait, même une autre personne aussi parfaite et attirante pourrait-elle être ne parviendrait pas à les séduire. Jayce ne pourra jamais tromper Violet car elle est l'unique femme de cette terre qui lui fait ressentir quelque chose. Même un film porno n'arrive pas à l'intéresser ou lui donner la moindre once d'excitation. C'est Violet et ça sera toujours elle. Vous pouvez trouver ça fou et impossible et pourtant, il sait que dans sa vie, il n'y aura qu'une seule femme. Il espère que ce soit la même chose pour la jeune femme, mais il a confiance en elle, il sait qu'elle n'ira pas voir ailleurs. Après tout, elle avait tué pour lui et lui avait fait de même pour elle. C'est un couple machiavélique et surtout sur la même longueur d'onde. Elle serait même prête à garder le corps zombifié de son amant pour le garder auprès d'elle, si ce n'était pas la plus belle preuve d'amour qu'il pouvait entendre.

Leur planning de la journée étant établi, ils étaient allés en cuisine pour le petit déj. La porte n'avait pas été bien fermée, un aubaine pour le duo qui se servit sans compter. Oui, pourquoi ne pas utiliser une partie du vieux dicton de John Hammond dans Jurrasic Park ! Elle le fit rêver avec ce qu'elle lui promettait de lui préparer, mais trouver cela était une mission presque impossible. De plus, s'ils ramenaient ça ici, ils n'auront pas forcément le droit de le garder pour eux. "Oh, je rêve de tes pancakes ma fleur ! On devrait partir quelques jours. Dire qu'on veut aller plus loin pour trouver plus de nourriture. Ca sera... notre petite escapade en amoureux. Et si on trouve les ingrédients qu'il faut, on se fera un festin avant de revenir ici !" Le jeune homme s'était approché d'elle, collant son corps au sien pour venir lui susurrer à l'oreille "Ce sera notre petit secret..." puis il déposa un baiser dans son cou comme il aimait tant le faire. Elle avait le pouvoir de le rendre fou, bon sang que ferait-il sans elle. La demoiselle indiqua où elle savait trouver du laurier rose pour ces poisons, un quartier plus loin, ils pourront en profiter pour fouiller les maisons et trouver de la nourriture ou quoi que ce soit d'autre utile.

Ils finirent leur petit déjeuner et Violet chargea quelques provisions et bouteilles d'eau dans leurs sacs, juste au cas où. Une expédition dehors peut parfois durer plus de temps que prévu, il suffit d'un groupe de zombie pour vous détourner de votre route et vous obliger à vous cacher. "Si jamais quelqu'un vient râler pour ça, je leur dirais ma façon de penser. On est ceux qui rapportons le plus de truc. Je casserais la gueule à ceux qui viendront s'en prendre à nous." Ou la jeune femme pourrait empoisonner l'eau de cette personne pour le rendre soit grandement malade ou le tuer. Ah, ce qu'ils peuvent être diabolique. Le jeune homme vint attraper sa main pour commencer à se diriger vers la sortie de l'église. L'expédition commençait maintenant !
Invité
Dim 24 Jan - 19:10 ||
AnonymousInvitéLa bouche pleine de céréales je chargeais notre sac pour notre escapade. Après tout la plupart de ces trucs nous les avions trouvés nous même non ? Les pancakes, je me souviens encore quand j'en faisait dans la cuisine pour le petit déjeuné alors que Jayce se réveillait, je ne me souviens plus si ma mère était encore dans le grenier ou si nous l'avions déjà déplacé. Mais ce que je me souviens c'était son sourire et son appétit. J'aimerais lui faire plaisir à nouveau comme ça. En faite je voudrais que son sourire ne quitte jamais ses lèvres, quitte à le graver un jour.  Je le regardais avec un petit sourire en me rappelant tout ça.

Finalement il me proposa d'aller fouiller les maisons et de ne pas tout apporter ici mais au contraire ce faire un plein ventre, ce n'était pas idiot et bien que ce ne soit pas très clean on en avait clairement rien à faire après tout nous n'avions rien de clean, bien que personnes ne pouvait se l'imaginer. Il faudrait qu'on se trouve un coin, genre dans une maison ou quoi. Un endroit où l'on pourrait entreposer notre stock personnel... tout ce qu'on peut trouver de rare et de bon. Et puis je pourrais y mettre mes bouteilles aussi . Mes bouteilles, c'était bien sur mes poisons, tout ce que je pouvais trouver et préparer, je n'en avais pas encore ici, seulement la bouteille dans mon sac mais il m'en fallait plus, il m'en fallait d'autres. Je me sentais assez à l'aise avec la fin du monde et les zombies mais toujours pas avec les autres personnes.

Quand il s'énerva je vins poser ma main sur sa joue pour poser mes lèvres sur les siennes avec une infinie tendresse, le visage penché sur le coté je lui répondit d'une voix douce. Ne gaspille pas ta colère mon soleil ... Garde là pour ceux qui voudraient nous faire du mal ... C'était exactement ce que je faisais, je n'étais jamais en colère, je ne criais presque jamais, non je souriais, toujours, comme je pouvais le faire en leur offrant ma bouteille, comme je pouvais le faire en creusant leur tomber. Oui j'était comme ça et ça m'allait parfaitement bien.

Main dans la main nous voilà partie vers nos recherches. Il faisait encore sombre mais je n'avais pas peur, après tout mon Jayce était avec moi et il ne pouvait rien nous arriver, j'avais mon couteau à ma ceinture et je savais m'en servir au besoin , pas comme un soldat bien sur mais je savais quand même l'utiliser. On marchait tranquillement vers le petit lotissement que j'avais vu plus loin. - Tu as remarqué qu'il n'y a pas d'enfant .. nulle part ? Tu crois que les gens les ont laissé mourir ? dis je soudainement en regardant droit devant nous. J'avais beau aimer empoisonner les gens, jamais je n'avais touché à un enfant. C'était peut être un coté maternelle que je ne me connaissais pas.
Samara Kennedy
Dim 24 Jan - 23:59 ||
Samara Kennedy
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L'idée de se trouver un petit coin juste à eux, où ils pourraient passer du temps parfois quand ils vont dehors et surtout entreposer leurs meilleures trouvailles était une superbe idée. Mais il fallait vraiment l'endroit parfait et la cachette parfaite dans la maison. Car n'importe qui pourrait venir quand ils ne sont pas là pour fouiller, alors ils devront faire attention et cacher la nourriture, car ça sera essentiellement ça, dans des endroits insoupçonnés. Ca lui plaisait, c'était un peu comme les trafiquants ou baron de la mafia qui cachait leur argent dans les murs pour ne pas se le faire voler. Sauf qu'ici l'argent n'avait plus aucune valeur. Vous pourriez tendre un billet de cent dollars qu'il n'en voudrait même pas. A présent, c'est la nourriture et les munitions qui compte et peut-être aussi tout ce qui peut concerner l'hygiène. Vous n'imaginez pas ce que les survivants pourraient faire pour avoir un rouleau de papier toilette... "On pourrait même faire une petit commercer parallèle, tu sais un petit marché noir..." s'amuse t-il à dire, mais encore faudrait-il des clients et il n'imagine pas les gens de l'église comme tel. Déjà, le simple fait de devoir trouver ce que certain demande avait tendance à énerver Jayce. Est-ce qu'ils les prenaient pour des livreurs ? Connaissaient-ils le risque de sortir dehors ? Parfois, en voyant les listes de certain, il avait envie de la leur remettre à la figure avec un magnifique coup de poing. Bon sang, ils ne sont pas des boniches !

Violet était souvent plus calme que lui, il pouvait s'emporter facilement, alors que rien ne parvenait à la faire entrer dans une colère noire. C'était assez amusant, elle pouvait le tempérer, le calmer pour qu'il ne pète pas les plombs bien souvent. Il lui accorda un sourire et ils se mirent en route. Il était temps de partir dehors afin de trouver de quoi manger. Pour ça, ils devaient emprunter un tunnel les faisant sortir plus loin. Les différentes galeries étaient vraiment pratique, ça allait un peu partout, parfois il se demandait si l'église n'avait pas servit pendant la période de la prohibition. Un jour, il se renseignera juste pour savoir. Sur le chemin, sa petite amie lui parla des enfants et du fait qu'on en voyait peu. Ceci lui semblait logique en fait. Ils étaient de bases surement avec leurs parents et si les parents mourraient ou devenaient des zombies, il y avait de fortes chance que l'enfant périsse. Dans tout les cas, un enfant seul ne pourra pas spécialement survivre. Ils sont faibles, ne savent pas se défendre et ont peur de tout. "Si on la plus grosse partie de la population est mortes, comment veux tu que des enfants sans parents parviennent à survivre. Si un parent meurt, ils connaissent le même sort. Mieux vaut ne pas avoir de gosse et ne pas être un enfant actuellement." Jayce ne savait pas si un jour il voudra des enfants. Disons que la situation actuelle ne lui donne pas plus envie que ça. Surtout un nouveau né qui pleure tout le temps, ce n'est pas vraiment l'idéal pour survivre en ce monde et ne pas se faire repérer. Bientôt, ils arrivèrent au bout du tunnel, une échelle les fit monter à la surface. Comme toujours, il passa le premier pour ouvrir la grille et regarder aux alentours qu'il n'y ait pas un zombie ou autre. Une fois que la voie était libre, il fit signe à la jeune femme de le rejoindre. "Tu veux aller de quel côté aujourd'hui ?"
Invité
Mer 27 Jan - 10:20 ||
AnonymousInvitéÊtre à la recherche de ressources étaient mon idée pour la simple et bonne raison que l'on pouvait alors faire le tri et avoir pour nous les meilleurs vivres. On ramenait tout de même de quoi nourrir le camps et quelques petites choses en plus. On était ainsi le gentil petit couple d'adolescent qui voulait aider les autres. Tu parles, on en avait strictement rien à faire d'eux. On était très bien tout les deux et l'on avait besoin de personnes. Je me demandais même parfois qu'elle mouche nous avait piqué pour qu'on accepte de venir vivre ici, pire, pour qu'on le décide ! Jayce me sortit de mes pensées en parlant d'un commerce parallèle, un marché noir en gros. il faut voir si on en a besoin, pas pour les gens d'ici bien sur sinon ils sauront qu'on ne donne pas tout mais pour les autres survivants .. enfin pour le moment on en pas vraiment besoin de plus que ce qu'on trouve tu crois pas ? Nous avions tout pour être heureux, tant que mon soleil était auprès de moi tout allait bien. Et puis je n'avais pas envie de le mettre en danger, un marché noir s'était du danger, je ne voulais pas risquer de le perdre car je perdrais la vie en même temps j'en étais parfaitement consciente.

Dans les tunnels je me mis à penser à la jeune femme de notre groupe, celle qui attendait un enfant. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais elle ne le voulait pas la tuer, peut être pour ne pas tuer son petit. Les enfants étaient innocents. Je venais parfois à me demander si un jour j'aurais moi aussi un enfant mais la réponse de Jayce me calme radicalement. "Mieux vaut ne pas avoir de gosse et ne pas être un enfant actuellement." avait il dis. Je baissais alors les yeux doucement avant de dire d'une voix que j'aurais voulu moins attristé. Tu as surement raison. Combien de fois avais je imaginé un petit Jayce, il faut dire que l'amour vous provoque ce genre de chose. Et puis avant, il y avait un espoir. quoi que ... en fugitif cela n'aurait pas été beaucoup mieux je pense. On finit par trouver la sortie de ce tunnel puant. Je laissais Jayce passé avant de le suivre une fois qu'il me fit signe. Je sortie à mon tour pour retrouver le froid de l'hiver et remonta le col de mon manteau. Il me demande de quel côté je veux aller, mes petites jambes fines finissent par choisir le sud. Essayons par là. Je remets mon sac correctement sur mon dos avant d'avancer. J'ai envie de trouver pleins de nouvelles et mon palais à très envie de sucre mais cela m'étonnerais qu'on en trouve beaucoup.

On marche donc pour aller vers les maisons, il y avait plusieurs petits immeubles et quartier mais il était difficile de trouver du poisons dans les appartements, enfin je pouvais toujours peut être trouvé des produits ménager toxiques ? J'étais un peu pensive tout en marchant. Tu aimerais trouver quoi toi ? J'adorerais trouver quelques choses de sucrés, ça me manque ! dis je avec sincérité, après tout je n'étais qu'une jeune femme comme les autres, les soirées séries avec des chocolats j'en avais fait énormément. Je n'avais pas encore réalisé l'importance de ce petit carré noir. J'aurais du en profiter beaucoup plus. Mais on ne pouvait pas penser alors qu'il y aurais la fin du monde. Ma main gelée vint trouver celle de Jayce alors que je la serrais doucement, c'était mon réconfort, heureusement lui était toujours auprès de moi.
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