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Dans le brouillard du matin. (Skye)
Calum K. Grantt
Dim 17 Jan - 20:06 ||
Calum K. Grantt
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T’es vraiment cassé, comme mec. Te voilà qui n’as pas vu une femme comme elle depuis des mois, peut-être presque un an, et voilà que tu dérailles. C’est pas long, t’as même pas un mouvement vers elle ou un mot pour tenter ta chance, mais toi tu te maudis d’avoir eu ce moment d’arrêt et d’avoir osé la regarder comme une femme et non plus comme celle que tu dois protéger. La concevoir comme un objet de valeur à protéger, c’est ce que tu as toujours fait pour te comporter correctement…

« Vous n’êtes pas dénuée de bon sens, Miss… Tu lui réponds lentement, en sentant bien le piège approcher de toi. Mais vous n’êtes pas une combattante, pas une habituée de la survie. Tes yeux glissent sur elle, alors qu’elle reprend ce masque de sérieux. Sauf mon respect, je ne pense pas que vous vous rendez vraiment compte de ce que c’est d’abattre quelqu’un pour sa survie. »

C’est ce que tu crois, sincèrement, parce que toi tu portes le poids de ces nombreuses vies que tu as ôtées dans ton sommeil, chaque nuit qui passe depuis l’Irak. Et tu peux le dire, hein, tu ne seras jamais plus en paix. Sur ça, ta femme avait raison, tu ne reviendrais plus jamais chez toi, dans ta famille, s’en emporter cette tonne de fantôme sur tes épaules.

« Non. Que tu rétorques à sa question, en soupirant. Mais je vous laisserai quand même sortir à mes côtés. »

De toute façon, tu n’as pas vraiment le choix et tu as déjà pris ta décision. Et le truc c’est qu’elle finit par venir vers toi et tu sens son regard sur toi. Un instant, tu te dis que c’est parce que tu en as fait autant, une manière de se venger mais sa réponse fini par te tirer un air surpris. Tu baisses la tête sur tes habits avant de hausser les épaules.

« Je préfère mon Glock à leurs haches… mais vous avez raison. Je reviens. »

Et tu pars fouiller dans tout le stock pour en ressortir une hachette et un poignard que tu glisses à ta ceinture. Le truc, tu vois, c’est qu’en regardant dans les habits, pour au moins trouver des vêtements chauds, tu tombes sur un pantalon treillis… militaire. Et tu te figes. Ton souffle s’accélère alors que tes yeux s’arrondissent. Il te faut 1 minute pour te reprendre, ravaler la souffrance et finir par retirer ton jean pour l’enfiler. Tu trouves un sweatshirt noir bien doublé, et tu l’enfiles avant de revenir vers la brune.

« Prête ? »

Ton visage est encore marqué par ce qui est venu te blesser et remuer la merde au fond de toi, mais tu ne lui laisses pas le temps de s’en rendre compte. Te voilà à la pousser hors de la réserve, avec douceur, avant de la guider dans une galerie qui ressort sur le flanc le plus calme de l’église. Tu marches longtemps, en silence, les yeux dans le vague en glissant ton index contre le tranchant de la hachette, comme pour te rassurer. Jusqu’à ce que la lumière vous englobe et qu’un air frais, emprunt d’odeurs de nature et d’humus ne montent dans vos narines. Tu te figes le temps de laisser tes yeux se faire à la luminosité.

« Cherchons des habitations à proximité. J’aimerais éviter de reprendre une voiture, c’est trop bruyant. Et tu finis par avancer d’un pas avant de te tourner vers elle, et l’observer un instant. Tu ne sais pas ce qu’elle ressent, mais à sa place tu aurais peur, alors tu viens ouvrir la bouche, outrepassant la distance entre vous. Je veille sur vous, Skye. »
Skye W. Logan
Dim 17 Jan - 21:21 ||
Skye W. Logan
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Tu n’ajoutes rien de plus, Skye. C’est lui, l’expert après tout, toi, tu n’y connais pas grand-chose et tu ne fais que répéter ce que tu entendu dire. D’ailleurs, tu ne le force a rien, non plus, tu n’ordonnes rien, s’il veut emmener son arme de service et seulement son arme de service, tu sais bien, au fond, que tu lui feras entièrement confiance parce que depuis un an, Calum a eu toutes les occasions de te prouver qu’il est compétent et plutôt doué dans ce qu’il entreprends. En fait, tu as finis par t’habituer a sa présence à tes côtés. Au départ, tu étais sceptique a l’idée d’être suivie et surveillée par un homme en permanence … tu trouvais l’idée gênante. Tu te disais que tu n’aurais plus de vie à toi. Plus d’intimité. Mais, lui, il a su te prouver que c’était possible, parce qu’il n’a jamais outrepasser les limites. En fait, Skye, tu dois avouer que parfois, cet homme a réussi à t’agacer de par sa capacité à ignorer. C’est ridicule sans doute, mais tu sais que tu plais. Et c’est humain, de regarder les belles personnes. Toi, tu tournes la tête pour regarder un homme qui te plaît. Lui ? Rien. Pas une seule fois tu n’as sentie un regard trop pesant sur toi, au point où, durant une période, tu t’es mise à tester pour obtenir un peu de son attention masculine … en vain. Du coup, ouais, tu as considérer ça comme un échec, ton ego en a pris un coup, et tu as abandonner.

Tu le laisses donc se changer, prendre une arme ou deux de plus s’il le souhaite, tu l'attends bien sagement, et quand il revient, il est rapide pour t’entraîner à sa suite, si bien qu’en quelques minutes à peine, vous êtes déjà dans l’une des galeries, sous l’église. Un instant de plus, et vous êtes dehors. Et tu sais quoi ? Tu faisais la maligne tout a l’heure, mais, tu n’es pas sortie de cette église depuis un moment, Skye. Les moments que vous avez passé dehors avant ça n’ont rien eu de bien réjouissants. Du coup, tu sens un frisson te parcourir en te disant que tu es forcément en danger, a l’extérieur. Malheureusement pour toi, pour le coup, c’est un sentiment que tu as du mal à cacher … Et tu t’en rends compte quand ton gardien se sent obligé de te glisser quelques mots rassurants. « Je sais. » C’est ce qu’il fait depuis un an, et vu que tu es encore en vie, tu supposés qu’il le fait bien. Par contre, il est passé devant toi, et tu te presses pour le rejoindre, peu habituée finalement a être dans son dos. En fait, tu ne reprends pas la tête, tu viens par contre te placer a ses côtés, tout près de lui, ton épaule quasiment contre la sienne tandis que tu taches de suivre son mouvement, tout autant que d’ouvrir l’œil.

Pour l’instant, tout est calme, et vous avez tout le loisir de vous éloigner de la sortie de la galerie pour vous approcher des habitations qui se trouvent en bordure de Seneca, un peu à l’écart. Il n’y en a pas énormément, et tu vois bien que celles qui sont les plus proches ont déjà été pillées, alors, tu ne pipes pas mot en passant devant sans même ralentir. Par contre, les suivantes, elles, te paraissent déjà largement plus prometteuses. « Tu as vu … ça a l’air fermé et les fenêtres sont intactes. » L’une des portes est barrée d’une croix rouge, probablement faite avec une bombe de peinture, tu t’en détourne donc pour désigner la suivante et quand tu entends, quelque part, non loin de vous, quelques chose qui ressemble a … un grattement, tu viens immédiatement attraper le bras de Calum. « C’était quoi ça ? Un animal, tu penses ? »
Calum K. Grantt
Dim 17 Jan - 23:25 ||
Calum K. Grantt
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T’es vraiment pas un type qui aime rester enfermé… c’est la remarque que tu te fais quand vous pointez enfin votre nez dehors. Parce que si tu fais une pause le temps que tes yeux s’habituent à la lumière, puis que tu surveilles les environs, et bah t’arrives aussi à relever un peu le regard vers le ciel, quelques instants, et inspirer à fond. Tu es libre. C’est la sensation que le ciel bleu au-dessus de vous te donne, et ça vient dénouer tes épaules alors que celles de le jeune femmes se font plus tendue.

« En route. »

Juste ça, pour la prévenir, puis tu te mets en marche en prenant les devant, parce que cette fois-ci, tu ne peux pas laisser le danger lui arriver dessus. Et si tu t’attendrais à juste… entendre son pas derrière toi, voilà qu’elle se colle tout près de ton épaule et pendant quelques instants, ça te fait… bizarre. Un frisson, rien de plus, mais ça te déconcentre quelques instants avant que tu ne te décides, à nouveau, de te sermonner mentalement pour continuer à avoir une attitude irréprochable.

Du coup, vous voilà qui avancent lentement mais surement à travers les dernières maisons de la petite ville. Tu observes les baraques sans même faire mine de t’en approcher. Tout est ouvert, s’il reste du matos là-dedans, c’est certain aussi qu’il y a des marcheurs. Alors tu avances en silence, et finalement tu détournes tes yeux de l’horizon pour la regarder elle, avant de suivre son regard.

« On va s’en rapprocher, mais vous n’y entrez pas tant que je n’ai pas vérifié l’intérieur. Tu grognes, l’air pas très content de l’avoir avec toi, maintenant. Tu te rends compte que tout est un piège pour lui ôter la vie, et t’as à peine pensé à ça qu’elle aggripe ton bras et toi, tu réagis avec une violence disproportionnée. Derrière moi ! »

Tu enroules ton bras autour de sa taille pour la repousser dans ton dos, avec une précipitation guerrière. Sans un bruit, ta hache en main te voilà à avancer vers la porte d’où viennent les bruits. Tu es lent, comme un animal qui va sauté sur sa proie. Et tout aussi lentement, tu ouvres la portes, cm par cm quand…

« C’est quoi ça ?! »

T’as juste le temps de dire ça, mon vieux, que tu entends un miaulement faiblard et tu ouvres plus grand la porte. C’est un chat… ou plutôt un chaton. Maigrelet et fatigué, absolument adorable qui semblait piégé dans la maison. Sans réfléchir, tu te penches vers lui, ta hache toujours brandit et tu es clairement ent rain de te demander si tu l’achèves pour l’empêcher de souffrir s’il a été mordu ou si tu dois le laisser simplement partir.

« Ne l’approchez pas. Que tu ordonnes même, alors que tes yeux de glace continuent en silence le jugement du pauvre animal. Il a peut-être été infecté. »

La vérité, c’est que tu ne vois ni morsure, ni griffure. Il a juste l’air de ne pas avoir pu sortir depuis des lustres et tu soupires, en te redressant un peu. Ta conscience a tranché : tu le laisses vivre, tant qu’il ne se met pas dans tes pattes.
Skye W. Logan
Lun 18 Jan - 12:31 ||
Skye W. Logan
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Tu n’es pas spécialement une femme d’action. Si tu l’étais, Skye, tu n’aurais pas fait d’études de droit, ou alors, tu te serais orientée vers quelque chose de plus mouvementé que la profession de juge. Tu ne t’attendais pas, à devoir faire face au danger, d’ailleurs, en acceptant ce poste ardemment demandé, pour toi, par ton cher père. Tu te voyais simplement prendre une place de choix et assurer ton avenir seule, comme une grande, vraiment, Skye, si on t’avait dit qu’accepter ça reviendrait à te jeter directement dans la ligne de mire d’un dangereux psychopathe, tu aurais refusé, assurément, tu te serais contenter d’être un juge lambda, et t’occuper des vols, des meurtres, des conflits familiaux …  

C’est sans doute pour ça que, lorsque tu te retrouves dehors, tu te sens si démunie. Ta place est très certainement derrière un bureau, certainement pas sur le terrain, là où se situe le danger, seulement, tu ne peux plus te permettre de rester au chaud et en sécurité, de te cacher derrière le monde entier … alors, à défaut, tu te dis que, puisqu’il est là, tu peux toujours te cacher derrière ton gardien, lui au moins, il semble savoir ce qu’il fait. Et puis, tu as confiance, Skye, avec le temps, tu as fini par accepter l’idée de remettre ta vie entre ses mains.

Tu sais que les gens de ce camp finiront par partir, et puis probablement par mourir, si les choses ne s’améliorent pas à l’église. La faim, le manque de place et de petit confort, tout ça amène les gens à prendre des risques, et tu vois bien que beaucoup sont bien trop faibles pour ça. Il y a des familles entières dans cette église, des femmes, des enfants, des vieux, chacun avec leurs besoins personnels et individuels, on ne peut pas contenter tout le monde, évidemment, mais quand ils ont commencé à te faire confiance, tu t’es juré que tu ferais ton possible pour leur venir en aide. Le hic, c’est qu’encore et toujours, tu as tes limites, Skye, et ça se voit quand tu sursautes, quand immédiatement, la peur de te retrouver face à un marcheur s’empare de toi, et que ta seule solution pour lutter contre ça … c’est le bras de Calum auquel tu t’accroches, en venant te cacher derrière lui, comme s’il était ton rempart. Et c’est ce qu’il est, Skye. C’est précisément ce qu’il est.

Et toi qui avait déjà prévu de faire, ce que tu déciderais de faire, au final, il ordonne, et tu obéis, en le suivant gentiment tandis qu’il avance très lentement en direction de la porte. Toi, tu retiens ton souffle, tu t’attends déjà à voir un affreux cadavre ambulant sortir de là mais … quand la porte s’ouvre, la surprise vient se peindre sur ton visage. Ce n’est qu’un adorable chaton, seul, maigre, pratiquement à bout de force. Et cette fois, tu vois, si tu reçois l’ordre formel de ne pas t’approcher, tu ignores, et tu viens littéralement te pencher sur le petit animal pour l’attraper entre tes mains. La pauvre bête est tellement faible qu’elle ne se défends même pas, et quand tu le ramènes à toi, contre toi, il vient simplement s’y blottir comme si tout ce qu’il cherchait, c’était un peu de chaleur et de sécurité. « Ne soit pas bête … ce n’est qu’un petit chat affamé. » Tu souffles, en direction de l’homme.  

La porte est ouverte, maintenant, alors, tu avances un peu. Il était à l’intérieur, et rien ne lui ai arrivé, c’est signe qu’il n’y a rien de dangereux, pour toi. « Allons voir à l’intérieur. » Tu t’avances maintenant dans l’entrée de la maison, tout est presque intact, ici, et ça te rassures tellement que tu pousses jusqu’à avancer au grand salon, puis, te tourner immédiatement vers la cuisine. C’est d’une main, et sans prendre le temps, ou la peine, de t’assurer qu’il n’y a rien ni personne que tu te mets à ouvrir les placards, un à un, et quand tes doigts rencontrent une boite de sardines, tu viens attrapes un bol, et tu l’ouvres pour l’offrir au petit chat qui se jette littéralement dessus. « Il y a quelques conserves ici, ce n’est pas grand-chose, mais c’est un début. »
Calum K. Grantt
Lun 18 Jan - 23:15 ||
Calum K. Grantt
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C’est quand on compare vos réactions face à ce petit chat qui n’a rien demandé à personne, qu’on se rend compte que vous êtes foncièrement différent, toi et elle. Parce que tu restes brisé, pour toi chaque surprise est un risque qu’il te faut peser, un avis à avoir, et tu portes avec ton glock le poids d’une mort à venir peut-être. Elle, elle se penche, elle ramasse l’animal qui, de toute façon, a besoin de vous sans réfléchir et te rappelle à l’ordre alors que tu grognes.

« Affamé et potentiellement porteur de maladies. »

Enfin bon, tu ne vas quand même pas lui prendre l’animal des bras pour le jeter dehors, hein. Tu es sérieux dans ton travail mais pas cruel. Alors à la place, tu hausses les épaules en refusant de donner un poil de ton attention à la petite bête, tu carres les épaules et te voilà à avancer l’arme à la main, les yeux glissant et re-glissant encore sur les environs. Tu accompagnes la jeune femme jusqu’à la cuisine sans un mot et puis tu profites qu’elle s’affaire dans les placards pour vérifier les pièces alentours. Rien à signaler, tu ne te détends pas pourquoi.

« Si vous le nourrissez, il ne va plus vous lâcher, Miss. Que tu fais remarquer à la jeune femme qui est déjà en train de donner à manger au chaton, alors qu’elle se plaignait de ses repas ce matin. Vous devriez en manger aussi, c’est plein de bonne chose. »

Même si ça pue, mais ça tu évites de le dire. À la place, Calum, tu récupères les conserves qu’elle a trouvées, c’est pour les empiler sur la table, avant de retirer le sac à dos que t’as emporté et de les charger dedans. Ca ne nourrira pas grand monde, mais comme elle le dit, c’est un début. Si tu étais un peu plus intransigeant, tu garderais même ça pour elle, loin du regard des autres, mais tu sais d’avance que ça va faire toute une histoire.

« J’ai trouvé une porte qui donne sur une cave, allons voir par là. C’est souvent dans ce genre d’endroit qu’on trouve des choses utiles. »

Et te voilà donc à ouvrir la marche vers la porte que tu as dénichée. Tu t’engages dans les escaliers qui sont complètement noyé dans le noir de la pièce. C’est à mi-chemin que tu t’arrêtes pour sortir une petite lampe de poche, l’allumer et la mettre dans ses mains, pour la rassurer sûrement, avant de sauter au sol et faire un tour rapide de l’endroit. Rien, pas un bruit, pas un marcheur.

« Ca sent l’essence là-dedans. Que tu fais remarquer par contre, en avançant dans la pièce, pas gêné de n’y voir presque rien. Ah, il y a un bidon par là. Tu t’avances, jusqu’à dénicher non pas un bidon mais deux remplis de ce précieux liquide que tout le monde s’arrache. Voilà qui sera utile quand il faudra bouger. Et si tu devrais les ramener, et bien tu les pousses plutôt dans un coin avant de les cacher sous un amas de carton et une vieille toile moisie. Vous avez trouvé quelque chose, Miss ? »

Et te revoilà à revenir vers elle, les mains vide donc, parce que tu refuses tout bonnement de ramener l’essence avec vous. Ca pèse lourd, c’est encombrant et il y a peu de voiture à l’église. Autant garder ça en sûreté ici.
Skye W. Logan
Mer 20 Jan - 16:23 ||
Skye W. Logan
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Tu ne sais même pas si ce chaton est appelé à survivre, à l’avenir. Tu ne veux pas prendre plus de responsabilités vis-à-vis de ce petit animal, parce que tu en as déjà bien assez à l’église, pour autant, tu te refuses de le laisser mourir, alors que tu as la possibilité de lui venir en aide aujourd’hui. Tu viens donc lui ouvrir une petite boîte de sardine, tu grimaces d’ailleurs en l’ouvrant, pour en verser le contenu dans un bol alors que lui se jette littéralement sur cette nourriture très certainement la bienvenue dans son état de faiblesse. « Non merci … » Tu viens marmonner, en reposant la boîte métallique désormais vide sur le comptoir. Tu sais bien que tu n’as plus tellement le droit de faire la difficile, à l’heure actuelle, que quand tu manqueras réellement de nourriture, ce poisson qui pue sera nécessaire à ta survie, et que tu l’avaleras sans faire la grimace mais pour l’heure, vois-tu, tu te permets de faire encore un peu la délicate.

Tu laisses l’homme embarquer la nourriture entreposée dans le placard. Il n’y a certes pas grand-chose, c’est un fait, mais ça nourrira tout de même quelques personnes pour un repas, de ce fait, hors de question de laisser ça sur place. Ton gardien, d’ailleurs, à déjà repérer une autre porte menant visiblement à une cave et très franchement, tu as bon espoir d’y dénicher quelques réserves, vous n’êtes que deux, de toute façon, vous ne pourrez pas porter plus que vos corps le permettent, mais c’est surtout que dans ta tête, tu te dis que si vous trouvez ici, vous n’aurez pas besoin de vous aventurer plus loin.

C’est sans grande conviction, et avec une nette appréhension que tu lui en bas … tu n’as jamais véritablement aimé les caves, Skye, c’est forcément synonyme de mauvaises choses, pour toi, alors, autant dire que tu ne restes pas bien loin de Calum. Tu t’attends, cette fois, à coup sûr à tomber avec un marcheur, au mieux un cadavre. Rien, pourtant. La cave s’avère être vide de présence, et du coup, tu laisses l’homme observer de son côté, tandis que tu vas de l’autre, sans pour autant trop t’éloigner, histoire de pouvoir profiter d’un peu de lumière.

C’est donc vers un ensemble d’étagères que tu t’es tournée, les premières sont pratiquement vides, à l’exception de quelques produits ménagers qui ne t’intéressent évidemment pas, sur la suivante, par contre, tu trouves quelques boîtes supplémentaires, puis plus bas, quelques cannettes de soda, ainsi que des sachets qui ressemblent à des pâtes, du riz, et même du bœuf séché dont tu t’empares à la vitesse de la lumière. « De la nourriture ! » Et toi, clairement, tu es si ravie d’avoir mis la main là-dessus que pour le coup, tu viens directement ouvrir ton petit paquet de viande épicée pour en grignoter une partie, avant d’en proposer à Calum. C’est rare, vraiment, que tu te permettes ce genre de chose, depuis que tu es à l’église, tu t’arranges pour prioriser le partage mais là … tu te dis juste que personne ne saura. « Tu penses qu’on peut tout emmener ? » Et puis, tu viens même ouvrir une cannette, pour le plaisir de profiter du goût si particulier dont tu n’as pas profité depuis six mois. « Tu en veux ? » Et clairement, pour le coup, malgré l’ambiance sacrément glauque de l’endroit dans lequel vous vous trouvez, tu parviens à lui offrir un sacrément beau sourire.
Calum K. Grantt
Ven 22 Jan - 16:32 ||
Calum K. Grantt
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Tu n’es pas spécialement fier d’aller cacher l’essence de cette manière, et oui, tu te dis que ça pourrait largement servir à la communauté si tu acceptais de le partager. Le souci que tu as Calum, c’est que tu n’es pas investi auprès d’eux comme ta cliente l’est. Il n’y a rien qui te dise de les faire passer avec elle, et pire encore : tu n’en as absolument aucune envie. Donc oui, tu as un comportement que beaucoup jugerait d’égoïste et ça ne te tire même pas un soubresaut à l’âme.

À la place, tu te retournes pour aller vers elle, parce que tu l’as laissé chercher dans le bric-à-brac de la cave. Et tu découvres qu’elle a réussi à mettre la main sur un peu de nourriture. Un hochement de tête vient accueillir cette bonne nouvelle, avant que tu viennes poser le sac à dos à ses pieds, t’agenouillant devant elle pour l’ouvrir et le remplir avec autant de sérieux et d’organisation que dans tout ce que tu veux.

« Oui, le sac que j’ai pris est grand, ca devrait passer. Ca fera du bien au groupe d’avoir un peu de tout ça. Tu réponds calmement en terminant de remplir le sac et en relevant le nez alors qu’elle te propose un paquet de viande séché. Ca ira pour moi, profitez-en vous en avez besoin, vous êtes bien pâle depuis quelques jours. »

Tu n’es pas médecin, mais tu as assez vu de gens malade, blessé, au fond pour te douter qu’elle n’est pas au mieux de sa forme. Et quand tu sais qu’elle se rationne autant que les autres en plus de porter l’angoisse du bien être des épaules sur ses épaules, tu te dis qu’elle la mérite bien, sa viande séchée. Te revoilà debout devant elle, prêt à décoller sauf que son sourire, quand elle ouvre la canette et te la proposes t’arrête. Tu te figes et pendant quelques instants tu es juste… ébloui ?

« Je peux m’en passer. Tu finis par marmonner, en détournant subitement la tête, parce que tu as clairement peur de recommencer à l’observer comme tu as pu le faire plus tôt dans la journée. Remontons, j’aimerais vérifier l’étage aussi. »

Tu prends littéralement la fuite, Calum. Tout ça parce que tu ne sais pas clairement ce qui t’es passé par la tête devant son sourire. L’envie… de la serrer dans tes bras ? Quelque chose dans ce goût-là, te revoilà donc à remonter au rez-de-chaussée, un peu ailleurs. Tu lui tiens la porte par habitude et pourtant t’oublies complètement de lui dire de t’attendre dans la cuisine que vous avez déjà vérifiée, tu te mets en route aussi sec vers l’escalier de la maison silencieuse.

C’est là le grand drame de ta vie, mon vieux, parce que tu ne dois jamais te tromper, jamais oublier, jamais te louper, c’est la règle dans ton métier. Et c’est exactement ce que tu fais en oubliant les règles, en cherchant juste à réfléchir à ce qui te prend. Parce que quand t’attends l’étage, avec la brune sur les talons, et que t’ouvres une première porte, un peu trop vite, persuadé que la maison est sécurisé, tu te retrouves avec une masse qui se jette vers toi. Une femme, d’une quarantaine d’année, déjà en décomposition et morte-vivante, que tu repousses si brusquement que sa tête craque en cognant contre le mur, avant que tu ne viennes y abattre ta hachette.

« Merde ! Tu claques, avant de hausser le ton. Descendez ! Mettez vous en sécurité ! »

Sauf que t’as pas le temps de la repousser dans les escaliers que ce qui doit être le père de famille sort par une pièce et une petite fille d’une 12aine d’année déboulent par l’autre côté du couloir. Vous voilà entourer par les deux monstres grognassant et tout ce que tu trouves à faire c’est la coller au mur et venir faire barrage avec ton corps en te préparant à te battre.
Skye W. Logan
Ven 22 Jan - 20:59 ||
Skye W. Logan
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Ici, tu sais que personne ne viendra te traiter d’égoïste, Skye. C’est probablement ta plus grande crainte depuis que tout ça à commencer, et que tu vis à l’église, en communauté. Tu ne sais pas exactement ce qui a mené ces gens à te considérer comme un leader … tu as simplement été en mesure de prendre des décisions difficiles dans des moments difficiles, mais ça, tu vois, c’est purement et simplement une déformation professionnelle. Ouais. C’est ce que tu dis toujours, oubliant, probablement, à chaque fois que dans tout ça, il y a forcément une part de courage qui n’appartient qu’à toi. Quoi qu’il en soit, tu profites, pour une fois, de ce que tu as dénicher toi-même - avec Calum, évidemment, mais ça, c’est maintenant très habituel – et tu te sers, tu viens prendre une part de ce que vous allez ramener à l’église, en terme de nourriture, juste parce que tu en as marre des petits-déjeuners qui n’ont pas de goût, des repas rationnés, de ces parts, qui te reviennent pourtant, mais que bien trop souvent tu ne prends pas pour permettre à un enfant, ou un vieillard de manger un peu plus. Au moins, tu n’auras pas de remarques, parce que, c’est entre vous, tu vois, et que tu sais bien qu’il sera toujours de ton côté, ton gardien. D’ailleurs, tu ne manques pas de lui en proposer, et il décline, à l’entendre, tu es pâle et cette remarque … elle te fait grimacer. Autant parce que tu te demandes si tu as réellement plus faible que parce que ça à l’air de se voir comme le nez au milieu de la figure, à l’entendre.

« J’vais bien. » Que tu te prends à grogner, en gardant, du coup, finalement pour toi, ton reste de viande séchée, ainsi que ta canette de soda. Et tu ne sais pas pourquoi, soudainement, ton gardien se décide à remonter aussi vite, mais tu le vois se redresser et s’engager dans l’escalier alors, tu le suis, tout naturellement, autant par habitude que parce que tu refuses de rester toute seule dans cette cave humide et sombre. Tu sais qu’il est devant, Skye, alors, forcément, tu ne penses pas à faire attention, c’est probablement le gros défaut, quand on a pris l’habitude d’être protégée en permanence, on oublie de prendre garde soi-même et pour le coup, tu agis comme si c’était une promenade de santé, tu manges, tu balances même le paquet de viande vide sur le table de la cuisine, en passant, et tu continues de siroter ton soda le plus tranquillement du monde en suivant le mouvement dans le second escalier, celui qui, cette fois, monte à l’étage de la maison.

Le hic, ma grande, c’est que, oui, le rez-de-chaussée a été vérifié … mais ce n’est pas le cas de l’étage. Tu restes persuadée qu’il n’y a rien ni personne ici, juste parce que c’est silencieux, sauf que, lorsque Calum ouvre une porte, voilà que cette vieille dame se jette sur lui et toi, tu balances littéralement ta canette encore à moitié pleine dans les airs, en laissant échapper un cri de terreur avant de venir plaquer ta main contre ta bouche et ton nez parce que, bon sang, l’odeur est atroce, tu manques même de lui vomir dessus, tellement c’est horrible. Bien sûr, tu entends son ordre … et tu es déjà en train de te retourner pour lui obéir quand cette gamine sort d’une autre pièce et, bon sang, la vision de cette petite fille à moitié décomposée qui avance vers toi, ça te tétanise. « Mon dieu … » C’est la première fois en six mois, que tu vois un enfant dans cet état et si déjà les adultes te faisaient un drôle d’effet, entre terreur et pitié, là, c’est juste un profond sentiment d’injustice et de tristesse qui s’empare de toi alors que tu te retrouves plaquée contre le mur et que ton gardien vient se placer devant toi, pour te protéger.

Instinctivement, comme pour te rassurer, tes doigts viennent s’accrocher au tissu qui tapisse le dos de Calum, et tu restes là, contre lui, accrochée, comme si tu craignais de le perdre à tout moment … tu en as même oublier la machette, Skye, accrochée à ta ceinture. Le hic, c’est qu’il y a toujours ce courage en toi, qu’il fait partie de toi, et qu’au moment où l’homme zombifié se jette sur vous, en même temps que la gamine s’approche dangereusement, tu réagis. Tu refuses de perdre ton gardien, juste parce que tu restes inactive, et tu ne veux pas non plus être confrontée à l’enfant alors, c’est vers l’homme que tu t’avances en poussant un peu Calum pour te dégager. Tu viens attraper la machette et tu frappes de toutes tes forces … malheureusement pour toi, tu apprends à ce moment, à tes dépends, que fermer les yeux quand tu frappes n’est pas une bonne idée et du coup, ta machette vient se planter dans le cou du zombie, mais assurément pas dans son crâne. « Oh non ... »
Calum K. Grantt
Ven 22 Jan - 22:38 ||
Calum K. Grantt
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C’est ta faute ! Tout ça c’est ta faute Calum ! Et c’est en train de tourner comme une sonnette d’alarme dans ta tête alors que tu termines d’abattre la femme de la famille avec une réactivité qui n’a rien de surprenante. Tu ne réagis même pas à la gerbe de sang ou à l’odeur de mort. Tu connais bien trop tout ça pour craquer maintenant. Peut-être que ça arrivera après, ouais, mais là mon vieux, t’as grave merdé et t’as tout intérêt à te rattraper avant que ça ne dérape.

Le truc, tu vois, c’est que si tu voudrais la repousser en bas, et faire barrage pour qu’aucun des deux monstres ne l’atteignent, vous vous faite piéger comme des bleus. Tu grognes, tu t’énerves avant de la repousser contre le mur et de te mettre devant elle. Et tu ne penses à rien d’autre qu’à faire office de bouclier, même si c’est toi qui doit te faire mordre. C’est fou (ou con) d’avoir aussi peu de sollicitude pour sa propre vie, tu ne crois pas ?

« Ne paniquez pas pas. Tu lui souffles en sentant sa main dans ton dos et en entendant sa voix. Je suis là. »

Bon, c’est un peu bull shit parce que tu ne sais pas si ça suffira, d’être là, mais tu vas faire en sorte que oui. Tu te retrouves donc à lever ta hachette et te préparer à lutter d’une main le temps d’en abattre un des deux quand Skye se met en tête de… t’en sais rien. Tu la sens juste se glisser dans ton dos, te pousser un peu et tout à coup, tu la vois se jeter sur le père, alors que ton sang ne fait qu’un tour.

Elle arrive à empaler son arme dans le coup de la créature et toi tu sais qu’il faut plus que ça pour l’arrêter, alors tu tournes le dos à la fillette pour te jeter vers l’homme. T’as si peur, mon vieux, que ta hache vient cogner contre le travail de la machette et emporte tout bonnement toute la tête plus loin, ne laissant que le corps qui crache du sang noir et malodorant.

« SKYE !T’as même pas réfléchit, en bondissant vers elle. Si t’attaques d’une main, ton autre bras s’enroulent autour d’elle pour la tirer en arrière pendant que t’abats le père. Tu la tires, tiens même contre toi, avant de la pousser dans la chambre d’où l’homme est sorti. Reste là ! Ta voix est rageuse, tes yeux terrifiés. Et prépares toi à fuir ! »

Tu la relâches en te tournant vers la petite fille, en espérant que cette fois-ci elle va t’écouter, parce qu’elle risque de complètement te tuer d’une crise cardiaque si elle continue. Et plutôt que d’attaquer le dernier zombie, t’as un mouvement vers le corps décapité, tu viens fiche un bon coup de pied dans la machette pour la repousser vers elle, en te disant que si elle doit fuir sans toi pour rentrer, elle aura son arme. À croire que t’es incapable de penser à toi hein.

« A nous deux. Que tu finis par lâcher en avançant vers l’enfant, un air mal à l’aise sur le visage et dans ton attitude, parce que, merde hein, ça pourrait être ta gosse cette môme. »

Et probablement que t’hésites un peu trop, Calum, parce que tu finis par ne pas la voir venir, la petite furie qui grogne et qui, d’un seul coup, se jette sur toi, griffe en avant. T’as juste le temps de tendre les bras pour retenir sa mâchoire à distance de ta chaire et tenter de lutter comme ça.
Skye W. Logan
Ven 22 Jan - 23:03 ||
Skye W. Logan
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Il essaie de te rassurer, c’est comme une habitude, à chaque fois qu’il arrive quelque chose, même si ce n’est pas si grave, quand il sent ta peur, il a toujours quelques mots, pour toi, et généralement, il vient surtout te rappeler qu’il est là pour toi. Normalement, ça marche, tout simplement parce que tu sais parfaitement qu’il te protégera, et qu’il ne te laissera pas mourir, ou même être blessée. Et tu sais quoi ? Si vous aviez été dans votre ancienne vie, Skye, probablement que tu aurais obéi, tu n’aurais pas bougé d’un pouce, tu serais resté derrière et tu l’aurais laissé faire. Le hic, c’est ce que tu as bien compris, ces derniers mois, que personne n’était invincible face à ces choses, qu’elles étaient capables d’emporter n’importe qui, et toi … quand tu vois votre situation, quand tu te rends compte que vous êtes littéralement cernés, et qu’il n’y a pas tellement de solutions, tu prends peur, au fond de toi. Tu te dis que, si tu ne fais rien, si tu n’apportes pas au moins un peu ton aide, tu pourrais le perdre, et mourir juste après.

C’est pour ça, Skye que tu te lances droit sur le père, toi qui n’as assurément pas l’habitude de te battre, même pour ta vie, toi qui n’as jamais levé la main sur personne, te voilà à lever ta machette et l’abattre en fermant les yeux, comme pour ne pas voir ce que tu fais de mal à cette créature qui, ne l’oublions pas, était encore un être humain il y a quelques semaines. Le problème, c’est qu’en faisant ça, tu ne vois pas où tu frappes, et tu manques le crâne, à la place, ta machette vient se planter profondément dans le coup du marcheur, et tu es prise de panique quand tu t’en rends compte, au point de lâcher ton arme, de l’abandonner là où elle est plantée. Une nouvelle fois, c’est Calum qui te sauves, qui vient te chercher, qui se jette en avant pour te faire reculer et terminer le travail efficacement, alors que tu trembles de chacun de tes membres.

La vérité, Skye, c’est qu’alors qu’il te pousse dans cette chambre, tu n’as plus l’impression de comprendre quoi que ce soit. Il te demande de te préparer à fuir, mais tu n’en es surement même plus capable. Il n’y a que tes yeux qui bougent encore, qui le suivent alors que maintenant, c’est l’enfant qui se jette sur ton gardien et toi, toi, tu es complètement horrifiée, quand tu te rends compte qu’elle a le dessus, que sa mâchoire claque, encore et encore, qu’elle essaie de le mordre et qu’elle pourrait bien y arriver. Et tu sais ce que tu te dis, à ce moment-là ? Qu’elle va te le prendre. C’est exactement ces mots-là, qui résonnent dans ta tête, qui viennent insuffler plus de peur, de crainte et d’horreur en toi. Ce n’est qu’une enfant, Skye, mais tu n’as pas le choix alors, c’est la rage au ventre, et le cœur lourd que tu attrapes une chaise dans la chambre, les yeux emplis de larmes, tu t’avances dans le couloir et tu lèves l’objet venant frapper la gamine de toutes tes forces. Le corps de l’enfant est emporté par la violence du choc, libérant Calum alors que toi, tu avances. Elle est déjà en train de se redresser, et c’est toi qu’elle vise alors, quand tu comprends qu’elle est en train de te foncer dessus, tu recommences, et cette fois, tu abats la chaise contre son crâne qui éclate littéralement.

Enfin, la petite s’immobilise pour de bon, et toi, tu laisses retomber la chaise au sol. Tes jambes lâchent dans la foulée, elles tremblaient, et elle décide de ne plus te soutenir, du coup, tu te retrouves à genoux, sur le sol, littéralement en larmes, prise de sanglots intenses alors qu’à tes genoux, se trouve le corps de cette pauvre enfant qu’il n’avait rien demander à personne …
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Dans le brouillard du matin. (Skye)
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