!! FLESH & BONES FERME SES PORTES A PARTIR DU 27 MAI 2021 !! |
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Surveillance | Kaelig William McReadySam 16 Jan - 12:55 || 
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Cela faisait un moment maintenant que j'étais dans le camps, le Leadeur m'appréciait sincèrement je pense et c'était réciproque s'était un homme bon. IL était évidemment au courant de ma situation et savait parfaitement que je recherchais mon fils. Il avait d'ailleurs déjà accepté qu'il rejoingne le camps quand je l'aurais trouvé, pas même besoin de lui demander. C'était vraiment gentil de sa part.
Au camps, j'avais pour tâche d'entretenir les véhicules, après tout c'était mon métier. Mais ce n'était pas pour autant que je ne donnais pas la main à la pâte sur d'autres choses. Ainsi j'avais pris l'habitude de surveiller les alentours du camps afin de nettoyer les zombies présent et éviter également les intrus. Ceux qu'on trouvait on les ramenait au camps le plus souvent afin de les aider au mieux. Soit à nous rejoindre soit à savoir si ils étaient une menace. Nous n'étions pas encore très nombreux et il fallait être prudent.
Me voilà donc avec ma batte sur l'épaule, celle ci tapotant mon corps au rythme de mes pas. Je me sentais plutôt bien aujourd'hui car il y avait un petit peu de soleil qui donner le moral. J'avais eu une discussion avec une personne de notre camps et celle ci m'avait redonner la force de continuer mes recherches. C'était difficile de se demander où pouvait être son enfant et surtout si il était en vie, si il allait bien. Mais je me devais de rester positif et surtout de ne pas baisser les bras. Ce serait certainement la pire des choses à faire. Aussi je restais positif autant que possible.
J'arrivais aux portes du camps pour y trouver Kaelig, nous étions souvent en binôme pour la surveillance. C'était également un gars bien en mon sens. J'espérais ne pas me tromper à son sujet. Je lui offrait un sourire faisant mine de frapper avec ma batte. - Prêt pour aller tuer quelques zombies ? il faut dire qu'il y en avait toujours par ici, comme partout d'ailleurs. Ce n'était que le début de notre nouvelle vie et même si je savais qu'autrefois c'était des gens, je savais également qu'aujourd'hui il n'y avait plus d'âme en eux. Aussi je n'avais pas de difficulté à les tuer une nouvelle fois. Je savais que certaines personnes n'y parvenait malheureusement pas. Mais nous n'avions pas le choix.
Mes pas me menèrent à passer les portes accompagnées du mon binôme du jour. MOn regard se posa sur lui quand je lui demandais Comment tu vas aujourd'hui ? Une question simple et banale qui pourtant était importante quand notre vie était plus ou moins dans la main d'une autre personne. Je devais savoir si j'avais besoin de redoubler de méfiance ou si ça allait . Kaelig HarlanSam 16 Jan - 16:40 || 
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Tu boites encore un peu, mais puisque les remèdes magiques de la Dr du camp ont l’air d’avoir fait des miracles, t’as décidé de faire ton tour de surveillance comme tous les autres jours. T’as pris quoi ? 3 jours de repos et puis te revoilà à te dire qu’en sortant du camp pour patrouiller, peut-être que tu apercevras des traces de ta soeur. C’est fou, hein, ça te ronge complètement le cerveau, tant et si bien que depuis deux nuits, tu te dis que tu vas quitter l’endroit en silence pour aller la chercher. Parce que tes tripes te hurlent qu’elle est en vie…
T’es devant les portes qui protège la cour de la ferme, une grande hache dans tes mains, à réfléchir à tout ça avec un air complètement ailleurs, quand tu te rends compte que l’on te parle. Tu as de plus en plus de mal à t’ouvrir au monde, à te secouer et à réagir correctement, mais tu te retrouves quand même te forcer, te secouer et lui offrir un sourire calme, quoiqu’un peu fatigué.
« Toujours ! Tu comptes les tuer ou jouer au baseball avec, toi ? Tu as un drôle de sourire en coin qui grimpe sur tes lèvres. Ce sont tes jeunes années qui te manquent William à ce point ? »
Tu le taquines, mais tu te le permets aussi parce que cet homme est clairement une des personnes que tu fréquentes le plus par la force des choses. Tu as vu qu’il était doux et agréable, qu’il semble être quelqu’un de bien. Et au final, quand vous vous mettez en marchant, toi toujours en entrainant avec toi la lourde hache qui ne semble pas gêner tes mouvements et ta guibole blessée, et bah tu ne peux t’empêcher de lui couler un regard surpris à sa question.
« Comme un vieil éclopé. Tu marmonnes en grognassant parce que cette histoire de coup de sabot te fait clairement chier. Je suis pas mécontent de reprendre les rondes, marcher et cogner quelques zombies ça défoule pas mal, quand même. Tu finis par tourner sur le chemin et lui renvoyer la question : Et toi ? Ca va ? »
Tu pourrais faire comme d’habitude et te taire pour le reste de la promenade (ouais c’est comme ça que tu vois ce travail toi), sauf que tu as l’esprit pleins d’embrouilles et de doutes, et vu que tu ne veux pas te laisser attraper par ces pensées, tu finis par relancer la conversation et, en faite, tu te rends compte que tu ne le connais pas du tout.
« T’es d’où, toi d’ailleurs ? Tu l’observes en coin, sans cesser de rester vigilant. Je t’ai jamais demandé comment t’avais fini par atterrir ici je crois. »
William McReadySam 16 Jan - 18:42 ||
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Kaelig est beaucoup plus jeune que moi, pourtant parfois j'ai l'impression que c'est lui le vieux. Bon on ne va pas se mentir, je suis plus tout jeune mais j'ai encore la pèche, je fais même du sport, dans ma chambre mais personne n'est au courant. Je ne compte pas être un vieux gaga ou ça non! Je compte aller bien, je compte être encore jeune pendant un moment. Finalement je le rejoint et il me demande si je vais jouer au baseball avec les zombies. Et surtout si tout ça était pour ma rappeler ma jeunesse, enfin surtout ma jeunesse qui me manque. Je ris alors . Pas vraiment non .. mais je trouve ça tellement plus fun .. et le monde d'aujourd'hui manque de fun tu trouves pas ? je lui sourit. Ouai je crois que c'est ça que j'aime dans ma batte en plus du fait qu'elle dégomme bien les têtes.
On commence à avancer quand je vois qu'il boîte. Je fronce les sourcils un instant avant de lui demander comment il se sent, ok , j'ai un peu peur qu'il ne se fasse attraper par un zombie mais en même temps je lui fais confiance, ce n'est pas la première fois qu'on fait la sécurité ensemble. Mais je préfère savoir si oui ou non il se sent de venir. Je crois que je l'ai vexé un court instant à son regard surpris. Je m'inquiète même un peu s'était pas du tout ce que je souhaitais. IL affirme qu'il va bien même si cette jambe l'emmerde. Je fais un signe de tête puis il me retourne la question. Je hausse les épaules. Il me manque .. toujours autant. J'essaye de trouver où il pourrait être mais c'est pas simple... J'essaye d'aller. Dis je en regardant droit devant moi. Je sent une boule dans ma gorge que je chasse avec un grand soupire. Ouai il me manque, pas besoin de dire qui, tout le camps est au courant, tous on vu la photo au cas où il le croiserait. Ouai mon fils, mon unique trésor. Un jour je le retrouverais.
On avance, on est vigilant. Je regarde partout sans vraiment parlé, je suis dans mes pensées. Mon fils me manque. Soudain il me demande d'où je viens et je le fixe surpris. Il ne parle pas beaucoup et du coup moi non plus, je me rend compte finalement qu'on ne se connait pas trop. J'viens d'Augusta dans le Maine .. On est venue ici avec ma femme pour retrouver notre fils et ... enfin elle a été mordue .. la suite tu t'en doute ... J'ai l'air ailleurs pendant une seconde puis je repose mon regard sur lui Et toi c'est quoi ton histoire ? lui demandais je histoire de le connaitre un peu plus. C'est vrai qu'au final à part savoir qu'il boite et qu'il est doué pour éclater des zombies. Bon c'est déjà pas mal pour ce qu'on a a faire mais peut être que me faire des amis ne serait pas un mal également.
Je reste prudent, j'entends un bruit et lui fait un signe, on s'approche calmement quand un lapin part en courant. Je souris et je le regarde en haussant les épaules. Bon pour une fois il n'y avait rien de dangereux ça allait. On continuait donc sur ce chemin en apprenant à nous connaitre un peu plus. Kaelig HarlanDim 17 Jan - 18:30 ||
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C’est bizarre, tu ne trouves pas Kaelig ? Depuis que tu as rejoint la ferme, tu te retrouves presque toujours exclusivement en patrouille avec William, mais tu ne sais pas grand-chose de lui. Il t’a parlé de son petit, disparu, quelques fois, et t’as même pas réussi à en faire autant. Tu as juste tenté quelques mots réconfortants et maladroits avant de te perdre dans ton silence parce que… t’en sais rien, sûrement parce que tu es comme ça, disons.
En tout cas, tu finis quand même par te mettre en route, en tirant ta guibole avec toi. Si tu t’écoutais et que tu ne craignais pas le regard de tueur de la petite médecin du camp, probablement que tu forcerais brutalement sur ta jambe pour faire “comme si” tout allait bien. Sauf qu’elle t’a un peu impressionnée mine de rien. Alors tu fais attention, maintenant.
« Courage. Je suis sûr que ton gamin tient de toi, William… Tu lui dis bêtement en tournant la tête vers lui, avant de penser à ajouter, parce que c’est vraiment pas clair et nul comme tentative pour remonter son moral. Un battant et quelqu’un qui vivra vieux, je veux dire. »
Putain ce que tu peux être nul, c’est quand même effrayant à ce niveau-là. C’est peut-être parce que tu te sens affreusement nul que tu relances la discussion, soit pour engloutir ta nullité sous d’autres paroles ou simplement pour tenter de te rattraper. Et c’est en l’entendant te parler que tu sens ton cœur se serrer. Vous avez visiblement plus d’un point en commun lui et toi. Quand il évoque sa femme, te voilà à relever un regard surpris, touché, blessé, sur lui et tu finis par soupirer.
« Foutu apocalypse de merde. Parce que c’est ce que tu te dis environs toutes les heures quand tes pensées recommencent à tourner dans ta tête. Je suis désolé pour toi… vraiment. Si je peux t’aider à retrouver ton petit, hésites pas. J’ai les chevaux, on peut les prendre pour couvrir un peu de distance depuis ici, peut-être… »
Par contre, t’es certain que tu ne vas jamais le laisser partir seul sur le dos d’une de tes montures. T‘es gentil, oui, mais pas fou. Et quand il te renvoie la question, au départ, tu te dis que tu répondras pas, sauf que ce lapin qui détale te fait soupirer de soulagement. T’as pas spécialement envie de croiser un, même si cogner te défoulera, tu le sais. Et parler aussi non ? T’en sais rien, mais t’as envie d’essayer, comme William a osé le faire.
« Je viens de Seleca, c’est à une 50aines de km d’ici. Tu finis par répondre tout à coup. Ma… Ta voix se noue, et pendant quelques secondes, il y a cette flamme de rage contre toi, contre le monde aussi, dans tes yeux bleus. Ma femme voulait rejoindre Alden pour prêter main forte… Je l’ai perdu en chemin, en même temps que mon père. Un sourire effrayant de douleur, de colère envers toi-même s’étire sur ton visage. Et ma soeur a disparu. Autant dire que j’ai tout loupé sur toute la ligne. »
Et voilà que, sans le vouloir, ton gros pied retombe sur une grosse branche, la faisant craquer sombrement. Un bruit assez pour pour attirer les créatures, alors tu te figes, ta hache en main. Qu’ils viennent, pour voir !
William McReadyDim 17 Jan - 21:21 ||
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Parler de mon Skylar ça a toujours le même effet sur moi, un poids dans mon coeur, présent et lourd, difficilement supportable. Mon gamin c'est tout ce qui me reste depuis la mort de ma femme, c'est tout ce que j'ai dans ce monde étrange. Combien de fois je me suis demandé ce que je ferais si je le retrouvais sous sa forme de rôdeur ? Est ce que je supporterais le choc ? Non certainement pas non. Finalement je ne sais pas où j'irais si je ne le retrouve pas vivant, sain et sauf. Est ce que je pourrais vivre encore ? Kaelig me dis que Sky est comme moi et j'arque un sourcil sans comprendre ce qu'il veut dire puis il finit par dire qu'il vivra vieux, qu'il sera un battant. Je vois qu'il fait des efforts pour m'aider, alors avec un petit sourire en coin je lui dis l'air faussement vexé. Tu m'trouves si vieux que ça ? . Bien sur je n'étais plus tout jeune mais j'avais encore une certaine forme, même si je me surprenais de plus en plus à apprécier la lecture près de la cheminée. Bon ok j'avais peut être pris un coup de vieux ces derniers temps.
Puis il me demande d'où je viens, mon histoire. Je parle de ma femme, ah ma Lulu, c'était un sacré morceau, un amour de femme avec un caractère bien trempé, c'est sur que tu l'emmerdais pas celle là et que tu touchais pas à son gamin. Pourtant elle était douce, aimante, un vrai ange quand on savait comment être avec elle. C'était ma douce et elle me manquait beaucoup. Il semble être sincèrement désolé pour moi et me propose même ces chevaux, je trouve ça sympa de sa part. Je te remercie mec. C'est gentil. Malheureusement on a tous vécus des trucs difficiles ici. Personne ne sort indemne d'une merde pareil. J'hausse les épaules puis fini par dire calmement. Je suis pas monté sur un cheval depuis mon enfance tu sais. Je pense que j'irais plus vite en voiture, mais si tu veux venir avec moi de temps en temps pourquoi pas. Je vais souvent faire des tours au cas où. Je sais que je dépense de l'essence précieuse pour rien, personnes n'est venu me le dire mais je le sais bien. Pourtant je n'ai pas le choix. Je me sens obligé d'y aller, d'essayer encore un peu.
Je fini par lui poser la question en retour. Je ne pensais pas vraiment avoir une réponse pourtant il le fait. Il a aussi perdu sa femme, son père également. C'est sur pour un homme de perdre ces proches, on se sent inutile mais il garde un espoir, il recherche toujours sa soeur. Je suis vraiment désolé pour ta famille ... comme je disais, on a tous perdu du monde dans cette foutue merde. Je pourrais aussi t'aider à retrouver ta soeur ... si tu veux. Je connais sa douleur et je suis sincèrement désolé pour lui. Pourtant il marche sur une branche et on oublie tout nos malheur l'espace d'un instant. Telle des proies nous sommes à l’Affût de l'arrivé d'un de ces monstres.
Effectivement les zombies arrivent. J'entends des grognements venir de plusieurs endroits Merde ... méfies toi ... Je ne vois pas le premier qui se jette sur moi et me pousse contre un arbre j'essaye de le tenir à l'écart alors que ses mâchoires claquent devant mon visage.
[ Nombre de rôdeurs : 10 ] Kaelig HarlanMar 19 Jan - 14:36 ||
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Ca te fait tout bizarre de parler de toi, mine de rien. T’es pas habitué à ça, que ce soit parce que perdre ta famille t’a considérablement refermé sur toi-même, ou avant tout ça. T’es pas un causant comme type. T’as même pas vraiment d’ami, toi ton truc c’était les chevaux et ta femme… ta soeur… ton père. Ta famille quoi. C’est en te retrouvant seul que tu comprends qu’avoir eu d’autres gens qu’eux aurait pu t’apaiser un peu, mine de rien. Mais là, c’est trop tard pour t’en soucier.
« J’sais pas. Que tu réponds lentement, persuadé que tu as merdé, maintenant. Disons que j’me trouve déjà vieux, et que tu es plus âge que moi, donc dans la logique des choses… on est vieux tous les deux ? »
Tu te rattrapes tant bien que mal avec cet air parfaitement paumé. T’as beau approcher de la quarantaine, tu as toujours cet éclat d’innocence et d’enfance quand tu fais des faux pas. Ta femme adorait ça, elle disait que ça te rendait si unique. Toi, tu as plutôt tendance à dire que ça te rend complètement con. Chacun son truc.
« Hof, tu sais ça s’apprend facilement à monter à cheval. C’est surtout que ça tasse un peu les muscles des fesses les premières heures. Et tu finis quand même par hocher la tête quand il parle de faire le tour en voiture. Je viendrai avec toi, il vaut mieux être deux dehors que tout seul, même pour de vieux loups comme nous. »
Ce que tu ne prévois pas, par contre, c’est de causer des tiens. La vérité, Kaelig, c’est que t’as pas envie de le faire mais tu le fais quand même et mine de rien, bah ça t’apaise. Tu finis par soupirer doucement, sentir un poids quitter ta poitrine même si le chagrin, lui, te compresse le torse. Et quand il te propose de t’aider pour Eireen, tu as ce mouvement de tête positif. À vous deux, vous parviendrez peut-être à retrouver veux deux gamins perdus.
Le truc, tu vois, c’est que tu n’as pas vraiment le temps de répondre, de prévoir un plan sur la comète que des marcheurs pointent le bout de leurs nez. Tu prends aussi sec ton arme en main mais t’as le temps de ne rien faire qu’un de ces monstres se jette littéralement sur ton compère. Tu ne réfléchis pas plus d’un instant avant d’abattre ta hache à la verticale, sans te dire que William risque de bouger et de se faire couper au passage. Et… fort heureusement que tu y vas aussi sec, parce que tu abas le marcheur en fendant sa tête en deux avant de tirer l’homme d’un coup sec en arrière.
« Ils sont trop nombreux, faut reculer et prévenir le camp ! On abat ceux qui sont à portés si on peut mais c’est tout. Et tu commences déjà à reculer en regardant les 9 autres zombies venir vers vous, plus ou moins rapidement. Ca va ? Que tu penses quand même à rajouter ensuite. »
William McReadyMar 19 Jan - 21:01 ||
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Il essaye de se rattraper et je le vois bien , j'arque un sourcil faisant mine d'être vexé avant de lui mettre une tape dans le dos Hey j'déconne. Au moins j'ai la maturité et l'expérience. C'est déjà pas mal ! Ma Lulu elle disait toujours que je devenais plus beau en vieillissant alors ... J'hausse les épaules avec un sourire nostalgique. Ouai ma Lulu, c'était la perfection faite femme et qu'est ce que je pouvais l'aimer cette donzelle! Après tout je lui avais donné un fils, ce n'était pas pour rien non ? Ouai c'était ma Lulu à moi. Elle me manque je ne peux pas le nier. Parfois il m'arrive de lui parler, je sais pas si elle m'entends mais je lui parle quand même, juste au cas où.
FInalement il propose de me préter un cheval et de m'accompagner pour trouver le gamin. Ouai c'est une idée mais j'ai toujours préféré la mécanique aux chevaux. Ah je les trouve magnifiques là n'est pas le problème mais je sais pas ... j'ai du mal . Finalement je lui propose de m'accompagner dans mon tour en voiture et il accepte. C'est un bon point de ne pas y aller seul d'ailleurs je me confit un peu C'est bien que tu m'accompagnes. Quand je ne le trouve pas j'ai un peu la mine basse et parfois l'envie d'faire des conneries et de ne pas rentrer s'fais sentir.. enfin tu sais s'que c'est ... on cherche sans trouver et c'est difficile parfois. Je regarde face à moi, ouai c'est difficile, c'est vraiment le mot. Bon dieu qu'il me manque. Si je le retrouve je pense que je ne vais pas le quitter des yeux pendant un moment puis je vais le prendre dans mes bras, il aime pas trop ça, c'est un grand garçon mais ... j'en ai besoin.
Finalement il me parle de sa famille et je lui propose mon aide pour retrouver sa soeur, je crois que ça lui fais du bien et il accepte. Un duo d'entraide c'est bien puis qui sait on pourra peut être devenir amis. C'est bizarre, ça fais un peu gonzesse mais .. ouai je pense qu'un ami ça peut pas m'faire de mal, et à lui non plus. On avance un peu quand il fait craquer une branche et qu'on entends grogner. Et merde. Tout va très vite et je me retrouve contre un arbre, un rôdeur claquant des dents devant mon visage.
C'est finalement du sang qui m'asperge mais je préfères ça à la mort. Je me sens tirer en arrière, je vois Kaelig qui propose de retourner vers le camps, bonne idée. Je recule à mon tour quand il me demande si ça va je réponds d'un ton cool J'suis encore vivant, c'est pas eux qui vont m'tuer crois moi ! Un des monstres avance un peu trop vite à mon gout alors je lui met un gros coup de batte dans la tête, il l'évite et attrape mon bras avant qu'un coup de pied bien placé lui brise le torax. Il tombe au sol et je lui écrase la tête d'un coup de pompe. Il n'en reste que 8 mais il faut prévenir les autres. Kaelig HarlanDim 24 Jan - 14:52 ||
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Vous vous retrouvez tous les deux à parler de vos vies, de qui vous êtes et où vous allez. Et sans vraiment le voir venir, Kaelig, en plus de te livrer un peu à cet homme qui a tout pour te comprendre, tu te retrouves également à accepter de l’aider et le laisser te proposer la même chose. Parce que vous vous ressemblez, mon vieux, et que vos vies ont pris le même tournant. Toi qui te préparais à être seul sur ton chemin jusqu’à la fin des jours, tu finis par accepter de partager un bout de route avec lui.
« Je te comprends, je me fais parfois la même réflexion. Ce serait… tellement plus simple de ne pas rentrer, un jour. Et puis je repense aux raisons qui m’ont emportée jusqu’à Alden et je me dis qu’à défaut de ne pas le faire pour ma vie, j’peux le faire pour tous les jeunes qui se battent là-bas. »
C’est con, hein, mais tu considères que vivre plus longtemps n’a pas grand intérêt pour un type de ton âge, parce que tu as eu le temps de vivre et que tu te considères vieux. Alors que les petits vingtenaires, là, qui survivent tant bien que mal, ils méritent d’aller plus loin, et c’est pour eux que tu t’investis à la ferme.
Ceci dit, avec la merde qui vous tombe sur le coin du nez quelques minutes après, la conversation en reste là. Tu te retrouves à te jeter sur William pour l’aider avant de prendre la poudre d’escampette avec lui. Ton cœur bat fort, Kaelig, mais il ne faut pas que tu te laisses aller, alors tu entraines le cinquantenaire jusqu’à le voir s’arrêter pour se dépêtrer d’un autre zombie. Et c’est là que l’idée te vient.
« On risque d’abimer les palissades si on réduit pas leur nombre. Que tu lui dis, l’air bien plus inquiet pour le camp que pour vous. Suis-moi, j’ai une idée ! Y’a un fossé pas loin. »
Tu lui fais signe de changer de direction, avant de te mettre à zigzaguer entre les arbres de ta grande enjambé. Tu viens juste lui ordonner de se préparer à sauter, avant de faire un décompte d’une voix sifflante à cause de la course et à 0, toi-même tu pousses sur tes jambes pour sauter par-dessus le fossé assez profond et retomber en une roulade douloureuse de l’autre côté. Et quand tu relèves le nez, tu découvres que seulement 3 des 8 zombies sont tombés dans le panneau.
« Fais chier ! Que tu grognes en te penchant sur le fossé, alors que les autres font demi-tour pour retourner vers la clôture. On se débarrasse de ceux-là en premier, tu crois ? »
William McReadyLun 1 Fév - 21:53 ||
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Trouver un ami ça pouvait faire réellement du bien. C'était important surtout dans notre monde actuel j'en avais bien besoin et Kaelig était ce genre de gars, du moins c'est ce que je ressentais pour le moment s'était une bonne personne qui voulait juste retrouver sa famille, il faut croire qu'on se retrouvait bien dans cette description. Nous en venions à parler de nous, de notre vie d'avant jusqu'à se proposer de l'aide. S'était vraiment une bonne chose et j'appréciais cela. Je lui sourit un moment. Je lui confia même que parfois je ne trouvais pas la force de revenir. Le manque de mon fils était une douleur constante et pourtant j'avais eu le malheur de perdre mon épouse mais mon fils était réellement toute ma vie. Il avait néanmoins raison, on devait tenir cet endroit pour les futures générations. Je pense qu'on pourrait faire vraiment un bel endroit de la ferme. Il faudrait monter des protections, peut être y faire des pièges, ce genre de choses mais je pense vraiment que ça peut être un bel endroit pour les futures générations. Nous ne devions surtout pas abandonné, le monde, l'humain n'était pas encore mis à sa perte.
Malheureusement nous ne sommes pas là pour rien vu qu'on se retrouve avec un sacré nombre de rôdeurs au cul. J'essayes d'en avoir un, petit à petit comme on dis. Mais c'est la merde, on court vers le camps quand Kaelig m'informe qu'il a une autre idée, alors je le suis après un signe de tête. On bifurque, c'est que je suis encore vaillant pour mon age mais que je n'ai plus vingt ans non plus ! Pourtant je le suis, je suis totalement essoufflé mais je le suit. Il me dis de sauter au dessus de ravin et je le fais, obéissant tel un étrange soldat. Je tombe de l'autre coté et je m’asseoir pour reprendre mon souffle Hey doucement gamin ... j'ai plus vingt ans moi. je prend la bouteille d'eau de mon sac pour en boire quelques gorgées avant de la passer au brun. Je pense pas qu'ils puisse remonter. On respire deux secondes et on vas éliminer les autres ça te vas ? Au pire on envois un du camps ici pour les finir.
Après quelques minutes, je me redresse et souffle un grand coup, je remets le sac dans mon dos et observe On peut faire le tour par là bas. sans élan c'est bien plus galère de sauter de l'autres coté. Alors on rejoint tranquillement et surtout discrètement le camps, nous ne sommes pas loin quand on vois les 5 rôdeurs approcher des barrières, je fais un signe à Kae', je me prépare à aller en buter quelques un . Ma batte en main. J'approche du premier et lui met un grand coup dans la tête il s'écrase contre un arbre, la tête éclate. C'est dégueulasse mais redoutable. Plus que quatre ! J'approche d'un second alors que je vois Kae faire de même sur le sien . Un autre joli coup et PAS plus que trois. J'avance prudemment de ma prochaine cible. On ne devrait pas tarder à y voir plus clair. Kaelig HarlanMar 2 Fév - 21:13 ||
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Faire du camp d’Alden un bel endroit. Mine de rien, Kaelig, c’est quelque chose auquel tu n’as absolument pas pensé toi, parce que tu n’étais pas spécialement pour venir ici. Sans ta femme… ouais on sait bien. Du coup, tu te retrouves à réfléchir à cette idée, et dans le fond, tu te rends bien compte qu’il a raison. Alden est un endroit sain, mené et géré par des gens qui veulent en faire un bon endroit. Sans le savoir, Kaelig, ca vient éveiller en toi la volonté d’aider à ça. Pas pour toi, on l’a déjà dit, mais pour les plus jeunes qui ont tout perdu.
Avant de pouvoir en faire la remarque à Will, tu te retrouves à devoir courir à toute vitesse, parce qu’il y a cette horde de zombies aux fesses. C’est sur ton idée que vous bifurquez, et sans penser à l’homme qui te suit (et à son âge surtout), tu l’entraines dans un bond pour retomber de l’autre côté d’un fossé assez profond. Tu ne comprends l’effort que tu lui a imposé en l’entendant tomber assis sur le sol meuble.
« Merde. Que tu lâches en te penchant vers lui, avec un drôle de sourire finalement. Ca va papy ? Ca c’est parce qu’il t’a appelé “gamin” absolument. Désolé, William, je n’ai pas pensé au fait que tu n’avais plus vingt ans. Tu viens tapoter son épaule. T’as encore une sacrément bonne foulée, en faite, c’est comme ton coup de batte. »
Et finalement, l’aîné du groupe se relève. Tu l’écoutes répondre à propos des deux monstres dans le fossé et après quelques instants tu finis par hocher la tête en te disant que la clôture est plus importante. Tu le suis quand il trouve un passage et vous voilà à faire le tour jusqu’à arriver dans le dos des créatures. Si tu acceptes de te séparer de William, et bah toi tu traines en chemin, parce que tu ne peux pas t’empêcher de poser un coin d’œil sur lui. Il était si essoufflé avant, que tu ne peux pas t’empêcher de te dire qu’il va peut-être aller mal, maintenant. Sauf que le vieux, il a de la ressource, parce qu’il abat deux zombies coup sur coup.
Toi, Kaelig, tu abats ta hache sur un zombie qui se retourne vers toi en même temps. Du coup, si tu sectionnes toute une partie de son épaule, ça ne suffit pas à le finir. T’es juste capable de sauter en arrière pour éviter sa mâchoire, et tu grognes.
« Putain de sale bête ! »
Le truc, c’est que tu ne peux même pas remonter ton compte de zombie tué puisque tu as toujours ce mec à moitié coupé en deux qui se décide à te suivre.
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