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[DONE] I Love you, I Miss you, I Kill You ... | Mike
Invité
Mer 13 Jan - 18:59 ||
AnonymousInvité

d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif On avait quand même clairement faillit se faire bouffer le cul. J'avais entendu des claquements de dents très proches de moi, j'avais même fermé les yeux a un moment me serrant un peu plus contre Mike qui m'avait dans les bras. Est ce que j'avais eu peur ? Oui, après tout qui n'aurait pas peur dans cette situation, mais je faisais confiance à Mike, parce qu'au final je n'avais pas le choix. On arriva d'ailleurs sains et sauf sur une benne à ordure et il s'inquiéta de savoir si j'avais été mordu. Non je n'avais rien, heureusement puis se fut un retour de question évident. Il affirma que personne n'aurait sa peau, du moins pas un de ces monstres. Discrètement je levais les yeux au ciel. A ce croire trop puissant il allait un jour lui arrivait des bricoles, mais j'étais bien contente qu'il aille bien!

Je ne répondis pas car je venais de voir une possible échappatoire, une échelle de secours qui menait aux appartements. C'était une très bonne idée selon moi, on serait loin des monstres et ils finiraient bien par passer à autre chose. Si seulement un chien ou un chat sauvage pourrait passer par là ! Mike me pousse un peu et j'attrape l’échelle pour monter le plus rapidement possible. Je finis par lui dire que cela me rappelle les flics quand ils nous courraient après. Il m'ordonna de ne pas me faire attraper, ni par des monstres, ni par les flics. Je tournais le regard vers lui en souriant. J'ai jamais été attrapé par les flics, c'est pas maintenant que je vais commencer, et j'ai pas trop envie d'creuver, surtout depuis que je t'ai enfin retrouvé. tout en lui parlant j'essayais tant bien que mal d'ouvrir la fenêtre qui semblait bien fermée de l'autre coté.

Il me repousse avec toute sa délicatesse, c'est à dire aucune, et je me mange un peu le mur. Je frotte mon bras qui m'as fait un peu mal sous le choc et le vois mettre un grand coup dans la fenêtre qui se brise. J'ouvre de grands yeux sachant parfaitement qu'il a du se blesser. Mais pas le temps de dire un mot, il me pousse à l'intérieur. Je retombe sur mes jambes et sort mon couteau de son emplacement à ma ceinture. J'essaye d'écouter les bruits de possibles rôdeurs quand Mike affirme avoir soif. Je dirais pas non à un verre, ou une bouteille. avouais je avec un petit sourire. quand il me demande si j'ai des joint Ouai j'ai récupérer trois plans de l'appart dis je alors avant de commencer l'inspection.

Je fais le tour de l'appartement, qui est vite fait, une chambre, une salle de bain, et une grande pièce qui fait à peut près tout. Je ressors de la chambre pour aller vers la cuisine quand je vois une ombre sortir de derrière une table, visiblement allongée là depuis plusieurs semaines. Mike est juste à coté à chercher de l'alcool. Je ne perds pas une seconde avant d'avancer couteau en avant. - Touches pas mon mec sale pute ... Mon couteau vint se planter dans son oeil et je le retire d'un geste brusque avant de la laisser tomber au sol. Non mais !

Je me tourne vers Mike. J'ai des joins, mais viens sur le canap' faut qu'on soigne ta blessure avant que t'attire toutes les minettes en manque de chaire fraîches. Je vais vers la salle de bain et fouille les placards pour trouver une trousse de secours avant de m'asseoir sur le canapé, je sors un joins que je tends à Mike avec un briquet et je prépare de quoi le soigner.
Invité
Jeu 14 Jan - 21:47 ||
AnonymousInvité
Tu lui jettes un drôle de regard, mon vieux. Parce que t’arrives pas vraiment à savoir si elle pense ce qu’elle dit. Si le fait que tu sois revenu dans l’équation pouvait vraiment changer la donne. Nan parce que toi, tu sais bien que t’es pas bon pour elle. Tu vas finir par provoquer des choses négatives, à force de la tenir sous ta coupe, et si tu veux pas la relâcher, bah tu le sais, c’est déjà ça. Alors autant dire que ce qu’elle te dit, ça vient te percuter. En plein dans c’morceau de cœur tout pourri et écrasé. Et que du coup, tu détournes les yeux sans répondre.

Tu te retrouves à casser cette putain de fenêtre parce que Dani met trop longtemps à s’en sortir proprement et quand tu la pousses à l’intérieur et que tu retombes à côté d’elle, certes t’attrapes de quoi essuyer ton bras sanglant, mais tu refermes aussi vite ta main sur son bras. Tu l’attires à toi, durement, tu la réceptionnes comme si elle pesait rien (et elle pèse rien hein) et tu finis par venir attraper sa bouche de la tienne. T’as jamais su embrasser avec douceur, alors c’est pas du tout c’que tu fais. Tu forces ses lèvres, jusqu’à pouvoir l’embrasser pleinement et tu la presses contre toi, tes mains glissant contre son dos. Quand tu t’arrêtes, t’es essoufflé ouais, mais t’as aussi ce petit sourire pas mécontent de toi.

« Ca c’est parce que t’as fait l’bon choix. Que tu lui apprends, en réponse à sa remarque juste avant. J’reconnais bien là ma femme ! »

Et tu la plantes aussi sec, parce que c’est pas tout mais mine de rien t’as soif. Tu te retrouves à avancer dans l’appartement et toi, gros nigaud, t’es persuadé que c’est bon, peut pas y avoir de bestiole ici. Sauf que t’es en train de fouiller la cuisine quand t’entends ta brune se jeter sur quelque chose. Et sa remarque te fait te retourner et ricaner salement :

« Eh, tue pas Simone, wesh. C’est ma préférée quand t’es pas là. »

Tu la provoques, parce que tu sais qu’elle est jalouse et que, mine de rien, ça te plait à toi. Tant qu’elle le sera, c’est qu’elle voudra encore de toi. En tout cas c’est ce que tu crois. Et au final, tu trouves une bouteille de vodka dégueulasse, bas de gamme, et tu te laisses tomber sur le canapé, avant de la regarder et de lui ouvrir ton bras pas sanglant :

« Ca t’rendrait folle, hein, qu’elles en veuillent à mon cul ?! Pour une fois que c’est pas toi qui remue le tien sous le nez de tous les types qui passent, ça serait que remettre la balance à zéro ! »

Et tu ricanes, tu finis par ouvrir la bouteille. T’en bois une longue rasade avant de tendre ton bras au-dessus de plancher et faire dégringoler de l’alcool pur directement sur les entailles en grognant comme un animal blessé. Tu finis par arrêter et faire un signe à Dani pour lui faire comprendre qu’elle peut avancer et faire ce qu’elle veut. Toi, tu renquilles sur une gorgée d’alcool avant de poser la bouteille sur le sol entre vous.

« T’es la femme parfaite, p’tain. Tu marmonnes alors que le joins finit entre tes lèvres et que tu l’allumes aussi sec. J’t’ai bien choisie ! Et tu te laisses retomber au fond du canapé en gardant ce regard possessif, animal, affamé aussi, sur elle. Elle est à toi et tu laissera spersonne te la prendre, même pas un pauvre gamin muet ! »
Invité
Ven 15 Jan - 22:53 ||
AnonymousInvité

d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif Est ce que je serais vraiment morte si je ne l'aurais pas retrouvé, ou pire, si je l'avais retrouvé en zombie. Je ne sais pas vraiment. Je ne me suis pas posée la question car pour moi, au fond, il ne pouvait pas mourir, on ne pouvait pas ne pas se retrouver. On était inséparable comme la beuh et la feuille à roulée. Il me pousse et je manque d’atterrir durement mais il me rattrape. Je n'ai pas le temps de réaliser beaucoup de choses avec lui, tout vas vite, et j'aime ça. L'adrénaline est constamment en nous et nous fait vivre des moments totalement fou. Quand il capture ma bouche, il n'y a plus d'apocalypse pendant un instant, ma main viens se poser sur sa nuque et je profite de ce moment que j'aurais pu, j'en suis bien consciente, ne plus jamais vivre. Rien que d'y penser ça m'est totalement insupportable. Le bon choix ? Celui de ne pas creuver ou de récupérer les plans ? J'en sais rien et je m'en fou. A peine lâches t'il mes lèvres que j'ai envie de plus, mon regard est brillant quand il plonge dans le sien. Puis il affirme que je suis bien sa femme et ce mot dans sa bouche me fais des papillons dans le ventre. Je souris peut être un peu de façon idiote ou simplement amoureuse.

Je fais un petit tour dans l'appart et quand je reviens je vois la zombie foncer sur mon mec, je cherche pas une seconde avant de la planter dans l'oeil, qui reste d'ailleurs un peu sur le couteau, je le retire rapidement l'air dégoûté avant de me tourner vers Mike pour le regarder en arquant un sourcil. Simone ou n'importe qui, il n'a pas intérêt à aller voir ailleurs. On va tout les deux vers le canapé quand il me parle d'autres femmes. Mon regard s'assombrit. Je le laisse désinfecté son bras version Mike et boire une rassade. Quand il pose la bouteille et me fait signe je viens à lui.  Je suis encore un peu en colère par la jalousie et je ne dis rien quand il dis que je suis parfaite. Puis je lui donne le joins qu'il allume rapidement.

Rapidement je me retrouve à califourchon sur lui, ma main sur sa gorge. Je serre un peu, juste assez pour lui plaire. C'est que je le connais le Mike. Puis je lui dis en fixant son regard. - Si jamais tu m'trompes Mike ... Je t'assure que je vous crève tout les deux.. mais d'abord vous allez en chier ... T'es à moi compris ? Je prend le joins entre mes doigts pour capturer ses lèvres avec une certaine fureur, une passion et un amour qu'on ne peut pas nier. Puis je me recule un peu mordant sa lèvre inférieur qui rebondit de façon appétissante. - A moi ! murmurais je avant de lui poser un rapide baiser sur les lèvres et lui remettre le joins.

Je prend son bras entre mes mains pour retirer les petits morceaux de bouts de verre et nettoyer un peu la plait avec une compresse. Je lance des petits regards à mon homme, un petit sourire en coin. Jamais il ne pourrait douter de mon amour, ce serait de la folie de sa part. Cela se vois comme un écriteau lumineux. Je l'ai retrouvé et je me sens revivre.
Invité
Sam 16 Jan - 16:54 ||
AnonymousInvité
T’es comme ça, toi, t’aimes la provoquer. Parce qu’à chaque fois que tu le fais, et que tu vois la blessure sur son visage, tu sais qu’elle t’aime. Comme à chaque fois qu’elle te hurle dessus ou te supplie de ne pas partir, tu sais qu’elle t’aime. C’est ta manière de t’en inquiéter, de vérifier que ça fonctionne toujours comme ça, qu’elle t’aime. T’es incapable de le lui demander en face, ou même de la laisser te le dire, faut toujours que tu provoques les choses.

Et autant dire que quand tu t’installes dans le canapé en continuant de taper là où ça doit probablement faire mal, tu te rends bien compte que ça la fait réagir. Tu vois un peu ce qui se joue sur son visage. Et au final, quand elle s’approche de toi, qu’elle vient littéralement s’installer sur toi, tu as grognement satisfait. Ta main relâche ton joint pour venir l’attraper par la taille et la retenir dans cette position. Tu la laisses venir vers toi, tu l’embrasses avec l’envie de la dévorer, de la sentir hurler, pleurer et rire sous tes lèvres et puis elle te redonne ton joint et tu souris comme un gosse.

« Ca me va pour l’instant ! Après, faut continuer à être une gentille nana si tu veux que je restes. Tu la laisses attraper ton bras, et tu l’observes te soigner. Me choisir moi, toujours et personne d’autres… »

Et… merde. Parce que ta voix s’est sacrément refroidie à cette réponse. Et que t’as l’image du gamin stupide qui revient dans ta tête et qui te lâche un vieux goût amer dégueulasse au fond de la bouche. D’ailleurs, elle vient d’en finir avec le verre, et sa compresse, que tu la laisses pas continuer. En faite, tu viens juste la faire basculer sur le canapé, pour lui passer dessus, la bloquer contre les coussins de tout ton point avec un regard mi-colérique, mi-désireux.

« Même pas ce gamin. Surtout pas ce gamin ! Que tu grognes, sur elle, et ta main viens accrocher ton joint pour le retirer de tes lèvres alors que quelques cendres incandescentes tombent sur sa peau à elle. T’as plus jamais intérêt à aller voir ailleurs, Dani, parce que j’m’arrangerai pour que tu le regrettes, tu m’entends ?! »

Et bordel, t’es vraiment complètement changeant en faite. Incapable de juste profité, de juste céder à l’envie d’elle, tu préfères la menacer, lui promettre les pires douleurs. Et tu la regardes comme ça de longs instants, sans te dire qu’elle peut voir toute ta passion dans tes yeux, avant de la relâcher et te remettre assis.

« J’espère que ces saletés vont se tirer fissa… j’ai pas envie de rester plus longtemps en ville. »

Tout ça parce que Sky est dans cette putain de ville aussi, c’est grave ta jalousie.
Invité
Sam 16 Jan - 17:35 ||
AnonymousInvité

d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif Elle monte, elle monte la colère, la jalousie, l'inquiétude. Parfois je me demandais ce que j'aurais fais si je l'aurais trouvé dans les bras d'une autre. Si avec l'épidémie il m'avait oublié. Est ce que je les aurais tués ? Est ce que je me serais tué ... Probablement les deux en faite. Je n'étais pas méchante, je n'étais pas folle mais cet homme était à moi et ne pouvait, de devait être à personne d'autre. Alors qu'il continuait à me faire monter dans les tours je finis par lui sauter dessus, m'asseyant à cheval sur lui, le regardant dans les yeux et attrapant sa gorge pour lui faire par du déroulement de la situation si il osait aller avec une autre. Puis il m'embrasse et j'ai l'impression de respirer à nouveau à chaque fois qu'il fait ça. Un baiser qui en dis long. Je sais qu'il m'aime, peut être même autant que je l'aime. On se le dis rarement mais on se le prouve, toujours, pas de la meilleure des façons je le conçois mais nous on sait. On sait ce qu'on pense l'un de l'autre et c'est ça le plus important.

Quand je lui rends son joint, il a ce sourire que j'aime tant, ce sourire de gosse qui me donne envie de le bouffer encore et encore. Puis il ose me dire que ça lui va " pour l'instant " j'attrape son visage dans mes mains et je lui dis alors d'un ton faussement effrayant Pour l'instant ? Quand t'en auras marre de moi mon ange ... tu signeras ta mort. puis s'est un sourire immense qui illumine mon visage de bonheur. Ce bonheur fou de l'avoir enfin retrouver. Finalement je prend son bras pour commencer à le soigner quand il affirme que je dois le choisir lui et toujours lui. Je retire des petits morceaux de verres, faisant attention qu'il n'en reste pas , ce serait con qu'il meurt d'une infection stupide en plein apocalypse. Pourtant à ses mots mon regard se tourne vers lui. Tu sais bien que je ne veux personne d'autres... et qu'ça changeras pas .. J'taime idiot .. Oui c'était rare que je le dis je mais là il en avait besoin, besoin de l'entendre. Du moins c'était ma pensée.

Finalement à peine ai je fini de le soigner que je me retrouve allongée sur le canapé, un Mike au dessus de moi. Je vois à son regard que sa folie n'est pas loin et qu'il a un truc à me dire, un truc qui ne va pas me plaire. Ouai ça c'est sur. La compresse tombe au sol et je sais que ça va mal se passer. Enfin du moins pour moi ou du moins pour mon coeur. Ma plus grande peur s'est qu'il décide de ne plus être avec moi. Quand il me parle de SKy, j'en ai mal au coeur. Ne plus jamais aller voir ailleurs. MOn regard se bloque dans le sien. Je suis jamais allée voir ailleurs ... dis je simplement parce que au final c'était la vérité. FInalement il se redresse et je fais de même. Je pose mes pieds sur le canapé et ramène mes genoux contre mon torse. J'y entoure mes bras et je pose ma tête dessus pour regarder Mike. Je récupère mes affaires et on s'casse de la ville ... ça t'va ? Ma voix est étonnement douce et je sais que je ne reverrais plus Sky, qu'il va devoir se débrouiller sans moi, que je suis une horrible personne, que je suis égoïste mais aussi que je n'ai pas le choix. C'est bien moins dangereux pour lui de côtoyer les zombies que de me revoir ...

Je regarde la fenêtre on entends toujours les grognements mais j'espère qu'ils vont rapidement se calmer. Je prend la bouteille et en bois une longue gorgée avant de demander doucement. On pourrait p't'être avoir une baraque, le genre de truc qu'on aurait jamais eu ... Juste toi et moi Une maison avec Mike, cela me plairait beaucoup.
Invité
Dim 17 Jan - 18:28 ||
AnonymousInvité
Vous finirez pas vous détruire. C’est l’une des rares choses intelligente que tu te dis et que tu sais depuis longtemps. Depuis qu’tu vois comme tu l’aimes et qu’tu sais aussi combien tu peux lui faire du mal. Au final, même quand c’est elle qui vient te chercher, bah tu te rends bien compte qu’elle n’est pas mieux. Moins violente que toi, mais vous partagez la même folie. À croire que tout c’que vous prenez à fini par vous griller quelques neurones.

« J’compte pas mourir de ta main, Dani. Que tu lui réponds en roulant les yeux, parce que tu refuses de l’imaginer avoir l’ascendant sur toi. Pis t’as qu’à faire en sorte que j’en ai jamais marre de toi. »

Et voilà, Mike, tu recommences à être toujours aussi égoïste. Tout ce que tu sais faire, c’est la provoquer et la pousser à porter sur ses épaules le fait que votre couple survit. Tu fais des efforts, hein, mais t’acceptes pas de le reconnaître. En faite c’est mille fois plus simple de toujours la tenir responsable de toi, sinon tu sais bien qu’tu passerais ta vie à te haïr.

Et donc voilà que tu la retournes sur le canapé, que tu l’agresses, que tu recommences à lui faire du mal, à cogner où il faut avant de la laisser en plan. Pourtant t’aurais voulu plus, mais ta colère ne laisse pas la place à autre chose. Et quand elle te rappelle les mêmes choses, les mêmes mots, tu finis par soupirer et secouer la tête.

« J’en sais rien moi. Que tu lui offres, sans voir ta propre franchisse. J’ai pas l’choix, on a b’soin de tes affaires avant d’partir. »

C’est faux, et tu le sais au fond, mais c’est ta manière d’accepter le deal, de lui laisser cette liberté dont elle a besoin, parce qu’au fond t’es un gamin terrorisé de la perdre. Et quand elle finit par se redresser, recroquevillée sur elle-même, ca t’fait mal au cœur. Sans réfléchir, mon vieux, tu viens l’attirer vers toi, sous ton bras et tu t’apprêtes juste à profiter de la détente du joint pour dormir un peu.

« Hm ? Que tu marmonnes alors qu’elle se remet à jacasser. Une baraque ? Ouais, on doit pouvoir trouver ça. Mais alors pas en ville… j’veux voir le ciel la nuit moi. C’est con, mais tu sais que ça te donnera enfin l’impression d’être libre. Juste toi et moi. Tu rajoutes, lentement, avant de sombrer un peu plus dans la détendre, les yeux posés sur le plafond. T’as jamais voulu d’gosses, toi ? »

Tiens, c’est vrai que vous en avez jamais parlé. Après, faut dire aussi que vous êtes pas fait pour ça, votre mode de vie non plus. C’est juste que t’as toujours imaginé une maison pour vivre avec des gosses toi… C’est con hein ?
Invité
Dim 17 Jan - 18:52 ||
AnonymousInvité

d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif Nous sommes le feu, nous détruisons tout , et nous en premier. Pourtant c'est ensemble que nous sommes vivants. J'ai beau retourner la chose dans tout les sens, je le sait au fond jamais je ne pourrais vivre sans lui, j'y ai pensé pendant quelques temps, pendant l'apocalypse mais non rien y fais. Je l'aime, lui et personne d'autre et sans amour nous ne sommes que des âmes en peines. Finalement je lui fais comprendre que je le tuerais si il va faire une autre femme. Il fini par me dire qu'il ne mourra pas de ma main, mais au font je sais que j'en serais capable, par folie ou pas désespoir. Je pourrais faire cramer la baraque avec les deux dedans. Je serre le poing à cette pensée, ce mec me rends folle et je suis consciente qu'il me détruit mais je ne peux rien y faire, j'adore ça ! IL affirme alors que je n'ai qu'à faire en sorte qu'il n'en ai jamais marre de moi, alors avec un petit sourire je lui dis doucement. C'est ce que je fais depuis des années ... ça marche plutôt bien. La drogue ne nous a pas séparé, même la fin du monde ne nous a pas séparé, une chose est sur seule la mort le pourra... et encore.

Finalement il recommence, il m'agresse encore et je lui rappelle la même chose. Que puis je lui dire de plus à part cette vérité. Je n'ai jamais eu personne d'autres que lui, que ce soit dans mon lit, dans mon coeur ou dans ma tête. IL n'y a toujours eu que lui, depuis que mon regard à croisée celui de ce badboy. Il fini par affirmer qu'on a pas le choix que récupérer mes affaires. C'est pas faux au fond alors je ne dis rien. Je sais qu'il pense certainement uniquement aux plants mais moi je pense à tout le reste, les photos qu'ils me reste de ma famille, mes vêtements et puis pas mal d'autres choses qui finalement ne tiennent que dans un sac.

Je sais que je ne reverrais plus Sky' après avoir récupérer mes affaires et ça me fait mal au coeur. Je me mets en boule dans cette position qui me rassure. Surprise je sens le bras de Mike m'attirer à lui mais sans violence cette fois, je pose ma tête contre son épaule et je ferme les yeux quelques instants. Son odeur me rassure pourtant c'est de lui que je devrais avoir le plus peur, mais j'y peut rien, d'une certaine façon il me rassure. Je sais qu'il ne m'abandonnerait pas, pas lui, alors dans ses bras je me sens chez moi, peut importe où nous sommes vraiment, là je suis chez moi. Je fini par rêver du après et je lui demande si il voudrait pas une maison. Une de ces maisons qu'on aurait jamais eux. Je bois une gorgée de la bouteille avant de la refermer pour la laisser sur le canapé à coté de moi.

Je crois que Mike s'endort un peu, mais c'est aussi le signe qu'il est apaisait et j'aime bien ça. Il parle d'une maison mais pas en ville. Je dis alors doucement en regardant le plafond. Non une maison à la campagne, genre on pourrait faire pousser d'la bouffe puis p't'être avoir des bestioles. Avec un grand jardin ... je me met à rêver de cette vie que je pouvais voir à la télé sans rêver l'avoir mais Mike pose une question et je me fige totalement, avoir des gosses ? Mon coeur ratte un battement car au final j'en ai toujours plus ou moins rêvé, au moins un qui ressemblerait un peu à lui et un peu à moi. Si ... parfois si ... mais j'veux dire avec notre vie, le squat, la drogue ... puis nos caractères .. j'm'e suis toujours dis que c'était pas l'bon plan. Et toi ..? J'ai un peu peur de sa réponse, qu'il me prenne pour une folle, qu'il me dise ne jamais en vouloir et si je tombais enceinte maintenant qu'il n'y a plus beaucoup de protection ... il ferait quoi ? En faite je n'y avais pas pensé jusqu'à maintenant ...


Invité
Mar 19 Jan - 14:35 ||
AnonymousInvité
Un jour, vous mourrez. C’est de ces phrases que tout le monde sait au fond de soi. Toi tu le sais pour autre chose que la mort genre de vieillesse. Tu sais qu’un jour, vous finirez pas dépasser la ligne et que vous ne reviendrez plus en arrière. Vous vous entretuerez, autant d’amour que de folie et les gens parleront deux trois jours de ce couples qui s’est tué par passion puis on vous oubliera. Et tu sais quoi Mike ? Ca t’fait même pas peur parce que tu seras avec elle… T’es grave.

Maintenant qu’tu te calmes, qu’une partie de ta peur et d’ton angoisse diminue, tu t’retrouves à pouvoir simplement l’attirer contre toi. Tes yeux se fixent sur un au-delà que tu voudrais trouver. T’as pas voulu d’une vie de merde, sans taff, sans toit fixe, bourré de saleté. T’as juste eu ce que tu était prédestiné à trouver. Mais maintenant, vieux, que plus rien ne tient debout, qu’personne est là pour t’interdire de partir ou menacer ta femme si t’obéis pas, bah tu remets les choses en questions et… ouais Dani en fait autant.

« Ca m’va. À la campagne, juste toi et moi. Tu réponds lentement en faisant courir le bout de tes doigts contre ses cheveux, comme une vieille habitude qu’on a avec son doudou. J’sais rien faire pousser à part de la beuh mais ça doit pas être si compliqué. Et tu fermes les yeux, parce qu’elle parle d’un jardin et qu’t’essaies de l’imaginer. Ouais, un endroit où on pourrait dormir sous le soleil en été. J’veux pas d’saloperie de fleurs qui puent par contre. »

T’as le nez sensible, t’aimes pas bien quand ca sent fort genre la lavande et le lilas, ça t’a toujours rebuté toi. Sûrement parce que les draps de l’orphelinat sentait c’genre de truc hein. Et puis ca te passe et tu lui poses une question bizarre. Tu t’attendrais à ce qu’elle rit ou se bouge, qu’elle s’écarte d’toi que tu te fige à ton tour quand elle répond. Et tu finis par relâcher un gros soupire.

« Si, mais j’serai pas un bon père alors j’ai enterré l’idée. Tu marmonnes, parce que mine de rien le temps passe aussi et que ça fait vieux 35 ans pour être père non ? J’veux pas qu’il ait ma vie, j’veux pas qu’il touche à la merde dans laquelle on vit. Mais j’aurais bien aimé avoir une mini toi. »

Une fille ouais, c’est clairement ça que tu aurais voulu. Une petite gamine aussi belle que sa mère et t’es presque certain que tu aurais pu lui promettre la lune et tenter de la lui arracher. Putain que t’es con, quand même...
Invité
Mar 19 Jan - 15:45 ||
AnonymousInvité

d8d9ca39cb28691c936cc386eb67ae08.gif C'était un peu étrange ce moment, oui ce n'était pas la première fois mais quand il commençait à être plus calme souvent nous étions déranger par un pote, un voisin ou un coup de téléphone. Faut dire que les drogués n'ont pas d'heure pour vouloir leur cames et que Mike avait besoin d'argent, toujours. Le squat était toujours plutôt sale et jamais vide de monde. Ouai ces moments là je ne savais pas trop comment le vivre de mon coté mais je savais que je devais les apprécier, alors ma tête restait sur l'épaule du tatoué alors qu'il jouait avec mes longs cheveux sombres comme il avait l'habitude de le faire depuis notre rencontre.

On essaye d'imaginer un futur, une maison à la campagne où on ferait pousser de la bouffe. - dis je l'air un peu ailleurs fixant le mur en face de nous. Nous étions calme et ça me faisait un bien fou. Il parla des fleurs et de la nuit étoilée qu'on pourrait avoir. - On arrachera les fleurs qui te plaisent pas. Jamais je pensais à moi et à mon bonheur parce que au final son bonheur apportait le mien, je n'essayais même pas de penser que cela allait dans les deux sens. Pour moi il n'y avait que lui, que son bonheur et son sourire à lui. Est ce que je lui étais soumise ? Totalement !

Puis il pose une question, LA question. Les enfants et je me fige un peu car nous en avions jamais parlé, et pourtant nous sommes ensembles depuis plus de dix ans maintenant. Une fille, alors il aurait voulu une fille. Ce qu'il me dit me touche et ma main vient chercher la tienne. J'attrape un cousin et tape un peu dessus pour retirer la poussière avant de le poser sur les jambes de Mike et y poser ma tête. Ainsi je peux le regarder. Je joues un peu avec ses longs doigts et me met à rêver un peu. Tu t'es pas dis que toute cette merde ça pourrait être une seconde chance ? Genre .. C'est pas nouveaux pour nous de devoir fuir et nous planquer, on sait faire mais ... P't'être qu'on pourrait essayer de ce construire ...genre... une vie qu'on aimerait vraiment. Tout recommencer genre .. toi , moi et une p'tite nous. J'hausse les épaules et rougie un peu, j'aime pas me montrer sentimentale, je sais pas vraiment pourquoi mais retirer ma carapace, même devant Mike c'est toujours difficile pour moi. J'ai pas eu d'mère, enfin pas bien longtemps et je ne sais pas non plus si je pourrais gérer tout ça mais parfois je me dis que ce serait pas mal.

Je n'entends plus de grognements alors au bout d'un moment je me redresse et regarde vers la fenêtre. Je pense qu'on va pouvoir y aller, chercher les affaires et quitter cette ville. On peut p't'être voir pour démarrer une voiture ? . Ma carapace reprend sa place et je me lève pour aller voir à la fenêtre, ouai la voies semble libre. Je range les affaires de secours dans mon sac, c'est toujours bon à prendre puis je regarde Mike et lui sourit. Viens on va trouver not' chez nous. Ma main se tends vers lui alors que ma tête se penche un peu sur le coté. Aussi mauvais qu'il puisse être, je peux pas m'imaginer ailleurs qu'à ses cotés. Au fond, je sais qu'il n'est pas si mauvais. Qu'il est juste malheureux. Un gosse perdu, c'est tout ce qu'il est.
Invité
Mer 20 Jan - 21:39 ||
AnonymousInvité
T’as une espèce de petit rire nul, quand elle parle d’arracher les fleurs que t’aiment pas. C’est con, pis mine de rien c’est vachement violent pour les fleurs, mais toi ça te plait. C’est pour ça qu’tu sais que tu l’aimes, ta Dani. Tout ce que tu as besoin, elle est capable de te le donner, sans concession. Alors ouais, t’es pas capable de lui dire les trois mots magiques, mais tu t’en fiches, parce qu’elle vient d’te les donner là, à sa manière.

Ce qui est franchement bizarre, par contre, c’est d’en venir à cette histoire de famille, de mômes. Parce que vous en avez jamais parlé avant et qu’tu sais que c’est une mauvaise idée. Bien trop mauvaise idée, qu’t’as banni de ta vie il y a des années et qu’tu ramènes sur le tapis parce que t’as surpris un bout de conversation y’a un moment et que ça t’a échappé.

« Hm ? Tu marmonnes, alors qu’elle s’installe sur tes genoux. Tes mains viennent aussi sec jouer avec ses cheveux alors qu’elle te parle d’un truc qui… merde… fait grossir une graine d’espoir au fond d’toi. J’sais pas Dani. Que tu te retrouves à marmonner, sans la regarder. On peut partir d’ici, trouver la baraque mais l’reste j’sais pas. J’sais pas… si j’peux vraiment changer. »

À vrai dire, t’es plutôt persuadé que non, mais ça c’est parce que t’as zéro confiance en toi, en ce que tu as de meilleur. Et tu veux pas la décevoir, c’est ça le plus vrai avec toi. Tu te retrouves à ne plus rien dire, à regarder fixement un mur, l’air à la fois perdu et vraiment en colère. Tu t’énerves, tu te dégoutes, tu te hais parfois Mike, et ça, ça ne changera jamais.

« Ouais on bouge, sinon j’vais m’endormir maintenant. »

Et t’as peur que si tu dors elle disparaisse, mais ça t’évite de le dire. Du coup, te voilà à bouger et à te remettre debout d’un coup. T’avales ce qu’il reste d’alcool avant de rallumer le joint qui s’est éteint y’a un bon moment. L’air bizarre, parce que tu sais ce que vous allez faire, tu finis par attraper la main de ta brune et l’attirer à toi brutalement. Tes lèvres reviennent prendre les siennes jusqu’à plus souffle.

« T’es à moi. »

Un rappel, parce qu’au fond t’es terrorisé, avant de sortir de l’appartement comme vous êtes montés et de devoir chercher l’autre gamin avant de partir, une bonne fois pour toute.
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