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[DONE] Chaque arbre tombe au bout de 10 coups. (Elrik)
Hyun-ae J. Rhee
Mer 27 Jan - 12:44 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu te crispes un peu, ma douce, quand l’homme semble oublier ta demande pour juste te dire qu’il ne t’arrivera rien. Tu n’en doutes pas, toi, mais le reste des gens ici vont forcément ne pas être de cet avis. Tes yeux se plantent dans les siens et tu le regardes avec insistance jusqu’à ce qu’il te promette ce que tu lui as demandé. Là et seulement là, Hyun-ae, tu peux souffler et passer à la suite.

Te voilà à t’écarter, pour aller chercher ton sac à dos, et tu récupères un petit couteau en plus que tu fourre dedans, un change au cas où il pleut et tu finis par reprendre la lance que tu traînes partout avec toi, et tu reviens vers lui après qu’il ai donné ses réserves. Tu n’as pas envie de trainer, alors tu vas jusqu’à la porte aussi sec, et c’est Jasper qui t’arrête, qui tente de t’embrasser, de te parler mais tu ne fais que la même chose qu’à chaque fois. Ton visage se tourne un peu pour éviter que ses lèvres rencontrent les tiennes, et tu finis par murmurer un “ca ira, ne t’inquiète pas” avant de… fuir, tout simplement.

En cinq minutes, te voilà donc sortie de la grange et tu ne laisses même pas le temps à Elrik de souffler. Tu te mets en route, sans savoir où tu es censé allée, tel un buffle qui charge. La tête dans les épaules, le visage fermé, ton sac se secoue au rythme de ta marche précipitée et ce n’est que lorsque tu ne vois plus la grange derrière toi que tu t’arrêtes d’un coup pour te tourner face à lui, l’air… passablement blessée et nerveuse.

« Excuse-les, ils ont peur et il réagissent stupidement. Si mon père était là, tu n’aurais pas été accueilli comme ça, mais depuis qu’il… depuis son absence, Jasper se sent le devoir de veiller sur nous. Tu pinces les lèvres, sans pouvoir chasser le mécontentement de tes traits, et tu finis quand même par soupirer en revenant vers lui. Désolé pour… la scène que j’ai faite, aussi. Je ne suis pas comme ça habituellement. »

Et oui, ma petite, tu crains qu’il puisse être déçu de toi, qu’il puisse tout simplement se dire que tu es devenue une mauvaise personne. Tes yeux vont à son visage, cherchent dans ses traits une réponse. Tu ne sais pas ce qu’il pense. En faite, tu te doutes qu’il a compris ce qui devrait te lier à Jasper, et ça aussi ça vient peser sur ton cœur alors tu finis par te détourner, pour cacher tes émotions et tu reprends.

« C’est par où ? Si tu veux, il y a un petit bourg pas loin, on peut faire un détour par là pour que tu ne reviennes pas les mains vides auprès de ces gens. »

Tu es stressée, nerveuse, et te voilà à te remettre à marcher ma belle, sauf que tu ne fais pas assez attention. Alors oui, tu as juste le temps de bondir sur le côté, en fauchant l’air avec ton arme, quand un homme de haute taille, mort et ramené à la vie, apparaît de derrière un arbre pour se jeter sur toi. Ton souffle s’accélère et plutôt que d’attaquer comme tu devrais le faire, te voilà à reculer parce que la surprise tétanise ton esprit.
Elrik W. Murawski
Mer 27 Jan - 15:18 ||
Elrik W. Murawski
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Tu n’es absolument pas mécontent de te tirer de là, Elrik, les regards et l’ambiance, tout ça commençait à devenir sacrément pesant, et si tu prends le temps d’abandonner la nourriture que tu transportes, sans doute pour prouver ta bonne foi, tu finis immanquablement par retourner te mettre en retrait, pour éviter à tout prix que l’on ne vienne vers toi, peu importe la raison. En fait, mon vieux, tu ne tardes même pas à aller te mettre du côté de la porte, tu la laisses faire ce qu’elle veut, tu ne la presses à aucun même, même si en toute honnêteté, plus vite tu seras à l’extérieur, mieux ce sera. D’ailleurs, quand enfin, elle approche à nouveau, tes yeux reviennent à elle, pile au moment où l’homme qui t’as réveillé, plus tôt, l’attrape à nouveau, et tu vois parfaitement ce qui se passe, mon vieux, tu vois sa tentative pour l’embrasser, et tu la vois, elle, qui se détourne presque immédiatement.

Vous voilà enfin, et finalement sortis de là, si tu prends le temps de bien verrouiller la porte pour éviter le moindre souci avant votre retour, la jeune femme, elle, a tracé sa route, droit devant et tu te vois obligé de forcer sur tes jambes pour la rattraper rapidement. Tu la sens contrariée, peut-être même agacée, mais tu ne dis rien, et tu ne poses pas la moindre question, même si la curiosité est là. En fait, tu attends, et c’est elle qui vient ouvrir la bouche à nouveau, de son propre chef. « Tu n’as pas besoin de t’excuser pour ça, c’est normal d’être méfiant. » Que ce soit clair, tu as compris la réaction de ce type, surement décidé à protéger sa famille, son groupe, évidemment, s’il avait attaqué, tu ne te serais pas laissé faire, mais il ne t’a pas touché, et il est resté à une distance raisonnable alors, tu estimes que tout va bien. « De même pour ta … scène. » Ouais, toi, tu n’appellerais pas ça comme ça, mais soit, tu reprends bêtement son terme. « C’est ton droit de donner ton avis et de t’imposer, Hyun-ae. »

Et tu vois, tout en disant ça, tu repenses à ce que tu as vu, constaté, et compris, en quelques minutes seulement au sein de ce groupe. En fait, ça tourne en rond dans ta petite tête, pendant un moment. « Je ne suis pas sorti pour de la nourriture mais pour un peu de matériel que j’ai toujours dans mon sac. Tout va bien, on peut y aller directement. » Et du doigt, tu lui désignes la direction, il faut simplement sortir du grand champ, et longer la route, ensuite, il y a le petit chemin de terre. Comme tu l’as dit, c’est à moins d’un kilomètre, et vu qu’ici, les terrains sont plats, on peut déjà discerner les bâtiments de la ferme, au loin.

Le hic, mon vieux, c’est que si personne n’a eu de soucis pendant la nuit … voilà qu’aux abords de la route, ce marcheur sort de derrière un arbre et c’est sur la brune qu’il se jette, heureusement, elle a de bons réflexes et elle bondit en arrière tandis que tu viens te placer devant elle au moment ou l’homme, clairement massif, vient attraper une proie. Et pour le coup, la proie, c’est toi. Il a une force impressionnante, Elrik, si bien que, lorsqu’il t’attrape, tu as beau lutter, rien n’y fait, il force, et tu perds bêtement l’équilibre avec lui, au point de rouler jusque dans le fossé. Dans votre lutte, s’il ne parvient pas à te mordre, ton dos, lui fait la rencontre d’une pierre, à demi ensevelie sous terre, mais sacrément tranchante. Elle vient douloureusement entailler ta peau, tout en maltraitant tes côtes, et toi, tu ne peux même pas faire autrement que de rester concentré sur le zombie, dont tu essaies de te débarrasser, pour ne pas finir dans le même état que lui …
Hyun-ae J. Rhee
Mer 27 Jan - 16:10 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu fais une drôle de moue, petite fille. Parce que tu ne considères pas que la méfiance soit de mise dans un monde où l’être humain est en permanence en danger. Tu ne dis rien, pourtant, parce qu’en même temps, tu ne veux pas donner l’idée que tu te rebelles contre ton groupe. En résumé, tu es coincée, comme bien souvent. Alors oui, tu baisses la tête et te revoilà à avancer alors qu’il te passe ton comportement pourtant désastreux (ce serait typiquement les mots de tes parents) et que tu soupires de plus belle.

« Si seulement ils partageaient un peu ton point de vue. Je ne serais pas obligée de hausser la voix stupidement de cette façon. Tes yeux vont à lui, et tu lui offres un petit sourire doux. Merci de penser cela. »

En avançant à nouveau, tu viens lui proposer de retrouver un peu de nourriture, parce que tu ne veux pas qu’il soit mis en défaut dans son groupe à cause des tiens. Mais non. Tu n’as pas le temps d’en parler, de te débattre face à son refus que cet abomination se jette sur toi et que, si tu l’évites, c’est uniquement par chance.

Tu as peur Hyun-ae. Ton père est mort de cette façon, et pendant quelques instants, tu ne peux pas t’empêcher de paniquer, de te dire que tu vas finir comme lui, sans ne rien pouvoir faire. Sauf que tu n’es pas seule. Si personne n’a pu défendre ton père, Elrik se dresse aussi sec devant toi et tu vois le monstre se jeter sur lui. Tu comprends sa force en voyant l’homme de ton enfance lutter sans parvenir à en prendre le dessus et un couinement t’échappe.

« Elrik… »

Il chute et toi, tu bondis en avant, ne sachant que faire. Jusqu’à les voir au fond du fossé et comprendre qu’il faut que tu fasse quelque chose. Alors oui, tu sautes à ton tour, et retombes derrière eux. Ta pique tente d’atteindre le monstre et vient s’écraser contre son dos, vêtu de quelque chose de dur. Elle casse en deux aussi sec et tu lâches un glapissement perdu, avant de te jeter sur la pointe de ton arme et te relever aussi sec, les yeux embués de larmes de peur.

« FUIS ! FUIS MAINTENANT ! »

Parce qu’au même instant, Hyun-ae, tu déchires ta main d’une profonde entaille et te voilà à la secouer dans sur le monstre pour l’asperger de ton sang frais et odorant. Et comme prévu, la chose lâche Elrik aussi sec oui. Mais elle se tourne vers toi. Elle ne te lâchera plus maintenant que le liquide rouge coule entre tes doigts, tu le sais. Alors sans réfléchir, tu fais demi-tour dans le fossé et te voilà à partir dans le sens inverse d’où est ton compagnon, pour tenter de lui sauver sa vie, et probablement, essayer de sauver la tienne aussi.
Elrik W. Murawski
Mer 27 Jan - 17:58 ||
Elrik W. Murawski
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Quelle espèce de gros connard ! Sérieusement, les rôdeurs tout à fait lambda passent encore, même quand on sait qu’ils peuvent déployer une sacrée force, tu sais que tu peux t’en sortir, tu peux lutter, mais là, Elrik, tu te dis que c’est complètement impossible quand il te balaye et qu’il t’envoie au sol avec une facilité déconcertante. Tout ce que tu parviens à faire, c’est garder sa mâchoire à une certaine distance de ta peau, pour éviter qu’il ne vienne te mordre, mais c’est moins un à chaque claquement de mâchoire, et tu as beau le pousser, mon vieux, tu as beau essayer de le frapper, rien n’y fait, il résiste et il s’acharne pour tenter de te dévorer.

Et toi, tu as beau être un mec qui a, tout de même, une certaine éducation, non, tu n’espères pas que Hyun-ae se soit enfuie, mieux, tu es presque soulagé de voir qu’elle s’en mêle, parce que tu te dis que s’il est distrait, tu pourras l’abattre, tu ne permettras pas qu’il lui arrive quelque chose, tu dis juste que ce sera plus simple à deux … le hic, c’est que tu ne sais pas trop ce qu’il porte, hein, ce truc, mais l’arme de la jeune femme casse en deux dés le premier coup dans un « clac » sonore des plus inquiétant. « Merde … » Que tu marmonnes, en luttant, encore et toujours, mais en sentant surtout que, peu à peu, face à la force qu’il utilise pour t’avoir, toi, tu faiblis. En fait, Elrik, tu ne dois ton salut qu’à une action … stupide et dangereuse de la brunette. Subitement, sans que tu ne comprennes pourquoi dans un premier temps, voilà que le marcheur s’agite, se redresse, cesse d’essayer de te mordre et se tourne vers elle, et tu n’as que le temps de jeter un coup d’œil, de voir sa main, d’entendre sa voix, qu’il bouge et bon sang, ton sang ne fait qu’un tour, quand tu comprends qu’il va l’avoir, elle.

Malgré la douleur qui te martèles le dos, tu te lèves, tu viens chercher la matraque à ta ceinture, et tu cognes un coup à l’arrière du crâne du rôdeur … ça ne sert à rien. Ça résiste. Et face à la rapidement à laquelle il semble vouloir se ruer sur Hyun-ae, tu finis par lâcher ton arme, et tu lui sautes sur le dos, comme un enfant sur le dos d’un adulte, tu t’accroches à son cou, et tu sers, tu tires en arrière pour le freiner, l’arrêter, le faire basculer, et tu y parviens, Elrik, parce qu’il s’arrête, il reste sur place, il tente à nouveau de t’attraper, ou au moins de se débarrasser de toi, tu ne sais pas trop. « Tue-le ! » Tu cris à la jeune femme. Encore une fois, Elrik, tu ne lui demandes pas de fuir, elle t’a affirmé qu’elle pouvait se battre, qu’elle était assez forte, et surtout, qu’elle ne supportait pas d’être mise à l’écart, laissé derrière. « Hyun-ae, frappe-le, je vais pas tenir longtemps, dépêche-toi ! »
Hyun-ae J. Rhee
Mer 27 Jan - 18:39 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu réagis comme un automate. Ce qu’il y a dans ta tête, en vérité Hyun-ae, ce n’est uniquement que le bruit de ton cœur, qui résonne fort et vite. Trop fort et trop vite. Parce que si tu as eu peur pour toi, sur le coup, c’est pour Elrik que tu paniques maintenant. C’est pour lui que tu sautes dans le fossé et que tu finis par entaillé méchamment ta main et faire jaillir le sang qui, tu en es certaine, plaira bien plus à la créature que l’homme.

Ce qui est bien, dans ta réaction, c’est que malgré le fait que tu ne réagisse que par instinct, tu vises juste. Le monde abandonne aussi sec l’homme qui hante tes rêves pour se jeter sur toi, et tu n’as plus rien d’autre à faire que fuir. Courir et l’éloigner d’ici, c’est ce que tu te dis. Sauf que tu ne fais pas plus de quelques mètres avant que la voix d’Elrik ne te rappelle à l’ordre. Il faut que tu l’abattes !

En tournoyant sur toi-même, tes cheveux dans les yeux, collés même sur tes lèvres, tu le découvres agrippés à l’abomination pour le tenir immobile. Et tu te doutes qu’il ne parviendra pas si longtemps que ça à lutter, alors sans réfléchir, de ta main saine, tu agrippes le bout de ta lance et tu te jettes sur l’étrange duo qui se débat d’un grand bond. Tu vises les yeux. Un premier coup dans le droit, tu recommences aussi sec dans le gauche. Le sang noir se met à gicler autour de toi… sur toi, mais tu es si enragée que tu recommences, jusqu’à ce que la cavité oculaire lâche et que tu n’enfonces la long lame de métal dans son cerveau, lui arrachant un dernier grognement puis… plus rien.

« Il… Il est… mort ? »

Tu as toujours l’arme en main, relevée, prête à s’abattre mais le monde cesse de se débattre et tu recules alors que tes yeux se chargent de larmes. Incapable de lâcher ton arme, tu attends qu’Elrik relâche le corps définitivement passé dans l’Autre Monde du monstre et brutalement tu te jettes sur lui. Tes bras autour de son cou, tu l’enserres contre toi, avant de littéralement venir te blottir contre lui, accrochée à son torse comme un véritable petit koala.

« Tu vas bien ? Tu lui demandes en continuant de pleurer, alors que tes mains rouges de ton sang glissent sur son visage en laissant des traînés étranges sur sa peau. Je suis désolée ! Je ne savais plus quoi faire ! Tu reviens serres tes bras sur son cou, cacher ton visage dans son épaule, avant de tenter de ravaler tes larmes et essayer de te reprendre. C’était quoi ce truc ? Pourquoi… pourquoi il était si fort ? »

Et pendant quelques instants, tu te persuades qu’il s’agissait d’un autre type de monstre, un genre de mutant, envoyé là pour vous arracher la vie. Sauf que tu sais aussi que ce n’est pas le cas, et tu finis par retomber doucement au sol, te rendre compte de la manière dont tu t’es accrochée à lui et tu finis par reculer en baissant la tête, sacrément timidement en faite.

« Excuse-moi, j’ai… j’ai pas réfléchi. Tu viens détourner tes yeux sur ta main qui te fait un mal de chien, maintenant. T’aurais un bout de tissu ou un bandage par hasard ? J’ai peur d’attraper la mort si je laisse ça comme ça. »
Elrik W. Murawski
Mer 27 Jan - 19:56 ||
Elrik W. Murawski
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Quelques minutes, tu ne te donnes pas plus de quelques minutes, tout au plus, avant de lâcher, tu le sens. La douleur de ton dos t’empêche de tout donner, et ce monstre est l’un des plus fort et des plus massifs que tu aies eu l’occasion de voir et de rencontrer jusqu’à présent. Autant dire que ça tombe mal, puisque tu viens d’emmener cette jeune femme avec toi, de lui mettre en tête de te suivre pour trouver la sécurité … pour autant, malgré la difficulté, tu n’abandonnes absolument cette idée fixe, dans ta tête, de la ramener en vie, d’abord jusqu’à la ferme, puis de nouveau auprès des siens quand elle aura vu de ses yeux tout ce que tu as tenté de lui décrire avec des mots. C’est pour ça que tu forces, autant qu’il t’est possible de le faire pour le retenir, empêcher cette chose horrible de lui faire du mal, et aussi lui permettre, à elle, d’en finir une bonne fois pour toute.

Ta voix tonnes, tu l’appelles, tu lui demandes de te donner un coup de main, de le frapper, de faire quelque chose pour l’éliminer pendant que tu le retiens, que tu l’empêches de trop bouger, et si durant un instant, tu as l’impression qu’elle ne sait pas trop quoi, ou comment faire, elle finit par bouger. Elle se met à le frapper, le blesser, encore et encore, et petit à petit, tu le sens faiblir, jusqu’à ce qu’il termine par s’effondrer et toi, tu le lâches pile au bon moment pour ne pas retourner au sol en sa compagnie, avant de venir frotter tes mains contre ton jean déjà dégueulasse, en grimaçant. « Ouais … enfin. » Que tu lâches, en lançant une espèce de regard clairement dédaigneux à ce monstre, qui, franchement, vous en aura donné, du fil à retordre, pour un seul et unique marcheur. Cela dit, tu viens quand même le tapoter du pied, avant de te redresser pour de bon et, bon sang, la voilà qui se jettes littéralement contre toi, sur toi, ses bras autour de ton cou, ses jambes autour de ton torse, elle te serre avec force et toi, tu luttes pour ne pas basculer, et tu finis par refermer tes bras sur elle, pour t’assurer d’une certaine stabilité. « Je suis vivant. » Ouais, t’as dû encore t’abimer, même si ce n’est pas forcément grave, et bah sur le coup, mon vieux, ça fait quand même un sacré mal de chien. « Tu m’as sauvé la vie. » Tu lui annonces, juste parce que c’est la vérité, si tu avais croisé ce truc seul, tu serais probablement mort, parce que, tu n’aurais pas réussi à t’en débarrasser. « J’en sais rien, il devait l’être pratiquement tout autant de son vivant … » Ouais, c’est rien qu’un mec sacrément balèze qui a eu la malchance d’être mordu et transformé.

Et tu souffles, un instant, tu la gardes contre toi, tu la retiens, la supportes, avant qu’elle ne se décide d’elle-même à s’éloigner, à retourner au sol, et là, tu grimaces un peu en faisant craquer quelques-unes de tes vertèbres. « T’en fais pas pour ça. » Et tu avances d’un pas, tu viens chercher sa main blessée, de la tienne, doucement, tu regardes l’état dans lequel elle est, durant un instant, et puis tout en débarrassant de ton sac – étonnement, il est toujours accroché à ton dos tiens … – tu viens retirer le t-shirt que tu portes, tu le déchires sans effort et puis, tu viens récupérer une bande de tissu que tu enroules autour de sa main blessée, pour ralentir le saignement. « Tu pourras voir un médecin à la ferme … » Que tu lui indiques, en terminant, puis, en relevant le nez vers elle pour l’observer. Quand ta main se lève, c’est pour venir lui offrir une caresse douce, sur la joue. « Ne te blesse pas si facilement, Hyun-ae. » Surtout pas pour toi, mais ça, hein, tu évites de lui dire.

Finalement, oubliant tes propres potentielles blessures, tu viens attraper un sweat, qui traîne dans ton sac, avant de le refermer au mieux. « Ne traînons pas plus, on est presque arrivés. »
Hyun-ae J. Rhee
Mer 27 Jan - 21:30 ||
Hyun-ae J. Rhee
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T’en reviens pas, Hyun-ae. En faite c’est tellement un choc pour toi, que vous soyez vivant, que ce monstre soit tombé sous tes coups aussi, que tu te jettes sur lui. Tu t’agrippes à lui comme s’il pouvait supporter ton poids ou ta proximité. En faite tu ne réfléchis à rien, tu grimpes juste là où tu as déjà rêvé d’aller et tu te serres contre lui. Et sûrement que tu ne le gênes pas, puisque tu sens ses bras se refermer sur toi. Pendant quelques instants, après le choc et la peur, c’est l’espoir qui éclot, grandit et que tu tues toi-même en t’éloignant de lui.

« J’ai fait ce que j’avais à faire ! Tu lui réponds, en pinçant un peu les lèvres, quand il parle de lui avoir sauvé la vie. Je ne pouvais pas te laisser contre cette chose. Je te l’ai dit, je ne veux pas que tu meurs, et je n’ai jamais voulu qu’il t’arrive du mal. »

Tu finis quand même par étirer tes lèvres en un sourire doux, alors qui balaie l’étrangeté de ton geste sans s’en soucier. Peut-être que tu aurais aimé qu’il te retienne, tiens, qu’il se rende compte que… que quoi hein ? Tu frisonnes, avant de le laisser bouger, regarder l’état de ta main et ma pauvre, tu n’as même pas le temps de l’en empêcher qu’il retire son vêtement et qu’il déchire son t-shirt pour te faire un bandage de fortune.

« Elrik ! Tu râles en lui lançant un drôle de regard. Tu n’étais pas obligé de faire ça, voyons. J’aurais pu me servir de mon haut. Tu secoues la tête, en l’observant pourtant à la dérober, comme une stupide adolescente en rut avant de détourner les yeux de lui, au risque de rougir sinon. C’est gentil, mais il ne fallait pas. »

Qu’est-ce qu’il aurait pu faire d’autre hein ? T’en sais rien ma belle, mais tu juges visiblement que c’est trop. Et quand il te fait la remarque de ne pas te laisser blesser si facilement, tu tournes brusquement la tête, les yeux plissés sur lui. On dirait un instant que tu as explosé de la même manière que tu l’as fait ce matin, amis finalement, tu hausses les épaules et tu réponds juste.

« Un peu de sang contre ta vie, ça ne me semble pas cher payé.Tu le laisses se couvrir à nouveau. Allons-y oui. »

Et sans plus attendre, sans regarder le visage tuméfié de l’homme que tu as abattu, tu remets ton sac sur tes épaules et te voilà à regarder le fossé un instant, avant de prendre de l’élan, agripper une racine et te tirer hors du trou d’un mouvement souple. Tu laisses Elrik te rejoindre, avant de lui emboiter le pas, les yeux fixement posé sur le sol, le regard éteint, le visage fermé.

Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes que tu ne tiens plus. Ta volonté de le comprendre… ou plutôt de le connaître, finit par te faire tourner encore la tête vers lui, et tu viens rouvrir tes lèvres pour articuler doucement :

« Tu ne t’es pas trop fait mal, avec tout ça ? Tes dents viennent happer le bord de ta lèvre inférieur, alors que tu ajoutes lentement. Tu… Tu es seul à cet endroit où l’on va ? »
Elrik W. Murawski
Mer 27 Jan - 22:19 ||
Elrik W. Murawski
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Date d'inscription : 21/01/2021
Elle est quand même sacrément étonnante cette petite, tu ne trouves pas, Elrik ? Dire que dans ton souvenir, Hyun-ae, c’est juste la petite sœur de Min-so, un garçon dont tu n’étais même pas si proche, mais avec lequel tu as traîné, parfois, parce qu’il faisait parti du large groupe de « potes » que tu avais, à l’époque. C’était une gamine. Elle était mignonne, tu as parfois pris sa défense, pour la préserver du caractère un peu trop agaçant de certains des garçons du groupe … quand elle s’est mise à te suivre, tu n’as rien dit. Tu l’as laissé faire. Tu t’es même arrangé, pendant des années, pour lui offrir un jus de fruit, une pâtisserie, de temps en temps, parfois un paquet de bonbon, ou une boisson quand tu sortais de l’épicerie. Tu as souris, dans son dos, quand parfois, elle partait en courant sans que tu ne comprennes réellement pourquoi, et maintenant, la voilà, de nouveau devant toi. Elle est loin de l’enfant que tu as connue, en fait, il te faut bien chercher, pour voir en elle des similitudes avec la petite fille de tes souvenirs. Ses yeux. Quelques-unes de ses expressions. Mais vraiment, Elrik, c’est une femme aujourd’hui, et si ton cerveau lutte parfois, encore, pour faire le lien entre elle, la petite fille qu’elle était – merci le trou de quinze ans qui fou le bordel de ton cerveau – au final, tu ne peux que constater, et noter son évolution. Une belle et grande évolution. Si tu en avais le droit, tu lui dirais sans doute que tu es sacrément fier d’elle.

Tu viens t’occuper rapidement de sa main, finalement. Ça t’ennuie qu’elle ait eu à se blesser, pour te protéger, t’aider, par ta faute en somme, mais tu ne dis rien, ou presque, tu ne formules qu’une simple demande, et puis, tu te détournes pour récupérer tes affaires, ton sac, enfiler un sweat et te remettre en route. C’est elle qui se sort du fossé en première, tu fais la même chose juste après, et vous voilà à longer la route, désormais, vous approchant de la ferme. En fait, vous n’êtes plus qu’à quelques minutes, quand elle reprend la parole. « Ce n’est rien, juste une pierre qui se trouvait au mauvais endroit. » Bon, et qui t’as sacrément bien entaillé la peau, mais ça, ce n’est qu’un détail, tu feras un passage à l’infirmerie, au moins, vous avez la chance d’avoir bien assez de personnel médical pour obtenir des soins efficaces assez rapidement. « Je te l’ai dit, je n’ai pas remis la main sur le moindre membre de ma famille … » Ouais, bon, sur le coup, tu l’avoues, tu trouves sa question bien étrange. C’est que toi, mon vieux, tu sais que tu n’as que ta famille, dans la vie. Tu n’as plus d’amis, tu as perdu contact avec tout le monde, tu as refusé de faire comme certains prisonniers luttant contre la solitude en correspondant par lettre avec des inconnus, en fait, tu as fini par t’acclimater à la solitude, c’est bien pour ça que ça te fait sacrément bizarre d’être dehors depuis six mois, et plus encore depuis que tu t’es installé à la ferme, au milieu de tous ces gens. « Je sors de prison … avec qui veux-tu que je sois ? » Et en fait, tu lui offres un petit sourire, un peu étrange. Tu te fiches bien d’être resté seul. Ouais, t’as trente-six ans maintenant, tu n’as pas eu l’occasion de rencontrer une femme avec laquelle tu aurais pu faire ta vie, tu as dû laisser l’amour de côté, tu as perdu l’occasion de fonder une famille alors que, c’était probablement l’un de tes rêves à toi, d’avoir des gosses. Tu aurais voulu le grand cliché, toi, une belle maison, un jardin, des enfants, une belle femme, et même le chien, sauf que, t’as fait une croix dessus toi-même, au final, Elrik.

Vous voilà finalement aux abords du portail, et immédiatement tu fais signe à l’un des patrouilleurs qui gardent la porte de l’endroit. Il approche, pour ouvrir, il avise évidemment la jeune femme et tu t’expliques rapidement, tandis qu’il te laisse finalement entrer dans la cour, refermant immédiatement derrière vous. Tu abandonnes ton sac, contenant du matériel en passant près de la grange, et finalement, délesté de ta seule responsabilité du jour, tu t’arrêtes, pour observer de nouveau Hyun-ae. « Par quoi est-ce que tu veux commencer ? Je peux te faire visiter, même s’il n’y a pas grand-chose à voir de plus … on peut passer par l’infirmerie désinfecter ta main, aussi, et, si tu veux rencontrer le leader, je peux t’emmener le voir, Max est un homme bien, il saura t’expliquer les choses mieux que moi. »
Hyun-ae J. Rhee
Mer 27 Jan - 23:05 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Vous revoilà en marche, et toi tu n’arrives pas à garder le silence bien longtemps. C’est fou comme tu es incapable de te taire, de laisser le temps couler sur vous. En faite, Hyun-ae, tu te dis probablement que tu as déjà perdu 15 ans vous enfermer dans le silence, alors oui, bien entendu que tu ne veux pas continuer dix minutes de plus. Parce que le temps va vite. En 15 ans, tu as eu le temps de voir le monde changer, tu sais qu’un de ses frères est mort, tu as vu ton propre père tomber. En dix minutes, bien trop de choses peuvent se passer.

« Oh, mais tu aurais du me le dire, j’aurais pu regarder ! Que tu lui lances, surprise. Tes yeux glissent sur les environs. Laisse-moi regarder ça quand nous serons en sécurité… s’il te plait ! »

Tu pourrais le laisser voir un médecin, oui, tu le sais, mais tu n’en as pas envie. Pourtant, tu n’es pas ce qu’il y a de plus égoïste sur le marché, sauf qu’il semblerait que retrouver Elrik dans ces circonstances réveillent de drôles de choses en toi. À la place, plutôt que de te fustiger toute seule sur ce caractère anormal que tu déploies, tu reviens t’enquérir de lui, de comment il vit et si tu sais déjà qu’il n’a pas retrouvé les siens, tu détournes les yeux quand il comprend où tu veux en venir.

« Avec qui tu veux ? La prison n’empêche pas toujours les gens de faire leur vie… Tu murmures, en te sentant soudainement bien bête. Et puis tu as pu rencontrer d’autres personnes dans ce camp, aussi. »

Il y a mille et un scenarios, dans ta tête, qui justifie le fait qu’il pourrait avoir construit quelque chose, avant même que tu puisses recroiser son chemin, et ça tu ne peux que le garder pour toi. La tête dans les épaules, les mains serrées l’une contre l’autre, tu finis de couvrir le chemin bien plus dans la retenue qu’avant. Lorsque vous arrivez au camp, tu te caches dans l’ombre de l’homme en découvrant des armes dans les mains des patrouilleurs et c’est quand vous finissez par entrer que tu te reprends, jetant un regard curieux sur les environs.

« C’est vraiment sécurisé. Que tu remarques en premier lieu, avant de l’écouter te proposer ce que vous pouvez faire, maintenant. Je n’ai pas besoin de voir un médecin… Tu refuses, parce que tu n’aimes pas qu’on te touche et que tu crains aussi qu’on ne t’inspecte… plus en détail pour s’assurer que tu n’es pas mordue (ton père faisait la même chose avec les étrangers). Allons voir cet homme, Max. Que tu décides, avant de le retenir quand même par la main. Mais avant ça, laisse-moi voir ton dos. »

Et tu tires doucement sur sa main, sur son bras, pour l’enjoindre à te faire confiance. Tu ne veux pas qu’il souffre inutilement, et tu veux aussi être celle qui pourra le soigner, puisque tu as décidé de le défendre. Tu l’entraines vers ce qui semble être une grange un peu reculée, sans savoir ce que c’est et tu continues de poser ce regard bien trop… puissant, sur lui.

« Je ne veux pas que tu souffres. Que tu rajoutes doucement, avant de te recroquevillée un peu en voyant quelques regards curieux sur toi. Tu ne vas pas me laisser seule ici, hein ? »

Il faut dire que ça fait 6 mois que tu n’as fréquenté plus de 6 personnes à la fois. Le camp te semble démesurément grand en comparaison !
Elrik W. Murawski
Jeu 28 Jan - 9:15 ||
Elrik W. Murawski
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Autant dire qu’à partir du moment où vous avez franchi la grille, et les barricades qui protègent la ferme, Elrik, tu te sens tout de suite bien plus serein. Tu sais qu’ici, il y a peu de chance de tomber nez à nez avec un rôdeur, tu n’as pas écarté la possibilité qu’un jour, par accident, ou mauvais concours de circonstances, ça puisse arriver, bien sûr, mais pour l’heure, tu sais que les choses vont relativement bien, ici, alors, tu abandonnes ton sac, tu offres ce que tu as ramené pour que ce soit rangé, utilisé, peu importe et tu ne gardes que la matraque, à ta ceinture, parce qu’elle est à cette place en permanence depuis que tu as quitté la prison.

« J’ai rencontré pas mal de monde dans ce camp. » Tu finis par avouer, pour faire suite à ses remarques précédentes, et à la discussion qu’elle a elle-même engager au sujet des gens que tu peux côtoyer. « Des gens qui essaient de rester en vie, mais tout ce qui peut m’unir à eux, pour le moment, c’est l’entraide. » Ouais, on ne peut pas réellement dire que tu te sois fait des amis, du moins, pas selon ta définition à toi. Alors, ouais, non, tu es loin d’avoir tisser des liens aussi … profond qu’elle semble le sous-entendre. Quoi qu’il en soit, tu n’as pas oublié pourquoi elle est là, et tu veux réellement qu’elle comprenne qu’elle aurait, elle, oui, mais aussi son groupe, hein, plus de chance de s’en sortir, et de rester en vie. En plus, en lui proposant de rencontrer Max, tu sais qu’elle aura tout le loisir de se rendre compte qu’elle pourra se rendre utile au sein de la ferme, parce que le vieux bonhomme ne pourra pas se retenir de le préciser. « Tu es sûre ? » Tu finis par lui demander, quand elle t’annonce ne pas avoir besoin de voir de médecin. Ce n’est qu’une coupure, oui, ça va guérir, même si ça s’infecte un peu, ça ne sera probablement pas si dramatique, mais … quand même. Non, en fait, Elrik, elle choisit de rencontrer le Leader en priorité, alors, finalement, tu n’insistes pour rien du tout, tu te contentes d’accepter, et te voilà déjà prêt à l’emmener, la guider.

Sauf que tu vois, mon vieux, elle ne semble pas avoir abandonné l’idée de regarder ce que la pierre à pu faire à ton dos, tes côtes. En fait, elle ne te laisse pas protester, ou négocier, elle vient simplement chercher ta main pour t’entraîner à sa suite comme si elle connaissait parfaitement les lieux, et tu as un sourire, quand tu te rends compte qu’elle t’emmène droit vers l’une des dépendances dans lesquelles vous stockez pas mal de trucs ramenés, ou trouvés, qui pourraient être utiles. Et en fait, mon vieux, elle ne t’a pas quitté du regard, elle. Et que dire de ce regard, si ce n’est qu’il provoque en toi quelque chose de complètement non identifié … de plaisant, ou, mais de perturbant, aussi. « C’est trois fois rien … » Que tu te prends à souffler, face à elle, et quand tu te rends compte qu’elle ne semble pas réellement des plus à l’aise, tu finis par prendre la tête, dans la même direction, et c’est toi qui prends sa main, qui la tire vers toi, pour ensuite l’entrainer avec toi. « Tu ne seras jamais seule si tu décides de t’installer ici. » Sous-entendu, tu seras là, évidemment, parce qu’il est bien hors de question que tu la confies à quelqu’un d’autre ici, même si les gens ici sont profondément bons, en général.

Et finalement, vous voilà dans la petite grange et tu viens, du pied, décaler une caisse avant de te débarrasser, à nouveau de ton sweat et ce, sans la moindre hésitation. Il faut dire, Elrik, que quand on a fait quinze ans de prison, sans intimité, la pudeur, c’est quelque chose qu’on oublie facilement. Tu poses négligemment le vêtement au sol, avant de lui tourner le dos. « Alors, verdict ? Ce n’est pas si grave, si ? »
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