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Qui a fait le travail ? Celui qui l’a achevé. (Leith) Naolane D. KarunaMar 19 Jan - 15:13 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 68 Date d'inscription : 06/01/2021
Tu as un drôle de mouvement, Nao, parce que tu ne pensais pas viser juste en lui posant la question sur sa vie maritale. Non pas que tu ne peux pas imaginer un homme comme Leith sans femme hein, ce serait même plutôt le contraire, il est beau garçon et il a l’air attentionné sous ses airs revêches, mais plutôt qu’il a l’air si solitaire que ça te prend par surprise. Et voilà que pendant de longs instants tu bégaies comme une idiote incapable d’aligner trois mots, parce que tu te sens comme une idiote. Au final, ma douce, tu ne fais que cesser d’essayer de parler pour ravaler tes mots et simplement être incapable de cacher ton rougissement. Que tu peux être bête parfois.
Et c’est au final tes bêtises sur l’amour qui finissent par te donner une échappatoire. Tu te tournes vers lui avec surprise, quand il te parle de mariage et de divorce et te voilà maintenant à gonfler les joues sur une face pas bien contente. En voilà encore un qui croit que tu n’y connais rien parce que tu es jeune. C’est fou comme tout le monde fait ça avec toi non ? Peut-être que tu ressembles trop à une gamine.
« Dites donc, monsieur le lieutenant de police, je ne vous permets pas ! Tu grognes, alors qu’il accepte, enfin, de venir se coucher sur le lit de fortune, et que tu t’assieds pour l’observer regarder ailleurs. Je n’ai pas besoin d’être mariée ou divorcée pour savoir ce que ça fait d’aimer ou de souffrir d’amour. Et tu t’approches, stupidement, avant de venir tapoter du côté de son cœur, en le regardant d’un air drôlement sérieux. Ca. Il suffit d’avoir ça pour le savoir. Moi, je veux donner mon cœur aux gens qui le méritent, et l’amour ca l’abime, alors je me contente d’aimer les gens sans le grand ‘a’ tu vois ? »
Que tu peux être bizarre quand tu t’y mets parfois. Parce que l’amour ne fait pas qu’abîmer, tu t’en doutes, mais tu as peur Nao. Et la peur, chez toi, ça a toujours donné des réactions aussi violente qu’incontrôlable. Ce qui te surprend, pourtant, c’est ce qu’il te dit juste après, sur le fait d’être tombé sur la mauvaise personne, alors tu hausses les épaules.
« Peut-être, peut-être pas. Mais quand je vois la peine dans tes yeux, j’ai tendance à me dire que mon choix est peut-être plus sûr. »
Parce que tu vois bien, toi, qu’il y a des choses qui passent en lui, à cause de cette discussion. Tu ne sais pas s’il pense à son ex-femme, tu ne sais même pas s’ils sont séparés ou si elle est morte, mais tu refuses tout bonnement de lui demander. Tu as assez retourné le couteau dans la plaie, pour l’instant. Et au final, tu es sur le point de te coucher quand il finit par te provoquer légèrement et toi, tu mécomprends complètement ce qu’il dit. Tu prends un air surpris, puis choqué, puis tu rougis avec l’air désolée.
« Oh non, non ! Tu te penches sur lui l’air vraiment surprise et clairement adorable. Je ne veux pas faire de mal tu sais. Et puis toi tu as clairement compris de travers encore plus qu’il a pas mentionné de femme depuis le début alors... Tu sais, tous les goûts sont normaux. Si t’aimes pas les femmes, je ferai en sorte de ne pas te mettre mal à l’aise t’inquiète pas. »
Et tu as ce sourire doux pour lui, plein de bienveillance avant de te laisser retomber dans un flot de cheveux roux sur ton oreiller. Et tu finis par bailler en t’étirant avant de ramener encore, toujours, tes yeux à lui.
« Je suis contente d’avoir croisé ta route. »
Leith ValdmaarDim 31 Jan - 16:27 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 55 Date d'inscription : 31/12/2020
Tu n’irais pas jusqu’à dire que tu es un fervent défenseur de l’amour et de tout ce qui va avec, Leith, mais tout de même, tu trouves ça carrément dommage qu’une jeune femme, si jeune, puisse être d’ores et déjà blasée et fatiguée de ces choses-là. Il faut qu’elle fasse sa vie, non ? Qu’elle vive des expériences. Toi, tu as surement fait l’erreur d’aller trop vite, tu es tombé amoureux, tu t’es imaginé, à tort, qu’elle était la bonne, l’unique et que ça durerait jusqu’à la fin du temps qui vous a été accordé sur terre et … ouais, le résultat est là, le constat est d’une tristesse affligeante et toi, probablement que tu ne t’en remets pas. Par contre, tu ne le souhaites à personne, et tu restes certain qu’il y a de belles choses à vivre, mon vieux, d’ailleurs, ton mariage a été une belle chose, en partie, et durant une période.
Et pourtant, tu te retrouves à sourire, légèrement, devant sa réaction. Tu restes là, allongé sur le dos, profitant du pseudo confort de votre lit pour la nuit, parce que, ça faisait un moment que tu n’avais pas pris le temps de te poser de cette manière, et que ça te fait un bien fou, mine de rien, en plus d’avoir une discussion, pour commencer, et une discussion aussi légère que celle-ci, pour couronner le tout. « Nan j’vois pas. » Et tu ne comprends pas. Parce que, toi, tu as déjà fait l’expérience de l’amour, tu vois, et si ça a été clairement douloureux et décevant, et bien, on ne peut pas dire non plus que tout était bon à jeter. Tu as vécu de belles choses, et tu as ressenti des choses que tu n’aurais jamais ressenti, si tu ne t’étais pas jeté à l’eau, tu vois. Aimer les autres, c’est bien, mais donner son amour à une seule et unique personne, en particulier, c’est plus fort, et plus … marquant.
Tu finis par te tourner vers elle, quand elle ose te parler de la peine qu’elle peut visiblement lire dans ton regard. C’est probablement la vérité, Leith, mais le fait est que tu te connais, mon vieux, alors, te voilà à planter ton regard dans le sien, comme tu ne l’as pas fait depuis une éternité, tu la fixes, intensément, sans ouvrir la bouche, sans rien ajouter de plus pour le moment. « Tu as mal regardé. » Voilà ce que tu lui envoies, quand tu cesses ton petit jeu. « Tu te contentes de la surface, sans regarder ce qu’il y a au-delà, c’est peut-être pour ça, que ça ne fonctionne pas … » Bon, et ça parait peut-être un jugement bien désagréable, hein, mais, disons que tu essaies de lui faire comprendre que, pour toi, si évidemment, ça à laisser son lot de tristesse, et bien, il n’y a pas que ça.
Et mon vieux, tu sors probablement la remarque de trop, quand elle en vient finalement à te sortir tout un discours, carrément bizarre, sur le fait que c’est pas grave du tout si tu n’aimes pas les femmes, et qu’elle comprends, et que tout est ok, et normal et toi, bon sang, si au début, tu plisses les yeux parce que tu ne comprends pas un mot de ce qu’elle baragouine, quand ça percute là-haut, t’es tellement surpris et décidé à faire en sorte qu’elle ne s’imagine pas un truc pareil que tu surréagis complètement Alors qu’elle s’est allongée, et qu’elle est en train de s’étirer, toi, tu bouges d’un coup, tu roules, et en deux secondes à peine, te voilà au-dessus d’elle, retenu par tes bras. Et au-delà du fait que bon, t’es un homme, que c’est une femme, et bah, elle est jolie, Naolane, Leith, et surtout … tu ne t’es pas retrouvé comme ça avec une femme depuis une putain d’éternité alors, tu ne peux même pas retenir ton corps de réagir à la situation, tandis que toi, t’es là, à la regarder sous toi sans même savoir quoi faire de plus. « J’aime les femmes. » Ouais, c’est tout ce que tu trouves à dire putain, tu vas lui faire peur espèce d’idiot.
Naolane D. KarunaMer 3 Fév - 20:48 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 68 Date d'inscription : 06/01/2021
C’est une conversation des plus étranges que tu es en train d’avoir avec cet homme que tu ne connaissais pas avant… ce soir hein. Et pourtant Naolane, tu es si ouverte et franche, tu te comportes d’une manière si amicale avec tout le monde, que tu ne peux pas t’empêcher de te livrer. Tu lui offres le fond de ta pensée sans te dire que ça trahi aussi un peu ton vécu et quand il vient te contrecarrer que tu as mal lu dans ses yeux, et bah oui, am fille, ça te vexe. Tu pinces les lèvres, avant de te pencher un peu sur lui et tu regardes plus fort dans ses yeux avant de marmonner.
« C’est toi qui est pas clair dans tes yeux, c’est tout ! »
Et tu te détournes, pour parler de ce que tu crois avoir compris. C’est fou, quand même, combien tu peux parfois lire les informations de travers. Maintenant, tu te persuades qu’il est plutôt du genre à aimer les hommes. Et à tes yeux, ça expliquerait pourquoi il y a de la douleur en lui, pourquoi il n’a plus personne, pourquoi tu es persuadée que son histoire n’a pas été simple. Et vu que tu ne veux pas le gêner, tu le rassures maladroitement mais avec un sourire adorable, vraiment, avant de retomber sur le matelas et soupirer. Quelle drôle de soirée.
Le truc, c’est que visiblement ce n’est pas encore fini. Parce que, alors que tu te mets à observer les nœuds du bois dans le plafond, et que tu cherches un truc à dire pour le rassurer, vraiment, il bouge. Il vient même passer au-dessus de toi, les bras tendus pour ne pas t’écraser, et toi tu as un sacré fard qui apparaît parce que… ça te paraît quand même assez équivoque comme posture non ?
« Tu… Tu t’arrêtes, en clignant les yeux une fois, deux fois, avant de te mettre à rien. Tu n’es pas obligé de me dire ça, je ne vais pas me moquer de tes goûts Leith. Franchement, tant que tu es heureux, moi ça me va par… Et tu ralentis avant de t’arrêter, parce que ce que tu lis dans ses yeux c’est une sincérité qui vient transformer la rougeur en grosse coloration aux couleurs de tes cheveux. Pourquoi tu me dis ça comme ça ? »
Parce que bon, il est au-dessus de toi. Il n’aurait qu’à se pencher pour… t’embrasser. Et du coup, pendant un instant, Naolane, toi tu te dis qu’il a quelque chose pour toi. IL te faut dix secondes pour te projeter dans l’espace sur cette idée et quand tu finis par te revoir, nue, dans les draps de celui qui se disait t’aimer, en larme et les yeux sur son téléphone avec le message d’une autre, tu ravales ta rougeur pour réagir. Tu rabats ton genou vers toi pour cogner dans sa cuisse, assez fort pour faire mal et le surprend. Ensuite tu le repousse, tu le fais retomber sur le côté avant de t’asseoir à côté lui et il y a une expression surprenamment douloureuse et agressive sur ton visage.
« Si tu tentes la moindre mauvaise idée, moi aussi je pourrais te balancer par la fenêtre ! Que tu grognes, en détournant la tête. Ne joue pas à ça avec moi. Et tu te relaisses tomber sur le lit, avant de t’enrouler dans la couverture comme si t’avais froid. Puis tu te calmes et c’est les remords qui viennent te hanter. Je… je ne t’ai pas fait trop mal ? Tu souffles finalement, tout doucement. Excuse-moi, j’ai un peu surréagi. »
Leith ValdmaarSam 13 Fév - 20:37 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 55 Date d'inscription : 31/12/2020
Non mais mon pauvre vieux, tu as complètement pêté les plombs, là, ou quoi ? A quel moment est-ce que ça se fait, ça, franchement ? Alors, oui, peut-être que tu t’es senti agressé, sur le moment, il n’empêche que là, c’est littéralement toi qui l’agresses, et probablement de la pire des manières pour une jeune femme. Tu n’as pas le droit, tu le sais, pourtant, et ce n’est même pas ton genre d’agir de la sorte … à croire que tu es sacrément fatigué, et tu commences à te demander si tu ne serais pas un peu en manque de relations physiques, aussi, maintenant que ça te passe par la tête, maintenant que tu te retrouves dans cette position, avec, finalement, une jolie jeune femme sous toi. Ça pourrait te faire quelque chose, hein, si en te rendant compte de ce que t’es en train de faire, tu ne ressentais pas immédiatement cette espace de vague de panique. « Je … je n’en sais rien. » Que tu lui avoues, comme un vieux et gros crétin, quand elle vient te demander – tout à fait légitimement, hein – pourquoi tu te sens obligé de lui ça, comme ça. Le pire, c’est que tu ne bouges même, tu ne réagis même plus, tu en es rendu complètement incapable, jusqu’à ce qu’elle vienne te cogner.
Et bon sang, Leith, malgré la douleur et la surprise, tu pourrais presque venir la remercier d’avoir cogner à cet endroit, plutôt que plus au centre, hein, parce que, ça aurait fait autrement plus mal. En attendant, elle parvient aisément à se débarrasser de toi, à te repousser et tu retombes mollement, en roulant sur ton côté du lit en échappant une longue plainte, un râle, un vieux grognement d’ours entamé dans sa fierté. « Je ne comptais pas tenter quoi que ce soit … » Que tu souffles, avec ce qu’il te reste d’oxygène. Et en fait, tu n’oses même plus bouger, maintenant, hein, de peur qu’elle prenne le moindre de tes gestes suivants comme une putain d’agression, et le pire, c’est qu’elle aurait raison, hein, si ce n’était pas toi, dans cette position, tu la féliciterais, carrément.
Tu la sens bouger, près de toi, et tu ne te retournes même pas. En fait, il te faut laisser s’écouler les secondes, puis, les minutes, avant que ce soit elle qui rouvre la bouche pour … venir s’inquiéter de ton état, et toi, tu laisses échapper un vieux grognement. « Je vais bien. » Que tu lui sors, avant de te réinstaller sur le dos, une demi grimace sur la face, le bras sur tes yeux. « Tu as bien fait. » Tu ajoutes, parce que bon, clairement, peu importe l’homme qui ose faire ce que tu viens de faire, il mérite largement le coup que tu viens de te manger. « Je ne t’aurais pas touché. » Tu viens tout de même ajouter, comme pour lui faire comprendre que, malgré les apparences, tu n’es absolument pas de ce bois-là. « Tu peux t’endormir tranquillement, c’est promis. »
Naolane D. KarunaLun 15 Fév - 21:27 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 68 Date d'inscription : 06/01/2021
T’as eu peur, un peu. Enfin non, beaucoup, mais tu sais aussi que tu ne te laisseras pas faire. C’est ce que tu lui dis, d’ailleurs, en le repoussant de cette manière des plus brusques. Tu fais mal, Naolane, tu le vois sur son visage, comme tu te rends compte que, mine de rien, tu as retenu ton coup et surtout où il aurait pu passer. Tout ça pour finir par retomber sur ton matelas et ramener ton attention à lui parce que… bah ouais Nao, tu ne voulais pas faire mal.
« Quand bien même… Tu murmures quand il te rassure sur sa douleur et ton choix d’actes. Je ne voulais pas te faire mal, tu sais, juste que tu m’as prise de court. Tu pinces les lèvres, un peu. Même si je me doute que tu n’aurais pas été plus loin. Tes yeux se décollent enfin de lui, alors que tu te tournes face au plafond. Juste que ça ne me rappelle pas de bon souvenir. »
Tu ne sais même pas quoi dire de plus, Naolane. Tu finis par te glisses sous la couverture, et chercher une position confortable. Quand le sommeil s’approche, tu lui chuchotes juste une demande pour éteindre les lumières de poches, et tu te recroquevilles comme un petit animal qui a froid sous les couettes.
Et tu vois, Nao, tu as toujours eu cette grande faculté à t’endormir sans trop de problème. Il te suffit de ralentir ta respiration, fermer les yeux et faire le vide. Par contre, tu n’as pas un sommeil très serein, tu as oublié de le prévenir de ça. Alors rapidement, tu viens bouger, tourner, rouler. Tes sourcils se froncent, tes lèvres murmurent des mots que l’on ne peut entendre.
Habituellement, tu es seule, petite flamme, mais ce soir, tu finis par te tourner vers l’homme qui ne s’est pas échappé, qui n’a rien tenté de plus comme promis. C’est sa chaleur qui t’attire, t’appelle et sans le voir, tu finis par aller te blottir tout contre lui, en venant carrément coller ton nez tout froid contre sa peau et ouais, Nao, tu soupires enfin de bonheur. Tout ton corps se calme et enfin, tu passes dans un monde de rêve où tu pourras gratter quelques heures de repos en plus.
| Qui a fait le travail ? Celui qui l’a achevé. (Leith) | |
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