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[TERMINE] Ça fait mal de faire des erreurs. Mais ça permet de savoir qui on est réellement. (Adrian)
Yoon So-ah
Mar 2 Fév - 18:38 ||
Yoon So-ah
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Tu as sacrément peur, maintenant, So-ah. Tu as vu des gens comme cette femme dehors, en venant, quand tu étais dans la voiture. Tu en as vu dans la salle de la boîte, aussi, et tu as refermé la porte pour fuir ça. Jusqu’à présent, tu ne comprenais pas tellement ce qui se passait, mais tu as eu le temps de te renseigner, de prendre tes informations parce que tu étais curieuse de savoir si ça touchait ce pays, seulement, ou le monde entier, et parce que tu voulais comprendre ce que tu avais eu sous les yeux. C’est sans doute aussi ce qui te permets de réagir aussi vite, tu vois, d’avoir le réflexe d’attraper le téléphone, de t’enfuir et de t’enfermer sans chercher à fuir parce que, tu la vois qui frappe, fort, à s’en faire mal … elle laisse d’ailleurs de belles traces de sang sur la vitre, parce qu’elle se blesse en essayant de la briser et quand elle y parvient, tu as aussi le temps de te rendre compte que le verre entaille profondément sa peau et qu’elle ne réagit même pas. En fait, So-ah, elle se contente de te courir après, et quand tu lui verrouilles la porte au nez, elle s’acharne, encore et encore, probablement qu’elle continue de se blesser contre le bois, hein, mais ça ne l’arrête pas et finalement, tu te rends compte qu’elle parvient à abimer la porte.

Tu ne peux rien faire. D’après ce que tu as lu, tu sais maintenant que tu n’es surement pas de taille pour lutter, c’est pour ça que tu finis par composer le numéro inscrit sur le morceau de papier et que tu appelles, une nouvelle fois, le policier à l’aide pour qu’il vienne te sortir de là. La conversation est courte, il t’annonce qu’il arrive, il semble te demander, non, t’ordonner de tenir et puis, il raccroche, et tu te retrouves pendant de trop longues minutes, assise par terre, sur le plancher de la chambre à fixer la porte en priant tous les dieux du monde pour qu’elle tienne bon.

C’est ton prénom que tu entends de l’autre côté de la porte, qui attire ton attention et te sors de ta torpeur. Immédiatement, les coups cessent, la porte devient silencieuse et … tu sais quoi ? Tu comprends à ce moment précis, que, certes, elle s’est arrêtée de frapper la porte, mais, en appelant Adrian ici, tu l’as mis en danger. Alors, tu te lèves, et incapable de sortir, paralysée par la peur de la trouver de l’autre côté, tu viens poser l’oreille contre la porte pour tenter d’écouter. Tu entends du bruit, des bruits de lutte, et puis, au bout d’un moment … plus rien du tout. Jusqu’à la voix masculine qui t’appelle à nouveau, qui te rassures en te disant qu’elle ne reviendra pas, et qui finit par te demander de lui ouvrir ce que tu ne tardes pas à faire. Et tu vois, ça a beau être quelque chose que l’on ne fait pas dans ton pays, normalement, tu viens littéralement te jeter contre lui, l’entourant de tes petits bras un instant. « Je suis désolée … elle a brisé la vitre. » Que tu lui fais savoir, comme si tu craignais qu’il ne puisse te reprocher quoi que ce soit.

Quand tu recules, tu prends le temps de l’observer, tu notes un peu de sang, sur lui, tu vois aussi que la porte, de ce côté, en est couverte. « Où elle … » Non. Tu ne veux même pas savoir ce qui est advenu d’elle, de toute manière, So-ah, tes recherches t’ont clairement appris que ces choses n’étaient plus des êtres humains, juste, des animaux malades à éviter. « Tu es … pas blessé ? »
Adrian A. Dragan
Mar 2 Fév - 19:54 ||
Adrian A. Dragan
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T’es juste tout bonnement incapable de calmer les battements frénétiques de ton cœur, Adrian, même si le monstre est mort et se vide de son sang à quelques pas de toi. Parce que tu n’es toujours pas certain d’être arrivé à temps, pour le moment. Alors ouais, tu essaies de la convaincre d’ouvrir, en te disant que tu n’es plus à ça près de défoncer la porte de ta chambre si elle ne répond pas… Et avant que tu n’ailles y mettre un bon coup d’épaule, la clé tourne et la battant s’ouvre. Et t’en fais autant de ta bouche, pour savoir si elle va bien et… elle ne t’en laisse pas le temps.

Sans bien comprendre pourquoi ou comment réagir, elle se jette sur toi, bras autour de ton torse et toi tu la regardes avec probablement plus de peur que tu en as eu devant le zombie… Et finalement tu refermes tes bras sur elle, sans oser vraiment la toucher. Elle s’excuse, elle parle de la fenêtre brisée et toi, tu ne peux pas t’empêcher de soupirer en secouant la tête.

« Je m’en fiche de la fenêtre. Que tu souffles, alors qu’elle se recule, finalement. Tu vas bien ? »

Et franchement tes yeux sont en train de la passer au peigne fin, pire que si tu matais une nana qui te plait. Parce que tu as peur de voir une blessure sur son corps. En faite, Adrian, t’es pas certain de savoir comment tu réagirais à ça, hein. Elle semble pourtant plutôt en bon état et tu recules à ton tour en hochant la tête à sa question.

« Je n’ai rien. Viens par là, ne regarde pas tes pieds. »

Tu la guides vers le salon en l’empêchant de voir le second corps mort que tu mets sous son nez pour la journée. Ensuite, tu t’arrêtes, et pendant un instant, tu sembles partir très loin dans tes pensées. Tu pourrais même avoir complètement déconnecté en faite, si tu finissais pas par te bouger d’un coup, et aller à un placard pour en sortir le grand sac à dos de randonner que tu as, plus le sac de sport qui te sers de valise.

« On part d’ici. Tu lui apprends tout à coup. On va emporter un maximum de truc d’ici, mais il faut que l’on décolle au plus vite, avant que ça ne deviennent impossible de rouler sans que ces choses ne se jettent sur la voiture. Tu lui mets le sac à dos dans les mains. La cuisine est là, prends tout ce que tu trouveras d’utiles. Tout ce qui se mange, d’accord ?! »

Et toi, tu retournes à la chambre. Tu charges de vêtements le sac de sport, puis tu passes par la salle de bain pour récupérer ton kit d’urgence, et tout ce que tu as en médicament. Finalement, tu reviens jusqu’à elle dans la cuisine, quelque chose comme 5 minutes après, et tu l’arrêtes dans ce quelle fait, parce que toi t’as eu le temps de penser. Tu te penches un peu vers elle, jusqu’à mettre tes yeux à son niveau, et tu lui demandes, tout tout tout doucement :

« Je vais chercher un endroit où tu seras en sécurité… mais tu es certaine de vouloir rester avec moi ? Je… ne pourrais pas te ramener à ta famille. C’est ta dernière chance de partir, si tu préfères te tenir loin de moi, une fois que l’on montera dans ma voiture, je ne te laisserai plus partir sans que tu ne sois absolument en sécurité. Et t’as parlé bien lentement pour qu’elle comprenne ta demande et pour lui offrir la liberté parce qu’ensuite, elle sera comme une condamnée à tes côtés, incapable de se débarrasser de toi. Si tu me suis, je ne serais pas gentil ou agréable. Je ferai ce qu’il faut pour survivre, sans hésiter. »
Yoon So-ah
Mar 2 Fév - 21:20 ||
Yoon So-ah
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C’aurait été terrible, s’il avait été blessé par ta faute. Tu te rends compte, So-ah ? C’est la seule personne qui s’est intéressé à toi pour de vrai, il te regarde normalement, il ne te traite pas comme un meuble ou un objet dont il peut disposer, et il ne râle même pas de ton accent, de ta faible capacité à t’exprimer correctement, ou à comprendre du premier coup les choses qu’il te raconte. Disons qu’il faut bien que tu t’accroches à quelqu’un, ma grande, et que, comme c’est lui qui t’a tendu la main, en premier, tu as décidé que ce serait lui. C’est certes un peu arbitraire, et risqué, mais tu vois, là, maintenant, actuellement, ça te parais juste être la meilleure des choses à faire.

Heureusement, il n’a rien, et tu comprends rapidement que, si sang il y a sur sa peau ou ses vêtements, ce n’est pas le sien. Alors, oui, tu finis par le suivre et tu obéis pour t’éviter la vision du corps de cette femme, et puis, tu l’observes alors qu’il se met à s’agiter, à récupérer des sacs, à t’expliquer que maintenant, il faut partir et … tu n’as pas le moindre mal à comprendre pourquoi, quand tu viens d’assister à tout ça, et de comprendre qu’une porte, ou une vitre n’arrête assurément pas ces choses. Il vient finalement te placer un sac à dos entre les mains, il t’indique la cuisine, te demandes de mettre là-dedans tout ce que tu peux emmener et tandis qu’il part de son côté, So-ah, tu te dépêches de faire ce qu’il t’a demandé, parce que, tu as la volonté certaine d’être utile, et de ne pas être un trop gros poids mort pour lui.

Toi qui es si timide, chez les autres, toi qui as pourtant un si grand respect pour la propriété d’autrui et qui n’a pas osé toucher à grand-chose en son absence, tu viens quand même te mettre un bon coup de pied aux fesses pour ouvrir tous les placards et armoires que tu croises. Tu mets tout ce que tu peux trouver dans le sac, les conserves, les paquets de pâtes, de riz, toute l’épicerie, et puis, tu passes au frigo et tu charges tout ce qui se trouve et qui est bien fermé, ce sera à manger rapidement, mais ce sera toujours ça de pris. Au final, tu as rempli le sac aux trois quarts, et tu as pratiquement terminer de fouiner partout quand il revient, et directement, So-ah, il vient à toi, et il t’arrête dans ce que tu es en train de faire pour te faire face, et tu lis tout le sérieux dans ses yeux. Des yeux bleus, tiens. Immensément bleus.

Encore une fois, tu te retrouves à lutter pour comprendre. Tu te concentres un maximum pour tout saisir de son discours. Il part. Il va en sécurité. Par contre, il te demande à nouveau si tu veux l’accompagner et si tu es déjà en train de hocher la tête pour lui faire comprendre que oui … il vient aussi te rappeler que tu ne pourras plus faire marche arrière, et qu’il ne sera pas toujours doux, sympa, et qu’il fera juste ce qu’il faut, quand il le faut. Ça pourrait te faire peur, en fait, probablement que ça te fait peur, en partie, mais, tu finis par soupirer lourdement. « Je n’ai plus personne. » Tu lui apprends. « Je ne connais personne ma famille est en Corée. » Quelle triste situation, bloquée, alors que tu aurais pu retrouver ta liberté grâce à lui, il a fallu que ce virus vienne s’en mêler. « Si je ne suis pas avec toi, je suis toute seule, et je ne sais pas où je dois aller. » Tu ne sais même pas exactement où vous êtes, tu ne connais pas la géographie du pays, tu as bien vu des panneaux, plus tôt, sur la route, mais tu es bien incapable de te situer. « Je viens avec toi. » Tu finis par conclure, en te détournant un peu pour terminer de charger le sac avec le contenu de la dernière armoire, avant de le soulever … puis de le reposer aussitôt tant il est lourd et impossible à transporter, pour toi. « Il y a tout dedans, tu veux que je fasse autre chose, ou on part tout de suite ? » Et maintenant, So-ah, tu forces pour juste … trainer le sac sur le carrelage afin de l’emmener en direction du salon, au plus près de la porte.
Adrian A. Dragan
Mar 2 Fév - 21:54 ||
Adrian A. Dragan
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Franchement, Adrian, tu ne devrais peut-être pas lui balancer un truc comme ça, tu vois. Parce que c’est bon pour la faire fuir en courant, alors que toi, tout ce que tu veux, c’est la protéger. Tu ne peux pas expliquer clairement pourquoi c’est elle sur qui tu décides de jeter ton dévolu mais tu ne vas pas trop creuser l’affaire pour le moment, il y a plus grave. Du coup, oui, tu l’attrapes, tu la tournes face à toi et tu viens lui balancer tout cela, un peu bêtement quand même. Jusqu’à ce qu’elle réponde, en te tirant une grimace.

« C’est vrai. Bah oui, hein, c’est pas comme si elle avait vraiment le choix d’être ou pas à tes côtés. D’accord, viens. Tu hoches la tête, et en faite, son histoire te touche assez pour que tu essaies de rattraper ta froideur. Je te promets de te protéger. »

Tu ne devrais pas le promettre, mais la vérité c’est que tu es complètement incapable de ne pas le faire. Tu veux sincèrement la protéger et lui permettre de vivre, de ne pas laisser ce virus lui arracher la vie après que des gens lui ait tout pris… T’as pourtant juste le temps de lui dire ça, qu’elle se détourne pour finir de remplir le sac, comme tu le lui as demandé, et toi tu fais demi-tour pour passer au salon et récupérer ton ordinateur portable, les quelques armes à feu que tu as en plus, des chargeurs de portables et même une paire de talkiewalkie, la CB est dans ta voiture déjà.

Tu es en train de te retourner avec tout ça dans les bras quand tu surprends une scène des plus surprenantes. La petite coréenne et en train de s’acharner à tirer l’énorme sac plein de nourriture vers la porte. Ca ne serait pas la fin du monde, probablement que tu éclaterais de rire. Mais puisque tu n’as pas le temps de ça, tu viens juste déposer tout ton matos dans le sac de sport et tu fonces vers elle à grand pas.

« Laisse-moi porter ça. Tu lui prends le sac et tu le hisses sans grande difficulté sur ton dos. Est-ce que tu te sens de te servir de quelque chose pour te défendre sans te blesser ? Que tu lui demandes finalement. Genre une hache ou un marteau peut-être ? »

T’es en train de réfléchir à ça et attendre sa réponse, quand tu vas reprendre l’autre sa et lourdement chargé tu ouvres la porte de la maison, tu vérifies que c’est calme à proximité avant de sortir, ouvrir ton pick-up noir et balancer les sacs sur les sièges arrière. Tu reviens vers elle, toujours dans la maison et tes yeux glissent encore une fois sur sa tenue.

« On va aller vers une zone commerciale pas très loin, voir si on te trouve au moins des chaussures, peut-être des vêtements. Que tu marmonnes, parce que vraiment elle ne paie pas de mine comme ça. Tu es prête à partir ? Que tu lui demandes finalement, en lui tenant la porte d’entrée ouverte. Dépêche-toi de monter dans la voiture, je passe par le garage et on pars. »

Tu la laisses rejoindre la voiture et te voilà à ouvrir la porte en métal du garage, pour y récupérer ce qu’il faut dedans, genre un jerrican vide, des outils, une arme pour la petite avant de tout balancer dans le coffre et te dépêcher d’aller côté conducteur.

« Eh bah… je sais pas quand on reviendra. Que tu lui apprends en mettant le contact. »
Yoon So-ah
Mar 2 Fév - 22:31 ||
Yoon So-ah
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Tu as vraiment envie, surement même besoin, de te rendre utile, So-ah, alors, après avoir décidé et déclaré que, oui, tu vas rester avec lui – pas comme si tu avais plus de choix attrayant que ça – et bien, tu te remets à la seule tâche qui t’as été confiée. Et tu vois, on comprend surement, en te voyant faire, à quel point tu es une acharnée. C’est toujours comme ça, dans tout ce que tu entreprends, c’est pour ça que tu as un bon niveau en anglais, c’est comme ça que tu as perdu autant de poids au cours de ta vie, juste parce que, quand tu te lances dans quelque chose, tu ne lâches rien, tu veux pouvoir y arriver, peu importe à quel point c’est compliqué. Comme tes presque deux ans à l’Agence, par exemple, à suer sang et eau pour être remarquée. Là, c’est différent, mais quand même, tu t’assures d’être passée par tous les placards, d’avoir mis dans le sac tout ce que tu pouvais y mettre, et finalement, te voilà même à essayer de le tirer alors que, vraiment, ma grande, ce truc pèse un âne mort.

C’est lui qui te sauve encore, et qui vient finalement récupérer le sac en le chargeant sur son dos avec une facilité déconcertante. Il faut dire qu’il y a une sacrée différence de carrure, hein, il fait probablement plus d’un mètre quatre-vingt, et toi, t’as pas loin de trente centimètres de moins, de plus, tu as beau être sportive, avoir un corps tout en muscle a cause de tes années de sport et de danse, et bah, ce mec ne fait pas loin de deux fois toi, tu vois, donc bon. « Euh … » Franchement ? Tu tires une sacrée tête quand il te parle d’une arme, hein. Non parce que, t’as fait des tonnes de sports différents, surtout parce que certaines chorégraphies s’en inspiraient, à l’époque où t’étais dans ce milieu, tu as fait quelques sports de combats, mais, tu ne sais pas te battre. Tu n’as même jamais frappé quelqu’un, c’est dire. « Un … marteau. » Ouais, finalement, tu décides quand même de faire un choix, parce que, tu as encore le souvenir, bien trop frais de cette femme et tu sais qu’il n’y aura sans doute pas toujours une porte derrière laquelle aller te réfugier. Autant que t’aies un truc pour te défendre un minimum … le marteau te parais être le truc le plus normal. Façon de parler, hein.

Il finit par une remarque sur des chaussures, et des vêtements et … ouais, tu es plutôt d’accord, So-ah, parce que là, non seulement, t’es en chaussettes, c’est pas pratique, mais en plus, les vêtements trop grands, tu ne vas certainement pas les supporter bien longtemps. Ouais, t’es pas une diva, attention, il n’empêche que t’as besoin de te sentir bien dans ce que tu portes et là, si tu acceptes en dépannage, dans l’urgence, tu te connais, tu finiras par t’en plaindre.

Tu finis donc par aller poser tes fesses sur le siège passager de la voiture, et tu attends qu’il en termine chez lui, par un passage dans le garage et puis, finalement, il revient, s’installe près de toi et enfin, il démarre la voiture. Les rues, So-ah, sont dans un état pire que désastreux. Des infectés, il y en a absolument et certains se précipitent même en courant vers la voiture en la voyant, en l’entendant, sans même se soucier du potentiel danger, tout comme la femme, à la maison, ils ne semblent plus se soucier de se blesser, ils ne font qu’attaquer, coûte que coûte, et ça te tires une drôle de grimace. « Ils disent qu’ils sont … déjà morts. » Que tu finis par sortir, alors que tu observes ces « choses » à l’extérieur, il y en a partout, maintenant, le reste, se sont des cadavres et la majorité finira par se relever, sans doute. « Je l’ai lu, tout à l’heure. Mais, ils ont quand même l’air vivant … » Ouais, même si certains sont abimés, et bah, ils ont quand même l’apparence d’être humains, et ça, c’est surement ce qu’il y a de plus effrayant pour toi.

Tu le laisses rouler un petit moment, jusqu’à apercevoir enfin ce fameux endroit, cet ensemble de magasins qui s’étale sur une tellement large surface que, si à certains endroits, c’est la cohue, comme dans les rues, et bien, à d’autres, c’est quand même sacrément bien plus calme. En fait, So-ah, au-delà des zombies, ce que tu vois, surtout, c’est les gens qui dévalisent les magasins, qui se servent, et qui prennent la fuite. « C’est … on va devoir faire comme eux ? » Tu demandes, subitement inquiète à l’idée de devoir aller voler dans une magasin ce dont tu as besoin.
Adrian A. Dragan
Mar 2 Fév - 23:00 ||
Adrian A. Dragan
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Quand tu repasses par le garage, tu arrive à lui trouver un marteau pas trop lourd et surtout planté sur un manche assez long. Tu ne sais même plus pourquoi t’as ça, mais c’est tant mieux. Du coup, tu te dépêches de revenir à la voiture. Si tu ouvres sa portière, c’est juste pour poser l’arme improvisée dans ses mains, alors que tu gardes une hache avec toi. Tu jettes le reste dans le coffre et ouais, tu te dépêches de monter à la place conducteur.

En lui expliquant que vous ne reviendrait probablement pas avant longtemps ici, c’est aussi ta manière de faire le deuil de la maison que tu habites depuis plus de deux ans. Ensuite, tu te mets en route vers la zone commerciale qui, tu commences à t’en douter maintenant, risque d’être prise d’assaut par les gens. Parce que c’est la crise, dehors, et que tout le monde réagi toujours avec une violence surprenante.

« Oui, c’est ce que les informations disaient. Que tu réponds, en regardant les zombies dehors avant d’expliquer le peu de choses que tu sais dessus. Le virus tue les gens qui l’attrapent et les ramène… dans cet état. »

T’es sacrément terre à terre en disant ça, mais le truc c’est que tu ne vois pas bien quoi dire d’autres. Parce que tout cela n’a, pour le moment, aucun sens à tes yeux. C’est trop brusque et surtout surnaturel pour que tu parviennes à faire la part des choses. Et à la place, tu hausses les épaules à son autre remarque, avant de mettre ton clignotant et entrer dans la zone commerciale.

Franchement, ce que tu pensais se vérifie dès que tu parviens à l’abord des premiers commerces. Tu te mets à zigzaguer entre les gens fous et les morts-vivants, en grognant insulte sur insulte. Tu repères une grande partie de la foule du côté des magasins de nourritures, alors tu pousses un peu plus loin pour trouver ceux de vêtements et tu t’arrêtes avant de te tourner vers la petite blonde.

« Il y a de fortes chances. Je ne peux pas y aller seul, si on veut trouver des choses à ta taille, alors tu viens. Tu lui apprends, sans vraiment lui en laisser le choix. Mais tu restes prêt de moi, So-Ah. »

Tu sors de la voiture aussi sec, et tu refermes à clé, avant d’aller la récupérer de son côté. Sans lui laisser le temps de regarder trop autour d’elle, tu viens la pousser d’une main dans son dos pour aller vers une grande enseigne de vêtements. Et en approchant tu vas pas mal de zombie qui rode. Tu te tends, avant de venir plutôt chercher sa main pour lui faire faire un détour et entrer par les sorties de secours.

« J’espère qu’il y en aura pas trop dedans… Tu grognes, alors que vous remontez un couloir tout sombre. Surtout, pas de bruit, c’est ce qui semble les attirer. »

Et vous voilà à entrer dans le magasin, où tu entends des cris. Tu te doutes rapidement qu’il doit y avoir des vivants et des moins vivants, mais vous n’avez pas vraiment le choix. Alors tu continues d’avancer en tirant la petite blonde derrière toi avec un premier arrêt dans la section chaussure du magasin sur deux étages. Et tu gardes la hache en main, prêt à vous protéger si un de ces monstres s’approche.
Yoon So-ah
Mer 3 Fév - 11:53 ||
Yoon So-ah
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Vraiment, c’est en traversant cette ville de cette manière que tu peux prendre toute l’ampleur de ce qui arrive, toi qui plus tôt s’était trouvée parfaitement horrifiée devant les vidéos qui montrait la catastrophe, ailleurs, à Kansas City par exemple, et bien, tu prends surement la réalité en pleine face et rien de tout n’a quoi que ce soit de réjouissant, loin de là. Tu te demandes encore comment c’est possible, comment est-ce que tout ça peut être réel … ces gens qui attaquent à vue tous les autres, qui sont devenus de véritables animaux, non, pire, des monstres tant ils ont l’air sans âme et sans conscience. En fait So-ah, tu n’arrives pas à intégrer, si l’un de ces trucs t’attaque, tu t’es pas certaine de réagir comme il le faut … d’ailleurs, tout en pensant à ça, tu baisses les yeux sur le marteau que tu tiens entre tes doigts et que tu conserves sur tes genoux. Frappez la tête, qu’ils ont dit dans la presse de ton pays. Mais est-ce que tu seras capable, toi, d’envoyer un coup de marteau dans le crâne d’un homme, ou d’une femme ? Tu devrais peut-être éviter d’y penser si fort.

Dans tous les cas, vous voilà maintenant arrivés aux abords de la zone commercial. Certains magasins sont pris d’assaut et en y regardant bien, c’est surtout ce qui concerne la nourriture dont pour le moment vous n’avez pas besoin vu le sac que tu es parvenue à remplir chez Adrian … ce qui t’inquiètes c’est réellement l’attitude des gens qui, pour le coup, sont en vie. Ils prennent et repartent, se servent sans restriction, ils volent, ils pillent. Et tu comprends bien que plus personne n’est là pour les arrêter, pire, que si vous voulez quelque chose dans l’une des enseignes aux alentours, il va falloir en faire de même. C’est donc non sans une appréhension certaine que tu quittes la voiture quand il vient t’ouvrir – notons cette espèce de galanterie étrange dans pareille situation – et, quand il vient finalement chercher ta main, tu n’as plus vraiment d’autres choix que de le suivre de près, et c’est tant mieux, parce que tu serais restée collée à ses talons quoi qu’il arrive.

L’intérieur du magasin est … non, il n’est pas calme puisque des cris te parviennent mais, autour de vous au moins, quand arrivez au milieu des étalages de chaussures, il n’y a personne. Tu prends donc le pas, tu t’avances et tu parcours rapidement du regard les chaussures ici. Escarpins, bottes à talons haut, ballerine, il te faut quelques minutes pour t’arrêter sur une paire de bottes dans le style rangers militaires qui te plaisent autant qu’elles seront pratiques. Tu fouilles pour en récupérer une paire a ta taille et tu les enfilés rapidement, sans prendre le temps de faire les lacets, juste histoire d’avoir quelque chose dans les pieds. « C’est bon. » Tu lui signale en te remerciant et en revenant te cacher près de lui, dans son ombre.

La suite s’avère … probablement plus risquée, c’est du moins ce que tu te dis quand tu parviens à déchiffrer sur un panneau que les vêtements pour femmes se trouvent à l’étage supérieur, tu jettes un coup d’œil inquiet a Adrian, et puis finalement, vous voilà à vous engager dans un escalator encore fonctionnel. Le magasin est grand, du coup une fois en haut tu mets un moment a t’y retrouver correctement au milieu des sous vêtements, des pyjamas, des robes … tu finis tout de même par stopper devant un pantalon vert kaki, un peu large, encore une fois, tu te dépêches de trouver ta taille et tu t’éloignes. Dire que tu mets des heures pour faire des choix normalement, So-ah. Là, tu te concentres pour aller vite, et c’est surement pour ça que tu ne parles pas. Pour la suite, tu viens attraper un haut noir, court qui laisse voir ton ventre, et puis tu attrapes un sweat à capuche et une paire de sous-vêtements avant de désigner les cabines d’essayage. « Je me change rapidement, là. » Tu seras plus à l’aise qu’avec le pantalon que tu perds malgré le lacet si serré à ta taille. Tu t’engouffres donc dans la cabine, tirant très vite le rideau et tu te débarrasses de tout ce que portes avant d’entreprendre d’enfiler ce que tu as trouvé de nouveau.
Adrian A. Dragan
Mer 3 Fév - 13:54 ||
Adrian A. Dragan
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Honnêtement, Adrian, tu ne sais vraiment pas dans quoi tu es en train de t’engager. C’est l’apocalypse dehors, toi tu dirais même plus la fin du monde. Les dangers sont partout, et pourtant, tu veux sincèrement la protéger de ce qui peut la menacer. Elle, plus que toi. Tu vois un peu où ce trouve le souci, Adrian ? Tu n’as pour ainsi dire jamais faire passer quelqu’un devant toi et en quelques heures, tu viens lui donner ce rôle.

C’est en soupirant, et en te disant qu’il va vraiment falloir que tu prennes le temps d’y réfléchir à un moment ou à un autre, quand même. Et pourtant, là, tout de suite, ce n’est pas le moment. Parce que tu entends les cris et les grognements dans le magasin et tu armes un peu plus haut ta hache dans ta main, et tu emboites le pas de la petite.

« Parfait, au moins tu pourras marcher un moment avec ça. »

Et au final, te voilà à lui emboiter le pas, vers le rayon des vêtements. Et franchement, Adrian, t’as l’air d’un idiot, planté dans le rayon des femmes, à regarder la petite blonde attraper des vêtements ouais… et des sous-vêtements. Tu finis par détourner les yeux en surveillant les environs, parce que ça grogne pas très loin tu vois. Et tu entends à peine la coréenne te dire qu’elle se change.

En faite, tu es en train de te dire qu’il ne va pas falloir trainer plus longtemps, parce qu’il n’y a plus de cris et qu’à tes yeux ça signifie le pire : tout le monde est mort, les zombies vous se tourner vers vous et être plus nombreux. T’es devant la cabine d’essayage, prêt à l’ouvrir sans réfléchir quand elle apparaît et honnêtement, Adrian, cette fille va te tuer. Parce que ton cœur loupe un battement. Que ton corps se réchauffe. Et que tes yeux glissent vers elle. Et bon dieu, mon vieux, depuis quand tu fantasmes sur des gamines ?

« C’est bon, tu as tout ? Tu demandes avec une rudesse extrêmement, sans le vouloir et en te détournant. Prend des vêtements de rechange, mais pas le temps d’essayer, il faut qu’on sorte d’ici. »

Tu es déjà en train de faire demi-tour pour retourner vers les rayons d’habits féminins quand un zombie apparaît face à toi, au bout de l’allée. Une femme, maquillée à outrance et sur talon aiguille, qui se jette sur toi aussi sec en grognant. Tu arrives à la repousser d’un coup de pied en vol, elle s’effondre dans les vêtements et sans attendre, ta hache vient percuter le sommet de son crâne pour le fendre en deux.

« Merde. Que tu grognes en te retournant vers So-Ah, alors qu’un autre zombie apparaît ouais, mais derrière elle. VIENS-LA !»

Ta main happe la sienne et tu la tires fortement vers toi, la réceptionnant contre ton corps, alors que le monstre se met à avancer vers vous, étrangement lent.
Yoon So-ah
Mer 3 Fév - 14:55 ||
Yoon So-ah
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Tu as probablement l’air un peu trop détendue, en sillonnant ces rayons, en faisant tes choix, et en te chargeant les bras de vêtements pour te composer au moins une tenue. La vérité, c’est que, quand on te connaît assez, on peut aisément voir à quel point tu es sous pression, actuellement, en prenant un à un chaque pièce. Tu as toujours adoré faire du shopping, So-ah, d’ailleurs, on t’a toujours dit que tu avais beaucoup de goût pour t’habiller, ça te vient peut-être de la culture de ton pays, ou alors, est-ce simplement que c’est ton petit plaisir à toi, depuis que tu as perdu du poids et que tu peux t’habiller comme tu le souhaites, sans te restreindre, sans avoir trop de choses que tu dois impérativement cacher, parce que, ça te complexe ou parce que tu crains la moquerie. Là, vraiment, tu vas au plus rapide, comme si tu avais un temps et que quelqu’un était en train de te chronométrer.

Tu parviens donc, finalement, à composer une tenue qui te parais satisfaisante, du coup, tu te diriges immédiatement vers la première cabine que tu trouves, tu te débarrasses des vêtements bien trop grands que tu portes, pour enfiler tout ce que tu viens de prendre sur les portants et tu ne gardes que le sweat à capuche à la main avant de ressortir de là, à la hâte. Franchement ? Tu te sens bien mieux. Après la douche, plus tôt, tu te retrouves dans des vêtements que tu apprécies et qui te sont confortables, tu te sens à l’aise. « Oui, ça te va ? » Tu lui demandes, en faisant un tour rapide sur toi-même. Pas que tu te soucies de l’avis qu’il peut avoir sur ton style, en l’occurrence, tu veux surtout savoir si, au niveau pratique, il n’a rien à redire sur ta tenue.

Sur son conseil, tu bouges à nouveau, et tu viens attraper l’un de ces paniers qui sert à faire son shopping dans les magasins, tout ce que tu avais vu tout à l’heure et qui pouvait te plaire, tu te mets à le balancer dedans à la vitesse de la lumière, tu prends de tout, pull, hauts, bas, chaussettes de tous les styles, sous-vêtements, en quelques minutes seulement, c’est comme si une tornade s’était chargée de dévaliser les portants pour venir tout balancer dans ton panier. D’ailleurs, tu aurais continué comme ça un moment, jusqu’à remplir deux, voir trois d’entre eux si cette femme n’avait pas fait son apparition … Encore une fois, tu laisses échapper un petit cri lorsqu’au détour d’un rayon, elle vient littéralement se jeter sur Adrian. Heureusement, l’homme prouve encore sa force, et son efficacité puisqu’il s’en débarrasse en quelques secondes à peine, tandis que, ton panier roulant à la main, ton marteau dans l’autre, il vient agripper ton poignet et, tu le sens bientôt te tirer contre lui. Et tu vois, tu ne comprends pas vraiment pourquoi il vient de faire ça, mais, quand tu te retournes, il y a cet homme, à quelques mètres, qui grogne et qui avance … il est lent, en fait, durant un instant, tu as presque l’impression d’assister à une scène au ralenti et ça, c’est avant de te rendre compte que l’un de ses pieds est littéralement à moitié coupé, qu’il marche pratiquement sur son os brisé et ça te dégoutes tellement, So-ah, que c’est toi qui finit par quitter la sécurité des bras d’Adrian pour faire deux pas en avant et venir cogner son crâne avec ton marteau de toutes tes forces. Ça craque un coup, et puis, l’homme s’effondre à tes pieds tandis que tu recules avec une grimace et même un haut le cœur … « On devrait … s’enfuir, non ? » Et tout en disant ça, ma grande, tu viens juste attraper ton gros panier de vêtements, et tu t’éloignes des portants pour juste retourner à l’escalator qui descend pour rejoindre le bas du magasin et pouvoir sortir d’ici. « Ils sont partout … » Tu fais remarquer, dans la panique, tout en galérant pour traîner le fichu panier à roulettes. « Comment ils font pour pas avoir mal … » Ouais, en fait, tu poses des questions inutiles, dans le vent, juste pour essayer de faire retomber la pression.
Adrian A. Dragan
Mer 3 Fév - 15:23 ||
Adrian A. Dragan
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Date d'inscription : 31/01/2021
Elle va finir par te tuer. Nan mais, c’est certain hein ? Regarde-la, sortir de la cabine en tournant sur elle-même avec cet air… nan en faite tu ne sais même pas quoi dire. Un air que toi tu trouves mignon et rien que pour ça, tu pourrais te fusiller sans attendre, parce qu’honnêtement tu as honte de penser ça. Tes yeux glissent sur elle, puisqu’elle te le demande, te le permet même plutôt, et tu finis par grogner :

« Oui. T’es jolie. »

Et bon dieu, tu pourrais gémir de honte en te rendant compte que tu as dit ça. Nan mais c’est toi le presque quarantenaire et tu réagis comme un gosse, c’est d’une honte, vraiment… Au final, tu te détournes, tu fuis vers les rayons en la laissant dévaliser tout ce qu’elle veut. Et finalement y’a cette femme zombifié qui te tire de tes pensées. Tu t’en débarrasses avant de voir l’autre, derrière elle. Tu ne devrais peut-être pas la tirer comme ça, mais ce n’est que lorsque tu l’as contre toi que tu te sens visiblement assez serein pour réfléchir à sortir ton arme à feu.

T’as pas le temps de t’en servir, par contre, parce que la jeune femme se jette en avant et elle vient mettre un de ces coups dans al tête de l’homme, si fort que ça te tire un grognement de douleur, pour lui. Ce n’est qu’en l’entendant te poser la question de la fuite que tu te sors de ton presque choc pour hocher la tête.

« On y va oui. Prends tes affaires. Tu te remets en marche, à grand pas avant d’attraper, en fin d’allée, un bonnet et une écharpe blanc, duveteux, que tu fourres dans ses mains en plus. Pour pas que tu attrapes froid. »

Ce n’est que lorsque vous arrivez à l’escalator que tu comprends à quel point ça va être problématique. Le rez-de-chaussé grouille de ces monstres, et toi tu cherches ne solution. En faite, t’es parti en arrière, vers des mannequins en plastique, quand elle pose une question qui te fait baisser les yeux vers elle.

« J’imagine qu’ils sont morts, donc ils ne sentent peut-être plus grand-chose ? T’as un haussement d’épaule. On ne va pas les plaindre non plus, vu la vermine que c’est. Et tu finis par attraper un mannequin vêtue d’une petite robe dans les bras. Prépare-toi à me coller, je détourne leurs attentions et on fonce vers la sortie de secours. »

Tu profites de la hauteur pour balancer le mannequin à l’opposé des issues de secours. Et quand tu vois une bonne partie des zombies se tourner vers le bruit de la chute, tu fais signe à la petite blonde d’avancer sur l'escalator avec toi. Et quand vous arrivez en bas, tu récupères son panier de vêtement sous le bras, ta hache dans l’autre, et te voilà à piquer un sprint vers l’issue de secours. Tu parviens à l’atteindre avant les monstres, tu laisses So-Ah passer la porte que tu tiens ouverte et tu refermes d’un coup derrière elle.

« Ca va ? Que tu penses à lui demander alors que vous êtes à nouveau plongé dans l’obscurité du couloir que personne n’est censé utiliser. »
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[TERMINE] Ça fait mal de faire des erreurs. Mais ça permet de savoir qui on est réellement. (Adrian)
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