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[DONE] Un cœur brisé est un cœur libre. (Vega)
Ekaitz Argyre
Jeu 4 Fév - 21:43 ||
Ekaitz Argyre
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Tu as passé la journée à aider à trier, charger, ranger des sacs de foin, issu probablement des anciennes années de vie de cet endroit. Il fallait des volontaires, et puisque tu ne t’es jamais approché de l’infirmerie, tu t’es désigné pour mettre la main à la pâte. Ca peut sembler étrange, Ekaitz, parce que tu es un médecin et même un sacrément bon médecin. Le truc, c’est que cet endroit à déjà d’autres gens qui servent la médecine, toi tu n’as pas envie de leur marché dessus. Tu as précisé à Max, Desmond et Samael quel était ton ancien boulot, tu as promis d’aider s’il le fallait, mais sinon, tu t’occupes autrement. Au final, tu vois, tu apprécies plutôt  de travailler avec tes mains, au grand air.

Du coup, voilà, tu as passé la journée à porter des sacs de foin et d’autres trucs, et bien vite ton pull, puis même ta chemise finisse dans un coin. C’est en t-shirt léger que tu finis ta journée, et comme toujours, si tu acceptes de papoter un peu avec ceux qui ont passé la journée à tes côtés, tu finis par t’éloigner du groupe. C’est en te penchant sur un seau d’eau fraiche, qui va probablement partir pour arroser les plantes de la serre que tu te laves longuement les mains et les avant-bras avec les gestes d’un chirurgien. Un sourire glisse sur ton visage… tu ne pourras jamais renier ce que tu as été.

D’ailleurs, c’est probablement pour cette raison qu’en te redressant, si tu glisses un œil sur tout le monde, protecteur et doux, c’est une personne en particulier que tu viens chercher du regard. Toujours la même depuis 6 mois. Franchement, Ekaitz, si on t’avait dit que tu allais te retrouver au quotidien avec elle, tu n’aurais pas voulu y croire, tu aurais probablement refusé le fait. Et à chaque fois que tu la distingues, pas si loin de toi, tu as toujours un moment de surprise. Tu n’as jamais compris pourquoi elle t’a suivi… ou plutôt tu t’attendais qu’elle reparte à un moment.

Tu secoues tes mains et te voilà à récupérer tes affaires sur le sol de la grange pour faire le tour et aller vers la jolie brune qui a rapidement trouvée sa place dans cet endroit et tu ne peux pas t’empêcher de l’observer travailler pendant quelques instants. Vega est une force de la nature, probablement la plus courageuse de tous les patients que tu as suivis. Quand on ne le sais pas, on ne peut pas deviner que son cœur est à ce point mal formé. Toi, tu le sais, et sa force provoque toujours cette sensation entre compassion, soufflé et… irrémédiablement touché par elle.

« Le soleil commence à baisser, tu sais. Que tu finis par lui lancer, pour ne pas la surprendre en arrivant trop près d’elle alors qu’elle semble concentrée.  Tu as passé une bonne journée ? Que tu lui demandes, avant de te planter à côté d’elle, et l’observer faire ce qu’elle fait. Besoin d’un coup de main ? »

Et comme à chaque fois que tu es près d’elle, un sourire doux revient orner tes lèvres, alors que ta peau se recouvre de chair de poule. Pas de froid, non, juste électrise par sa présence, c’est fou non ?
Vega C. Echeverría
Ven 5 Fév - 10:26 ||
Vega C. Echeverría
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Tu vois, ça te plait d’être ici. Tu te sentais en sécurité, dans la maison de vacances du Docteur Argyre, c’est un fait, mais toi, Vega, tu as besoin de te sentir entourée de monde, tu as besoin de contacts ou du moins, de voir que le bon bouge, qu’il tourne dans le bon sens. Être à la ferme t’a redonné une bonne dose d’énergie, ce que tu pensais avoir perdu, tu peux courir, à nouveau, tu peux te rendre utile, aussi, et ça, ça n’a pas de prix. Tout fonctionnait trop bien, dans la maison, tu t’es arrangée pour renforcer les fenêtres, et les portes, mais ça ne t’a pas pris plus de temps que ça alors, qu’ici, assurément, il y a de quoi faire.

Dés les premiers jours, en te baladant dans l’enceinte du camp, tu t’es rendu compte que tu pourrais faire bien des choses, c’est pour ça que tu t’es proposée pour jeter un œil à certaines choses, autant dans le corps de ferme que sur les extérieurs, le leader à semblé surpris qu’une jeune femme dans ton genre se propose pour des tâches pareilles … mais il semble qu’il n’ait pas osé faire la moindre remarqué, il t’as simplement autorisée à utiliser les outils de la grange et de l’établi de la dépendance, et tu as pris tes marques en te constituant une caisse à outil que tu as bien rangée et que tu utilises pratiquement tous les jours.

Tu as jeté un œil aux clôtures, dans un premier temps, et si tu as effectivement renforcé certaines d’entre elles, tu as aussi dû signaler qu’il manquait pas mal de choses pour opérer de vraies réparations. Il y a plusieurs jours, pas mal de matériel est arrivé, au retour de Samael, tu as mis le nez dedans, c’est même toi qui s’est occupé de trier et de ranger le tout et aujourd’hui, tu t’es attaquée à la grange. L’endroit est en effet bien mal isolé, normal, pour une grange, on sait bien qu’à la base, ce n’est pas fait pour que des êtres humains si peu résistants aux éléments y vivent … toi-même, tu as bien senti les infiltrations, en pleine nuit, ça t’a forcée à t’enrouler dans ta couverture, mais tu sais que c’est un vrai souci. Du coup, tu as récupéré des matériaux qui pourraient faire office d’isolant, faute de mieux, et tu t’es arrangée pour tout appliquer sur un côté au moins de la grange.

Lorsque cette voix, si familière, résonne dans ton dos, tu es occupée à clouer une planche contre un endroit un peu fragilisé, dans un coin de l’endroit. « Je sais, je voulais à tout prix terminer ce côté avant que la nuit tombe, justement … » Certains auront un peu moins froid ce soir, comme ça, du moins, tu l’espère vraiment, parce que, toi, ça te fait réellement mal au cœur de te réveiller en pleine nuit et de constater que certains souffrent réellement des températures hivernales. « Productive. Et toi ? Je t’ai vu pas mal occupé, cette après-midi. » Ce qui est certain, en tout cas, Vega, c’est que depuis vous êtes ici, tous les deux, vous vous arrangez, chacun à votre manière et avec vos moyens pour vous rendre utile et donner un coup de main quand il le faut. Probablement que vous tentez tous les deux de ne pas passer pour des boulets qu’il faudrait traîner, toi, en tout cas, c’est clairement ce que tu fais. « Tu veux bien me tenir ça ? » Tu finis par lui demander, en lui désignant la planche qui, depuis tout à l’heure, glisse systématiquement d’un côté. Tu viens ensuite planter quelques clous pour fixer le tout, et une fois fait, tu balances ton marteau dans la boîte métallique poussiéreuse, avant de frotter les mains sur ton jean. « Je donnerais tout pour une vraie bonne douche … » Ouais, ça a toujours été ton plaisir il faut dire, après une bonne journée de travail. C’est surement ce qui te manques le plus, du confort de vos anciennes vies. « Ou un bain … un bon bain chaud. Non ? J’adorerais trouver un moyen de faire ça. »
Ekaitz Argyre
Ven 5 Fév - 16:54 ||
Ekaitz Argyre
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Tu es complètement incapable de ne pas retourner vers elle, au moins une fois par jour. Tu n’es pas tout le temps dans ses pattes, parce que tu sais clairement que tu n’en as absolument pas le droit. Tu es son médecin, tu es devenu une sorte de protecteur mais c’est tout. Alors tu lui offres autant de ta présence qu’elle en a besoin, oui, mais aussi toute la liberté dont elle peut vouloir. Si tu as vécu un temps à ses côtés, juste elle et toi, depuis que vous avez rejoint la ferme, tu veilles à ne pas… outrepasser l’acceptable.

Du coup, te voilà à ses côtés alors que, comme tu t’en doutais, elle veut finir ce qu’elle est en train de faire avant que la nuit ne soit complètement là, et tu hoches la tête t’avançant. Tu observes en biais la couleur de son teint et les signes physiques des maladies cardiaques chez les gens, comme tu le fais toujours, avant de lui offrir un sourire.

« Sportive. Je n’avais jamais fait ce genre de chose, et franchement tous les fermiers ont un mérite immense à faire ce genre de choses par eux-mêmes et plusieurs fois par an. Tu finis par reposer ton pull à côté, sur le sol et tendre la main vers la planche. Bien sûr. Ca va, ce n’est pas trop difficile de faire ça toute seule ? Si tu as besoin d’aide, en journée, tu peux me faire signe, tu sais. »

Et tu le lui proposes, oui, tu le lui rappelles, ok, mais tu ne t’imposes pas. En faite, tu te concentres même sur ton travail de quelques minutes pour lui facilité le clouage du morceau de bois. Quand tu récupères tes mains c’est pour te reculer d’un pas alors qu’elle en finit de son travail du jour et sa remarque vient faire relever tes yeux doux sur elle.

« J’avoue que ce serait vraiment cool ça. Tu fermes les yeux un instant pour imaginer un bain d’eau chaud et un soupire t’échappe. Peut-être que si l’on rassemble plusieurs cerveaux sur ce sujet, on pourrait trouver une solution ? Peut-être avec un système de loupe solaire sur un bac d’eau ? Même si j’imagine que tout le monde va vouloir se jeter dessus si ça marche. »

Un rire t’échappe, quand tu imagines la scène des survivants d’Alden à la queuleuleu pour profiter de quelques minutes dans un bain d’eau réchauffée. Au final, tu passes une main à l’arrière de ta tête, en ébouriffant tes cheveux plus qu’à l’accoutumé, et tu finis par te pencher pour récuper ton pull et la caisse d’outils qui fait mine de rien son poids.

« On ramène ça ? Tu lui proposes en désignant la caisse dans ta main d’un mouvement de menton, avant de relever le nez vers le ciel qui s’assombrit mais reste bien dégagé. Tiens, je me demande si l’on verra les étoiles ce soir. L’avantage de l’épidémie, c’est qu’il n’y a plus aucune pollution pour les voir, ca fait de sacrée belle vue. »

Et c’est assez souvent que tu sors, de nuit, pour profiter du firmament qui brille, depuis quelque temps. Tu dis ça en te disant que tu vas peut-être sauter le repas ou prendre un quignon de pain et aller diner dehors pour en profiter. Et sans réfléchir, tu viens lui renvoyer la question, curieux probablement.

« Tu comptes faire quoi, ce soir, toi ? »
Vega C. Echeverría
Ven 5 Fév - 18:41 ||
Vega C. Echeverría
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Tu as un soupire bien compatissant, quand il vient répondre à ta question. Il a, tout comme toi, passer sa journée à s’agiter, à bouger, tu l’as observé, un peu plus tôt, en train de ranger des gros sacs de foin, ça a duré quelques minutes, avant que tu ne finisses par te détourner pour retourner à tes propres activités … toi, encore, tu bossais dans le bâtiment, tu as tendance à te dire que ce n’était pas si différent que ça. D’ailleurs, avec ce que tu as appris au cours de ta vie, tu peux clairement être utile. Pour lui, tu te dis que c’est par contre surement très différent. Il était médecin. Il suivait des gens malades du cœur, tu ne le voyais que dans le cadre de son bureau, en ce qui te concernes, mais tu vois, tu as toujours trouvé étrange qu’il ne prenne pas une place de médecin ici. Depuis le début, tu te dis qu’il aurait été très utile, parce que tu le sais très compétent mais tu n’as jamais fait la moindre remarque à ce sujet, tout simplement parce que ça ne te regarde pas. Et oui, Vega, vous êtes surement des amis, maintenant, du moins, c’est probablement ce qui correspond le mieux, mais, rien de plus ne vous unis … Eden t’as demandé s’il était ton mari, lorsque tu es arrivée ici, quand tu lui as dit qu’Ekaitz était tout simplement ton cardiologue, elle t’a regardé étrangement avant de changer de sujet. Tu as simplement supposé que ce n’était pas courant, pour un médecin, de ne rester qu’en compagnie de l’une de ses patientes.

« D’accord. » Que tu lui offres, simplement, avant d’en terminer réellement avec cette fichue planche. Ça signe la fin de ton boulot ici pour la journée, et tu sais quoi ? Tu es plutôt soulagée d’en voir le bout, c’est bien pour ça que tu finis par parler de cette douche puis de ce bain, l’un comme l’autre, ça te ferait le plus grand bien, n’est-ce pas ? « Je trouverais bien quelque chose. » Que tu finis par lui lancer, parce que, tu sais quoi ? Maintenant que tu as l’idée en tête, tu vas chercher à un moyen de le faire, la douche, ça te parait compromis, c’est certain, mais le bain … C’est aussi motivant qu’attirant, n’est-ce pas ?

Tu le laisses finalement prendre ta caisse à outils, et tu le suis, tranquillement en frottant tes mains entre elles. En fait, tu ne fais que lever le nez vers le ciel, à ton tour, pour regarder le ciel effectivement bien dégagé ce soir. « Possible… » C’est vrai que c’est encore l’une des choses qui vous changent, à tous les deux. Impossible de voir un véritable ciel à Miami, les lumières de la ville l’empêche systématiquement. « Est-ce que … tu veux qu’on essaie de profiter du spectacle ? » Tu finis par lui offrir, répondant à sa question par une autre question, avec un léger sourire. Et puis, tu pointes le corps de ferme, plus précisément son toit, et par extension son grenier. « Il y a un immense velux sur le toit, du grenier, on doit avoir une sacrée vue, et puis, je ne suis pas certaine que quelqu’un soit déjà allé y jeter un œil. » Tu t’arrêtes, dans un coin de la grange, tu le laisses déposer tes outils. « On peut aussi manger là-haut … »
Ekaitz Argyre
Ven 5 Fév - 21:31 ||
Ekaitz Argyre
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Il y a bien des choses qui t’ont toujours plu chez cette jeune femme. Sa joie de vivre, son sourire, l’éclat de ses yeux. Tu la trouves incroyablement inspirante. Elle est combattive et rudement jolie. Mais l’une des autres choses qui, mine de rien, t’as toujours apaisé à son contact, c’est cette manière douce qu’elle a de parler. Elle ne cherche pas toujours à trouver quelque chose à répondre, ou à débattre. En faite, vous avez cette même manière de juste accepter les choses, et toi, et bien ça t’apaise oui.

Du coup, tu recois son “d’accord” avec un mouvement de tête avant de lui livrer une pseudo idée pour construire un bain chaud. Tu te doutes qu’à plusieurs vous trouverez peut-être une idée plus réalisable, mais pour l’instant tu ne vois pas d’autre solution. Et sa réponse vient te tirer un grand sourire, définitivement amusé, parce que tu sais qu’elle ne va pas lâcher l’affaire.

« Quand tu aurais trouvé, je veux bien savoir. Tes idées me surprennent toujorus. »

Dans le bon sens du terme, bien entendu. Et puis te voilà à parler de la soirée, en regardant le ciel qui s’assombrit. Dieu que tu aimes les étoiles, même si la plus jolie est actuellement à tes côtés. Pourtant, tu lances ça plus pour partager une pensée que l’inviter ou la forcer à venir. Mais quand elle te pose cette question, tu te tournes un peu brusquement vers elle, surpris.

« Oui ? Tu te reprends. Enfin, si ça te dis, avec plaisir. »

Vous arrivez dans la grange, alors qu’elle parle du corps de ferme, du grenier même et de son velux. Et toi, tu te reprends à hocher la tête, avec un sourire sincèrement heureux. Tu pensais être seul, ce changement de plan te touche et te réchauffe. Au final, quand vous en finissez de ranger ce qui doit l’être, tu te tournes même vers elle :

« Ca me va d’y diner. On peut aller chercher nos repas maintenant, avant que le service ne se mette en place, viens. Sans réfléchir, ta main se glisse dans son dos, l’effleurant à peine, et tu l’entraines vers la zone des repas. D’ailleurs, je ne te l’ai jamais demandé, mais ton prénom… c’est une référence aux étoiles j’imagine ? »

Tu n’en connais qu’une des Vega et autant dire que ce n’est pas courant dans ton environnement. Tes yeux viennent glisser sur elle, rapidement, avant que vous n’arrivez dans la cuisine. Les gens en chargent des repas s’agitent déjà dans tous les sens et tu n’as qu’à monnayer quelques minutes pour obtenir deux bouts de pain, deux écuelles de purée de buternuts et même le luxe d’un petit bout de viande séchée chacun. Quand tu reviens vers la jolie brune, tu as les bras chargés.

« Tu peux attraper une bouteille d’eau ? Peut-être qu’on ferait bien de prendre nos couvertures aussi, les nuits sont fraiches. »
Vega C. Echeverría
Sam 6 Fév - 8:40 ||
Vega C. Echeverría
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Voilà un bon moment que vous n’avez pas fait quelque chose ensemble, non ? Bon, clairement, encore une fois, vous avez une relation un peu particulière, peu banale, disons, alors, depuis que vous êtes arrivés dans cette ferme, chacun fait sa vie de son côté, il aide comme il le peut, tu t’arranges pour réparer les choses qui doivent l’être. Vous vous croisez. Vous échangez parfois quelques mots, vous avez une discussion, par-ci, par-là, et puis, chacun retourne de son côté et en toute circonstance, finalement, ça vous parait complètement normal. Après tout, pourquoi est-ce que l’un de vous chercherait la présence de l’autre absolument ? Il n’y a aucune raison à ça. Et pourtant, Vega, tu n’oublies pas qu’au-delà de tout ça, Ekaitz reste tout de même la personne qui t’as sauvé la vie, et t’as arrachée à une certaine solitude au début de cette épidémie. Tu n’es probablement toujours pas en mesure de comprendre pourquoi est-ce qu’il est venu à toi … en fait, tu as toujours pensé qu’il était allé visiter plusieurs de ses patients, dans l’urgence, pour leur traitement médicamenteux. C’est pour ça qu’il est venu à toi, en premier lieu, avant de te faire la proposition de l’accompagner et ça, c’est probablement parce que tu étais au fond du trou, tu venais de perdre ton père, et complètement seule. En fait, il a simplement eu pitié, tu supposes, et ça pourrait t’énerver, parce que tu n’as jamais supporter ça … seulement, tu lui en es simplement reconnaissante, après tout ça.

Quand il te parle des étoiles, du coup, ça vient éveiller quelque chose chez toi. Ton père aimait ça, les étoiles, l’astronomie était l’une de ses passions les plus présentes, et tu te souviens encore des fois où, avec toi, il quittait la ville dans son pick-up pour aller s’installer dans une étendue déserte afin d’avoir tout le loisir d’observer le ciel. Tu as de belles images du ciel, en tête, grâce à ton père, des souvenirs magnifiques. Du coup, tu te dis que c’est aussi l’occasion de renouer avec tout ça. « Je suis d’accord, allons-y ! » Et oui, tu le suis jusqu’à la cuisine où vous pourrez récupérer vos repas du soir. « Alpha Lyrae. » Que tu viens finalement lui répondre, lorsqu’il vient évoquer ton prénom qui, effectivement, est bel et bien une référence aux étoiles. « L’étoile la plus brillante de la constellation de la Lyre. » Et oui, tu sais tout ça parce que ton père à pris le temps de t’expliquer ton prénom, il en était sacrément fier, d’ailleurs, c’est l’une des choses qu’il avait imposé à ta mère – elle s’en fichait de toute façon – dés ta naissance. C’est comme ça qu’il voulait que tu t’appelles, et pas autrement. « Vega Cassiopée. » Oui, parce que du coup, même ton second prénom est une référence. « Cassiopée, comme la constellation … mon père aimait l’astronomie. » Tu finis par hausser les épaules, avec un léger sourire, mi-adorable, mi-triste et puis, tandis qu’il attrape vos repas, toi, tu viens attraper de l’eau avant de ressortir de là et de faire un aller et retour rapide pour récupérer vos deux couvertures.

« Viens, l’accès au grenier est ici … » Vous voilà à rejoindre l’étage, puis à vous faufiler jusqu’à la trappe qui mène au grenier. Tu fais descendre l’échelle qui y mène, et tu te faufiles en premier avant de l’aider à monter tout ce qu’il a dans les bras, finalement, tu lui tends la main pour qu’il te rejoigne et tu refermes la trappe pour que vous puissiez être tranquilles. « Attends … » Tu t’approches d’une lampe à huile posée sur une poutre et tu viens l’allumer avant d’aller la poser dans un coin du grenier assez dégagé. Elle diffuse une lumière douce, presque tamisée, mais au moins, elle vous permet d’y voir clair pour manger. Enfin, tu ouvres le velux. « Wouah, regarde moi cette vue, c’est génial … » Et tu viens poser tes fesses sur le sol poussiéreux, le nez tourné vers les étoiles qui commencent déjà à montrer le bout de leur nez.
Ekaitz Argyre
Sam 6 Fév - 13:18 ||
Ekaitz Argyre
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Tu l’entraines dans la partie cuisine de la ferme, et franchement Ekaitz, tu as l’impression d’être honoré d’une grande attention, ce soir, en te disant que tu vas la passer avec elle. C’est stupide, de penser comme ça, mais toi qui veilles toujours à ne pas outrepasser la bienséance, à la laisser vivre sans t’imposer, tu n’aurais pas cru avoir le droit de passer autant de temps avec elle. Comme quoi, tu es quand même sacrément bizarre non ? Tu aimes cette jeune femme, tu le sais clairement, mais tu ne cherches absolument pas à l’obtenir.

« Il a bien choisi ton prénom, alors. Tu lui apprends, quand elle t’explique de quelle étoile il s’agit, avec un grand sourire. Tu es probablement la personne la plus lumineuse que je connaisse. »

Et ça sort naturellement, sans même que tu ne cherches à faire un sous-entendu ou même un compliment pour bien te faire voir. Non, Ekaitz, tu es égal à toi-même et c’est la vérité que tu lui offres, alors que vous récupérez les repas et l’eau. Et c’est quand tu repères son sourire triste et touchant, quand elle parle de son père, que tu te sens le besoin d’intervenir.

« C’est une belle passion. Et mine de rien, Vega, quand tu regardes le ciel, maintenant, tu le partages avec lui d’une certaine manière. Tu lui offres un sourire rassurant. Je suis certain qui veille sur toi, il t’aimait de toutes ses forces. »

Tu le connaissais un peu, cet homme. Pas beaucoup, juste à travers quelques rendez-vous, mais tu ne doutes pas de dire ça, parce que tu ne te trompes pas. Tu as lu l’amour dans le cœur, les yeux et les mots de cet homme avec la catastrophe. Ceci dit, tu n’oses pas en dire plus, de peur de venir réveiller des souvenirs encore trop douloureux. Tu t’astreins donc à la suivre jusqu’à la grange et tu hoches la tête quand elle te montre l’accès au grenier.

Avec son aide, tu hisses tout ce qui est pour votre soirée en haut, puis tu te glisses dans l’espace calfeutré où personne ne vient jamais. Le temps que tu arrives, elle a déjà allumée une lampe à huile et tu finis par la rejoindre. Si elle s’assoit aussi sec sous le velux ouvert, tu restes debout, le nez en l’air, fasciné par le ciel qui s’illumine lentement. C’est en sentant l’air bien plus frais et piquant que tu réagis. Tu fais demi-tour pour amener vos assiettes tout près de vous, puis l’eau et finalement tu reviens avec les couvertures.

« Il ne faut pas attraper froid. Surtout pour elle, en faite, mais tu ne le dis pas. Tu viens enrouler ses épaules dans le premier tissu qui te tombe sous la main, sans souci de savoir si c’est le tien ou le sien, et tu lui offres un beau sourire. Tu sais reconnaître un peu les constellations ? »

Parce que toi, gamin, dans le grenier qui vous servait de chambre avec Icare, vous passiez votre temps à vous perdre dans les étoiles pour oublier la peur, la faim ou la douleur. Avec le temps tu as appris à en désigner quelques-unes et à imaginer la forme qui se cache derrière. En attendant, mon vieux, tu finis par te mettre assis à côté d’elle. Tu viens poser la couverture sur tes épaules pour éviter qu’elle ne se sente en défaut à devoir se couvrir seule, et tu finis par lui tendre son assiette de purée.

« Ca sent rudement bon aujourd’hui. Tu viens renifler ta propre assiette avant de goûter directement du doigt dans la purée colorée. Et ça a un vrai goût de légume ! »

Ton maître-mot ? Toujours voir le positif !
Vega C. Echeverría
Sam 6 Fév - 14:34 ||
Vega C. Echeverría
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Ça te fera probablement toujours cette … pique au cœur, quand tu parles de ton père. Il est celui qui t’as élevée, qui as pris soin de toi. Il a toujours été un père plus qu’exceptionnel, à tes yeux, Vega, il t’a protégée de ta propre mère, et son sujet à elle, il ne t’a jamais menti, pas plus qu’il ne t’a caché la vérité. Il n’a pas cherché à te préserver de la vérité, et tu vois, ça, ça a toujours été un exemple, tu as toujours souhaité que l’on te traite comme ton père avait pu le faire. Il t’aimait, plus que tout au monde, là-dessus non plus, tu n’as pas le moindre doute, mais il a toujours estimé que tu étais assez forte pour encaisser les choses et qu’il était inutile pour lui de te cacher dans son dos. C’est grâce à lui que t’es construite, que tu es devenue celle que tu es. Tu aurais aimé qu’il t’accompagne dans les grands moments de ta vie, tu l’aurais bien vu te mener à l’autel, un jour, tu l’aurais aussi bien vu avec ses petits-enfants au creux des bras … malheureusement, la vie avait décidé de te l’enlever bien trop tôt, d’une façon sacrément brutale et injuste, en plus.

Si tu portes toujours le deuil, néanmoins, tu t’es efforcée de tout mettre dans un coin. Un psychologue te dirait que ce n’est pas la meilleure des choses à faire, mais toi, tu te dis que tu auras tout le temps de le pleurer, lorsque tu seras réellement en sécurité. Pour l’heure, à ce sujet, il y a pratiquement tout à fait alors … ouais, tu songes simplement qu’il te faut de l’énergie et de la volonté pour te bâtir un avenir un peu plus radieux. Et si tu vois, ça vient provoquer un peu de tristesse chez toi, d’évoquer ton père, le fait est que ça te fait du bien aussi, tout autant que de constater que même ceux qui n’ont fait que le croiser, soient parvenus à le cerner aussi bien. Comme Ekaitz.

C’est donc, surement, avec une pointe de nostalgie, mais aussi, beaucoup de bonheur finalement – et étrangement, c’est dire si vous en manquez, ces derniers temps – que tu te tournes vers le ciel, ce soir, assise sur le plancher poussiéreux, tu as ce sourire sur les lèvres tandis que les étoiles se dévoilent, peu à peu, au fur et à mesure que la nuit s’étale. Tu es si concentrée, au final, que tu ne songes même pas à rapprocher vos repas, et tu laisses finalement le médecin s’en occuper, le laissant même venir déposer une couverture – qui ne porte pas ton odeur, tiens – sur tes épaules avant qu’il ne vienne s’installer près de toi. « Un petit peu, j’ai quelques souvenirs, je crois … » Tu fouilles le ciel du regard, les étoiles ne sont pas toutes visibles, elles le seront un peu plus d’ici quelques heures, mais ça ne t’empêche pas d’essayer de repérer quelques ensembles d’étoiles que ton père t’as appris à reconnaître. « Mh…la petite ours. » Ton repère, depuis toujours, à n’en pas douter, tu la pointes du doigts en te penchant légèrement sur le côté, jusqu’à venir appuyer ton épaule contre celle d’Ekaitz. « Un peu en dessous, sa maman et entre les deux … la queue du dragon. » Une queue que tu longes du doigt, jusqu’à aller jusqu’à sa tête que tu vois déjà bien. Et c’est étrange, hein, Vega, mais plus tu observes le ciel, plus tu as l’impression que les souvenirs reviennent. « A l’opposé … la girafe, quelque part ici … » Tu ne la vois pas complètement, ses étoiles te semblent encore bien pâles. « Et juste au-dessus, Cassiopée accompagnée de Persée. » C’est le discours de ton père que tu ressors là, c’est comme qu’il te montrait les étoiles, les constellations. « Vega est là. » Tu viens attraper la main du médecin, guidant son doigt le long du dragon, le faisant descendre un peu à partir de la tête pour trouver une étoile bien brillante, accrochée à sa lyre.

Et puis finalement, tu relâches pour attraper ton assiette, venir goûter un peu de la purée à ton tour. Ça fait du bien, d’avoir des légumes frais … un véritable privilège et pourtant, si tu dégustes doucement ton repas, tes yeux, eux, n’ont absolument pas quitter le ciel, aussi brillants que les étoiles qu’ils observent. « Ça change des conserves. » Que tu consens tout de même à lui offrir, comme pour éviter, finalement, de le laisser faire la conversation tout seul. Et en fait, Vega, tu finis, après quelques minutes par lâcher le ciel des yeux pour reposer ton regard sur Ekaitz. « Je suis jamais venue dans ce grenier … je sais même pas si quelqu’un a pensé à monter ici un jour. Si ça se trouve, on a des trésors ici. »
Ekaitz Argyre
Dim 7 Fév - 21:44 ||
Ekaitz Argyre
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Te voilà installé à côté d’elle, avec cette couverture que tu refermes, resserres, un peu sur tes épaules et l’odeur qui vient grimper dans tes narines, ce n’est pas la tienne. Ca te fait frissonner, Ekaitz, et l’odeur de la jeune femme te pénètre jusqu’au cœur. Tu devrais peut-être lui rendre sa couverture, mais tu crains de paraître étrange alors tu attends simplement de savoir si elle le demande…

En attendant, tu te retrouves donc le nez levé vers le ciel, à observer les amas d’étoiles qui forment des formes soit que tu connais, Ekaitz, soit que tu imagines représenter. Et puisque tu lui demandes, elle se met à parler des “quelques” constellations qu’elle connait. Franchement, mon vieux, tu es bluffé une fois de plus, parce qu’elle parle des plus connus au départ, mais quand elle vient appuyer son épaule à la tienne, qu’elle parle d’autres que tu ne connais pas, de cette galaxie dont elle porte le nom et puis ses doigts viennent chercher les tiens et tu pourrais soupirer d’aise.

« Je la vois. C’est fou, comme elle doit être loin et pourtant… elle brille si fort. Tu lui réponds en observant le ciel avec ce sérieux tout à fait médical. Pourtant tu finis par détourner la tête pour l’observer elle. Mais j’ai de la chance, j’en ai une version au moins aussi lumineuse juste à côté de moi ! »

Oh non, ne croyez pas que ce soit de la drague de bas étage, parce que la vérité, c’est que tu as juste envie de la rendre heureuse. Tu ne te diras jamais que tu as le droit de lui faire la cour ou même de faire partie de ses prétendants. Tu es trop vieux et trop abîmé pour elle. Tu préfères simplement faire en sorte qu’elle soit bien et heureuse. Et quand tu finis par détourner la tête c’est juste pour aller lui proposer son assiette de nourriture, parce que manger est important, encore plus pour elle.

« C’est certain… Que tu souffles et mine de rien, tu souris à nouveau. Quand on y pense, maintenant on mange bio et équitable. Pour nos santés, ça doit être un véritable plus. »

Et bon, si tu en as déjà grillé un bon paquet de tes années toi, tu ne vas pas cracher sur quelques années de plus sans problème grave de santé, non ? Si tu peux reculer la date de ton premier cancer ou organe qui lâchent, tu ne diras pas non, encore plus si cette épidémie ne reflux pas assez vite pour que la médecine puisse reprendre ses droits.

Pendant de longs instants, tu ne fais plus que manger tranquillement ton repas. Si Vega observe presque obstinément le ciel, toi c’est elle que tu regardes, sans même t’en sentir gêné. Et quand elle ramène ses yeux à toi, tu lui offres un sourire, instinctivement avant de réfléchir à sa remarque.

« J’avoue que je n’ai jamais vu personne y aller. Tu voudrais qu’on regarde un peu ce que l’on y trouve après le repas ? Ce n’est pas comme si les étoiles allaient se sauver le temps que l’on fouille ici ! Et ça t’amuse cette idée. Tu finis par croquer un bout de viande, avant de lui poser une question que tu ne lui as jamais demandé depuis tout ce temps. Tu es bien ici ? J’ai l’impression que tu as su te creuser une place, et tout le monde compte sur toi. »

Parce que toi, tu n’es pas certain d’être aussi indispensable, mais tu t‘en fiches, temps qu’elle, elle est heureuse, tu seras bien ici.
Vega C. Echeverría
Lun 8 Fév - 9:45 ||
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Ça te fait plaisir. Oui. Et surtout, ça te fait probablement beaucoup de bien de refaire ce genre de choses. Ton père serait fier de t’entendre, tu n’en doutes pas une seconde, il saurait que ses longues leçons d’astronomie n’ont pas été vaines et qu’il est parvenu à te faire passer sa passion, que tu as retenu, que tu es maintenant capable de transmettre ça à d’autres … ouais, Vega, quand tu y penses, s’il était là, il serait probablement en train de te sourire avant de venir te chahuter les cheveux, d’une main. C’est probablement parce que tu penses à tout ça que tu passes un temps fou le nez tourné vers le ciel, en silence, à simplement observer ces étoiles. Tu n’es pourtant pas sans écouter et entendre le médecin, à côté toi, d’ailleurs, son compliment vient assurément te faire monter une légère coloration rosée sur les joues, heureusement, pas vraiment visibles à cause de la pénombre et du manque de lumière.

Quand enfin tes yeux se repose sur l’homme, tu lui offres un joli sourire comme tu as pris l’habitude de le faire, depuis que tu le vois de façon régulière. Au fond, tu as de la chance, Vega, tu te retrouves sans famille, oui, mais avec une personne que tu apprécies près de toi, et ça, clairement, ça n’a pas de prix, n’est-ce pas ? Peu importe qu’il ne fût « que » ton médecin, tu sais que tu peux lui faire une confiance aveugle, tu le sens, parce qu’Ekaitz à toujours été doux, et attentif, parce qu’il n’a jamais eu un mot plus haut que l’autre envers toi, parce que tu sais parfaitement qu’il essaie de te préserver, et te ménager, mais que tu vois bien qu’il ne le fait par pitié, parce qu’il respecte tes choix, et ta liberté de mouvement malgré la maladie.

Tu manges le contenu de ton assiette avec appétit, la purée est bonne, le morceau de viande séchée, à côté, est absolument appréciable alors, pendant quelques minutes, tu profites de ce repas dont tu as clairement bien besoin après cette journée de travail et puis … oui, tu te tournes vers ce grenier encore plein de choses par-ci, par-là. Il te semble avoir entendu dire qu’il n’était pas sécuritaire, parce que le toit était percé à certains endroit et que le bois, ici, avait pris l’humidité. Max n’a pas pris le risque d’installer qui que ce soit ici, ni même d’envoyer quelqu’un pour fouiner, simplement parce qu’il craignait un accident bien préjudiciable. « On fait ça ! » Que tu lances, alors qu’Ekaitz vient littéralement t’encourager, sans le savoir, dans ton idée. Tu reposes ton assiette, laisse retomber la couverture qui sent bon sur le sol, et te voilà à faire le tour du bric à brac qui traîne un peu partout. Des cartons, des caisses, effectivement, tout ça sent cruellement l’humidité. « C’est pas mal, je me sens utile et en sécurité, je crois que c’est le plus important, en ce moment. » Que tu viens finalement répondre à sa question, tout en continuant de regarder un peu partout. Tu viens t’agenouiller, même, pour trier le contenu d’une caisse qui semble contenir de vieilles pièces métalliques rouillées que tu as du mal à identifier. « Et toi ? Tu es passé de médecin à … l’homme qui range le foin. Ce n’est pas trop compliqué, comme changement de carrière ? » Tu as un petit sourire en demandant ça, probablement pour dédramatiser un peu, au cas où, mais il n’empêche que tu es sérieuse. Tu t’en voudrais, Vega, si tout à ton contraire, lui, peine à trouver une place acceptable ici.

Tu te redresses, tu t’avances un peu plus au fond du grenier et, dans la pénombre, tu plisses les yeux en distinguant quelque chose qui attire aussitôt ton attention. Il y a là une grande bassine, à la forme de baignoire, elle est en métal, ou en cuivre, tu ne vois pas trop d’ici, mais rapidement, tu viens la débarrasser des cartons sales qu’elle contient et … « Ekaitz ! Viens voir ça ! » Oui. Une baignoire d’époque, et tu sais quoi ? Juste en dessous, une espèce de réchaud poussiéreux qui semble fonctionner comme un mini poêle à bois. « Regarde ça, une baignoire. Si j’arrive à faire fonctionner ça … » Et tu viens tapoter le réchaud du bout de ton pied. Et là, clairement, tu lui offres un sourire bien espiègle, avant de venir poser ton doigt à la verticale contre tes lèvres. « Gardons là pour nous, pour l’instant, je veux la faire fonctionner, et on pourra en profiter, nous avant tous les autres, s’il te plait ! »
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