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[JAVIK] Ce soir là j’ai découvert que la plupart des êtres qu’on pense méchants ou malfaisant sont tout simplement très seuls…
Miria A. Orphelian
Jeu 14 Jan - 10:31 ||
Miria A. Orphelian
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C’est complètement affreux, n’est ce pas ? De se rendre parfaitement compte à quel point tu es, ou plutôt, vous êtes en danger et d’être totalement impuissante et désarmée face à ça. Tu aimerais ne pas avoir déposée ton arme, tu aimerais avoir le loisir de t’en servir à nouveau, et de tirer sur ces hommes, même si ça te pèseras probablement sur la conscience aussi lourdement que pour les deux hommes que tu as tués pour venir en aide à Javik il y a maintenant un peu plus d’un mois. C’est une question de vie ou de mort, tu le sais, même si tu as compris que toi, ils ne tueront certainement pas tout de suite.

Malheureusement, tu n’as rien. Et même quand tu essaies, Miria, c’est un échec pire que monumental. Tu te blesses lorsque tu frappes, et lorsque tu reçois ce coup, en retour, tu as presque l’impression de te sentir partir, tant cet homme frappe fort. Tu es sonnée, c’est a peine si durant ce moment, tu demeures en conscience de ce qui pourrait t’arriver, de ce qui est en train de se passer pour vous. Pourtant, tu l’entends ton prénom, il est subitement hurlé sur un ton atrocement paniqué, et si ça te fais reprendre conscience que c’est grave, ce qui te propulses à nouveau la lourde réalité, c’est ce coup de feu qui fait bouger tout le monde autour de toi.

L’homme qui te tenais jusqu’à présent relâche sa prise sur tes cheveux et tu retombes mollement sur le sol, alors qu’une grimace vient orner ton visage quand la douleur te frappes à nouveau. Quand tu redressés un peu, tu ne vois plus que quatre hommes qui tentent de se cacher, qui pestent, qui hurlent des atrocités. Tu rampes dans la salle de bain, et tu t’accroches au lavabo pour te redresser tant bien que mal et alors que l’un des hommes est là, dans l’encadrement de la porte de la salle d’eau, en train de sa cacher et de regarder en direction de Javik, tu t’empares d’un lourd vase décoratif chargé de ses fleurs maintenant complètement sèches. Le problème, Miria, c’est que tu as probablement sous estimer les effets du coup que tu as pris il y a quelques minutes parce qu’alors que tu le levés, il y a ce vertige qui vient s’emparer de toi, l’objet te glisses littéralement des mains pour venir s’éclater au sol et l’homme que tu visais réagis.

Dans la salle de bain, il peut se replier plus que les trois autres, de ce fait, il en profite pour se jeter sur toi, avec un sourire malsain, il te projettes au sol, et alors que tu te débats de toutes tes forces, il tente de t’immobiliser. Un hurlement affreux s’échappe de ta gorge, tu l’imagines déjà jouer avec toi comme si tu n’étais qu’une poupée, et ça provoque chez toi un violent haut le cœur. Tu ne comptes heureusement pas te laisser faire, du coup ta main glisse sur le carrelage, et tes doigts parviennent à se refermer sur l’un de morceaux cassés du vase. Tu le ramènes à toi, rapidement et d’un coup, tu te mets à frapper ton adversaire avec. Tu ne regardes pas où tu frappes, tu le fais, c’est tout. Tu entailles son visage, puis sa gorge, il hurle, le sang gicle, s’écoule sur toi et après une série de gargouillis sinistres, l’homme s’effondre sur toi, mort.

« Ja…Javik ! » Tu cris son prénom, non par pour l’appeler, pour qu’il vienne à toi, juste pour entendre sa voix, pour t’assurer qu’il est toujours en vie, pendant que tu t’acharnes à repousser le cadavre au dessus de toi. Il est lourd, massif, alors tu peines durant de longues secondes avant d’y parvenir, et de pouvoir souffler un grand coup. Quand tu bouges enfin, Miria, c’est littéralement à quatre pattes que tu avances vers la sortie de la salle de bain pour tenter de te glisser hors de cette dernière et tenter d’aller récupérer ton fusil, près de l’entrée, en profitant de la confusion générale.

Attaque au vase 10.
Se défendre contre le type 1.
Javik Lawson
Jeu 14 Jan - 23:50 ||
Javik Lawson
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Un de moins c'était toujours mieux que de ne rien avoir fait. Le type était en train de se vider de son sang au sol et ceci ne faisait ni chaud, ni froid à Javik. C'était sa vie ou la sienne et dans l'équation, la sienne sera toujours celle qui pèsera le plus. Ah que voulez vous... un pur égoïste notre braqueur... mais ça se comprend quand ça concerne sa survie. Dans la panique du coup de feu qui n'avait touché personne, tout le monde s'était mit à couvert. C'était à prévoir, mais cela ne voulait pas encore dire que la partie était terminée. Il ne l'avait pas vraiment vu, mais l'un des types étaient entrée dans la salle  de bain avec Miria. Il se doutait qu'elle était toujours là bas, vu qu'il ne pouvait pas la voir. Hélas, il ne pouvait pas courir pour aller la secourir et l'aider, pas tant que les autres étaient là. Alors, il espérait qu'elle puisse survivre et se défendre assez longtemps.

Les Redneck étaient en colère, il les entendait pester et dire qu'il allait le buter. C'était un peu le but des deux groupes là tout de suite de s'entre tuer. Mais le jeune homme n'avait pas l'intention de passer l'arme à gauche. Ce n'était pas sûr qu'il ait tous des armes à feu, mais ça reste des gars musclés qui pourraient lui faire pas mal de bobo en le frappant. En gros, il va devoir la jouer fine. "Alors ? Vous deviez pas me tuer bande de tapette ?" lance t-il par dessus le canapé pour essayer de les faire bouger. Là encore, il entendit un type grogner, genre pas content du tout, mais c'était le jeu et s'il était assez con pour répondre à sa provocation, ceci pouvait être une chance. Assez rapidement, il regarda son chargeur pour vérifier le nombre de munition. C'était loin d'être Disneyland... Il devait lui rester à peine trois balles. Putain, c'était la dèche, mais s'il visait bien ça pouvait faire le taff. L'un des types s’approche, il sort doucement de sa couverture, il a un flingue, un petit truc, mais il suffit d'une balle. Tout comme le lui avait appris Ash, il respira profondément et quand il sentit le bon moment arrivé, tout ça grâce au reflet dans la fenêtre qui lui indiquait clairement la position du cas, il se montra et tira. Juste une simple pression sur la gâchette, pour ne tirer qu'une seule balle. Le projectile traversa le torse de son ennemi, s'était surement le cœur... ou le poumon vu les bruits qu'il faisait une fois qu'il s'écrasa au sol. Oui, il avait dû perforer un poumon et à présent il était en train de se noyer dans son sang. "Si vous tenez à la vie, vous devriez vous tirer. Sinon, je vais vous finir ! J'ai déjà eu deux de vos potes, vous croyez pouvoir m'avoir ?" C'était plus fort que lui, il devait le provoquer. "T'as tué mon frère connard ! Je vais te défoncer !" Lui fut plus intelligent, il resta derrière sa cachette, se montrant à peine pour essayer de tirer. Lui essaya de changer de couverture quand il ne regardait pas. Et bizarrement, il ne le vit pas s'avancer. A présent, il était vers le bar. Miria était en train de sortir de la salle de bain. Vu le sang qui se trouvait sur elle, elle avait dû réussir à tuer le gars qui s'en était pris à elle. C'était une bonne chose, mais si jamais les types la voyaient, elle était dans la merde.

Dé 1 : 2 - Poufff le type est mort !
Dé 2 : 1 - C'est le roi de cache-cache, personne ne le voit changement de position. Like a boss !
Miria A. Orphelian
Ven 15 Jan - 20:36 ||
Miria A. Orphelian
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Ils ne sont plus que trois, maintenant, Miria, et ça progresse, mais ça te parait toujours affreusement insurmontable. Deux ont été abattus, mais en ce qui te concernes, du moins, ça aura été au prix de nombreux efforts. Cet homme te voulait du mal, tu essaies de te dire que ça devrait être plus simple encore que la dernière fois, mais la vérité, c’est que tu te connais, Miria, peu importe que tu sois forcée, que ta survie ou celle d’un autre en dépende, tu n’arrives, et tu n’arriveras jamais à te faire à l’idée que toi, tu as pris des vies humaines.

Et pourtant, ma grande, tu n’as pas le choix. Pourtant, c’est loin d’être terminé, et si tu veux rester en vie, si tu veux que vous restiez en vie tous les deux, tu ne peux pas t’arrêter, tu ne peux pas renoncer. Tu dois continuer de te battre, c’est eux, ou vous, et il est bien évidemment que si tu dois faire ce choix, tu choisis de rester en vie. C’est donc complètement couverte de ton sang, oui, mais aussi, et surtout, de l’homme que tu viens de massacrer avec ton morceau de vase pointu et tranchant que tu sors de la salle de bain, tu avances comme une enfant, à quatre pattes, craignant à chaque instant d’être vue, de prendre une balle.

C’est étrange, mais si tu voyais la suite relativement grande en entrant tout à l’heure, maintenant, elle te parait presque immense, tu as si peur, et tu appréhende tellement les choses que tu as la désagréable impression que l’arme que tu essaies d’atteindre se trouve à des kilomètres de distance et que de nombreux obstacles t’en séparent. Tu avances, oui, en sursautant, en pleurant, sans même t’en rendre compte d’ailleurs, et quand ce coup de feu retentit dans la pièce, tu viens même complètement te recroqueviller derrière l’un des canapés en tremblant de tout ton corps, avant de comprendre que la supériorité numérique de ces sales types vient d’être réduite à néant. Maintenant, c’est égalité, si l’on peut dire, ils sont deux, vous êtes deux, et tu sais quoi ? Le fait de faire ce simple constat vient comme te donner un boost d’adrénaline. Tu bouges, et tu te rues quasiment sur ton fusil, toujours debout, près de la porte d’entrée.

C’est presque un miracle, mais tu arrives saine et sauve jusqu’à ton arme, et tu as même le temps de la saisir, de la ramener à toi, et d’aller te cacher à nouveau derrière une espèce de grande armoire, en serrant le fusil de père contre toi. C’est un fusil de chasse, Miria, c’est puissant, ça ne contient que deux cartouches, tu sais que si tu sors de là pour tirer, tu n’as pas intérêt de faire d’erreur, et c’est ce qui te mets tant la pression. Tu n’es pas calme. Tu ne l’es jamais quand tu sors hors de la cabane, avec cette arme, mais là, c’est littéralement pire que tout … tu sais que ce n’est pas des rôdeurs, et tu ne parviens pas à calmer tes mains qui tremblent, encore et encore.

Pourtant, ça hurle, certes ils ne sont plus que deux, mais maintenant, ce sont de vraies bombes à retardement, ils sont remontés comme des coucous suisses … alors tu finis par bouger, un mouvement maladroit pour sortir de ta cachette, pour braquer à la va vite ton arme sur ces deux types qui malheureusement t’ont probablement entendu remuer. Au moment où le coup part, les plombs se dispersent pour venir éventrer l’arrière d’un fauteuil, et c’est tout. « Merde ! » Tu pestes, comme rarement tu l’as fait au cours de ta vie, en revenant dans ta cachette, bien consciente pourtant, que maintenant, ils savent tous les deux où tu es, et que tu n’as malheureusement plus qu’une seule et unique cartouche.

Se déplacer 3.
Attraper le fusil 4.
Tirer 7.
Javik Lawson
Sam 16 Jan - 0:35 ||
Javik Lawson
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Le braqueur n'avait pas dit son dernier mot, tant qu'il ne sera pas mort, il se battra pour sa vie. Les mauvaises herbes, c'est plutôt du genre tenace et lui c'est une sacrée mauvaise herbe, résistante à tout les pesticides. En face aussi, ce sont des plantes indésirables, mais moins résistante, moins hargneuse que Lawson. Lui, il a du apprendre à être solide dès son plus jeune âge, sinon il serait mort depuis fort longtemps. Alors, il était parfaitement hors de question de tomber face à ces stupides Redneck surement consanguin en plus de ça. Sans être vu, il avait réussi à changer de place, ceci pouvait le faire bénéficier de l'effet de surprise. Alors qu'il distrayait les gars en leur parlant, il avait aperçu Miria qui sortait de sa cachette. Elle voulait atteindre son arme qu'elle avait laissé vers l'entrée. Putain, si jamais il la voyait, elle risquait d'avoir des problèmes. Etan donné qu'ils ne la voyaient surement pas comme un danger, puisque l'un des leurs devait s'occuper d'elle, ils n'avaient pas surveiller l'entrée de la salle de bain. Quand je vous dis que ce sont des idiots consanguin ! Par un miracle totalement incroyable, elle avait réussi à récupérer son fusil et se cacher de nouveau. Sur l'instant, elle lui faisait penser à un petit renard, qui pouvait se faufiler partout sans être vu.

Par la suite, il ne sait pas trop ce qu'elle fit, elle tira. Un tir qui ne toucha rien de concluant et permit d'avertir ces deux connards qu'elle n'était plus aux prises avec l'autre. Un troisième mort, c'est tout ce qu'il devait comprendre et leur rage ne fit qu'augmenter. Sur ce coup là, elle était dans la merde. Pour eux, Miria n'était qu'une petite brindille, un petit bout de femme sans danger. Alors, ils chercheront à se venger et lui faire payer cette affront, peut-être d'une manière pire qu'à Javik. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle est une femme et que ce sont des machos incapables d'accepter que le sexe opposé puisse être fort.

Le mec le plus éloigné commença à pester. Visiblement, la moutarde lui était monté au nez et il était trop en colère pour réfléchir correctement. Il était en train de se rapprocher de l'endroit où était la jolie rousse. Ah non ! C'était hors de question qu'il touche de nouveau à elle. Alors, rapidement, il se mit en position, un genou à terre, l’œil dans le viseur et "PAN". La belle le toucha et l'homme poussa un cri avant de tomber au sol. La balle avait traversé son cou, il avait peut-être sectionné sa trachée vu le sang qui en giclé par accoue, éclaboussant le mur et le plafond. C'était moins impressionnant que dans Kill Bill, mais ce mini geyser de sang allait tuer ce type en quelques minutes. Le dernier grogna et Javik lui fonça dessus. Son arme était tombée au sol, mais ce n'était pas grave. Celui là, il voulait le tuer de ses propres mains. Jamais ils n'auraient dû s'en prendre à eux, encore moins à Miria. "Sauves toi !" ordonne t'il à la rousse. "Vas t'en, je m'occupe de lui !" Sur l'instant, il voulait qu'elle soit en sécurité, qu'elle ne risque pas sa vie de manière inutile pour lui. Alors, elle devait fuir, se cacher tant qu'il en était encore temps. En plus, rien ne leur garantissait qu'ils n'étaient que cinq. Peut-être que d'autres Redneck se trouvaient dans l'immeuble. C'est pour ça qu'elle devait partir, elle était hors d'affaire.

Dé 1 : 5 - Un type mort en plus ! J'suis un Sniper !
Dé 2 : 2 - Diversion, il fonce sur l'autre gars pour qu'il oublie Miria.
Miria A. Orphelian
Sam 16 Jan - 13:34 ||
Miria A. Orphelian
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Plus que deux, Miria. Tu n’arrêtes pas de te répéter ça, en boucle, et pourtant, même en essayant, tu ne parviens vraisemblablement pas à te concentrer assez pour te faire à l’idée qu’il faut réellement songer à éliminer la menace une bonne fois pour toutes maintenant. Tu tires, pourtant, tu sors de cette cachette finalement si peu rassurante pour ouvrir le feu mais … rien. Les plombs s’éparpillent, pourtant, mais aucun ne touche une cible satisfaisante, tout ce que tu fais, c’est complètement tuer une partie du mobilier. Le problème, c’est que maintenant, tu sais que tu es découverte, s’ils pensaient encore que tu étais dans la salle de bain, probablement toujours prisonnière de l’autre type, ils viennent de se rendre compte que ce n’est plus le cas, et c’est confirmé, quand tu entends un nouveau cri et que tu te penches un peu, juste assez pour voir l’un des hommes jeter un œil à la salle de bain et y trouver le cadavre qui se vide de son sang sur le carrelage.

Tes mains serrent davantage ton arme, ma grande. Tu as compris que désormais, s’ils doivent s’attaque à quelqu’un, ce sera à toi. Javik est bien moins accessible que toi, et si tu es armée, oui, tu viens de faire une bien piètre démonstration de tes talents au tir. En fait, tu t’attends à ce que l’un des hommes fasse subitement irruption devant toi, si tu n’oses plus sortir de là où tu es, tu es en revanche prête à tirer, convaincue que si l’un se présente devant toi, tu ne pourras pas le manquer de si près. Pourtant … rien de tout ça ne se passe, tu entends des pas, des pas qui se rapprochent de ta position, oui, mais un nouveau coup de feu résonne dans la pièce, et tu sursautes à nouveau en voyant le sang qui gicle, en voyant cet homme qui s’effondre là, sous tes yeux. Le gargouillis infame du sang dans sa gorge, alors qu’il essaie tant bien que mal de respirer provoque chez toi un haut le cœur que tu fais l’effort de repousser.

Tu comprends après tout ça qu’il ne reste maintenant plus qu’un homme, et quand la voix de Javik est celle qui résonne, tu sors enfin de l’endroit où tu étais cachée, ton fusil toujours en main, tu te redresses et tu te lèves pour t’avancer de quelques pas, et tu braques ton canon droit sur le survivant qui, maintenant, se trouve entre vous deux. Tu as encore une cartouche, il n’est qu’à deux mètres de toi, et cerné, il n’ose visiblement plus bouger pour le moment. Tu pourrais t’en débarrasser, Miria, tu n’as pas de pitié à avoir pour ce sale type, lui, il n’en aurait assurément pas eu pour toi, et tu n’as aucun doute à ce sujet, pourtant … tu as beau le viser, tu ne parviens pas à appuyer sur la détente, parce que, c’est encore autre chose que de tuer un homme qui essaie de faire le mal. Là, ce serait clairement un meurtre de sang-froid, et visiblement, tu es encore bien incapable d’une chose pareille. Par contre … tu n’es pas non plus capable de t’enfuir comme Javik t’ordonnes de le faire. Tu ne vas pas le laisser ici, seul, même s’il vient de se débarrasser de plusieurs autres hommes, et que tu sais maintenant parfaitement qu’il peut s’en occuper seul – et puis ce n’est pas comme si tu étais d’une grande utilité, pour ça – tu ne veux pas sortir de cette pièce seule, tu ne veux pas quitter cet immeuble en solitaire. Pourquoi ? Déjà parce que tu l’as cherché pendant des jours, et que tu refuses de le laisser, maintenant que tu lui as remis la main dessus. Ensuite parce que tu es terrifiée à l’idée de faire une mauvaise rencontre à l’extérieur de cette suite. « Hors de question ! » Et tu as cette réaction, Miria, si tu as été incapable de tirer, tu retournes le fusil, entre tes mains, et c’est avec la crosse de bois que tu viens frapper ce sale type, en pleine tête. Tu y mets toute ta force, assez visiblement pour le mettre KO. Une fois qu’il est au sol, tu es comme littéralement prise de panique, comme s’il pouvait se réveiller dans la seconde et se jeter sur toi, tu viens placer ton arme entre les mains de Javik et te voilà à aller tirer les ficelles des rideaux de la chambre pour venir attacher les mains du bonhomme entre elles. « Tu crois qu’il y en a d’autres ? » Il fait nuit … l’idée de retourner dehors maintenant, alors qu’il fait noir, et que vous n’avez pas de matériel avec vous t’angoisses plus que tout. « Qu’est-ce qu’on fait ? »

Tirer sur le dernier 8.
Javik Lawson
Sam 16 Jan - 23:36 ||
Javik Lawson
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Ce combat contre ces types qui n'avait pas été initialement prévu par Javik tournait plutôt à leur avantage. Quatre des cinq Redneck étaient morts, il n'en restait donc plus qu'un. Sauf que parfois un seul suffit à mettre la pagaille et il espérait avoir ce type sans trop de difficulté. Alors pour s'assure qu'il soit le seul à prendre cher si ça devait être le cas, il ordonna à Miria de se sauver. Sa survie, c'était tout ce qu'il comptait. Afin de faire diversion, il s'attaquait au gars et ainsi laisser le champ libre à la jeune femme pour se mettre en sécurité. Sauf qu'elle ne voulait pas. Pourquoi les gens n'écoutent jamais ce qu'on leur disait ? N'ayant pas le temps de lui répondre, il parvenait à esquiver et bloquer les coups, jusqu'à ce que le mec tombe à terre, mis K.O par... Miria ! Il resta surpris, il ne s'attendait pas à ce qu'elle parvienne à le mettre au tapis aussi rapidement. "Wow... Joli coup !"

Alors qu'il voulait lui reprocher d'être restée, elle était en train de courir un peu pour récupérer de quoi saucissonner ce type. Quoi ? Elle voulait faire de lui un prisonnier ? "Attends, tu fais quoi là ?" lui demande t-il en l'observant avec ces ficelles pour essayer de ligoter ce sale type. Il était hors de question qu'il le laisse en vie. Même s'ils partent et qu'ils le laissent ici. Ce mec restera un enfoiré qui s'attaquera aux autres. La meilleure solution c'est tout simplement de le tuer, ça fera un zombie potentiel de moins et surtout un ennemi qui ne reviendra pas leur casser les pieds. "Tu sais que ce type t'aurais violé sans hésité ? On est pas là pour faire des prisonniers. Tu comptes faire quoi quand il se réveillera ? Ce type deviendra jamais sympa." La rousse était à l'opposé de lui, pas du genre à faire du mal aux autres. Mais là, il y avait des limites. "Faut le tuer, pas le choix !" assure t-il, mais il ne s'attendait pas qu'elle soit capable de le tuer de sang froid. Si quelqu'un doit se charger du sale boulot ça sera lui, il n'aura aucun scrupule à buter ce type qui de toute manière n'aurait pas hésité à faire de même pour eux. "Ou bien... on peut l'attacher dehors et laisser les zombies se charger de lui. J'avoue que l'idée me plait beaucoup !" confit-il. Plutôt que de se salir les mains, autant laisser la nature s'en charger. Le jeune homme était conscient que ses paroles pouvaient sembler horrible. Sauf que le monde avait changé et avoir un cœur pouvait parfois s'avérer dangereux pour soit même. D'où le fait de se montrer plus cruel envers ceux qui pouvait lui vouloir du mal. "A moins que tu n'aies une meilleure solution ?" demande t-il à la jeune femme. Une fois la question réglée, il faudra la soigner, car son nez pisse toujours le sang. La pauvre, elle avait eu plus de difficulté que lui. Tout ce qu'il avait eu c'est un bon coup dans le ventre, certes qui laissera un bel hématome mais ce n'était pas grand chose.

Dé 1 : 4 - Il ne prend aucun coup
Miria A. Orphelian
Dim 17 Jan - 17:33 ||
Miria A. Orphelian
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Tu es têtue. Etrangement, ce n’est pas un trait de ta personnalité que l’on peut remarquer au tout premier abord, non, quand on te rencontre, on peut dire de toi que tu es mignonne, souriante, douce, gentille et timide, oui, mais têtue … non, assurément, seuls les membres de ta famille peuvent se vanter de connaître ce défaut chez toi, tout simplement parce qu’en général, c’est eux que ça concerne quand ça se manifeste. Lorsque tu t’imposes, Miria, c’est forcément que ça te tient à cœur, et si tu avais le temps, là, d’y penser, probablement que ça te mettrait une bonne claque, de te rendre compte que tu agis de la sorte concernant une personne qui n’est pas de ton sang. C’est comme ça, cependant, tu refuses de l’abandonner ici, tu refuses de te retrouver toute seule et comme tu ne parviens pas à te résoudre, toi, à tuer ce sale type, et bien, tu le frappes de toutes tes forces pour ensuite te mettre à le saucissonner à l’aide des cordelettes de rideaux.

« Je l’attache pour l’empêcher de bouger ! » Que tu viens répondre à sa question, en levant légèrement les yeux au ciel, ma grande, parce que, sur le moment, ça te parait un peu stupide comme interrogation. Son petit discours, cependant, vient te faire comprendre le fond de sa pensée, évidemment, vous n’êtes pas du tout similaires là-dessus, Miria. Tu le sais bien que cet affreux bonhomme est un gros enfoiré, tu sais aussi qu’il n’aurait pas hésité à te faire du mal, lui, mais tu sais quoi ? Tu n’as pas de regret d’être différente de ça. « Je sais … » Tu avoues, à demi voix, parce que tu n’as pas vraiment envie d’avoir cette discussion, surtout pas maintenant. C’est ta faiblesse au beau milieu de cette apocalypse : ta bonté, tes hésitations, tes scrupules, aussi. « Quand il se réveillera, je ne compte plus être dans son champ de vision … » Tu en termines avec ses mains, tu te mets à attacher ses pieds, maintenant, tant bien que mal. Javik, lui, à l’air bien décidé à l’éliminer et franchement, tu te vois mal l’en empêcher. Tu ne vas pas t’y opposer, seulement, tu ne veux pas voir ça, et tu ne veux certainement pas avoir à participer. Tu vois, Miria, c’est surement pour ça qu’il t’avait demandé de partir, pour pouvoir s’en occuper, et t’épargner. Mais forcément …

Tu finis par te redresser, rapidement, tu regardes autour de toi. Elle est jolie, cette suite, et tu aurais réellement aimé pouvoir t’y reposer cette nuit, malheureusement, il semble que le destin en ait encore décidé autrement. « Tu crois vraiment qu’ils étaient seuls ici … ? » Toi, ça te parait complètement surréaliste, Miria, cet hôtel est immense, il y a de la place, l’électricité circule dans les câbles. C’est un palace. Une véritable aubaine. Pour toi, il y a plus de cinq hommes dans cet endroit. « Je n’ai plus qu’une seule cartouche, et si d’autres arrivent ? » Et tu vois, pour le coup, dans ta voix, on peut probablement entendre la détresse, et la peur. Tu n’as pas envie de revivre ça. « J’ai pas d’idée. » Tu avoues, finalement, en venant simplement reprendre ton arme en mains. « Je suis terrifiée à l’idée de passer cette porte, mais j’ai pas non plus envie de rester ici … » Juste parce que, peu importe le choix, ça te sembles dans les deux cas une très mauvaise idée.
Javik Lawson
Lun 18 Jan - 1:59 ||
Javik Lawson
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Ça il l'avait remarqué qu'elle était en train de l'attacher, mais il ne comprenait pas pourquoi. Est-ce qu'elle se prenait pour Mère Thérésa et qu'elle pensait pouvoir le faire changer avec le temps ? Ou quoi ? Si elle décidait de le ramener à la cabane avec ces frères et sœurs, ça le ferait beaucoup rire. Elle était beaucoup plus logique que ça, là, elle faisait juste n'importe quoi. Faire de lui un prisonnier n'avait aucun sens. En fait, elle voulait partir et le laisser là, c'était pire que tout. Comme il l'avait dit, ce type fera de nouveau du mal à d'autre. Le garder envie c'est ne pas rendre service aux survivants qui pourraient croiser sa route. "Parce que tu veux prendre la fuite en pleine nuit ? Ce type se réveillera dans pas longtemps, quelques heures tout au plus. Tu crois qu'une fois qu'il sera sortit de son pseudo coma il va faire quoi ? Gueuler, essayer de se libérer et nous traquer. Personnellement, je n'ai pas la moindre envie que ce mec me retrouve." Le laisser en vie, c'était une grande responsabilité. Javik n'était pas sûr que Miria soit prête à assumer cela. "Le tuer c'est la seule solution et tu le sais très bien !" Ceci ne lui fait pas peur, ce n'est pas le genre du braqueur d'avoir des scrupules pour quelqu'un ayant voulu le tuer.

Mais il n'allait pas le faire de suite. La rousse souleva une question à laquelle il avait déjà pensé. Est-ce qu'ils n'étaient que cinq ici où d'autres sont dans l'immeuble ? Comment le savoir ? Pour lui, il pourrait être plus nombreux, mais peut-être qu'il avait eu toute la bande aussi. Tout est possible ! "Aucune idée. Tu veux peut-être qu'on attend le réveil de notre ami Redneck pour lui demander ?" Il disait ça avec un ton quelque peu sarcastique. Mais l'idée était là, sauf que rien ne pouvait leur assurer que ce qu'il leur dira sera vrai. "Mais personnellement, je n'aurais pas la moindre confiance en ces paroles..." En gros, pour le moment ils sont plus où moins coincés. Miria était à court de munition, car une cartouche... autant dire que c'était comme n'en avoir aucune et le constat était le même du coté du jeune homme. Elle disait être effrayée et il s'en voulait grandement. C'était sa faute, tout ce qu'il venait de se passer c'était uniquement car il avait voulu lui faire voir un truc "cool" au final c'est un Enfer quelle était en train de vivre. Il enjamba le type pour se rapprocher d'elle. "Je suis désolé Miria... c'est ma faute tout ça." dit-il en tournant la tête pour fuir son regard. S'excuser n'était pas dans ses habitudes, mais là, il le faisait, lui même se surprenait. "Si je n'aurais pas choisi cet hôtel, on ne serait pas tomber sur ces types et," il releva la tête pour la regarder, son visage était plein de sang, tout comme ces habits. "personne ne t'aurais fait du mal." Le roi des connards avait encore frappé et c'était surement loin d'être terminé. Le type derrière lui était solidement attaché, pour le moment il n'était pas gênant. "Avant de décider ce qu'on va faire, on devrait te débarbouiller le visage." Une nouvelle fois, il prit son poignet, mais avec plus de douceur que la première fois. Il se dirigea vers la salle de bain et se stoppa net en voyant le cadavre de l'autre type et du sang partout. Son regard surprit se tourna vers Miria comme pour dire "c'est toi qui a fait ça ?" "Attends là, je reviens." Histoire d’épargner ce spectacle à la demoiselle, il ferma la porte le temps de son absence, ceci lui évitait donc de voir son œuvre. C'est du coté du lit qu'il alla pour s'emparer de la couette. A son retour, il ouvrit de nouveau la salle de bain et couvrit le gars pour qu'il n'ait plus à voir son cadavre. "Viens, je vais nettoyer ton visage, on dirait que tu viens de jouer dans Massacre à la tronçonneuse." La petite plaisanterie, s'était pour essayer de la faire sourire et qu'elle oublie ce qu'il venait de se passer. A l'intérieur, il y avait des serviettes rangées sous l'évier. Il en prit une qu'il passa sous l'eau pour nettoyer plus facilement le sang sur son visage, mais il faudra surement qu'elle se lave les cheveux, car eux aussi était plein de sang, mais chaque chose en son temps. Il voulait voir si elle n'avait aucune blessure pour commencer.
Miria A. Orphelian
Lun 18 Jan - 9:22 ||
Miria A. Orphelian
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C’est fou, Miria, mais tu te rends douloureusement compte maintenant que tu es … probablement incapable de prendre les bonnes décisions au bon moment lorsque la situation est aussi critique qu’elle ne l’es maintenant. Pourtant, rappelons le encore une fois, depuis le début, tu es celle qui prends les choses en mains pour ta famille. Oui. Oui mais là, c’est différent, là, Miria, il s’agit de faire des choix qui ont bien plus d’impact, et surtout, des choix qui ont rapport avec la vie, et surtout, la mort. Parce qu’il a raison, Javik, cet homme la, au sol, ne s’arrêtera pas de faire le mal juste parce qu’il a été pris aujourd’hui. Il s’estimera probablement chanceux d’être en vie contrairement aux autres, et surtout, il cherchera très certainement à se venger. Bien sûr, le temps qu’il se réveille, vous aurez peut être le temps de la distance entre lui et vous, mais ça ne suffit pas, et ça tu le sais. Et puis il fait nuit, et quand l’homme avec toi vient te le rappeler, tu frisonnes. Parce que non, tu n’as pas envie de te retrouver dehors au milieu de la nuit, rappelons le, tu voulais à tout prix trouver un endroit, plus tôt, après avoir perdu la maison que tu avais trouvée et sécurisée … alors, tu soupières. Tu ne peux pas protester, il est dans le vrai mais en même temps, des choix et des possibilités, vous n’en avez pas énormément non plus.

En fait, Miria, c’est quand Javik émet la possibilité d’interroger cet homme, pour savoir si d’autres sont encore dans l’hôtel, que tu as réellement l’impression de perdre pied. Tu as tellement d’empathie pour les autres, que tu te sens atrocement mal subitement, et tu pourrais juste paniquer, te mettre à pleurer, mais tout ce que tu fais, c’est avouer que tu ne sais pas, et a quel point tout ça te terrifie. Et c’est ça, visiblement, qui impose une pause dans votre espèce de réunion au sommet pour rester en vie, parce que maintenant, il approche, il te présente des excuses tout en détournant la tête, et toi, tu souffles Miria. « Tu n’y es pour rien … » N’importe qui aurait pu se faire avoir, bon, pas toi si tu avais été seule, parce que tu ne serais jamais entrée dans un endroit pareille de ta propre initiative. Mais tout de même, se mettre en sécurité ici était une idée séduisante, quand tu t’es rendu compte du potentiel de l’endroit, toi aussi, tu as voulu en profiter d’ailleurs. « Tu ne pouvais pas savoir ce qui arriverait. » Et que l’endroit était occupé, parce qu’en arrivant, il n’y avait pas la moindre trace d’activité. Vous auriez du chercher plus loin, vérifier, elle était votre erreur, mais, la responsabilité est sur vos épaules à tous les deux.

Il décide finalement qu’il est temps de s’occuper de ton visage. C’est vrai, tu as pris un coup, tu as saigné du nez, du coup, tu as du sang séché sur le visage, tout autant que sur tes vêtements d’ailleurs, et n’oublions pas ce type dans la salle de bain … d’ailleurs, en avançant pour y retourner, vous tombez sur le cadavre et c’est un vrai massacre, tu t’en rends compte. Il fallait que tu te défenses, tu n’as pas eu le choix, mais il y a du sang partout, et ce type Miria … il est dans un état. Tu ne parviens même pas à regarder ce que tu as toi-même fait. « Il m’a sauté dessus … » Tu glisses, tout doucement, comme si tu t’attendais à ce qu’on te le reproche, tout en sachant bien, au fond, qu’il ne le fera pas. Bien au contraire. En fait, il se contente même d’aller récupérer la couette sur le lit, et il vient couvrir le corps afin de t’en épargner la vision quand tu reviens dans la salle de bain.

Tu ne dis rien de plus, tu te contentes en fait de t’asseoir sur le rebord de la large baignoire, et tu le laisses s’agiter pour récupérer une serviette propre, tu restes parfaitement immobile quand il se met à essuyer le sang sur ta peau, et en fait Miria, pendant quelques longues minutes, tu ne fais que l’observer. T’es yeux se sont accrochés à lui … jusque-là ce que tu te décides à arrêter sa main et donc son mouvement. « Tu n’es pas blessé, toi ? » Il a été frappé, ça, tu le sais, mais pendant tout le temps où tu étais cachée dans la salle de bain, tu ne l’as pas eu dans ton champ de vision, alors, tu crains maintenant qu’il n’ai pu être blessé et qu’il ait juste laissé de côté. « Excuse-moi, je n’ai pas été d’un grand secours … »
Javik Lawson
Mar 19 Jan - 0:13 ||
Javik Lawson
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Comme toujours Miria était profondément gentille, trop gentille. Sa douceur et sa naïveté lui donnait son charme, mais c'était aussi l'un de ces plus gros points faibles. A être comme ça, elle risque de se faire avoir. Pour tout ce qui venait d'arriver, elle ne lui en voulait pas, pas du tout. En vrai, Javik ne pouvait pas savoir que cet hôtel serait occupé, personne ne le pouvait. Si volontairement, ils les auraient mené ici tout en sachant la présence de ces types, oui, il aurait été coupable. Pourtant, même en se disant ça, il se sentait fautif. C'est en se faisant poursuivre par cette horde de zombie qu'il avait trouvé un "pseudo" refuge dans la maison que Miria avait trouvé, maison qui n'avait plus qu'une boite de conserve à zombie à présent. Bref, c'était l'effet boule de neige ou l'effet papillon... on s'en fiche, qui a fait qu'ils se sont retrouvés ici. Donc, tout était sa faute si on regarde ça depuis le début. "C'est moi qui ait choisi cet endroit. C'est moi le responsable. J'aurais dû me méfier en voyant l'endroit si calme et l'électricité." De manière général, le braqueur est bien plus prudent, mais là, est-ce pour impressionner la demoiselle qu'il a baissé sa garde ? Tout ce qu'il souhaitait, c'était qu'elle puisse se reposer dans un super endroit, un endroit qui change de la vieille cabane qu'elle avait trouvé pour mettre en sécurité tout ce qui restait de sa famille. "Je me suis montré imprudent, ça recommencera plus !" Bien qu'il l'ait dit à voix haute, il disait ça surtout pour lui. C'était une manière de se rappeler que ce monde était devenu dangereux et que pour survivre il lui faudra être davantage prudent.

En attendant de régler le cas de l'autre affreux qui restait étendu sur le sol dans un état comateux, il voulait s'occuper de la jeune femme. Son visage montrait à quel point elle avait dû galérer contre elle. Des éclats de sang un peu partout et beaucoup juste en dessous de son nez qui indiquait clairement qu'elle avait saigné. Si le type qui lui avait fait ça n'était pas mort, il se ferait un plaisir de le massacrer. Toutefois, il fut plutôt satisfait de voir dans quel état il avait terminé. On pourra dire ce qu'on veut, mais malgré sa douceur et sa naïveté, Miria savait se défendre quand il s'agit de la survie. La réflexion de la jeune femme l'amusa, au moins, il sait à quoi s'attendre si jamais il l'énerve. Une fois le cadavre couvert, non pas par respect, mais pour éviter une vision d'horreur à la demoiselle, il commença à s'occuper d'elle. Javik infirmier... on aura clairement tout vu dans cette apocalypse. Le sang s'enlevait sans trop de mal, n'était pas encore totalement sec pas endroit, petit à petit, sa peau devenu rouge reprenait une couleur chair normale. Son nez ne saigniez plus, il n'aura rien à faire et ça n'avait pas l'air cassé, elle avait de la chance dans son malheur. D'un coup, elle vint l'arrêter pour lui demander comment il allait. Ceci le surprit, il n'était pas habitué à ce qu'on s'inquiète pour lui. Alors, il resta silencieux, ne sachant pas quoi dire tout de suite. Son esprit lui criait juste qu'elle était si parfaite, jamais personne n'avait prit soin de lui ou n'avait eu peur qu'il puisse lui arriver quelque chose. Une fois qu'il trouva un réponse à lui donner, il lui répondit simplement : "Ça va, j'aurais juste un hématome à l'abdomen. J'ai été plutôt chanceux sur coup là." Un léger sourire passe furtivement sur ses lèvres, comme pour essayer de la rassurer et de confirmer ses paroles, il va bien. "Tu n'as pas à t'excuser. Tout ça c'est ma faute. Je n'ose pas imaginer ce qu'ils auraient pu te faire..." La fin de sa phrase se fait plus rageuse, l'idée même qu'ils auraient pu la toucher insupportait. Javik était clairement un connard, un criminel, mais jamais il ne violera une femme. Pour lui s'était un acte d'une bassesse inouïe et qu'il ne pouvait pas pardonner, comme ceux d'un père qui bas son enfant sans raison. "Trainer avec moi... ça n'apporte que ça. T'es pas en sécurité avec moi Miria. Demain, je te raccompagne à la cabane et je repartirais de mon coté ensuite." Oui, c'était un bon plan, ça évitera de nouveaux problèmes. Pourtant, cette fois il a l'impression que ça va être plus dur de partir, qu'une fois de plus, il sent que son attachement pour elle est plus fort qu'il ne pouvait l'imaginer et c'était tout simplement effrayant. Afin d'éviter qu'elle puisse le contredire, il voulu changer de sujet très rapidement. "Tu peux pas rester dans ces vêtements, enfin du moins ton t-shirt est plein de sang. Je dois avoir un t-shirt en rab dans mon sac, il sera trop grand, mais ça fera l'affaire," explique t-il en se dirigeant vers la sortie de la salle de bain pour trouver son sac.
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[JAVIK] Ce soir là j’ai découvert que la plupart des êtres qu’on pense méchants ou malfaisant sont tout simplement très seuls…
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