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[DONE] J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. (Sam) Eden MarshallLun 1 Fév - 17:50 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 126 Date d'inscription : 09/01/2021
Tu es troublée, et assurément, ça se lit sur ton visage, tu te connais assez pour le savoir. Pourtant, Eden, tu es loin d’être si innocente qu’on pourrait le penser quand on te voit, tu n’es pas non plus du genre volage, attention, simplement … tu as eu quelques relations, dans le passé, de ce fait, l’anatomie masculine est loin d’être un terrain complètement inconnu, pour toi, si on peut dire. Néanmoins, probablement par pudeur ? Ou simplement que tu t’inquiètes de ce qui pourrait se dire quand tu propageras ça, et bien, tu te sens rougir. Heureusement, Sam ne semble pas assez attentif à ça, pour une fois, et heureusement, parce que ça te permet de passer à toute autre chose en venant le pincer, simplement pour vérifier ce qu’il était en train de te raconter par rapport à sa sensibilité à la douleur. Et en fait, tu t’attendais à le voir grimacer, à ce qu’il ait un mouvement de recul mais … rien. Absolument rien. Il n’a pas la moindre réaction, et c’est seulement quand tu poses ta question qu’il se rend compte des choses.
Il ne sent rien. Et ce n’est pas qu’il a perdu toute sensation, parce qu’il sent bien le contact de ta peau contre la sienne, de tes doigts sur lui, en revanche, tu as beau serrer, pincer, y mettre les ongles, même … il ne ressent pas la moindre pépite de douleur, et toi, tu ouvres de grands yeux surpris. « Je n’en sais rien c’est … » Bizarre, oui, c’est le mot. Tu sais que ça existe, qu’il existe une maladie, ou quelque chose dans le genre qui provoque ça, mais c’est rare, et il te semble que c’est génétique, sauf erreur de ta part. En somme, aucun rapport avec le virus qui circule et change les gens en zombie. « C’est … comme les rôdeurs, ils ne sentent pas la douleur. » On peut les découper, les frapper, ils continuent d’essayer de manger, ils ne ressentent rien. Absolument rien.
Et alors que tu laisses échapper ce constat, Eden, Sam, lui, s’est déjà éloigné de toi, en fait, Eden, il est simplement allé se saisir d’un couteau, et quand il revient, quand il te demande de ne pas t’inquiéter, tu ne comprends pas … jusqu’à ce qu’il vienne littéralement ouvrir une entaille dans son bras en appuyant fort la lame, puis en tranchant d’un coup. « Mais Sam ! » Que tu protestes, alors que, forcément, le sang se met à couler de son bras, s’échappant généreusement de l’entaille. Il ne sent toujours rien, seulement, alors que tu attrapes la première chose qui te tombe sous la main pour venir le presser contre l’entaille, tu te rends compte que ça … c’est aussi utile que dangereux. C’est bien de ne plus avoir mal, cependant, il pourrait se blesser gravement sans s’en rendre compte.
Tu t’appliques donc, pendant quelques secondes à arrêter le saignement, l’une de tes mains retiens son bras, l’autre tient le tissu bien en place sur la blessure, et puis, tu relèves le nez, pour l’observer, avant de soupirer. « On dirait que tu n’as hérité qu’une partie du virus … » Encore une fois, tu n’es pas médecin, hein, mais c’est ton constat, il n’a pas mal, comme les rôdeurs, mais pour le moment, c’est le seul changement notable. Il n’a sauté pour personne, il ne s’est pas transformé, et finalement, comme pour en avoir le cœur net, tout en fronçant les sourcils, tu viens contre lui, et tu poses ton oreille contre sa poitrine, côté gauche, écoutant durant quelques secondes les battements réguliers de son cœur. « Au moins … ça l’air de fonctionner correctement, à ce niveau. »
Samael I. EsperLun 1 Fév - 20:06 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 139 Date d'inscription : 10/01/2021
Ca te fait tout bizarre d’entendre la comparaison que la jeune femme fait entre toi et les zombies. Parce que tu n’y avais pas pensé (il faut croire que ton cerveau est en vacances à cause du choc) mais ce qu’elle dit est sacrément vrai. Et tu en viens à étirer la question à plus large : quoi d’autre tu peux avoir comme caractéristiques communes. Non parce que tu ne pourris pas aux dernières nouvelles. Tes organes fonctionnent normalement. Est-ce que la viande sanglante te fait plus envie ? Pas certain…
Et en faite, tu réfléchis à trouver des réponses, et c’est pour ça que tu finis par attraper le couteau et aller directement entamer ta peau. Tu es vraiment complètement fou, sur le coup, amis il y a un truc de vrai avec toi, c’est que ta curiosité passe avant bien des choses. Et bien entendu, tu fais ça et… rien. Pas de douleur. Alors tu relèves la tête vers elle alors qu’Eden, elle, se précipite pour arrêter le sang.
« Je crois bien que c’est ça. Je suis en train de me demander ce que j’ai pu gagner d’autres. Tes sourcils se froncent et puisque tu ne veux pas faire de mal à une mouche, toi, tu viens ajouter, bien sérieux. Je vais probablement éviter la viande maintenant… j’aimerais pas que ça donne des idées de nouvelles lubies à mon corps. »
Et tu vois, il y a un million de questions à se poser sur ce sujet : est-ce que tu vas en guérir, comme un vaccin qui s’atténue avec le temps ? Est-ce que c’est transmissible si tu mords quelqu’un ? Est-ce que tu pourrais donner ça au niveau génétique en ayant un enfant ? Et bon dieu cette dernière question te tire une expression vraiment atterrée, alors que tu luttes pour te reprendre. Et sans le vouloir, c’est la belle rousse qui t’aide à ça.
« Heu… Eden ? Tu murmures, alors qu’elle vient se coller contre toi, son oreille contre ton torse. Oh. Oh d’accord. »
Tu as rougi comme une tomate trop mûre sur le coup, mais maintenant que tu comprends son geste, tu rougis encore plus, de honte. Tu devrais ne plus bouger, la laisser vérifier puis s’écarter, mais t’as ce mouvement complètement instinctif de venir glisser tes mains dans ses cheveux et tu finis par fermer les yeux en soupirant profondément.
« Au moins je ressent toujours ça. Tu lui apprends, en parlant de son contact sur ta peau. Je crois que j’aurais fini malheureux si je n’avais pas pu sentir le contact d’une peau contre la mienne. Tu laisses tes mains dans ses cheveux, en inspirant lentement. J’aime bien ce contact. Ca m’apaise. »
Et t’en a bien besoin, après toutes ces craintes et émotions qui vont te tirer beaucoup trop d’énergie dans les prochains jours, tu ne crois pas ?
Eden MarshallMer 3 Fév - 19:30 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 126 Date d'inscription : 09/01/2021
Il ne faut pas oublier, Eden, que, tout de même, tu as un esprit sacrément scientifique. Alors, oui, tu as toujours été plus tournée vers la psychologie qu’autre chose, cependant, si encore une fois, tu n’es pas médecin, tu as de bonnes bases … même si elles ont été acquises pour traiter des cadavres, et non des vivants. C’est pour ça qu’après être venue observer la blessure, tu te permets de l’approcher plus encore et de venir coller ton oreille contre sa poitrine, juste pour écouter que son cœur fonctionne encore comme il devrait fonctionner. A ton grand soulagement – même si tu n’avais que peu de doutes là-dessus – tu entends parfaitement le battement régulier, quoiqu’un peu rapide de son muscle cardiaque.
Et en fait, Eden, tu es prête à te reculer, après ça, pour le laisser tranquille, parce que peu importe ton niveau d’étude dans tes domaines, et bien, tu n’es pas celle qui sera en mesure de l’examiner pour savoir si oui, ou non, d’autres choses ne fonctionnent pas normalement chez lui. L’absence de douleur, c’est déjà quelque chose, tu ne sais pas si c’est inquiétant, mais tu sais que ça peut devenir dangereux. Néanmoins, au moment où tu as ce mouvement, pour te tirer de là, tu sens sa main dans tes cheveux, et s’il ne te retient pas vraiment, ça te donne simplement envie de rester comme ça un peu plus longtemps. Visiblement, il est inquiet, Eden … et tu peux le comprendre. Qui ne le serait pas, à sa place ? S’il a perdu sa sensibilité à la douleur, tu peux comprendre qu’il ait craint, un instant, d’avoir perdu toute sensation. Fort heureusement, ce n’est pas le cas, il sent ton contact, contre sa peau, tout comme tu peux sentir le grain de sa peau contre ta joue. Du coup, tu lui offres au moins ça, quelques minutes de plus, avant de te décider à t’éloigner, tout de même.
C’est à la blessure que tu en reviens, finalement, tu y jettes un dernier coup d’œil, en soupirant, et puis, tu relèves le nez pour l’observer. « Du coup, je suppose que tu vas me dire qu’elle n’est absolument pas douloureuse. » Ouais. En fait, tu essaies de savoir si elle est normale, à première vue, oui, mais de l’intérieur, ce pourrait être autre chose. Le hic, c’est qu’en absence de douleur … tu ne peux pas tellement évaluer. « Tu devrais la laisser à l’air libre, sans pansement, je veux dire. » Elle ne saigne plus depuis longtemps, d’après tes souvenirs en matière de blessures, elle semble avoir une bonne évolution à ce stade. « Elle va te laisser une belle cicatrice. » Que tu finis par lui apprendre. Tu ne l’as pas vue, lorsqu’elle a été faite, mais à voir son état, maintenant, la morsure était sans nul doute profonde, elle a dû bien saigner, et elle aurait probablement méritée quelques sutures, en vérité, mais, ce qui est fait, est fait.
En tout cas, tu finis par t’éloigner, et tu vas simplement t’asseoir sur le bord de son lit, non sans continuer de l’observer. « Tu veux bien que je la surveille dans les semaines à venir ? Je me doute que tu le fais aussi mais j’aurais probablement une vision plus claire dessus et puis … au moins, au cas où, on pourra aviser tous les deux. D’accord ? »
Samael I. EsperVen 5 Fév - 13:52 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 139 Date d'inscription : 10/01/2021
Tu as refermé tes bras sur elle sans y penser. Tes mains dans ses cheveux, sa présence, là tout près de toi, c’est vraiment ce qui parvient à faire retomber tout ce stress que tu as accumulé récemment Sam. Parce que tu as beau être courageux et endurant, savoir compartimenter, réfléchir avec logique avant de paniquer, tu dirais sans problème que tu as été largement mis à mal ces dernières semaines. Que ce soit la morsure, les soins, la croire morte, la chercher, la retrouver, tout cela t’a définitivement heurté et tu le comprends plus clairement en sentant sa joue contre ton torse.
Eden ne s’échappe pas, et elle t’offre même quelques minutes de plus, et finalement quand elle s’écarte, pour s’intéresser à ta blessure, tu la laisses partir sans un mot. Tes yeux la suivent, et quand elle revient t’interroger sur la morsure qui cicatrise lentement. Tu viens appuyer sur la zone enflée autour de la blessure en secouant la tête.
« Absolument pas non. Tu relèves les yeux sur elle, avant de hocher la tête. Oui, je peux… je mets un pansement surtout pour éviter que ça se voit si mon t-shirt se relève. Tu fais une drôle de grimace maintenant, avant de soupirer. Oui. Et là, tu oses demander quelque chose de bien surprenant, d’un peu inquiétant aussi. Tu crois qu’on pourrait… recoudre ou couper ou je sais pas quoi pour ne pas que ça garde la forme d’une mâchoire »
T’y as pensé, toi, déjà. À tes yeux, ce serait le meilleur moyen de cacher la vérité et d’en préserver les gens autour de toi. Vraiment, tu le penses, au moins le temps de trouver des explications à ce fait, même si tu sais que cela nécessite que tu t’infliges de nouvelles blessures. Et par bêtise, ou simplement parce que tu n’as que peu à faire de ta santé, tu lui offres le fond de ta pensée sans te dire que tu ouvres là une porte pour l’inquiéter ou la révulser de ta personne.
Ce n’est que lorsqu’elle s’éloigne que tu prends un peu conscience de l’étrangeté de ta remarque. Tu devrais probablement t’en excuser ou tenter d’enterrer la chose, pourtant, lorsqu’elle revient te demander si elle peut s’occuper de la blessure, aviser avec toi au besoin, ça t’arrache un sourire Sam. Et tu hoches la tête, sans même hésiter.
« Avec plaisir. Tu finis par reprendre ton haut et le renfiler pour éviter d’avoir froid, avant de t’asseoir sur ton lit. Je t’avouerais que porter ce fardeau à deux sera probablement plus simple pour mes nerfs. Et ton sourire s’étire encore un peu. Tu es adorable, Eden. Merci en tout cas. »
On a déjà dit à quel point tu es incapable de cacher la vérité, voilà aussi ce que ça peut donner chez toi. La volonté d’être franc, même quand ça devient bizarre. Des compliments adorable probablement, mais peut-être un peu flippant aussi quand ils sortent aussi soudainement. Et toi, Sam, tu ne t’en rends même pas compte, alors tu reviens ouvrir la bouche peu après.
« Je me sens chanceux de t’avoir, Eden. Cette journée restera dans ma mémoire. Et il y a une pleine expression de sincérité et de douceur sur ton visage. »
Eden MarshallSam 13 Fév - 21:02 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 126 Date d'inscription : 09/01/2021
Tu es inquiète, forcément, Eden, tu le croyais mort, tu l’as retrouvé aujourd’hui et voilà que maintenant, tu apprends qu’il a bel et bien été mordu, à l’extérieur. Il est vivant, et quand tu poses les yeux sur Samael, tout est là pour t’indiquer qu’il va bien, mais, tu n’as jamais vu personne s’en sortir après avoir été mordu. Tu avais l’espoir que ça arrive, à chaque fois que tu as vu une personne être touchée, ça n’est jamais arrivé, et avec le temps, tu as compris que laisser les dents d’un marcheur attendre la chair d’un vivant, c’était signer son arrêt de mort, immanquablement. Tu as vu des hommes se mettre une balle dans la tête dans les minutes suivant leur morsure et maintenant, tu te rends compte qu’ils avaient peut-être un espoir ? Tu n’en sais rien. C’est flou. Et à la fois, tu es soulagée de voir que rien, ou presque n’a changé chez lui. Il est toujours le même que lorsque vous vous êtes séparés …
Alors, oui, maintenant que tu sais, Eden, tu refuses catégoriquement de le laisser seul. Tu ne veux pas qu’il soit dans l’obligation de gérer les choses dans son coin, tu as déjà décidé de garder son secret, mais tu veux aussi être là pour le soutenir, au besoin. Tu veux pouvoir garder cette morsure à l’œil, même si, franchement, tu espères que les choses se résoudront d’elles même, que ça finira par guérir normalement. Tu sais que ça ne disparaitra pas complètement, mais, oui, tu penses sincèrement que tu ne te sentiras parfaitement rassurée que lorsqu’elle sera complètement refermée et guérie, chose qui prendra encore quelques semaines.
Ce qui vient soulever de nouvelles inquiétudes, en fait, Eden, c’est sa question, et sa remarque. Au fond, tu comprends où il veut en venir, et ce qu’il cherche à faire, alors … tu te dis que tu lui dois la vérité, parce qu’au fond, les blessures et les traces qu’elles laissent, c’est quelque chose que tu as beaucoup étudié, dans le cursus que tu suivais. « Elle a déjà commencée à cicatriser, mais … en théorie, venir faire de nouvelles entailles autour pourrait la déformer, oui. » Et tu n’es pas en train de dire que ce serait une bonne idée, bien au contraire, ça voudrait dire le charcuter, et venir peut-être aggraver cette plaie qui n’est déjà pas bien belle. Même s’il ne ressent plus la douleur, ça ne te parait pas l’idée du siècle. « Tu n’as pas besoin de faire ça, Sam … » Tu soupires, parce que, clairement, tu n’aimes pas l’idée qu’il puisse avoir ce genre d’idée, complètement extrêmes, juste pour … éloigner les autres de la vérité.
Quand il vient te rejoindre, assis sur son lit, tu ne peux pas t’empêcher de venir chercher ta main dans la sienne, et si tu laisses un sourire apparaitre sur tes lèvres en l’entendant te dire toutes ces jolies choses, tu te sens quand même obligée de rajouter une couche de gentillesse et de soutien par-dessus tout ça. « On fera en sorte que personne ne sache avant que tu n’aies décidé du contraire, d’accord ? » Tu ne sais pas tellement si c’est possible, ça, mais tu es prête à essayer, en tout cas, parce que, tu ne veux pas qu’il puisse à nouveau s’éloigner de toi. En fait, le simple fait d’y penser te bouleverses tellement que tu finis par venir passer tes bras autour de son cou pour t’accrocher à lui, et le serrer contre toi. « Tout ira bien, Sam … »
Samael I. EsperMer 17 Fév - 18:45 || Carnet Inventaire: Compétences: rankpersoMessages : 139 Date d'inscription : 10/01/2021
C’est pas que tu es bête ou masochiste, Sam, mais plutôt que tu a sune volonté forte de ne pas inquiéter les gens. Ca te coûte déjà énormément d’avoir partagé ce secret avec Eden, parce que tu la fais mentir avec toi maintenant, pour toi aussi. Alors tu viens parler d’abimer encore plus ta peau, ta chaire et cette morsure problématique pour garder les gens loin de la vérité et éviter ainsi les inquiétudes inutiles. La réponse d’Eden te pousse même dans cette voie, pendant quelques secondes, parce que la théorie à l’air plutôt de ton idée, mais lorsque tu l’entends soupirer, tu comprends qu’elle n’est pas d’accord.
Elle s’approche, s’assoit à tes côtés et toi, tu ne peux pas t’empêcher de poser ce regard inquiet et doux sur elle, pour comprendre ce qui lui passe dans la tête et si tu l’as blessée en proposant de te blesser toi. Vos doigts s’entremêlent, amenant ta tête à les observer alors qu’elle te propose une solution alternative. Un sourire doux vient flotter sur tes lèvres, Sam, et tu abandonnes aussi vite ton idée.
« Si tu veux oui. Je ferai attention de bien rester couvert pour le moment, mais de toute façon, en hiver, je ne risque pas de montrer ça à quiconque. Tu l’observes, un petit rire t’échappe et te voilà à rajouter. Enfin, sauf toi, visiblement. »
Parce que, même si tu ne comprends pas tout pour le moment, tu vois bien qu’Eden s’est déjà creusée une place bien particulière en toi. Tu te connais, ceci dit, Sam, tu sais que tu tombes amoureux facilement et tu ne peux pas repousser de ton esprit que, peut-être… ouais comme toujours donc. Tu cesses de penser à ca quand elle vient s’accrocher à toi tout à coup. Tu lui ouvres les bras sans réfléchir et tu l’attires tout contre ton cœur en glissant doucement tes doigts dans ses cheveux.
« Tant que tu es à mes côtés, je sais que ça ira. Tu lui avoues en te penchant pour déposer tes lèvres contre ses cheveux colorés. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais tu comptes énormément pour moi, Eden. J’espère que rien ne nous séparera à nouveau. »
Tes bras viennent resserrer un peu l’éteinte que tu as contre elle, et tu te penches plus encore. De loin, Sam, on pourrait croire que tu tentes de l’englober complètement et ce n’est pas complètement faux, tu vois. Pourtant, avec les minutes qui s’égrainent, tu ne cherches pas à prendre autre chose. Tu l’apaises, la calmes, de tes mains contre elle, en caresse douce, puis finalement quand ton dos commence à rouiller un peu, tu bouges.
« Viens, tu seras mieux installée là. »
Et sans réfléchir, tu viens l’attirer à toi pour t’installer sur ton matelas et la garder dans tes bras, à moitié couché, en silence. Tes paupières finissent par s’abaisser et se relever plusieurs fois, en bien peu de temps et quand tu sens le sommeil venir, tu as ce réflexe protecteur que tu as toujours eu avec les femmes que tu as aimées. Tu glisses ton visage vers elle, et tes lèvres se posent sur son front, alors que tu souffles.
« Je veille sur toi. »
Puis tu t’endors, enfin, d’un repos bien mérité après tout.
| [DONE] J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. (Sam) | |
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