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Blessure mineure feat. William McReady
Invité
Ven 29 Jan - 22:34 ||
AnonymousInvité
Le petit lotissement semblait prometteur sur bien des points mais il ne fallait pas oublier qu'une fois toutes les maisons vidées, nous devrions aller ailleurs. J'étais entrer en suivant William. J'avais parfaitement confiance en lui malgré le fait que nous ne nous connaissions pas avant. Je me sentais protégée lorsque j'étais avec lui. Un sentiment que je n'avais jamais ressenti. Rien ne pouvait m'arriver lorsqu'il était à côté de moi. Je ne risquais pas de mourir ou quelque chose du genre. Personne n'était à l'abri d'un accident cependant.

J'étais donc aller dans la salle de bain. J'avais trouvé des produits d'hygiène féminines et des médicaments réguliers. Pas de brosse à dent neuve ou encore de savon. Dommage mais j'avais au moins de quoi me protéger durant mes règles. Non, elles n'avaient pas cessé celles-là malgré la pandémie. J'étais donc de retour dans la cuisine et Will me tendait une bouteille d'eau de source. Je prenais une grande gorgée en fermant les yeux. Aucun arrière goût métallique. Seigneur c'était aussi bon qu'un thé matcha. Je lui redonnais ensuite en écoutant sa question. J'ouvrais mon sac pour lui montrer les deux boîtes de médicaments.

- acetaminophenes et ibuprofenes... Et hum des produits d'hygiène féminine. Je n'en avais plus depuis un petit moment.

Oh oui, les tampons et les serviettes étaient un sacré luxe en soit désormais. Je lui avais montrer les boîtes avant de poser mon sac sur la table. J'avais encore besoin de vêtements plus chaud. J'avais déjà les mains froides sans grand étonnement. Je m'approchais doucement de lui et je prenais sa main chaude dans les miennes.

- on va voir les chambres? Je crains que je risque de me transformer en bonhomme de neige dans les jours suivants ... Tu imagines si jamais il en tomberait ? Je serais dans de beaux draps.

Je savais qu'il dirait oui. C'était la prochaine étape logique. Je le laissais passer devant avant de monter avec lui. Les escaliers craquaient sous notre poids et je frissonnais. J'avais horreur de ce bruit.
William McReady
Sam 30 Jan - 22:36 ||
William McReady
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J'étais entrain de fouiller la cuisine, je n'avais malheureusement pas trouvé grand chose quand elle arriva. Elle me demanda ce que j'avais et je lui fis un topo avant de lui retourner la question. Elle avait trouvé des trucs habituels mais s'était toujours bien à avoir, j'avais déjà eu des migraines à me frapper le crâne alors les cachets avaient toujours du bon puis elle me parla des trouvailles féminines et je souris en remettant mon sac sur mes épaules. Faudrait qu'on te trouve une cup, ou des culottes de règles au moins tu serais tranquille j'avais dis ça naturellement, après tout j'avais été mariés pendant des années, c'était plus du tout un sujet tabou, j'avais passé l'âge.

Quand elle pris ma main je pus voir le froid des siennes, je les portais alors à mes lèvres pour souffler dessus les gardant au chaud dans les miennes. J'y déposais un baiser avant de l'écouter me demander d'aller en haut. Allez on va te trouver des vêtements... Oh si il fait plus froid que ça, je te roule dans le duvet et je t'apporte à boire et à manger, tu bougeras pas du duvet devant la cheminée. dis je en riant un peu avant de monter les marches, le craquement de ces dernières ne me faisait rien, c'était la même chose dans mon ancienne maison. Mais j'avais le sentiments que quelque chose n'allait pas. Je ne savais pas comment expliquait mais quand mon regard se posait sur les photos de famille au murs je sentais comme un malaise.

Arrivé en haut des escaliers je fronçais les sourcils en entendant un grognement. - Restes là ... dis je dans un sorte d'ordre assez doux mais ferme. Je sentais quelque chose qui n'allait pas. J'approchais prudemment prenant pour le coup mon couteau plutôt que ma batte. Je sentais bien que ça n'allait pas être agréable. Je passais d'abord devant une seconde salle de bain , c'était souvent comme ça, une en haut et une en bas. Je passais alors devant une chambre et mon regard se posa sur les petits lits. - Oh merde ... dis je doucement en entrant sur la pointe des pieds. Je sentais les larmes me montaient aux yeux alors que je découvrais deux petits corps dans leurs lits, encore couverts d'une couvertures, leurs doudou dans les bras, comme endormi si on en oublie le trou béant dans leur tête ... Je remontais doucement les draps sur leur visage qui n'avait pas connu le zombification. L'odeur était affreuse mais c'était comme un devoir de les recouvrir de la sorte. Je me tournais pour voir Sarah devant la porte. Je t'avais dis de rester à l'escalier Sarah ... dis je doucement repartant en fermant la porte derrière moi, devant Sarah donc , puis je passais dans la seconde chambre où le grognement se faisait entendre. Putain mec .. pourquoi t'as fais ça ... Une femme était comme endormi également sur le coté, mais avec un trou dans le crâne, l'homme lui était au sol, le bas du visage explosé par une balle, mais essayant de ramper vers moi. Sans attendre je lui mis un coup de couteau dans le reste de crâne qu'il avait avant de ramasser son arme , un silencieux, pratique. Je mis la sécurité avant de la mettre dans mon sac.

Je regardais Sarah sans un mot avant de couvrir le visage de la femme. Je revenais vers elle , posant au passage une couverture sur l'homme, je crois que ma brune avait vu trop de choses pour aujourd'hui. Je pris doucement son visage dans mes mains pour la fixer dans les yeux. ça va aller ? ... Il a du paniqué et .. pas vouloir de l'épidémie pour sa famille ... Tu veux qu'on s'en aille ? On trouvera des vêtements ailleurs ... dis je doucement avec tendresse. Des choses du genre j'en avais vu depuis ces six mois et bien qu'attristé je pouvais le supporter mais elle, je n'en étais pas certain.
Invité
Dim 31 Jan - 3:45 ||
AnonymousInvité
Ce que j’aimais de William, il n’y avait pas de tabou avec lui. Beaucoup d’hommes auraient éviter le sujet des menstruations simplement car ils étaient mal à l’aise et pourtant, c’était un simple fait. La vie ne s’arrêtait pas à ce niveau même avec la fin du monde. La vie continuait malgré tout. Il proposait de me trouver une cup ou encore des culottes de règles. Je refermais mon sac en lui répondant avec une immense douceur.

- Je vais faire ma difficile sur la cup je t’avoue. Je préférais qu’elle soit neuve, simple question d’hygiène et de précaution. Si j’ai un peu de chance, j’en trouverai bien une dans une pharmacie si jamais nous y allons.

Je lui faisais un petit sourire alors qu’il portait mes mains à ses lèvres pour les réchauffer autant que possible. Il les embrassait et je le regardais faire avec douceur tout en l’écoutant parler. Il menaçait de me rouler dans un duvet en me laissant devant la cheminée si le temps devenait encore plus froid. Je rigolais un peu avant de passer une main dans ses cheveux avec douceur.

- Je vais finir en burritos s’il neige alors.

Un peu d’humour avant de monter les escaliers menant à l’étage. Le craquement faisait battre mon coeur plus vite. Je remarquais les photos de famille sur les murs mais je me disais que peut-être ils étaient partis ou quelque chose du genre. Peut-être qu’un seul des parents étaient morts ici et ils avaient fuis. Je n’entendais pas le grognement une fois en haut des escaliers. Je n’avais pas assez l’habitude. William me disait de rester là mais j’étais incapable de lui obéir totalement. J’aurais pourtant dut l’écouter...Je le voyais prendre son couteau et je me mettais plus contre le mur histoire de lui laisser de l’espace si quelque chose arrivait. Il passait devant une salle de bain et je suivais à quelques pas.  Il entrait dans une chambre dont la porte était à semi-ouverte. En l’ouvrant, j’avais une vue complète sur la scène horrible. Deux lits d’enfants avec les petits à l’intérieur. On les avait tué alors qu’ils dormaient avec une arme à feu. William couvrait leurs visages avec douceur alors que moi, j’étais complètement figée par la scène.

William se retournait et me voyait à l’entrée de la porte. Je n’avais pas l’habitude de ce genre de scène macabre. J’avais l’habitude des hurlements, des pleurs, du sang et de la douleur. Pas … des cadavres d’enfants en putréfaction. William me grondait un peu. Rien de méchant mais cette fois, j’entendais le grognement. Je me tournais vers l’autre chambre où il entrait. Cette fois c’était la femme qui était dans le lit avec le crâne explosé comme jamais. L’homme était au sol avec le bas du visage en lambeaux. William le tuait alors que j’étais complètement figée. J’aurais pu hurler, pleurer ou encore trembler mais rien. Le résultat de trop d’horreur peut-être? Je ne remarquais pas trop le reste des gestes de William. Je repensais à ses pauvres enfants qui n’avaient rien demandé.  Je sursautais en sentant les mains de William sur mes joues. Pas un gros sursaut mais plutôt une reprise avec la réalité. Je fixais son regard rassurant. Il me parlait avec douceur en me demandant si j’allais bien. Il proposait également de partir. Je mettais mes mains sur les siennes avec autant de douceur et une pointe de tremblement.

- Je crois que ça va … Je … On peut aller ailleurs s’il te plaît?

De toute façon, avec un peu de chance, nous aurions de nouvelles acquisitions. Je descendais lentement les escaliers qui craquaient sous mon poids. Je sentais que j’avais un début de nausée et pour la première fois, j’avais chaud alors que je n’étais pas dans les bras de William. Je me dirigeais lentement vers le lavabo de la cuisine en posant mon sac. Je me connaissais suffisamment pour savoir que lorsque j’avais chaud comme ça, ça n’allait pas. Je m’appuyais sur le bord du lavabo en respirant lentement et en fermant les yeux. Je vomissais rapidement mon petit déjeuner en tentant de reprendre mon souffle. J’avais horreur d’être malade. Je ne remarquais pas que nous avions un invité devant la porte d’entrée qui grognait et qui tentait d’entrer en donnant des coups avec son corps contre la porte. J’étais trop occupée à reprendre mes esprits et à respirer normalement.
William McReady
Lun 1 Fév - 15:04 ||
William McReady
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Parler de règles ? Oui c'était gênant à vingt ans malheureusement les miens étaient bien derrière moi. Je lui proposais alors des solutions durables. Elle affirma préférer quelque chose de neuf et je m'inclinais tel un prince avant de lui dire d'une voix qui se voulait noble .. un vrai jeu de théâtre. Soit, ce que madame souhaite, madame obtiendra. On ira voir dans une pharmacie. dis je avec un petit sourire amusé et tendre à la fois. C'est vrai que l'hygiène, il fallait peut être s'asseoir un peu dessus, une fois bouillie il ne devrait plus y avoir de soucie non ? Après tout c'était son choix et je le respectais. C'était normal après tout non ?

Elle passa sa main dans mes cheveux et je me sentais bien. Je l'attirais contre moi pour l'entourer de mes bras protecteur avant de déposer un baiser sur son nez. C'est délicieux des burritos ... alors oui, tu seras mon petit burritos. C'était assez fou comme nous nous étions rapprochés si rapidement. Elle me faisait du bien au moral - et ailleurs - . C'était une femme bien que j'appréciais beaucoup et je savais au fond de moi que j'en tomberais amoureux un jour. C'était même certain, après tout je devais vivre non ? Je n'étais pas mort même si ce n'était pas le cas pour ma Lulu, mais je ne pouvais pas nier que présentement je n'y pensais pas.

Il était temps de monter te ce que nous allions trouvé n'allait vraiment pas faire du bien au moral pour le coup. En montant les marches je sentais déjà la désagréable sensations que quelque chose n'allait pas. Je ne saurais l'expliquer mais je le ressentais au fond de moi malheureusement. C'est pourquoi j'avais demandé à Sarah de rester au niveau de l'escalier. L'odeur est assez horrible pourtant il n'y avait qu'un seul grognement. Cela ne s'annonçait pas bon du tout. La scène était horrible, un père de famille avait tué son épouse et ses deux enfants avant de se donner la mort, malheureusement sans toucher le cerveau, il avait du souffrir affreusement. J'avais un peu grondé Sarah car je savais que ce type de scène pouvait traumatiser quelqu'un. Sarah était forte dans un certain sens mais peut être pas assez détachée pour ce genre de scène. D'ailleurs cela se voyais sur son visage. Pourtant je continuais mon chemin.

Une fois avoir mis en repos la triste famille, je revins à Sarah, mes mains sur son visage la firent sursauter mais je ne fit pas vraiment plus attention que ça, j'avais justement touché son visage pour la faire me regarder et sortir de cette scène d'horreur. Je lui demandais doucement si elle voulait partir, ce qu'elle accepta. Je la vit aller faire la cuisiner pour la suivre silencieusement. Elle n'avait vraiment pas l'air bien. Je posais ma main sur son dos avec douceur quand je compris qu'elle allait vomir, j'eus le réflexe de lui attraper rapidement les cheveux. Lulu avait les cheveux longs et à sa grossesse elle vomissait un peu n'importe où, j'avais attrapé se réflexe qui avait plus d'une fois sauvée sa chevelure. Je pris la bouteille d'eau et attrapa un verre dans un placard, soufflant dedans je le remplis pour le tendre à Sarah.

Mon regard alla vers la porte où un rôdeur semblait demander d'entrée, mon regard fut un moment mauvais, ils ne pouvaient donc jamais attendre ? Je devais changer ses idées alors je lui dis doucement pour la faire penser à autre chose. Si on ne se plait plus à la ferme on pourrait récupérer une maison comme ça t'en dis quoi ..? je regardais la cuisine autours de nous et lui souris un peu avant de mettre mon sac sur l'épaule et d'aller vers la porte . Mon couteau en main je fis signe à Sarah de reculer avant d'ouvrir la porte d'un coup sec faisant tomber au sol l'ancien homme qui voulait entrer. Un coup dans le crâne et il était temps de partir. Je tendais la main vers Sarah et enjamba le corps. On irait dans la maison d'a coté. .
Invité
Mar 2 Fév - 7:54 ||
AnonymousInvité
Nous avions vécu un beau moment ensemble juste avant qu’il ne se passe cette scène d’horreur. J’ai eu droit aux rires de William et à son sourire tout comme il avait eu droit aux miens. Je ne cherchais pas à le séduire tout le temps. Je ne flirtais pas vraiment avec lui. Je ne faisais que suivre mon instinct le plus profond et il me rendait heureuse. Je me sentais bien près de lui et c’était ça l’important. Amoureuse de lui? Peut-être mais pour l’instant je pouvais dire que l’attirance était complète et mutuelle. J’avais assisté à cette scène macabre d’un père ayant décidé de tuer ses enfants et sa femme pour les préserver de tout ça. Pauvre homme … pauvre famille. La folie avait pris le dessus sur le reste. William m’avait ramené à la réalité à son contact. J’avais repris conscience de sa présence et il ne manquait pas mes tremblements alors qu’il me parlait avec douceur. Je lui répondais que je ne voulais pas rester ici. Je désirais changer de maison. Il acceptait sans le moindre problème comme c’était sa proposition.

J’étais dans la cuisine ensuite lorsque je me mettais à vomir dans le lavabo. William posait une main dans mon dos et avait eu le réflexe de me tenir les cheveux durant mon malaise. Je lui en était reconnaissante. Il me donnait un verre d’eau et je prenais une gorgée avant de la cracher pour me rincer la bouche. J’avais horreur de vomir. Je préférais nettement avoir d’autres sortes de malaise que ça. Je buvais une gorgée d’eau avant de me redresser en respirant plus lentement. J’avais réussi à reprendre le dessus. Heureusement que je me sentais mieux. Nous devions absolument me trouver des vêtements avant que je n’attrape un gros rhume. J’entendais la voix de William briser le silence et il proposait de se trouver une maison si l’on ne se plaisait plus à la ferme.

- Oui, c’est une idée. Nous verrons comment les choses se passeront j’ai envie de te dire. Dans tous les cas, nous ne payerons pas cher d’hypothèque.

Les choses pouvaient autant bien aller que dégénérer au camp. Je n’avais pas envie de vivre sous une dictature ou encore de m'épuiser sans arrêt à l’infirmerie. Il fallait mettre la main à la pâte pour s’entraider mais pas au détriment de notre santé non plus. Un jour, nous aurions besoin d’une véritable intimité plus grande que celle d’un drap servant de porte. Chaque chose en son temps non? Je posais un baiser sur son épaule avant de reprendre mon sac. Nous avions un ami qui avait envie de nous visiter et William se chargeait de lui avec aisance. Foutu bestiole de merde. Je prenais la main de William pour enjamber le corps et ainsi nous rendre dans la maison d’à côté.

Là, pas de barricade. Une porte fermée que Will ouvrait à nouveau avec une facilité déroutante. J’entrais avec lui. Une maison abandonnée. Je fouillais dans le garde-robe de l’entrée et je trouvais des vêtements beaucoup trop grands pour moi. C’était quoi un géant qui vivait ici. Je prenais tout de même une veste chaude, mais c’était des vêtements d’hommes. Je regardais les gants mais c’était encore là un échec total. Je prenais tout de même un foulard en laine bien chaude. Un peu de douceur. Je décidais ensuite d’aller dans la cuisine car avec un peu de chance je tomberais sur de la nourriture intéressante. Là, je tombais sur une mine d’or en ouvrant le garde-manger. Des cannes de légumes, de fruits, des pâtes, de la sauce tomate et de l’eau.

- Will! C’est Noël! Regarde tout ça…

Je lui faisais un beau sourire avant de fouiller pour sortir ce qui était encore bon. C’était notre chance du jour visiblement. Je sentais mon coeur se serrer en tombant sur une boîte de thé matcha neuve. Mon thé favori. Certains auraient regarder le chocolat ou autre. Je tombais aussi sur des Doritos. Je sentais les larmes me monter aux yeux un peu. C’était un autre réconfort.

- Oh oui … C’est vraiment Noël. Je sais ce que je vais manger ce soir près du feu avec toi.

Je lui montrais le sac et le thé. Non, ça n’allait pas ensemble mais ça me rendait heureuse. Je m’approchais de lui avec douceur et je l’enlaçais en posant ma tête contre son torse.

- Je suis heureuse d’avoir été à l’infirmerie hier.
William McReady
Sam 6 Fév - 22:30 ||
William McReady
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Une bien triste scène n'était présentée à nous, une scène qui aurait du rester d'ordre privé mais nous devions fouiller chaque maisons, les suicides ne manquaient malheureusement pas et j'en avais vus plusieurs depuis mes recherches de mon enfant. J'avais vu également des sièges de bébé vide et tâchaient de sang, j'avais vu des enfants zombifiés ou à moitié dévorés. Oui c'était loin d'être le paradis dehors, mais j'étais fort face à tout ça, surtout depuis que j'avais retrouvé mon fils, que j'avais rencontré Sarah. Néanmoins je savais que l'extérieur n'était pas fait pour elle et je le voyais encore une fois aujourd'hui. Si elle souhaitait la protection des murs de la ferme je le comprendrais, si elle voulait néanmoins sortir je la suivrais afin qu'elle puisse se reposer sur moi en cas de coup dur comme celui ci. Rapidement je lui demandais si elle voulait quitter la maison et quand elle accepta on descendit les marches.

Arrivait à la cuisine je compris rapidement qu'elle allait vomir, c'était quelques choses d'assez normal après ce genre de moment. Je tenais ses cheveux par réflexe avant de lui donner de l'eau. Elle se rinça la bouge et pour changer de sujet je lui proposais de prendre une de ces maisons si un jour ça se passait mal à la ferme. Je remis doucement une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant d'aller accueillir l'intrus et de prendre sa main pour sortir de la maison des enfers. On allait alors dans celle d'à coté qui était fermé à clef. Attends moi là. dis je en brisant la fenêtre d'un coup de batte de Baseball avant d'entrer dans la demeure. J'avais beau avoir dépassé le demi siècle j'étais encore capable. J'ouvrais alors la porte de l'intérieur pour laisser entrer Sarah Si madame veux bien se donner la peine. dis je avec une sorte de courbette.

J'entrais alors pour faire le tour de la maison, histoire de la sécurisé, je ne trouvais rien d’intéressant. Visiblement la maison d'un homme seul. Je n'avais pas besoin d'affaire, j'avais les miennes. Je descendis alors et resta dans l'encadrement de la porte de la cuisine pour regarder la jeune femme. Elle était ravissante. Quand elle s'exclama que s'était Noël je m'approchais et sourit avec bonheur. Waouh ! Ah ouai !! Faut ramener tout ça a la voiture ! dis je alors en ouvrant de grands yeux. Elle semblait si heureuse que ça me faisait plaisir je la fixais un moment tout en rangeant dans mon sac ce qu'elle me donnait qui était encore bon. Du thé et des Doritos et elle semblait la plus heureuse. C'était agréable à voir, pour ma part ce fut le café soluble qui me fit plaisir. Boire du café c'était un peu mon péché mignon. Quand elle se blottis contre moi je lâchais doucement mon sac pour le laisser sur le plan de travail afin de passer mes bras autours d'elle. Je fermais les yeux en posant ma tête contre la sienne. Moi aussi je suis heureux de m'être éclaté la main. Je souriais alors amusé avant de relever son visage, posant mon doigt sous son menton,  pour la regarder dans les yeux en souriant tendrement. Je suis pas le plus charmant ou le plus jeune du camps mais je vais tout faire pour que tu gardes ce joli sourire Sarah. je posais mes lèvres sur son front avec protection, c'était un baiser qui signifiait beaucoup pour moi. J'appréciais vraiment cette petite brune et je comptais la protéger.

Je repris le sac qui était clairement lourd mais on avait réussis à tout mettre dedans. C'est pas ici qu'on trouvera des vêtements pour toi , on remets ça dans la voiture et on va à la prochaine maison ? demandais je avec en la regardant. Elle voudrait surement aller d'abord voir la salle de bain et je pourrais alors l'attendre, mais il fallait qu'on lui trouve des vêtements chauds, c'était notre mission du jour.
Invité
Dim 7 Fév - 0:42 ||
AnonymousInvité
Une once de bonheur qui me faisait le plus grand bien. J’étais en confiance avec William. Je savais que je pouvais me reposer sur lui en cas de besoin sans rien attendre en retour. J’étais bien dans ses bras alors que mon thé et mes Doritos comblaient mon bonheur manquant. Des choses si simple et pourtant qui me rendait heureuse. J’avais envie de profiter de ses petits bonheur que la vie voulait bien nous offrir. Will me faisait un peu rigoler en parlant de sa main blessée. Sans cette dernière, nous ne serions pas ainsi dans les bras de l’un comme de l’autre. Il relevait mon visage et je plongeais mon regard dans le sien. Il me faisait fondre plus que je ne l’aurais espéré. C’était fou ce que cette pandémie pouvait faire en fait.

- Oh à mes yeux tu es le plus charmant Will. Ton âge n’a aucune importance et je veux te faire sourire aussi.

Il posait un baiser sur mon front. Un baiser ressenti et intense qui me donnait des frissons dans le dos. Je ne serais jamais capable de le protéger comme lui serait en mesure de le faire pour moi, mais je pouvais le soigner et le rendre heureux non? J’allais continuer de garder espoir pour qu’il retrouve son fils. C’était ce qui manquait à son bonheur après tout. William me proposait de changer de maison. J’espérais que ça serait la dernière car la fatigue commençait à se faire sentir. L’adrénaline qui descendait m’avait toujours rendue somnolente et je ne serais pas surprise de dormir sur le trajet du retour.

- Je fais un tour dans la salle de bain et nous pourrons aller à la prochaine.

Je me rendais dans l’autre salle de bain et je fouillais rapidement. Il n’y avait rien malheureusement en dehors d’un rouleau de papier toilette à moitié utilisé. Je me passais une main dans les cheveux en revenant bredouille. Je marchais en tenant la main libre de William jusqu’à la dernière maison. Je le laissais ouvrir avec sa petite méthode personnelle. Heureusement, pas de rôdeurs dans cette dernière. C’était une maison plein pieds et je me rendais dans la chambre pour fouiller. Je trouvais alors des bottes de randonnée à ma taille neuve, des leggings, un manteau plus sport mais chaud, des chandails à manches longues doublés très doux. Seigneur, la femme qui vivait ici faisait exactement ma taille! J’en profitais pour prendre des sous-vêtements de rechange et deux soutifs de sport. Clairement, j’allais être mieux habillé que maintenant. Je recommençais à être morte de froid et je frissonnais à nouveau. Il faut dire que de rester dans la grange n’avait pas aidé mon cas. J’aurais bien apprécier des vitamines ou quelque chose du genre. J’allais rejoindre William avec mes trouvailles et un petit sourire.

- Je crois là, je devrais être en mesure de ne pas trop mourir de froid lorsque tu n’es pas près de moi dans le duvet.

Un petit sourire en coin en me rappelant notre nuit ensemble que j’avais grandement appréciée. Je lui volais un baiser avec douceur avant d’aller fouiller la salle de bain rapidement. Je tombais là sur du shampoing et du savon. Je prenais aussi une petite bougie parfumée neuve. Un petit luxe si j’avais envie de l’allumer dans le salon que nous partagions. Notre complicité allait grandir et se muter en quelque chose de plus fort dans les semaines suivantes jusqu’à la remise à «neuf» de la clôture où William me dirait que j’étais sa femme. Je le laissais fouiller en m’assoyant sur le canapé en attendant. Je m’appuyais la tête dans ma main et je fermais les yeux quelques secondes. La première maison m’avait complètement épuisée.
William McReady
Lun 8 Fév - 11:53 ||
William McReady
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On plaisantait sur le fait que cette blessure nous avait réunis mais j'étais persuadé que ci ce n'était pas ma main, cela aurait été une autre raison, la douceur de Sarah et son sourire bienveillant m’attiraient comme un aimant. Dans un certain sens j'avais du mal à vouloir le voir à cent pour cent car j'avais cette impression de tromper Lulu, dans un autre sens, c'était simplement évident et je ne pouvait pas non plus me voiler la face éternellement. Après ce moment difficile j'avais pris la belle dans mes bras pour lui dire quelques petits mots rassurants et sincère. Elle affirmait que j'étais charmant malgré mon age et cela me fis plaisir, je ne pouvais pas le nier.

Pour toute réponse je posais un baiser sur son front, un baiser de protection car s'était bel et bien cela, je la protégeais comme il le fallait. Elle n'était pas une combattante mais avait bien d'autres qualités importantes et que j'appréciais énormément. Nous devions aller dans une autre maison afin de lui trouver des vêtements plus chaud. C'est ce que nous firent assez rapidement. La porte était close et s'était par la fenêtre qu'il fallait passer, je venais alors ouvrir la porte à la brune avec un air gentleman. Ouvrir des portes je l'avais fait assez souvent pour trouver SKylar. Ce n'était pas une de plus qui me faisait peur.

Finalement je laissais monter chercher des affaires chaudes dans la chambre certainement, pour ma part, comme toujours j'allais vers la cuisine. Et ce fut encore une réussite. J'en profitais pour faire un aller retours à la voiture qui était juste devant pour y poser les sacs. J'avais trouvé du thé en sachet, plusieurs paquets, ainsi que du chocolat, des biscuits, des pattes et quelques conserves. J'avais vraiment de la chance. Je fis aussi un petit tour rapide pour récupérer quelques livres, s'était toujours utile ainsi que des couvertures. Ceux de la granges en seraient surement ravie vu le froid qu'il y avait . Je trouvais une petite surprise pour Sarah que je glissais dans ma poche. Je lui donnerais à un autre moment. Oui j'avais envie de lui faire un cadeau, où était le mal ? Nulle part effectivement.

Sarah ? Je la retrouvais sur le canapé l'air fatiguée. Elle n'était pas habitué à sortir contrairement à moi. Je me posais à coté d'elle pour la serrer un peu contre moi. Allez on rentre .. .j'ai trouvé encore de la nourriture, je pense qu'on est pas mal là. dis je en posant un baiser sur sa tempe caressant doucement sa joue avec ma main tiède. Je me redressais lui tendant la main avant de rejoindre la voiture. J'ai trouvé d'autres boîte de thés. Tu vas pouvoir apprécier tout ça un moment je pense. Je démarrais alors, Sarah s'endormie pendant le trajet qui nous ramenait à la ferme. Une fois arrivée je la réveillé et lui proposa d'aller s'allonger pendant que j'allais ranger tout ça dans la cuisine, gardant certaines choses pour nous. Il était temps de se poser un peu, je la rejoins alors dans le petit salon pour une petite sieste au coin du feu. C'était un bon moment mais d'autres nous attendais encore.


FIN
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