Bravo, ce zombie est désormais au sol et inerte. Malheureusement, cette pauvre Sarah n'est pas indemne, la plaie saigne à l'arrière de sa tête et avant de continuer, il va falloir vous occuper de la remettre sur pieds. Ce n'est pas bien grave, heureusement, c'est surement douloureux, et ça provoque peut-être quelques vertiges, mais c'est tout.

Pour le moment, à vous de vous organiser pour remettre Sarah sur ses deux jambes, vous pourrez ensuite vous lancer, revenir évaluer les dégâts. Vous pouvez donc RP librement jusqu'à ce moment-là, lancez toutefois un dé chacun pour évaluer l'état de la clôture et donc, la dose de réparation à y apporter.

Rappel Pour les quêtes, privilégiez les réponses courtes, afin d'avancer plus rapidement, afin de faciliter le travail du MDJ, placez un résumé de vos actions importantes en bas de votre poste, et le résultats de vos dés lorsque c'est nécessaire. En cas de grosses difficultés pour vos personnages, vous avez évidemment le droit de demander l'arrêt de la quête, dans ce cas, votre camp ne remportera pas de points, et la mission sera remise en jeu.

Votre MDJ Ka'.

Je n'arrivais pas à repousser ce truc immonde. Je n'avais plus de force dans les bras et j'avais un mal de tête qui commençait à se faire important. William était furieux après ce truc qui semblait m'avoir pour cible sans arrêt. Pourtant, je n'avais pas mis de parfum c'était à n'y rien comprendre. Je n'avais cependant pas manquer les dires de William «Touches pas à ma femme».  En d'autres circonstances, je me serais mise à rire un peu en lui disant qu'il n'y avait pas plus officiel comme titre maintenant qu'il l'avait dit. Cependant, je n'avais pas la tête à ça. J'étais complètement sonnée  par la douleur et je tâchais de rester éveillée au mieux.

Je sentais finalement la main de William dans la mienne alors qu'il me parlait pour me garder consciente. C'était de plus en plus facile par contre et je prenais sur moi tranquillement. La main de Will arrivait derrière ma tête avec son écharpe en boule. Je grimaçais de douleur.

- Laisse moi quelques secondes s'il te plaît...

Je prenais sur moi avant de regarder William avec un petit sourire en coin.

- Ta femme hein... J'aime bien ça comme titre. On peut dire que c'est officiel non ? Ça restera entre nous.

Je rigolais un peu en essayant de détendre l'atmosphère. Je voyais bien qu'il était inquiet.

- Est-ce que ça saigne encore ?

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Je m'étais assis à côté d'elle à lui tenir l'écharpe. Mine de rien je n'avais plus vingt ans et mon énervement m'avait un peu fatigué. Ahhh la jeunesse. Quand je lui demandait ce que je pouvais faire pour elle, elle me demanda de la laisser quelques secondes  je me montrait donc patient et silencieux espérant que tout aller bien pour elle.

Elle sourit et ria même un peu suite à ce petit surnom possessif que j'avais hurlé. Je passais mon bras autours d'elle et lui dis doucement un petit sourire en coin. Faux croire, c'est surtout pour Sky que ça va être compliqué.. Les autres je m'en fou complément. J'ai pas à rougir d'être avec toi. On venait donc d'officialiser la chose entre nous. C'était bizarre surtout avec le zombi à la tête de bouilli face à nous.

Finalement elle me demanda si elle ne saignait plus. Je retirait le tissus pour écarter ses cheveux avec le plus de douceur dont j'étais capable. J'ai pas l'impression que ça saigne encore... dis je un peu rassuré en espérant qu'elle n'est rien d'interne. On reste un peu là et quand tu te sens on regarde pour la barrière. Si il faut tu reste là et je vais voir seul. réparer une barrière ne me faisait pas peur. C'était un boulot que j'avais souvent fait au besoin.

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Je n'oubliais pas le fils de William. Je ne voulais pas mettre de tension entre nous non plus. J'étais discrète et je comptais bien le rester. J'aimais garder ma relation et mon intimité pour moi. C'était ça tout simplement.

- Je te laisserai lui parler en temps et lieux et tu sais a quel point je suis discrète.

Je lui faisais un sourire. C'était donc officiel, nous étions ensemble contre ces mères. Je grimacais un peu à cause de la douleur avant de lui demander comment était le saignement. Il retirait son écharpe pour regarder avant de me dire qu'il ne semblait arrêté enfin. Je poussais un soupir de soulagement en fermant les yeux.

- OK super... Je vais te donner un coup de main. Je me reposerai plus tard. Si le saignement a déjà cessé, je ne devrais pas avoir besoin de points de suture.

Je restais calmement assise durant quelques minutes avant de finalement me lever. J'avais eu quelques vertiges et une nausée légère mais ça semblait mieux.

- c'est bon, allons s'y.

Je marchais avec William vers la barrière. J'espérais ne pas croiser d'autres rôdeurs. Heureusement que j'avais les cheveux attachés aussi. Je serais mûre pour une douche après ça.

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C'était étrange pour moi de me dire que j'étais avec une autre femme que Lulu pourtant c'était bien le cas. C'était ce qu'elle avait voulue, elle, la mère de mon fils. Le fait de ne plus saigner semblait la rassurer et cela me rassurait à mon tour. Elle décidait de m'aider malgré ma proposition à rester tranquille. C'était une femme courageuse je n'en avais pas douté mais maintenant j'en avais l'assurance.

Tu es sur ? Tu peux te reposer tu sais ? Avec tes vertiges et tout ça je voudrais pas que tu.. Enfin.. je m'inquiétait bien entendu pour elle mais elle semblait certaine et commençait à se rapprocher de la barrière que nous allons devoir réparer pour la protection des nôtres. Je m'approchais alors pour regarder les dégâts. On ne vas pas manquer de travaille dans le camps. Il y a beaucoup à faire. Bien sur nous étions une petite poignets de survivants nous allions bien parvenir à quelque chose tous ensemble. Il fallait sécuriser notre camps c'était primordial.

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Vous êtes courageux, malgré ce que vous venez de vivre avec ces deux rôdeurs, vous avez fait le choix de continuer de vous occuper de cette maudite clôture. Il y a au moins un trou dans cette dernière, il va donc falloir apposé à cet endroit un nouveau morceau de grillage et réparer ce qui a été abimé par-ci, par-là.

Pour commencer lancez un dé pour savoir dans quel état est la clôture pas de panique cette fois, c'est la moyenne des deux qui vous donnera un résultat.

Si vous faites deux 1, considérez qu'il n'y a que le trou à réparer, vous en aurez ensuite terminé avec cette quête.
Si vous faites un résultat positif, quelques petites consolidations seront à appliquer, en plus du trou, mais c'est tout.
Si vous faites un résultat négatif il va falloir venir consolider pour de bon, pourquoi pas en barricadant cette partie de la clôture avec une planche.
Si vous faites deux 10 d'autres zombies viendront vous enquiquiner ...

Rappel Pour les quêtes, privilégiez les réponses courtes, afin d'avancer plus rapidement, afin de faciliter le travail du MDJ, placez un résumé de vos actions importantes en bas de votre poste, et le résultats de vos dés lorsque c'est nécessaire. En cas de grosses difficultés pour vos personnages, vous avez évidemment le droit de demander l'arrêt de la quête, dans ce cas, votre camp ne remportera pas de points, et la mission sera remise en jeu.

Votre MDJ Ka'.

La clôture était dans un sale état. Je me passais une main dans mes mèches folles au devant de mon visage avant de regarder William. Je n'étais pas la plus manuelle du monde mais j'avais souvent aider mon père et mes frères.

- je crois que nous allons devoir fermer ce trou... Tu sais s'il y a une planche pas trop loin.

Je regardais un peu autour avant que mon regard ne tombe sur le rôdeur avec la tronche éclatée et sans bras. J'étais vraiment incompétente pour me defendre c'était un fait.

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Je m'approchais du trou dans le grillage en soupirant et râlant un peu. Il y avais là un sacré boulot à faire à croire que la chance n'était vraiment pas avec nous. Je soupirais un peu. Je fis un signe de tête à Sarah Il nous faudrait un marteau et des clous aussi. Je compte pas trop sur le bonheur de trouver une visseuse qui fonctionne encore à batterie. dis je en cherchant des yeux des planches. Je m'approchais d'un tas de détritus sûrement des planches et autres outils qui aurait du un jour partir à la decheterie. Le tout était dans une petite remorque.

Tien viens m'aider s'il te plait. Enfin si tu te sent Je pose mon regard inquiet sur elle. Puis je tire plusieurs planche que je ramène vers le fameux trou. Je réfléchi à ce que je pourrais faire, comment réparer ça avec le peu de matériels que j'ai.

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William avait trouvé une petite remorque abandonné avec du matériel à l'intérieur. Il était à la limite de l'utilisable, surtout pour les outils à ce que je pouvais voir. Je m'approchais doucement en regardant autour au cas où quelque chose déciderait de venir à nouveau nous faire notre fête. J'avais mal à la tête et ma blessure élançait à l'arrière de mon crâne. J'allais avoir mal quelques jours, c'était clair. Je ne manquais pas le regard inquiet de William sur moi et je lui faisais un sourire chaleureux pour le rassurer un peu. J'allais bien, du moins, je crois.

- Je vais t'aider sans problème.

Je l'aidais à amener des planches avant de fouiller pour prendre un marteau et tous les clous que je pouvais trouver. Je revenais vers William qui semblait chercher comment mettre les planches de façon adéquate. Il faut avouer que ce n'était pas si simple que ça.

- Dans le sens horizontal, je crois que ça peut fonctionner.

Je lui donnais le marteau.

- À toi l'honneur mais je ne crois pas que tu pourras taper aussi fort qu'avec ta batte.

Je lui faisais un petit clin d'oeil.

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J'essaye de faire en sorte que les planches puissent suffirent pour le trou et surtout tenir assez longtemps pour qu'on ai pas d'autres visiteurs. Sarah m'assure qu'elle va bien et qu'elle peut m'aider, j'ai un doute vu le choc qu'elle a pris mais qui suis je pour lui interdire de m'aider ? Au moins je peux garder un oeil sur elle. Elle m'apporte un marteau et tout un tas de clou, certain sont un peu tordu alors je frappe doucement dessus pour les redresser. J'ai l'impression de réparer la clôture de ma maison c'est assez étrange comme sentiment, surtout aujourd'hui mais je devais me montrer vigilant tout de même. Les monstres étaient partout.

Sarah me conseille et je lui souris, j'ai toujours aimé bricoler et je crois que je m'en sortais plutôt bien. Je commence à mettre une planche. Tu peux me la tenir s'il te plait ? Trop concentré sur ce que je faisais je ne pensais pas même au double sens de ma phrase. J'avais le regard fixe, j'avais mis deux clous entre mes lèvres et je frappais doucement puis plus forts, en fonction, afin de faire tenir les planches. Ce n'était pas un gros travail mais c'était important. La jeune femme me fit une petite phrase sur ma batte et je lui souris. Ah c'est sur qu'aucun marteau ne vaut ma batte. Je continuais avec une seconde planche, je devais être rapide pour que rien ne risque de revenir. IL faudrait surtout essayer de construire des sortes de murs en bois afin de faire une réelle protection à notre foyer. Maintenant que j'avais retrouvé mon fils, et que j'avais rencontré Sarah, la protection de la ferme me paraissait indispensable.

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