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[TERMINE] - [hot] Notre vie est définie par des opportunités… Même celles qu’on manque. (Hyun-ae)
Elrik W. Murawski
Dim 31 Jan - 18:14 ||
Elrik W. Murawski
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C’était peut-être sacrément … prévisible, que tu en viennes à réagir comme ça, au bout d’un moment, tu ne penses pas Elrik ? Il faut dire qu’avec ton passif, déjà, tu n’as pas eu l’occasion d’avoir une femme nue sous les yeux depuis une éternité. Pratiquement seize ans, quoi, si on veut réellement tenter d’être précis. Bien entendu, tu n’es pas non plus au bout de ta vie, à ce niveau, tu restes capable de te contrôler, et tu n’es absolument pas du genre à te jeter sur n’importe quelle belle femme passerait dans ton champ de vision sous prétexte que quelque part, t’es probablement en manque. Du coup, ouais, ça, plus le fait qu’elle ose se dénigrer sous ton nez, alors qu’elle se cache à peine de ta vue avec ces vêtements qu’elle vient de retirer et bah … ouais, tu viens vers elle, tu l’embrasses, tu la repousses et tu la hisses sur cette table avant de venir te caler entre ses jambes pour être au plus près d’elle. Elle te rend fou. C’est une vérité. Elle a un effet absolument hallucinant sur toi, et en deux jours, tu as déjà eu tout le loisir de t’en rendre compte, c’est dingue.

Sauf que ouais, finalement, tu te sens comme obligé de lui rappeler que tu n’es pas là pour ça, que tu n’as pas accepté sa demande pour en profiter, et te rincer l’œil. C’est une précaution que tu crois, pour ne pas prendre le risque de la décevoir, et tu pourrais presque souffler de soulagement quand elle t’annonce qu’elle n’y pensait pas, de toute façon. « Tu me plait … » C’est ce qu’elle veut ? Et bien, c’est le cas, et plutôt deux fois qu’une, mon vieux. Si tu te dis que tu n’as pas de style et bien, ouais, si tu devais quand même en donner un, ce serait elle, rien qu’elle. Ses traits fins, ses courbes légères et délicates, toi, tu n’as jamais été de ces hommes qui veulent une femme trop sulfureuse, de toute façon, alors, bien sûr qu’elle te plait.

Et elle bouge finalement, elle se hisse jusqu’à tes lèvres, elle vient t’embrasser à nouveau et quand elle vient clairement, et directement te faire cet aveu, tu as l’impression que tu pourrais … foncer, faire tomber toutes les barrières, abandonner, céder. Bien sûr, tu l’avais compris, Elrik. C’est ce qu’elle a tenté de te faire comprendre, hier, déjà, mais, l’entendre le dire, si clairement, poser ces mots-là-dessus, ça vient te remuer de l’intérieur, mon vieux. « Hyun-ae … » C’est tout ce qui t’échappes, alors que ses lèvres reviennent contre les tiennes, et puis, qu’elle finit par se relâcher un peu, retomber assise sur la table alors que ses vêtements qu’elle tenait toujours contre elle disparaissent, retombent mollement sur le sol pour te laisser la voir, presque entièrement et complètement. Pendant un moment, tu ne peux rien faire d’autre que la regarder, mon vieux. Tu es littéralement en train de la dévorer du regard, tu réagis à peine, quand elle vient poser tes mains contre ses hanches, mais quand elle te sort de ton espèce de contemplation, avec ces quelques mots, tu craques, Elrik.

Tes mains bougent légèrement, et tu l’approches de toi, autant que tu le peux, tu l’installes sur le bord de la table et puis, tu reviens prendre ses lèvres, tout en la repoussant en arrière pour finalement l’allonger sur le meuble, tu es complètement penché sur elle, et si tu l’embrasses encore pendant de longues secondes, tes mains elles, glissent sur elle, jusqu’à ce que tes lèvres abandonnent les siennes et là, tu viens la couvrir de baiser. Ta bouche glisse dans son cou, le long de sa clavicule, passe déposer un sillon de baiser brûlant entre ses deux seins avant de descendre, lentement, jusqu’au bas de son ventre et là, tu reviens juste la chercher tes bras, la tirer à toi, la redresser et la hisser contre toi pour la retenir en passant tes mains sous ses fesses. « Pas de morsure … » Tu lui souffles, finalement, en venant complètement enfouir ton visage dans son cou. Tu pourrais la mordre tellement tu la veux, maintenant, mais tu te retiens, parce que tu refuses d’abimer sa peau.
Hyun-ae J. Rhee
Dim 31 Jan - 18:46 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu as littéralement l’impression de laisser tomber toutes tes barrières. Pourtant, tu es l’une de ces femmes pudiques, naïves, timides de nature. Tu n’as jamais eu personne dans ta vie, et même Jasper n’aura pas réussi à t’arracher ça, quand bien même il a pu essayer. Et pourtant, tu as retrouvé Elrik il y a deux jours, alors que tu le pensais mort, et que tu l’avais banni de ton esprit, et regardes tout ce que tu lui offres. Ta confiance, ta parole, ta nudité et maintenant tu oses lui dire les trois mots que tu n’as dits à personne.

Et tu n’attends pas vraiment qu’il te réponde la même chose. Ce n’est mème pas que tu ne crois pas ça possible, juste que tu ne penses pas à ça. Tu veux juste qu’il le sache, tu veux soulager ton cœur hein. Parce que 15 ans avec ces mots sur le cœur, sans pouvoir les dire, tu te rends compte qu’il fallait que ça sorte. Et finalement, ma belle, c’est la manière dont il prononce ton prénom qui t’apprend combien c’est réciproque. Juste ça, juste le ton qu’il prend.

Tu le guides à toi, et quand il s’écarte un peu, tu rougis, oui, mais tu le laisses te regarder comme un homme regarde une femme. IL n’y a pas cette moquerie ou cette curiosité des gens sur toi, à cause de tes origines. Tu te sens juste… désirée. Et bon dieu, Hyun-ae, ça vient littéralement accélérer ton cœur et ton souffle. Pas le temps d’y penser, d’essayer de te reprendre, parce qu’il te fait basculer et soudainement, Hyun-ae, il n’y a plus que lui. Sa bouche te rend folle, et tu ne sais même plus comment t’accrocher à lui. Quand ses lèvres s’écartent des tiennes et glissent sur toi, tu te surprends à gémir. Intimidée, tu viens coller ton poing sur tes lèvres alors que tout ton corps réagit à sa présence. Tu es cambrée, à bout de souffle, des larmes au bord des yeux quand il te redresses contre lui et tu viens enfouir ton visage contre son cou aussi.

« Tu… Tu… Ouais, tu ne peux même plus parler, et tu te mets à embrasser son cou, son oreille, sa joue. Tu me rends dingue. J’ai jamais… ressenti. J’ai l’impression que tu réveilles un dragon en moi. »

Rien que ça. Le pire, c’est que c’est vraiment l’impression que tu as. Tu te sens surpuissante, brulante, tu as envie de voler et tout détruire au passage. Si tu le pouvais, probablement que tu t’enfuirais pour n’être plus qu’avec lui à jamais, mais cette pensée égoïste ne restera pas bien longtemps, puisque ta mère, elle, a besoin de toi aussi. Alors tu finis par te calmer, tu restes juste accrochée à lui en mode koala, avant de poser ton front, plus sagement que jamais, contre le sien.

« Je veux que tu continues de me faire ressentir tout ça. Tous les jours et toutes les nuits… Et un soupire t’échappe. Il faut que j’aille lui parler, et que je prépare maman à la nouvelle. Ton visage est rongé d’inquiétude, alors que tes mains viennent se glisser dans ses cheveux, et s’entremêlent dedans sa crinière brune. Je suis désolée de devoir te cacher, pour l’instant, alors que je voudrais le crier au monde. Tu ne mérites pas ça, Elrik. »

Non. À ton humble avis, Hyun-ae, cet homme mérite que le monde entier voit sa beauté et sa force. Tu voudrais que tout le monde sache quel homme incroyable il est et en même temps combien il t’appartient, combien tu es prête à lutter pour lui. Et tes lèvres effleurent les siennes en un baiser léger, alors que tu lui glisses, dans ta langue natale, la même déclaration que plus tôt. Saranghae.
Elrik W. Murawski
Dim 31 Jan - 20:29 ||
Elrik W. Murawski
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A croire que tu ne peux définitivement plus t’arrêter, Elrik. Maintenant que tu as goûter à ses lèvres, c’est comme si tu ne pouvais plus t’empêcher de désirer plus, et franchement, tu es forcé d’essayer de te raisonner, et de ralentir, parce que tu ne peux littéralement venir tout lui prendre ici, et maintenant. En fait, tu ne le veux pas, pas tant que les choses ne seront pas au point, et claires pour tout le monde. Tu as déjà été bien trop loin, tu vois, en l’embrassant, pour commencer, et puis, en fondant sur elle, contre elle, comme tu viens de le faire. Même si elle t’aime, Elrik, même si c’est très probablement la même chose de ton côté, tu dois encore te montrer patient quand bien même ce n’est assurément pas ta plus grande qualité, loin de là. Elle demeure une femme qui est … ouais, casée, en couple, toi, tu t’es échappé de la prison dans laquelle tu étais enfermé, uniquement parce qu’un virus s’est abattu sur le monde, autrement, tu ne serais pas, tu vois alors, peux-tu réellement t’imposer ? Tu aurais tendance à penser que non, même si tu sais que tu auras du mal à supporter de voir ce type lui tourner autour, maintenant.

Et du coup, tu viens la reprendre contre toi, mon vieux, la serrer contre toi, enfouir ton visage dans son cou pour te repaitre de son odeur, aussi envoutante qu’addictive. Quand vous sortirez de cette pièce, votre bulle sera de nouveau percée et envahie des autres alors, tu profites de sa présence près de toi, de n’avoir personne autour de vous, pour vous voir, pour te nourrir, prendre ce que tu peux te permettre de prendre, faire tes réserves, jusqu’à la prochaine fois, en somme. Et comment pourrais-tu ne pas sourire, face à ce qu’elle te dit, là ? Un dragon, Elrik. Rien que ça. Tu serais presque tenté de lui dire que tu as particulièrement hâte de voir ce fameux dragon à l’œuvre, mais tu te retiens, probablement pour ne pas continuer de contribuer à vous frustrer tous les deux. « Ce n’était qu’un aperçu … » Que tu viens tout de même glisser, au creux de son oreille, avant de déposer un baiser juste en dessous.

« Je le ferais, autant que tu le veux … et bien plus encore. » Ouais, tu le feras, dans un avenir que tu espères proche, mais pas tout de suite, aussi insupportable que ce soit, tu respecteras ça, au moins. Et tu finis par la relâcher, tout doucement, par t’écarter d’elle, parce qu’autrement, tu ne tiendras pas, aussi fort sois-tu, aussi doué sois-tu pour tenir tes promesses, quand tu dis qu’elle te rend dingue, ce n’est pas une façon de parler, et tu n’exagères en rien, c’est la vérité, rien que la vérité. Du coup, tu viens juste récupérer ses vêtements, sur le sol, le t-shirt, le pull, le pantalon, tu en fais un petit tas dans tes bras, avant de venir tout lui rendre, afin qu’elle puisse se couvrir à nouveau, quand bien même au fond, tu n’en as pas la moindre envie. « Je le supporterais. » Tu finis par lui assurer, en venant simplement embrasser son front. « Ça ira. » Et tu dis ça, mais, tu continues juste de l’espérer, en fait, tu vois, parce que, tu sais bien, au fond, que, si jamais quelque chose vient un peu trop t’agacer, tu pourrais craquer, et finir par t’imposer. « Remets ça, je vais aller signaler tout va bien, et tu seras tranquille avec ça. »

Et tu la laisses avec ses vêtements, sans pour autant quitter la pièce avant qu’elle ne soit entièrement vêtue. Quand c’est fait, tu ouvres la porte, et justement, tu tombes nez à nez avec le médecin avec lequel tu échanges quelques mots pour assurer que la jeune femme ne présente pas la moindre trace de morsure sur le corps et une fois fait, tu lui fais simplement signe, à elle, que tout est bon.
Hyun-ae J. Rhee
Dim 31 Jan - 21:31 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu te sens tellement vivante et heureuse dans ses bras, c’est juste fabuleux. Parce que vraiment hein, ma belle, le monde n’existe plus. Tous les soucis ou les peines que tu as pu croiser ces derniers temps, tout cela est repoussé loin de toi et c’est juste une sensation que tu n’as jamais ressentie. Accrochée à lui, le nez contre lui, ton front contre le sien, tes lèvres qui ne peuvent s’empêcher de revenir chercher les siennes. Tu ne ressembles plus à la fille timide qui refuse même d’embrasser celui qui est censé être son petit ami. Tu es… épanouie, non ?

Et son murmure, contre ton oreille, vient te faire frissonner d’une manière des plus appréciable. Sa promesse te tire un immense sourire. Tu ne peux pas t’empêcher de rester contre lui, t’aurais presque envie de ronronner, tu vois, sauf que les dragons ne ronronnent pas. Alors tu grognes un peu de satisfaction et finalement, il te repose au sol et ce qui glisse sur ton visage c’est clairement de la frustration.

« Merci de comprendre. Tu souffles, pourtant à nouveau tendue par cette histoire. Je te promets que ce sera vite fini. Je veux être avec toi sans limite, et sans concessions. »

C’est une promesse, oui, mais c’est aussi pour te donner de la force. Tu te doutes que ce sera difficile pour ta mère, pourtant tu es certaine de prendre là la bonne décision. C’est la première fois depuis longtemps, alors tu restes concentrée sur cette idée. En attendant, tu te dépêches de te rhabiller, tu tires sur tes vêtements pour cacher toute ta peau, avec une habitude stupide, et finalement, quand Elrik s’écarte pour rassurer le médecin, toi, tu fermes les yeux en inspirant à fond.

Au final, Hyun-ae, tu n’as qu’à répondre à deux ou trois questions et tu remercies profondément le médecin aavnt de te sauver avec Elrik. Si tu as le bonheur de tenir sa main en redescendant vers la cour, quand vous arrivez à l’orée de cette zone ouverte aux regards de tous, tu es obligée de reprendre ta main contre toi. Et tu t’arrêtes. Tu observes les environs, tu cherches probablement du courage et les bons mots. Pas que tu regrettes de mettre fin à cette relation sans sens, hein, mais bien que tu sens que ça ne se passera pas bien.

« Je vais aller lui parler. Tu finis par souffler. Je te retrouve après ? »

Tu lui offres un sourire… inquiet et nerveux. Il te faut son approbation quant au fait qu’il sera là, après justement, puis tu traverses la cour en mordant nerveusement ton pouce. Tu attrapes Jasper dans la zone des couchages et tu l’enjoins à te suivre jusqu’à un coin tranquille de la cour. Tu ne sais pas où est Elrik, mais tu espères qu’il ne verra pas ça, parce que… tu vois au regard du jeune homme que c’est mal parti.

« C’est ce type qui te retourne la tête ?! Attaque le jeune homme, probablement souffrant de te voir t’éloigner de lui.
-Laisse-moi, parler. S’il te plait, Jasper.
-Vas-y ! Mais ca ne me convaincra pas !
-Je ne suis pas amoureuse de toi. J’ai essayé, je te le jure, mais… je n’ai pas ça pour toi. De toute ma vie, je n’ai été amoureuse que d’une personne, et je ne pourrai jamais m’en détourner, tu comprends ? Je ne veux pas rester avec toi sans te rendre tes sentiments, ce n’est pas correcte. Il ouvre la bouche, tu lèves la main pour l’arrêter. Je sais que ça va blesser ma mère, mais je ne veux plus être enfermée dans ce que les gens veulent pour moi… Le silence s’étire entre vous, et tu reprends. Je t’en pries, dis-moi que tu comprends.
-Je… Il s’arrête, et c’est de la méchanceté qui passe dans ses yeux. En faite, tu te fiches complètement de l’état de ta mère ?! T’es vraiment ingrate, j’en reviens pas. »

Tu ne t’y attendais pas, Hyun-ae. Sa remarque te percute avec une force si impressionnante que ça te coupe le souffle. Tu recules, ton dos cogne contre la grange et des larmes, immenses, puissantes, acides, se mettent à dévaler sur tes joues. T’es en train de tenter de répondre, réfuter son attaque, en t’étouffant à moitié quand il se rend compte de ce qu’il a fait. Et tu sais ce qu’il fait ? Il vient contre toi, il pose sa main sur ta joue, l’autre sur ta taille.

« Oh June, je sais que tu l’aimes. Tu vois, c’est pour ça que je sais aussi que tu m’aimes. Je suis sûr qu’on peut essayer encore et que ça marchera cette fois-ci. »

Et tu le vois venir vers toi, ma pauvre. Sauf que t’arrives à rien parce que le choc de son attaque te met dans un état de dissociation si violent que tu n'as que tes yeux pour pleurer.
Elrik W. Murawski
Dim 31 Jan - 22:09 ||
Elrik W. Murawski
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Tu la laisses faire. Tu vas la laisser faire. C’est à elle de le faire. Tu vois, tout ça, c’est que tu te répètes, encore et encore. Ce n’est pas si facile, pour toi, parce que tu as toujours été un gardien, pour les tiens, tu es protecteur au possible, en toutes circonstances, tu t’es toujours arrangé pour être celui qui se dresse entre ceux que tu aimes, et le reste du monde. Là, pourtant, tu essaies tant bien que mal de te faire à l’idée que c’est quelque chose qu’elle doit faire elle-même, et que tu ne peux pas t’occuper de le faire à sa place. Du coup, tu te contentes de ton rôle, tu vois, tu vas dire que médecin que tout va bien, tu l’attends, et quand vous êtes de retour en bas, tu es bien forcé de la laisser te lâcher, et s’éloigner. Seule.

Durant quelques instants, Elrik, tu ne fais que la regarder s’éloigner de toi. Tu sais qu’elle compte mettre les choses à plat rapidement, alors, tu souffles, un grand coup, et quand elle disparait de ton champ de vision, tu es pris d’un doute. En réalité, tu restes planté dans la cour, étrangement, tu es fixe, droit, ton regard est resté planté à l’endroit où la jolie brune vient de disparaitre et ça dure, quelques minutes. C’est bien trop, sans doute, parce qu’une main finit par se poser sur ton épaule, et quand tu trouves la petite rousse qui te demandes si tout va bien, un air inquiet sur le visage, tu hoches juste la tête avant de te mettre en route, de traverser la cour comme une vraie bombe … et te diriger vers l’endroit où elle est allée.

Parce que, oui, tu as toute confiance en elle, cependant, tu n’as pas oublié cette façon qu’il a eu, ce type, de réagir tout à l’heure. Tout en chantage et en manipulation. En fait, rapidement, tu te dis qu’il va recommencer, qu’il va essayer de lui faire mal, pas physiquement, sans doute, mais qu’il va surement se remettre à jouer sur sa culpabilité, sur l’état de santé de sa mère pour arriver à ses fins. Et tu sais quoi ? Tu crains vraiment qu’il n’y parvienne. Alors, oui, même si tu t’étais juré de la laisser faire, tu finis par te mettre à sa recherche, et tu n’es pas bien long, avant de remettre la main sur elle. Tu la vois, qui recule, tu vois son dos heurter la paroi de bois, et tu vois ce type qui s’approche, qui vient se coller contre elle, qui se permet de poser une main sur elle et bon sang, Elrik, tu vois rouge immédiatement, parce qu’en plus, tu as bien vu les larmes sur le visage de Hyun-ae.

Tu ne peux même pas te retenir, te voilà à foncer droit vers elle, et ta main se referme avec une brutalité certaine sur l’épaule de Jasper avant de tirer dessus, violemment pour l’éloigner d’elle. Et comme toujours, tu viens te placer au milieu, devant elle, face à lui, tu lui interdis littéralement de l’approcher à nouveau, et ce, sans même prononcer un mot, pour commencer. « Reste où tu es. » Que tu finis quand même par ordonner, en te dressant devant lui, assurément menaçant, pour le coup. « Je ne le répèterais pas deux fois, si tu essaies encore de l’approcher, je te tuerais. » Et tu sais ce qui est le pire ? C’est que malheureusement, toi comme elle, vous savez que t’en es clairement capable, s’il en vient à aller trop loin. « Elle t’as dit qu’elle ne voulait pas de toi, dégage. »
Hyun-ae J. Rhee
Dim 31 Jan - 23:18 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Est-ce que ça aurait pu tourner plus mal que ça ? T’en es pas certaine, Hyun-ae, parce que ce que tu ressens, maintenant, c’est comme si le monde cessait d’être maintenant. Tu es seule, tu es contre quelqu’un qui ne veut pas jouer fair-play. Et honnêtement ça te donne envie de fuir, de te cacher, de… t’en sais rien. Mais ça t’atteint ce qu’il dit. Un choc qui te détruit littéralement le cœur. Et bien entendu qu’il en profite, à croire qu’il avait tout prévu. Tu es terrorisée contre la grange, tu penses à ta mère, alors qu’il vient contre toi. Et franchement, ma belle, tu sais que tu ne veux pas de ça, sauf que tu ne peux rien dire. Tu as peur, bloquée…

Tu es en train de glisser dans quelque chose de particulièrement affreux, quand soudainement toute cesse. Il s’écarte de toi et une silhouette vient te mettre dans une ombre rassurante. Ton cœur se rétracte. Tu manques de glisser au sol, puis tu entends la voix qui s’élève. Et tu comprends, Hyun-ae, que comme dans tes souvenirs, comme quand t’étais une gamine, Elrik à voler à ton secours. Tu entends sa menace, tu sais qu’il ne ment pas et c’est ce qui te sort de la crise d’angoisse.

« Elrik… Un souffle, haché, et tu tangues pour passer à ses côtés. Je suis désolée. »

Parce que tu n’as pas réussi à t’en sortir seule, alors que tu prônes ta force et ta liberté à chaque fois que vous parlez. Tu poses une main apaisante sur son bras, et tes yeux qui coulent toujours croisent le bleu de ses iris. Bon dieu que tu aimes ces yeux, Hyun-ae, c’est juste incroyable. Tu finis par t’en détourner et tu avances vers Jasper, sur tes jambes faibles. La claque que tu lui offres n’a aucune force, aucune conviction, parce que tu n’es pas faite pour ça. Et tu finis par articuler lentement :

« Tu ne t’entends pas parler, visiblement, parce que ce tu dis est affreux ! Je ne t’aime pas. Je ne t’aimerais pas. Je ne veux pas t’aimer. Tu assènes, comme un coup de poignard à chaque fois.
-Mais June, tu… »

Sa main attrape ton poignet et tu t’en défais avec une violence si puissante que c’est littéralement une autre femme qui apparaît. Ton expression devient agressive, violente, et tu le repousses des deux mains contre lui, avant de te te mettre à grogner, de toutes tes forces

« NE ME TOUCHE PLUS ! Je te jure, Jasper, si tu oses encore le faire, même pour juste me donner quelque chose, tu comprendras que je ne suis pas un bébé ni une poupée de cire ! PARS ! »

Il faut un geste vers toi et pour la première fois, Hyun-ae, il semble t’entendre… non il semble te craindre. Il finit par juré et faire demi-tour en laissant glisser une insulte contre toi au passage. Et toi, tu restes là, les poings serrés, à trembler d’une colère que tu ne sais pas exprimer. En faite, tu voudrais être à ton cours de Krav Maga, parce que là, au moins, tu pouvais montrer de quoi tu es capable…

Il te faut de longues secondes d’immobilité douloureuse pour te tirer de là, d’un seul coup. Tu te tournes d’un coup, et si pendant un instant tu offres un regard agressif à l’homme que tu aimes, tu finis par juste venir t’appuyer contre son torse, tes mains contre son vêtement, ton visage entre tes paumes serrées.

« Je ne veux plus jamais le voir… Tu souffles, en sachant que ça n’arrivera pas. Je ne le croyais pas comme ça… »
Elrik W. Murawski
Mar 2 Fév - 19:45 ||
Elrik W. Murawski
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Et voilà, Elrik. Tu aurais dû te douter que, malheureusement, tes belles et grandes de résolutions quant à ton tempérament bien trop protecteur ne tiendraient pas bien longtemps. Evidemment, on ne peut pas dire que c’est de ta faute, pour le coup, qu’est-ce que tu aurais pu faire d’autre, hein ? Franchement. Tu as eu un mauvais pressentiment, c’est tout, et ça se vérifie bien assez vite parce que, tu sais quoi, mon vieux ? Et bah, en quinze année de prison, t’as eu l’occasion d’en croiser des sales types. Des brutes. Des manipulateurs. Des menteurs. De tous les genres et toujours tous aussi dangereux les uns que les autres. Quand tu as vu le comportement de Jasper, plus tôt, face à celle que tu aimes, tu as compris qu’il n’abandonnerait pas si facilement, et qu’il tenterait une nouvelle fois d’essayer de la piéger, de la manipuler. Tu t’es simplement dit que tu devais empêcher ça, parce que, tu refuses catégoriquement qu’on puisse se permettre de faire couler une seule des larmes de Hyun-ae.

C’est avec une violence certaine que tu repousses l’homme, immédiatement, tu le menaces. Tu refuses qu’il puisse l’approcher à nouveau, et honnêtement, tu te contiens un minimum parce que, la seule vision de lui, contre elle te donne la nausée, et te mets dans une colère noire, Elrik. C’est un miracle, en fait, que tu résistes à l’envie de lui en coller au moins une et, bien vite, c’est elle qui vient à toi. Tu sens sa main contre ton épaule, tu croises son regard rempli de larmes, et tu la laisses faire, bien que, cette fois, tu restes là, juste derrière, prêt à intervenir s’il venait à avoir la mauvaise idée de tenter quoi que ce soit à son encontre.

A ta grande surprise, la claque fuse, le bruit a même le don de te faire sursauter, sans doute parce que tu ne t’attendais pas à ça de sa part. Tu l’as toujours connue si douce … finalement, mon vieux, elle avait surement raison, quand elle te parlait d’un dragon en elle, plus tôt. Ça te plait, en tout cas, de voir qu’effectivement, elle est capable de se défendre, qu’elle est forte, qu’elle a un caractère, mine de rien, bien trempé. Ses mots sont aussi acérés qu’une bonne lame, et face à elle, l’homme ne tarde pas à abdiquer. Il semble plein de colère, ça, c’est certain, d’ailleurs, tu te demandes s’il ne cherchera pas à se venger en tout cas, l’espace d’un instant, quand elle se tourne vers toi, elle, elle à l’air d’une guerrière.

Et elle finit par revenir vers toi, Elrik, et comme un automatisme, tes bras se referment à nouveau sur elle, tu la presses contre toi, et, honnêtement, ouais, maintenant que tu sais que c’est fait, qu’elle est libre de t’appartenir, tu ne peux pas nier que tu te sens le cœur plus léger. Comme quoi, hein, deux jours seulement qu’elle est là, elle a réussi à te rendre complètement dingue, accro à elle, littéralement prêt à tout … Ouais, mon vieux, tu peux le dire, tu es littéralement fou d’elle et tu te demandes encore comme c’est possible, parce que, c’est arrivé si vite. « Hyun-ae … » Et encore son prénom, toujours son prénom, te voilà maintenant à venir la hisser tout contre toi, à la faire reculer, jusqu’à ce que son dos vienne toucher le bois de la paroi de la grange. Comme fiévreux, tu viens de nouveau chercher ses lèvres, tu l’embrasses comme jamais, et c’est un baiser … envieux, passionné. « Epouse moi. » Et fou, visiblement, parce que, cette demande t’échappes, subitement, comme si c’était la chose la plus normale du monde alors que, franchement, là, après seulement deux jours – à peine – tu prends juste le risque de la voir fuir en courant.
Hyun-ae J. Rhee
Mar 2 Fév - 20:40 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Ca te remue, Hyun-ae. Toute cette histoire est en train de remuer ton esprit et ton âme comme un jour de tempête en pleine mer. Tu remets en question bien des choses. Ta capacité à te défendre, pour commencer oui. Puis la manière dont Elrik va te voir, maintenant qu’il a dû intervenir pour te défendre parce que tout ce que tu parviens à faire, c’est pleurer. Finalement, c’est même les gens qui t’entourent que tu viens remettre en question. Tu ne croyais pas Jasper comme ça, mais il semblerait que tu te sois voilée la face. Et ça t’apprend deux choses, Hyun-ae : la première c’est que tout le monde ne mérite pas ton respect, et la seconde que tu ne peux pas faire dépendre ton bonheur de ce genre de personne.

Tu es dans les bras d’Elrik, à tenter de te reprendre quand tu comprends tout ça. Au moins on peut dire que ton esprit est assez rapide pour faire l’analyse de ce qu’il se passe. Et finalement, quand tu comprends que tu dois être la maîtresse de ton bonheur, choisir ce que tu veux et cesser d’obéir bêtement, tu enfonces plus clairement ton  nez contre lui, pour venir littéralement saturer tes poumons de son odeur.

C’est quand il prononce ton prénom, que tu comprends qu’il est aussi chamboulé que toi. Si tu t’amorces un mouvement pour relever le nez vers lui en reculant, inquiète et prête à le protéger, il te prend de vitesse en te faisant reculer. TOn dos se retrouve à nouveau contre la grange, mais il n’y a pas d’angoisse quand il te soulève contre lui. Tes jambes se nouent à sa taille et tu viens répondre à son baiser avec quelque chose de plus animal qu’avant. Le trop plein d’émotions te fait perdre le peu de retenue qu’il te restait et tu t’accroches à lui, enfonçant sans le vouloir tes ongles dans sa nuque pour l’attirer plus encore contre toi.

« Je… Tes yeux sont deux billes rondes quand il viens te faire cette demande, d’un seul coup, sans que tu ne puisses t’y attendre. Je… »

Tu, tu, ce que tu veux mais il va falloir répondre. Et pourtant, il te faut le regarder droit dans les yeux, les doigts crispés sur lui, parce que tu t’attends à le voir rire. Tu te persuades quelques secondes qu’il dit ça pour se moquer, parce que toi tu lui as dit “je t’aime” trop vite, et que c’es tune manière de te le faire comprendre. Puis tu vois tout le sérieux dans ses yeux et de nouvelles larmes se mettent à couler alors que tu viens le serrer fort, au plus fort que tu peux, dans tes bras.

« Oui. Tu souffles à son oreille. Oui, oui, oui, oui. Tes lèvres se posent dans son cou. Je n’ai jamais voulu personne d’autre. Tu continues tes baisers le long de la ligne de sa mâchoire. Je veux être à toi. Tu embrasses ses lèvres, avant de reculer, tes mains sur ses joues et ton regard devient plus… agressif. Je veux que tu ne sois qu’à moi. Tu lui apprends avec une possessivité que tu ne te connaissais pas. »

Tu reviens l’embrasser, en laissant tes dents chercher sa lèvre, comme pour lui faire comprendre que tu es sérieuse et que tu n’es plus aussi sage que tu l’étais petite. Pendant de longs instants, c’est toi qui refuse de le laisser reprendre son souffle, avant de reculer un peu, le cœur battant à tout rompre.

« Je t’aime tellement. Ton nez viens frotter contre le sien. J’ai envie de ne plus jamais m’écarter de toi. Reste avec moi cette nuit, même si je dois me cacher de ma mère »
Elrik W. Murawski
Mar 2 Fév - 22:05 ||
Elrik W. Murawski
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Certains te diront que tu as complètement perdu l’esprit, Elrik. Franchement … deux jours qu’elle est là. Deux. Seulement deux. Et voilà que tu lui fais une telle demande, sans y mettre les formes, en plus, rien de romantique, de préparé. C’est con, hein, tu t’es imaginé une tonne de chose, pendant que t’étais en prison. Comment t’aurais fait pour demander la femme de ta vie en mariage, par exemple et, ouais, t’étais persuadé que tu serais du genre à faire les choses en grand, sans aller jusqu’à glisser la bague dans une coupe de champagne ou un gâteau – t’as toujours trouvé ça totalement con – et bah, t’aurais pensé que tu aurais au moins été du genre à mettre un genou à terre pour lui offrir une jolie bague. Là, t’as que dalle. Tu la presses entre toi et une planche de bois, tu l’embrasses comme un désespéré plein d’envie pour elle, et en plus, t’as même pas une ébauche de bague à lui mettre sous le nez. Ridicule.

Le truc, c’est que bon, au final, quand on y pense, plus personne ne peut se permettre de belles et grandes demandes, si ? On ne peut même plus espérer un mariage digne de ce nom, alors, franchement, qu’est-ce qu’on s’en fiche de faire les choses comme tout le monde, après tout … même si ça reste tôt, même si c’est clairement précipité, peut-être que ça va avec votre situation. Le truc, c’est que ça, et bah, c’est ta façon de penser à toi, elle, Elrik, elle t’a attendu pendant quinze ans, ou plutôt, elle a espéré, et puis, tu as probablement en grande partie tuer ses espoirs en finissant avec une peine de prison à vie sur le dos. Et maintenant, tu réapparais, et tu lui fais une demande toute naze. Une demande qu’elle accepte, pourtant. Parce que, contre toi, elle te semble être tout aussi fiévreuse que tu peux l’être, elle vient directement te lancer ce oui, qu’elle répète, encore et encore et qui résonne délicieusement dans ton crâne. Elle te répète ce qu’elle t’a déjà dit, et à chaque fois, ça te fait un effet de dingue parce que, tu as sans doute encore bien du mal à croire réellement qu’une femme ait pu passer autant de temps à ressentir ça pour toi, même quand tu pourrissais derrière les barreaux. Et quelle femme. Elle est si belle, Elrik, que tu as du mal à croire qu’elle soit vraiment là, au creux de tes bras. « T’es à moi. » Que tu viens souffler, presque même grogner, en fait, contre elle. Autant que t’es à elle, en fait. « Je te veux … » Et là, ouais, même si t’essaies de te tenir, encore et toujours, et bien, disons que l’envie que tu ressens pour elle ne fait que déborder, encore et encore, quand que tu ne puisses te retenir.

Tu la gardes contre toi, probablement maintenant incapable de la libérer, de la laisser s’éloigner, tu reviens l’embrasser, tes lèvres vont partout où elles peuvent aller, contre sa bouche, dans son cou, tu pousses même le vice à aller repousser au maximum son haut, comme si tu allais la dévorer ici, et maintenant. C’est quand tu en reviens près de son oreille que tu te permets de la mordiller, sans lui faire mal, tu joues du bout de tes dents contre sa peau pâle. « Tout ce que tu veux … » Que tu murmures, avant de revenir la gâter d’un nouveau sillon brulant de baisers. « Je suis fou de toi. J’ai envie de toi, tu es bien trop belle. »
Hyun-ae J. Rhee
Mar 2 Fév - 23:15 ||
Hyun-ae J. Rhee
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C’est fou, quand même de voir combien ton corps réagit au sien, combien ton cœur n’appelle que lui. Toi qui a toujours eu un certain côté timide, tu es littéralement en train de lui sauter dessus en public (enfin, pas enfermé quelque part où on ne peut vous voir, s’entend). Tu es loin de tous tes principes, tout ce qui t’as toujours fait peur et ce que tu ne pensais pas dépasser. Cet homme t’a vu seul, il te touche, il te hisse contre lui, il te presse contre son corps et tu sais le pire, Hyun-ae ? Tu voudrais te débarrasser encore une fois de tes vêtements juste pour sentir sa peau contre la tienne. Sur le coup, c’est tout ce à quoi tu penses.

Et tu vois, tu acceptes au final sans hésiter sur ce que tu ressens de l’épouser, même si tu ne sais pas ce que ça veut dire dans un monde comme celui-ci. Toi qui a toujours rêvé d’être une princesse, avec un mariage en blanc et une bague qui brille, tu jettes tout ça dans ton coffre de petite fille, parce que là, c’est un homme qui te le demande et tu es une femme. Ton mariage, ta bague, tout ce froufrou, ça ne vaut rien contre lui, tout simplement.

« A jamais. Que tu lui jures, alors qu’il prononce ces mots qui te font complètement frissonner avant de t’enflammer. Moi aussi. J’ai attendu trop longtemps. »

Et tu aurais pu attendre plus, c’est ça le pire. Pour lui, tu aurais pu ne pas faire ta vie, ne pas connaître certaine chose de la vie, parce que tu ne voulais personne pour te les faire découvrir à part lui. Et il revient t’embrasser, alors que tu deviens juste dingue contre lui. Ses lèves t’arrachent des souffles si fort que tu te reprends à nouveau à mordre tes lèvres pour te taire, au mieux. Et quand tu sens ses dents contre ta peau, un gémissement t’échappe par surprise, alors que tu ploies la tête contre son épaule pour essayer de retenir le bruit que tu fais, persuadée de provoquer un boucan pas possible.

«Je… je… Tu es dépassée et ses baisers ne t’aident pas à réfléchir en faite. Emporte-moi. Juste nous deux, je veux juste qu’on soit tous les deux. S’il faut quitter cet endroit pour avoir ça, je m’en fiche. Tu l’agrippes plus fermement, alors que ta peau boue littéralement. Je te… veux… Elrik. »

T’es plus la petite fille d’avant oui, mais tu n’as pas tout bonnement effacée toute ta timidité. Tu trembles en prononçant cette volonté, alors que tu finis par te remuer contre lui, tu arrives même à t’échapper à sa poigne et retomber sur tes pieds. Sans réfléchir, tu tires sur son vêtement pour le pencher vers toi et avoir un baiser de plus, avant que ta main ne se mette à tirer sur la sienne.

« S’il te plait. Tu murmures d’une voix pressante contre sa bouche. Je ne veux pas attendre. Je ne veux plus jamais t’attendre. »

Et probablement qu’il y a l’envie qui parle, c’est vrai, mais aussi toute l’inquiétude que tu as pu ressentir en étant séparée de lui par la justice. Tu as trop attendu, maintenant, Hyun-ae, tu as décidé de tout arracher de force pour qu’on ne t’éloigne plus jamais de celui qui t’a ravi ton cœur.
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[TERMINE] - [hot] Notre vie est définie par des opportunités… Même celles qu’on manque. (Hyun-ae)
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