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[TERMINE] - [hot] Notre vie est définie par des opportunités… Même celles qu’on manque. (Hyun-ae)
Elrik W. Murawski
Mer 3 Fév - 15:17 ||
Elrik W. Murawski
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Visiblement, Elrik, il n’est plus question pour toi de te retenir de quoi que ce soit avec elle … elle t’as dit oui, mon vieux, tu n’aurais probablement pas imaginé qu’elle puisse te répondre positivement après une telle demande, et pourtant. Elle vient d’accepter de devenir ta femme, mon vieux. Tu comprends, ça ? Ta femme. A toi. La tienne. Rien qu’à toi. Qu’est-ce qu’il te faut de plus ? Rien. Ça te rend complètement fou, ivre d’elle et tu sens au fond de toi que c’est juste bien parti pour durer. Alors oui, tu vas plus loin, toujours plus loin, tu l’embrasses, tu viens même la mordiller en lui avouant à quel point tout en elle te fais atrocement envie. Et franchement, ouais, tu veux bien attendre, toi, tu veux bien passer la nuit avec elle mais … en fait, t’es pressé. Tu la veux maintenant, t’es tellement pris dans cette envie que t’es carrément prêt à oublier où vous êtes, et qui est potentiellement autour de vous.

Et tu vois bien, Elrik, tu sens bien et tu entends bien l’effet que tu peux lui faire en ce moment, et ça ne t’aide pas. Franchement pas. Alors tu penses bien que quand elle te demande de l’emmener, quelque part, peu importe où, même si vous devez quitter l’enceinte de cette ferme, et bah, toi, tu craques complètement. Elle retombe au sol, et elle est là, à presque te supplier, alors, finalement, tu reviens la chercher aussi vite qu’elle a pu se détacher de toi, tu la hisses de nouveau contre toi, et te voilà à quitter la grange, à traverser la cour à grands pas et peu importe les regards qui se posent sur vous, tu pousses la porte de la ferme, à nouveau, et tu retournes dans la chambre où tu l’avais emmenée, la veille, pour qu’elle se repose. Tu ne veux plus attendre, tu n’en as pas la force, alors, tu ne réfléchis pas plus loin que ça. Tu refermes juste la porte derrière vous, tant bien que mal, et puis, tu viens la déposer, tout doucement, sur le lit avant de venir au-dessus d’elle, et tu viens reprendre ses lèvres, Elrik, tandis que ta main, contre sa hanche, remonte tout doucement le long de sa peau en emportant avec elle les deux couches de tissu qui la couvrent à nouveau.

« Arrête-moi, si tu ne veux plus. » Tu viens tout de même souffler, près de son oreille. Parce que tu ne sais pas, toi, peut-être qu’elle a dit dans le feu de l’action, ou sous le coup des émotions après tout ça, cette scène avec Jasper. Qu’est-ce que tu en sais ? Tu ne fais que l’écouter, vous donnez ce que vous voulez tous les deux, à première vue, mais, tu veux aussi qu’elle sache qu’elle peut bien faire demi-tour. Tu seras frustré, hein, sans doute, mais tu ne lui en voudras pas le moins du monde parce que t’es pas un salop, Elrik. Tu la veux. Elle te fait envie, mais tu n’iras jamais contre sa volonté, en fait, mon vieux, tout ce que tu veux, c’est la combler, c’est tout. En attendant, tu fais remonter son vêtement, tu dévoiles son ventre et quand tu quittes ses lèvres, c’est pour y descendre, y déposer de nouveaux baisers et même y laisser traîner le bout de ta langue.
Hyun-ae J. Rhee
Mer 3 Fév - 17:49 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu en es presque à le supplier, parce que sa présence te rend complètement folle. Tu te rends compte de la puissance des sentiments et du corps humain, maintenant que tu le vis, et franchement Hyun-ae, ça t’apprend un truc bien bête : tu n’as jamais été amoureuse de quelqu’un d’autre. Tu n’as jamais ressenti autant de choses et surtout avec une telle force avant. Alors oui, tu t’arraches de ses bras pour tenter de l’entrainer par toi-même. Et si tu parviens probablement à lui montrer la puissance de tes émotions, de ce qui te secoue, tu ne parviens pas à l’entraîner. C’est lui qui t’attrape et tout à coup, le camp se met à défiler.

Tu comprends où vous allez en y allant justement. Ta tête il n’y a plus que son prénom qui rebondit encore et encore au rythme de ton coeur. Il finit par entrer dans la petite pièce silencieuse, et tu finis sur le matelas du lit fatigué sans avoir le temps de dire ou. Dans d’autres circonstances ou avec quelqu’un d’autre, c’est certain que tu aurais pris peur à cause de ça, mais là, ma pauvre, il n’y a que des souffles entremêlés de gémissement qui t’échappent.

« Ne t’arrêtes pas ! »

C’est ce que tu ordonnes à sa demande, en te doutant qu’il ne veut juste pas te faire de mal. Et tu devrais peut-être le laisser faire, pourtant, tu es peut-être bel et bien possédée par und ragon, parce que quand tu sens ses lèvres contre ton ventre, tu te mets à grogner, cambrée sous lui. Et tu finis par bouger, accrocher tes jambes à son bassin et pousser avec tes abdos pour le déséquilibré. Une technique d’autodéfense, que tu utilises en faite pour venir te jeter sur lui.

« Je veux sentir ta peau contre la mienne. »

Tu lui apprends, alors que tu es à califourchon sur lui. Tu n’hésites même pas un instant à venir tirer sur ses vêtements, jusqu’à parvenir à en libérer son torse. Tu fais la même chose de ton haut et la seconde d’après tu es collée contre lui, ta peau brûlante au contact de la sienne, en soupirer d’aise. Tes lèvres glisses dans son cou, sa gorge, son torse et tu finis par te figer, quelques instants, avant d’oser faire entendre.

« Je veux… aller jusqu’au bout. Et tu deviens rouge écrevisse, alors que tu te décolles un peu de lui, pour l’observer et lui offrir la vérité. Je n’ai… jamais… avec personne. »

Ahlalala, ma pauvre petite, tu es vraiment pas douée pour ça, mais tu essaies quand même de lutter contre ta nature pour qu’il sache à quoi s‘attendre. Tu sais ce qu’il y a dans ta tête ? La criante d’être nulle et de le décevoir, même pas une once de peur pour ce que toi tu vas ressentir. Et tu reviens l’embrasser en collant au maximum ta peau à la sienne, comme pour te donner du courage ma petite. Parce que ses lèvres te font tout oublier en faite, et c’est comme ça que tu trouves la hardiesse de glisser tes mains plus bas, pour aller te débattre avec sa ceinture, maladroitement.
Elrik W. Murawski
Mer 3 Fév - 19:58 ||
Elrik W. Murawski
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Tu ne te contrôles plus, Elrik, et tu ne contrôles plus rien non plus à la minute où tu la déposes sur ce lit, et que tu ne peux pas t’empêcher de fondre sur elle, de l’embrasser, de la toucher. C’est probablement pour ça que tu lui donnes, l’autorisation, et les moyens de t’arrêter si jamais elle décide qu’elle ne veut pas aller plus loin, si elle veut faire demi-tour. Tu te connais, Elrik, tu sais que tu n’iras pas contre sa volonté, tu refuses de lui faire du mal, tu mourrais, si tu venais à la décevoir à cause de ton attitude … Et pourtant, elle ne fait rien de tout ça. Bien au contraire, elle te supplie pratiquement de ne surtout pas t’arrêter, et toi, ça te donne un sacré coup de fouet. Sauf que, tu vois, elle n’est pas passive du tout, et ça, ça te plait sacrément. Tu l’as vue timide, plus tôt, c’est vrai, mais lorsqu’elle vient enrouler ses jambes autour de ton bassin, et qu’elle parvient à prendre le dessus, jusqu’à se retrouver à califourchon sur toi, tu n’as plus qu’une envie : la dévorer.

Elle n’a aucune hésitation, quand elle vient se débarrasser de ton haut, avant de juste balancer le sien à la suite. Tu n’en perds pas une miette, tes yeux la parcourent, passent sur chaque parcelle de peau qui t’es offerte avant qu’elle ne vienne tout contre toi, et que tes mains reviennent contre son corps. Tu pourrais mourir là, hein, en sentant ses lèvres contre toi, elle vient te torturer toi, comme tu as pu le faire avec elle plus tôt et tu te rends compte à quel point c’est un délicieux supplice … Un supplice qui dure de longues secondes, avant qu’elle ne se redresse, et qu’elle ne vienne t’offrir cette vérité. On t’a enfermé à vingt ans, tu as eu le temps d’avoir une, voir deux aventures, pas plus, on ne peut pas dire que malgré tes trente-six ans, tu aies réellement énormément d’expérience non plus, alors, franchement, tu te fiches bien de tout ça, tout ce que tu sais, en l’apprenant, c’est que tu vas prendre soin d’elle, que tu vas faire en sorte d’être doux, malgré ton envie et ton empressement, que tu veux qu’elle garde de ce moment entre vous un souvenir doux, et agréable. Ouais, tu ne veux pas gâcher sa première fois.

Tu sens ses mains, qui glissent jusqu’à ton bas ventre, elle se met à se débattre avec ta ceinture, et tu t’en mêles, tes mains lui viennent en aide pour défaire la boucle, et puis, juste après, elles remontent pour capturer ses hanches, et tu la renvoies immédiatement sur le matelas tandis que tu viens te hisser sur elle, contre elle. De nouveau, tu te remets à l’embrasser, tu parcours sa peau pendant de longues minutes, et puis, tu viens te débrasser de son soutien-gorge rapidement, tu le balances avec le reste de vos vêtements pour pouvoir enfin t’attaquer à cette partie de son corps que tu viens embrasser, mordiller, et tu t’es délectes, comme ça jusqu’à craquer à nouveau, juger que ce n’est déjà plus suffisant, et venir défaire le lacet qui retiens son pantalon. En fait, Elrik, tu te débrasses à la hâte de ses tous derniers vêtements avant d’en faire de même pour toi. « Tu es si belle … » Que tu murmures, quand tu reviens contre elle, pour l’embrasser, la caresser, la toucher, à nouveau. Et si tu prends tout ton temps, si tu t’assures de l’emmener le plus loin possible à chaque fois, ton bras fini par passer dans le bas de son dos pour la surélever légèrement, c’est en la regardant droit dans les yeux que tu finis par la faire tienne, lentement, et sans brutalité, tu guettes chacune de ses expressions, tu te laisses guider par ses réactions et c’est quand tu t’es assuré que le « pire » était passé que tu te permets de prendre ton plaisir, à toi, en lui imposant pendant quelques minutes au moins une cadence plus intense …
Hyun-ae J. Rhee
Mer 3 Fév - 21:54 ||
Hyun-ae J. Rhee
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Tu pourrais te cacher 10 pieds sous terre, tant tu as honte de lui apprendre à quel point tu es juste parfaitement inexpérimenté. Et encore, si tu lui dis que tu n’as jamais sauté le pas avec elle, et bien al vérité c’est plus fort que ça : tu ne t’es jamais retrouvée dans cette situation avec personne. Si tu parviens à le faire tomber, à reprendre le rythme de la danse, c‘est uniquement parce qu’il y a un dragon au fond de toi qui te guide. Rien de plus et rien de moins. Ton corps veut, tu le laisses avoir et tu finis par te dire que tu n’es pas trop à côté de la plaque, sûrement, vu qu’il ne te repousse pas.

Ca ne dure pas, pourtant et bientôt, s’il t’aide à canaliser tes mains rendues maladroites par les émotions, tu finis par revenir dos au matelas et quand il vient reprendre la danse, tu te laisses complètement submerger par sa présence. Ses lèvres sont partout, ton souffle n’est plus qu’un son erratique que tu ne parviens plus a maitrisé. Et honnêtement, Hyun-ae, tu ne ressens plus aucune peur, même quand tu te retrouve en tenue d’Eve devant lui. Tu ne vois plus que lui et ses mots te bouleverse.

« Je veux te plaire. Tu lui apprends en agrippant tes mains à lui, pour l’attirer contre toi. Tu es tellement parfait. »

Et c’est ce que tu penses, toi, pour de vrai. Tu as toujours trop Elrik terriblement parfait, gentil, prévenant, protecteur, fort… mais là, rendu où vous en êtes rendu, tu te rends compte que c’est au-delà de ce que tu croyais. Cet homme te fait envie par tout ce qu’il est. Et tes mains s’agrippent à lui, le touche, le caresse jusqu’à vous unir, là, tu lâches prise. Et oui, Hyun-ae, ça fait mal, amis tu vois au regard de l’homme qu’il fait tout pour toi, pour te préserver. Ses lèvres finissent par te décrisper et bientôt, si tu le griffes, ce n’est plus de douleur mais parce qu’il t’emmène loin avec lui.

Tu découvres un monde que tu ne soupçonnais pas, avec lui. Tu entends tes propres cris, tu t’attaches à son souffle. Et vraiment, Hyun-ae, lorsque tu atteins ce septième ciel dont toutes les œuvres parlent, tu comprends que tu ne pouvais pas te préparer à ça. Tu retombes sur le lit en tremblant. Et si tu lui laisses le droit de venir retomber à côté de toi, tu ne lui laisses pas la possibilité de s’éloigner de toi. Tu viens te coller contre lui, malgré vos peaux humides. Ton nez contre sa gorge, tu prends le temps de t’en remettre, de retrouver ton souffle, de réaligner les planètes dans ta tête.

« Je t’aime. Tu lui offres à nouveau, alors que tu viens humer plus clairement son odeur, encore plus maintenant. J’aime ton odeur. J’ai envie de te croquer. Tu lui apprends avant de bailler profondément et te coller encore plus à lui. Merci… Je n’aurais pas voulu ça différemment. Tu es… tellement celui que je voulais. »

Et tu finis par te bouger un epu pour repousser tes longs cheveux noirs en arrière, avant de parvenir à attraper la couverture pour vous en draper et tu viens entremêler tes doigts aux siens.

« Personne ne viendra nous jeter d’ici, tu crois ? Parce que toi, t’es bien installée là comme tu es. »
Elrik W. Murawski
Jeu 4 Fév - 9:14 ||
Elrik W. Murawski
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Tu ne penses plus à rien d’autre qu’elle. A vous. Qu’on soit clair, Elrik, tu n’avais absolument pas prévu ça, et tu ne parles pas simplement du fait de l’avoir dans ton lit, pour ainsi dire, tu parles de l’ensemble. D’elle. De ce qui est en train de vous arriver à tous les deux. Franchement, tu es sorti de prison, juste parce que le système en place est tombé, hein. S’il n’y avait pas eu ce virus, tu y serais encore, alors, franchement, la balance est clairement étrange … à tel point que tu ne saurais pas te prononcer sur le fait que c’est une bonne chose, ou non. Egoïstement ? Non. Assurément que non. Pour ce qui est du reste … compliqué, quoi.

Elle vient probablement combler un vide en toi, tu ne vois, tu n’entends plus qu’elle. Ses gémissements, ses soupires, ses cris, aussi, parfois, et pas une seconde tu te dis que tu n’es peut-être pas le seul à entendre ça, tu t’en fiches, en fait, sur le moment, tu es bien trop obnubilé par elle, concentré sur elle, sur l’éclair de douleur qui passe dans ses traits, l’espace d’un instant, et que tu t’arranges pour balayer rapidement afin de l’emmener loin, toujours plus loin. Autant dire que, quand tu retombes sur le lit, à ses côtés, humide de sueur, à bout de souffle, tu es littéralement vidé de ton énergie. Pourtant, Elrik, tu te rends compte que tu n’as probablement jamais été aussi heureux de ta vie, dans ta tête, pendant quelques minutes, tu es même surement en train de faire des plans sur la comète. Qu’est-ce que tu aimerais lui offrir une jolie vie, mon vieux. Une belle maison et tout ce qui va avec, tu vois. C’est sûr qu’avec les marcheurs, le virus, ce monde qui n’est plus que l’ombre de lui-même, tout ça, c’est clairement compromis, et pourtant, tu gardes ça en tête. Un jour, Elrik. Un jour.

« Je t’aime. » Tu répètes. Et … et en fait, ne serait-ce pas la première fois que tu le dis si clairement ? Que tu utilises les bons mots. Pas que tu n’es pas sincère, ou encore que tu en doutais, hein, non. Loin de là. Juste que, tu avais probablement une certaine crainte, peut-être un peu de retenu, qui sait ? En tout cas, elle vient se blottir contre toi, et tu viens la prendre dans tes bras, tu restes contre elle et tes doigts caressent lentement sa peau légèrement humide dans un geste doux, lent, et répétitif. Elle te rassure, tu vois, en quelques mots, aussi. Parce que, tu ne peux pas te mentir, tu avais cette crainte de … bâcler les choses, malgré toute ta bonne volonté. Quinze ans d’abstinence, c’est long, en sortir avec une femme qui te plait autant qu’elle te plait, tu aurais pu juste te laisser aller, prendre ce que tu voulais. Tu voulais lui faire plaisir, cependant, et visiblement, c’est plus fort que tout, cette volonté que tu as de lui faire du bien, de la faire sourire, de lui procurer du bonheur, autant que du plaisir.

Tu soupires, d’aise, tu te sens … fatigué, ouais, mais c’est de la bonne fatigue, c’est la conséquence de ce qui vient de se passer entre vous, certes, mais aussi la peur, la pression, et l’agacement qui retombent tous en même temps et qui te font comprendre que, c’est bon, pour le moment, au moins, tu peux te reposer, Elrik, parce que tout va bien. « Personne … j’ai fermé la porte. » Tu viens la rassurer en te tournant légèrement pour venir déposer un baiser sur son front. « Repose toi, personne ne viendra te déranger tant que je suis là. » Et tu vois, ça vaut pour maintenant, hein, mais ça vaut aussi pour le futur.
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