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[DONE - HOT] - Leurs chemins venaient s'entremêler. (Vega)
Icare Argyre
Mer 17 Fév - 22:16 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu lui parles de sa révélation avant, et tu comprends pile au moment où tu le fais, que ce ne sera pas claire. Ca ne peut pas l’être, parce que les choses n’était pas parfaitement claires à ce moment-là non plus. Tu es… perdu mon vieux, c’est ce qu’on peut dire. Et quand tu la vois réagir à ta remarque, il y a un éclat d’espoir qui allège ton âme, puis elle prononce ton prénom, et tu fronces les sourcils. Et quand tu vois la moue s’installer sur son visage, tu comprends. Ce n’est plus la même chose. Tu en es si bien persuadé que tu entends à peine sa remarque. En faite, t’es déjà en train de fuir vers la cuisine, parce que tu ne veux pas t’enfoncer plus longtemps.

Il te faut un moment pour en ressortir, mais lorsque tu le fais, il y a en toi quelque chose de nouveau. Tu veux être franc. Ou en tout cas, tu veux tenter de percer l’abcès invisible qui se forme entre vous, pour cesser de te remuer le cerveau de cette manière, et éviter la crise de maux de tête qui risque de te gâcher la fin de journée. Alors ouais, tu viens, tu offres ta tisane, puis tu t’installes sur un coin de canapé et tu parles. Et cette fois-ci, c’est un peu plus clair. En tout cas, c’est l’impression que tu as toi.

Et… elle ne répond pas. Tes sourcils reviennent encore se froncer alors que tu l’observes avec l’impression d’avoir échoué encore une fois. Puis elle bouge. Elle quitte sa place pour venir faire le tour de la petite table et… s’agenouiller devant toi ? Et puis elle parle de t’embrasser et tu chavires. Tu l’observes sans comprendre, et finalement elle est là, tout prêt et tu l’observes et tu finis par ouvrir la bouche, et souffler :

« Tu es toujours amoureuse de moi ? »

T’as l’air d’un enfant un peu, à demander ça sans comprendre, et puis tu balaies. Tu t’en fiches, tu lui as promis et toi, mon vieux, tu tiens tes promesses. Alors oui, tu finis par par bouger, tu glisses au sol, parce que la voir agenouillée là, pas loin de toi, ça te semble étrange. Et à genou devant elle, tu finis par lever les mains, lentement et venir les poser sur ses joues. Tes pouces glissent contre sa peau, alors que tu l’observes en étant pas sûr de toi, ça se voit comme le nez au milieu de ton visage.

« Il faudra qu’on parle, après. »

Tu lui balances ça d’un coup, et tu ne lui laisses pas le temps de réagir, tu viens te pencher vers elle et tu déposes bêtement mais doucement, presque tendrement ?, tes lèvres contre les siennes. Tes yeux se ferment, tu cesses de réfléchir. Et tu te rends compte que tu n’as pas envie que de lui offrir ça, alors tu pousses, au-delà de tes limites connues. Une de tes mains se glisse sur sa nuque alors que tu viens entrouvrir les lèvres contre elles et du bout de la langue du caresser les siennes. Ca dure quelques instants maladroit et quand tu viens écarter ta bouche de la sienne, tu gardes les yeux fermés, ton front contre le sien, une main sur sa joue, l’autre sur sa nuque.

« Je crois… que ça me plait. Tu articules lentement en observant à l’intérieur de toi les soubresauts et réactions qui t’animent. Ca allait pour toi ? Tu oses lui demander en relevant tes paupières sur des iris bleus comme le ciel. »
Vega C. Echeverría
Mer 17 Fév - 22:45 ||
Vega C. Echeverría
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Tu as simplement eu l’impression de comprendre, d’un coup, comme ça, alors que depuis le début, tu te méprends sur tout parce que tu ne sais finalement pas tellement comme gérer les choses. Ce n’est pas simple, on ne peut pas vraiment t’en vouloir. Quand on tombe amoureux et qu’on a le courage de l’avouer, comme tu l’as fait, on a généralement à faire face à deux solutions : l’acceptation, ou le rejet. Dans le premier cas, c’est le bonheur. Dans le second, la résignation et puis, on s’acharne ou on passe à autre chose. Mais, toi. Qu’est-ce que tu es censée faire, hein Vega ? Toi qui es amoureuse d’un homme qui ne veut pas de toi de cette manière, ou plutôt, qui ne peut pas, mais qui en même temps, aimerait le pouvoir, qui ne te rejettes pas non plus, et qui ne cherche pas à t’éloigner, qui tantôt, t’imposes la distance pour finalement te toucher, t’approcher, te garder … c’est juste un gros sac de nœuds, en fait.

Il n’empêche que, maintenant qu’il se montre subitement plus clair à propos de tout ça, qu’il en vient même à t’avouer qu’il s’était habitué à ta manière d’être et de faire précédente, tu te rends compte comme tu as changée d’attitude aujourd’hui. Ça, c’est probablement à force de te poser des questions. A force de vouloir bien trop bien faire, aussi. Toujours est-il que tu as maintenant l’impression de comprendre que tu devrais … juste être toi-même, en réalité, tu n’as pas envie de le fuir, et il y a une semaine encore, tu ne le faisais pas, un point, c’est tout alors, oui. Tu te lèves. Tu viens t’approcher, tu tombes à genoux, devant lui et tu viens formuler cette demande que tu avais jusqu’ici gardée pour toi en te disant que c’était trop. Que tu ne pouvais pas demander ça. Tu sais qu’il a promis de tout t’accorder, tu sais que si tu lui réclames un baiser, tu auras ce baiser et toi, tu ne veux pas forcer pourtant, c’est ce que tu veux, alors, c’est ce que tu demandes.

« Je suis toujours amoureuse de toi. » Tu viens lui répondre, et tu pourrais quasiment ajouter que, si quelque chose à changer à ce propos, c’est que tu l’es peut-être plus encore qu’il y a une semaine, lorsque tu lui avais tout avoué. Tu n’en as pas le temps, pourtant, parce qu’il bouge près de toi, et tu recules légèrement pour le laisser venir prendre place, à genoux, devant toi, il vient poser ses mains contre ton visage, il t’annonce qu’il sera nécessaire de discuter, après et puis, même s’il n’a pas l’air bien certain de ce qu’il est en train de faire, il finit par se pencher dans sa direction, et il pose ses lèvres tout contre les tiennes et … juste ça, Vega, et tu as l’impression que ton cœur va imploser. C’est frustrant pourtant, durant un instant du moins, tu sais que tu n’as demandé que ça, que tu n’as pas réclamé plus, mais à l’instant où vos lèvres se touchent, tu as envie de plus, tu veux un vrai baiser, même si tu ne fais rien, parce que tu tiens ta parole. Sauf que c’est lui qui prend plus, finalement, ses doigts dans ta nuque, tu sens sa langue venir chatouiller tes lèvres durant quelques petites secondes avant qu’il ne s’éloigne de toi et, toi, tu pourrais chavirer, tomber, parce que tu trembles, parce que ça te laisse … figée, alors qu’il est toujours là, son front contre le tien, et que tu ouvres les yeux bien avant lui pour te laisser le loisir de l’observer.

Et là, tu vois, tu te demandes subitement si tu as bien fait de réclamer ce baiser. Ça t’a plu, bien trop, d’ailleurs. « C’était … incroyable. » Cliché ? Peu importe. Mettons ça sur le compte des sentiments que tu as pour cet homme Vega, mais peu importe à quel point ce baiser était mal assuré, timide, probablement un peu maladroit, c’est bien la première fois que tu ressens quelque chose comme ça pendant qu’un homme t’embrasses. D’ailleurs, quand il ouvre les yeux, que tu te retrouves face à ses iris couleur d’océan, tu ressens l’envie dévorante d’y revenir et évidemment, tu n’en fais rien, tu te retiens, de toutes tes forces. « Ça me plait … tu me plait. » Tu souffles, tout en laissant tes doigts glisser jusqu’à son cou, sa nuque pour finalement revenir à sa joue, et passer le bout de ton doigt délicatement contre sa lèvre inférieure. « De quoi est-ce que tu veux qu’on parle ? » Même si bon, tu as ton idée.
Icare Argyre
Mer 17 Fév - 23:05 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Ca te bouleverse. C’est ce que tu te dis, quand tes lèvres glissent sur les siennes et que tu oses même venir en chercher un peu plus. Ce n’est pas… ce tsunami d’émotions que certains décrivent, ou ton corps qui la réclame, non. C’est plus doux que ça, plus piquant aussi. Tu as la sensation, le temps où tu l’embrasses maladroitement, que tu te connectes à toutes les parties de ton corps. Tu… extra-conscients de tout ton être, et tu te rends compte que toute ta personne est tournée vers elle. Oui, voilà pourquoi ça te bouleverse, Icare, parce qu’il n’y a plus qu’elle, pendant une poignée de secondes, et que ça te plait.

Tu finis tout de même par arrêter ce baiser, parce que tu ne sais pas y faire, sauf que tu ne te recules pas. Non, tu viens juste appuyer ton front contre le sien, continuer à contempler les miettes de cette sensation en toi puis rouvrir les yeux et parler. Et ce que tu dis, tu vois, ça te fait un choc, parce que tu ne pensais pas que cela te plairait. Puis tu t’inquiètes d’elle, de l’avoir déçue ou d’avoir eu un comportement déplacé, mais là encore, elle souffle tes craintes.

« D’accord. Ca me va alors. Tu lui apprends tout doucement. »

Elle glisse sa main contre toi. Tu sens ses doigts glisser vers toi et pendant une seconde, c’est presque un délice, mais avant que tu ne comprennes cet éclat, elle a bouchée ses doigts contre toi et tu ne viens que souffler doucement pour calmer la tension qui s’est emparée de tes épaules.

« Je voudrais juste… Je ne veux pas que tu changes d’attitude vis-à-vis de moi parce que je t’ai dit comment j’étais. Je veux… je veux juste être avec toi, et je savais à quoi je m’exposais quand je t’ai dit de revenir ou quand je te dis, aujourd’hui, de rester avec moi ici. Tu t’écartes un peu, pour l’observer avec force. Sois comme tu étais, parce que… c’est ça qui m’a manqué. »

Tu as un petit sourire maladroit, à cet aveu, et tu réfléchis, à ce que ça veut dire. Ton regard se trouble, Icare, et comme elle t’a probablement déjà vu le faire, tu te perds pendant de longues minutes dans tes pensées. Tu réfléchis. Tu pèses le pour et le contre. Tu analyses. Quand tu secoues un peu la tête, ta main se relève maladroitement et tu finis par la poser contre sa joue.

« Je crois que j’aimerais être plus souvent… comme ça. Ca ne me répugne pas. Ca m’apaise en faite. Tu hésites, l’air toujours pas bien certain de tes mots. Pas que je veux te l’imposer, juste que si tu le veux… ca pourrait m’aller. »

Et ça, tu vois, c’est un changement. Un énorme même. Parce que tu ne vas pas jusqu’à dire que ce blocage que tu as pour les choses plus sérieuses a disparu, mais toi qui était persuadé de ne pas pouvoir aimer, tu commences à ressentir le besoin de sa présence près de toi. Son touché te plait. Ses sourires t’enjôlent. Son odeur t’apaise. Rien chez cette femme ne te repousse, c’est ce que tu comprends.

« Tu veux que je t’embrasse encore ? Tu lui demandes, tout à coup, en la regardant droit dans les yeux. »

Parce que oui, tu as envie de recommencer, de réessayer, de voir jusqu’où tu peux aller et de comprendre ce que ça signifie. Tu sais, dans le fond, que tu pourrais te jouer d’elle, et lui apprendre tout à coup que tu ne l’aimeras pas, qu’elle n’est pas la bonne, mais honnêtement, Icare, est-ce que tu ne l’as pas déjà choisie, la dernière fois, en entrant dans le camp d’Alden ?
Vega C. Echeverría
Mer 17 Fév - 23:32 ||
Vega C. Echeverría
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Ça te plait. Evidemment que ça te plait, tu avais presque la sensation de n’attendre que ça depuis une éternité, c’est dire … tu n’aurais même pas cru ça possible. Franchement, Vega, tu avais presque fait le deuil d’un moment comme celui-ci, à cause de ce qu’il t’a dit la dernière fois. Il te restait probablement un mince espoir, tout au fond de toi, mais tu étais, encore une fois, résolue à ne pas essayer de faire changer cet homme pour qu’il puisse mieux te convenir ou, quelque chose comme ça. En fait, tu t’es fait la réflexion, cette semaine encore, au cours de tes moments où tu ne faisais que réfléchir que tu étais tombée amoureuse de lui comme ça, et que tu n’avais aucune envie de changer quoi que ce soit en lui.

Et pourtant, il est là, près de toi, et il vient de t’offrir ce baiser qui est parvenu à te chambouler complètement, tu pourrais si facilement y prendre goût, t’y habituer, devenir complètement accro à ses lèvres … ce serait si simple, de céder, et de revenir le chercher, parce que tu en as envie, tellement envie. Mais tu n’en fais rien. Tu n’avais réclamé qu’un baiser, et tu n’as pas oublié qu’il a parlé d’une discussion à avoir alors, tu te concentres là-dessus et pour éviter de lui sauter dessus, tu viens lui donner l’opportunité de lancer la conversation qu’il veut avoir avec toi, même si tu ne te retiens absolument pas de le toucher pour le coup.

Et tu vois, il vient te dire à quel point il n’a aucune envie que tu changes d’attitude vis-à-vis de lui, que peu importe ce qu’il a pu te dire, la dernière fois, il ne veut pas que tu modifies ton comportement vis-à-vis de lui, ton naturel, parce que finalement … c’est ce qui lui a manqué, durant ton absence, et tu te rends compte que tu l’as surement déçue de par ton attitude, dans la forêt, en ce début de journée. « D’accord … je suis désolée. » Tu souffles, tout doucement. « Je crois que j’essayais … de te préserver de mes propres envies. » Parce que, oui, toi, encore une fois, tu en as des envies, qui vont, qui viennent, qui parfois, dépassent sacrément les bornes aussi mais que tu ne contrôles pas le moins du monde. Et c’est ton excuse, tu as simplement tenté de repousser ça tout ça, et de ne pas lui imposer aussi.

Tu lui laisses ce moment, durant lequel il semble en pleine réflexion et puis, tu vois, c’est lui qui se remet à parler, comme quoi, il avait réellement besoin de cette discussion, hein. Et ce qu’il t’offre là, ça te … tu n’en sais rien. Il veut continuer sur cette lancée, finalement. Être comme il l’est là, maintenant, avec toi, plus souvent, étonnement, contrairement à ce qu’il a pu te dire, et te laisser entendre, ton contact, même si rapproché ne le déranges pas le moins du monde, mieux, il l’apprécie. « Je le veux. Je veux ça … quand tu le veux, autant que tu le veux. » Tu as l’air d’une droguée là, à laquelle on aurait proposé un forfait pour obtenir des doses un peu plus régulièrement. Tu sautes littéralement sur l’occasion, parce que, ça te fait ressentir tout un tas de choses, son touché, ses lèvres, tout ça a le don de te rendre complètement folle. Au final, il remet de l’espoir en toi, et toi, tu ne te dis même pas que c’est risqué, et si ça l’est, tu veux prendre le risque. En fait, tu es en train de te dire que ça peut marcher, finalement …

Tu pourrais souffler, pousser un grand soupire de soulagement pour … évacuer un peu de la pression qui s’est accumulée en toi, mais, il pose cette question, et tu relèves presque vivement le nez. C’est probablement l’accord que tu attendais, sans l’avoir demandé, ça, alors, pour le coup, tu ne réponds rien, et tu viens lui donner sa réponse en te penchant, toi, pour venir donner, et prendre un autre baiser. Tu étais restée un peu passive, pour le précédent alors, cette fois, c’est assurément différent. Tes lèvres viennent directement aux siennes, et si au départ, tu l’embrasses, simplement, caressant ses lèvres des tiennes, ta langue vient finalement s’en mêler, et sans t’en rendre compte, tu t’accroches un peu plus fort à lui. Tu te montres moins timide qu’il n’a pu l’être, tu sais ce que tu veux, et ça se sent, ça se voit.
Icare Argyre
Mer 17 Fév - 23:51 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu t’y perds toi, parce que tu ne t’es pas vu comme ça depuis… tu aurais tendance à dire toujours, mais il y a forcément eu une période où tu étais moins bancale. Quant à 18 ans vous avez fui la maison familiale, tu as tenté de t’ouvrir au monde. Tu as même rencontré une jeune fille de ton âge qui avait l’air de te trouver à son goût. Tu as essayé de t’ouvrir à elle… mais ça n’a pas fonctionné, comme les quelques autres rencontres plus tard. Alors oui, Icare, tu as 40 ans, et la connaissance dans ce domaine d’un adolescent. Tu ne sais rien, à commencer par ce qu’il se passe en toi.

« Tu n’as pas à t’excuser, je ne te reproche rien. Tu cherches un peu comment exprimer ce que tu as ressenti et tu finis par lui expliquer. J’ai pensé que tu t’étais rendue compte que finalement, tu ne ressentais pas tout ça, et que tu n’osais pas en parler. Tu secoues la tête. C’est idiot, mais franchement Vega, tu es assez forte pour te préserver de moi, je le suis aussi pour me préserver de toi, non ? »

Peut-être que tu présumes un peu trop de ses forces, de cette capacité qu’elle a à se défendre mais tu vois, Icare, contrairement à ton frère qui veut sans cesse la protéger, tu as une confiance sereine en elle. Et tu sais aussi que tu seras capable de te protéger pour ce qui est de toi, de ce que tu peux encaisser ou pas. Tu n’es pas fort, mais tu as assez souffert pour t’échapper rapidement des situations douloureuses.

Et elle accepte, tout à coup, que tu puisses vouloir essayer avec elle, de t’ouvrir et de craindre qu’ont ‘approche, quand bien même tu pourrais la décevoir. Ca te touche, Icare, et ça fait naitre un vrai sourire, doux et touché, sur tes lèvres. Et tu ne le vois pas toi, mais ça embellit tes traits toujours si fermés ou fuyants.

Pourtant, c’est quand tu viens lui reposer cette question, si elle veut recommencer, qu’elle bouge. Tu la vois venir et oui, hein, la peur monte en toi, ton estomac se serre, mais tu ne fuis pas. Et quand ses lèvres s’accrochent aux tiennes, l’angoisse explose en mille morceaux alors qu’un souffle, léger, rassuré, t’échappe comme un soupire retenu. Au départ tu ne bouges pas, parce que tu ne sais pas bien quoi faire, puis quand elle ‘approfondit l’échange ton corps se met à réagir de lui-même. Tu viens glisser une main derrière son oreille, et l’autre passe autour de ses reins et tu l’attires un peu plus vers toi, comme pour lui faire comprendre que ça te va toujours. Ta main glisse sur son dos, et sans le voir, tu descends de ses reins au bas de son buste, sans bien savoir ce que tu cherches.

« Je… Tu as le souffle un peu court lorsque le baiser cesse, pour reprendre vos souffles. J’aime ça. Que tu lui apprends, d’une voix complètement dépassée. Tu arrives à me faire aimer ça. »

Une correction qui compte, parce que te doutes, Icare, que venant de qui que ce soit d’autre, il y a fort a parié que tu ne supporterais pas le contact. Pourtant, toi, tu restes ton nez contre le sien, tes lèvres à quelques millimètres des siennes. Tu la respires.

« Vega… Tu viens lui murmurer finalement, en lui prenant un baiser léger, doux de temps à autre. Explique-moi comment tu sais que tu aimes quelqu’un. C’est presque une supplique, parce que tu ne veux pas passer à côté de ce genre de choses. Comment tu as su que tu ressentais ça pour moi ? »

Tu finis par tourner la tête, glisser ta joue contre la sienne et tu finis par refermer tes deux bras sur elle, pour une étreinte tellement sereine que tu t’en étonnes toi-même. Ton nez cherche son odeur et tu finis par arrêter ton visage contre sa gorge en soupirant presque d’aise.

« Je ne veux pas me tromper, pas te blesser. Que tu finis par lui apprendre, sur les raisons de ta demande. Mais j'aimerais que tu m'apprennes à t'aimer. »
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 8:40 ||
Vega C. Echeverría
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Il rejette tes excuses, et, tu vois, dans ce qu’il te dit, tu comprends qu’au final, ce que tu pensais être gênant pour lui, il l’a accepté, intégré, mieux, maintenant, il ne semble plus vouloir que ça change, du moins, c’est ce que tu comprends à travers ses mots, et son attitude depuis le début de la journée. Vous êtes assez fort pour faire face à ça, voilà ce qu’il pense et franchement … ça ne peut que te confirmer les sentiments que tu as pour cet homme, parce que, tu as l’impression qu’il te comprend, qu’il match avec ton fonctionnement à la presque perfection. Tu assumeras, tu t’occuperas de toi, toi-même, si les choses tournent mal, et il en fera de même de son côté. Toi, ça te va, parce que tu n’as jamais voulu qu’on te surprotège, si tu dois être blessée pour des choix que tu as fait toi-même, tu acceptes.

C’est d’ailleurs pour ça, en partie, que tu acceptes tout de lui. Déjà, parce que tu le veux. Tu veux qu’il puisse essayer, tu veux essayer, tu veux vivre ça, et tant pis si ça finit par te retomber sur le coin du nez, tant pis, au final, si tu en souffres à la fin, parce que ce baiser qu’il vient de t’offrir, tu sais qu’il restera gravé en toi pour toujours, comme tout le reste. Et bien entendu, toi, tu en veux plus. Comment est-ce que tu pourrais ne pas le vouloir ? Quand ce sourire vient s’accrocher à ses lèvres, à lui, tu te prends à l’observer quelques secondes … il est beau, lorsqu’il sourit. Non, en réalité, il l’est toujours, il te plait toujours, mais, la lumière lui va bien.

Tu ne résistes plus bien longtemps, et quand il t’offre l’opportunité de revenir à ses lèvres, tu n’hésites plus une seconde à t’approcher à nouveau, tu viens l’embrasser comme tu as envie de le faire, d’abord doucement, tendrement, et puis, tu viens approfondir ça et il bouge, tu sens ses mains sur toi, derrière ton oreille, dans ton dos, il t’attire à lui et tu comprends – et ça te rassures – que tu n’es pas allée trop loin, ou trop vite d’un coup. Il apprécie toujours. Et … et il bouge sa main dans ton dos, Vega, et encore une fois, comme dans la salle de bain, la dernière fois, il passe dans le bas de ton dos et tu frissonnes entre ses bras, tu t’accroches à lui plus précisément, et tu as une réaction étrange contre ses lèvres, comme un gémissement léger, à peine audible, mais tu ne doutes pas lui puisse l’entendre.

Tes joues sont rougies quand le baiser prend fin de lui-même de par la nécessité de respirer. Tes lèvres sont rosées, semblent continuer de l’appeler, juste parce qu’il est revenu faire des étincelles en glissant ses doigts jusqu’au point sensible de ton corps. Tout ce que tu peux répondre à son affirmation, quand il vient te dire qu’il aime ça, c’est un sourire ravi, et heureux, probablement. « Je … » Tu as une hésitation, tu te demandes, maintenant, si tu es réellement capable d’expliquer ce que tu ressens, comment tu le ressens, et surtout, si tu es capable de lui faire comprendre comment tu en es arrivée à la conclusion de ton amour pour lui. En fait, tu te dis qu’il pourrait trouver ça … léger, ou ridicule, ou sans aucun sens. Peut-être que ça n’en a que pour toi finalement. En fait, ce qui finit par te pousser en avant, c’est le fait qu’il vienne te dire qu’elle veut apprendre à t’aimer et ça, bon sang, Vega c’est … probablement l’une des plus belles choses que l’on ait pu te dire. Et puis, tu es dans ses bras. Tu t’y sens bien. Son visage contre ta gorge, son souffle contre ta peau. Tu reviens passer la main dans ses cheveux, et tes doigts caressent sa nuque, se glissant très légèrement dans la chemise pour laisser un de tes doigts atteindre le haut de son dos, de temps à autre. « Je crois … que c’est un ensemble de chose. J’ai eu envie de t’approcher dès les premiers instants. » Et tu l’as fait. Un peu trop, même. « Quand je suis rentrée, après notre rencontre je me suis sentie complètement chamboulée, comme si quelque chose avait changé, sans que je ne comprenne quoi ou comment … » Et tu avais eu besoin de t’isoler, à la ferme, à cause de ça. Tu avais pris le temps de la réflexion pour comprendre, et, tu n’avais pas compris. Du moins, pas avant qu’il ne vienne à toi, ce soir-là, à Alden. « Quand tu es venu à la ferme, je me suis rendue compte que c’est ce que j’attendais … je voulais te revoir. Quand j’ai vu Jefferson à la clôture et que j’ai compris que quelque chose n’allait pas, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter tant j’ai eu peur de ne plus te revoir. » Et la suite, on la connait, tu as accouru sans penser à ta propre sécurité. « Je ressens sans cesse l’envie et le besoin d’être proche de toi, et à la fois, je sais que je ne peux pas te l’imposer … je n’ai d’yeux que pour toi, et peut-être que je suis complètement folle mais, je sais que je pourrais tout quitter pour n’être qu’avec toi. » Et finalement, tu bouges, tu recules, et tu viens attraper son visage entre tes mains, tes lèvres glissent contre les siennes, un instant, sans rien prendre plus. « Mon cœur ne bats que pour toi, je le sens … je ne pense qu’à toi, et quand tu n’es pas là, tu me manques à coup sûr. » Tu reviens, cette fois, c’est toi qui viens enfouir ton visage contre son cou, en soufflant légèrement. « Je t’aime … je n’aime que toi. »
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 11:02 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu ne sais pas ce qui te prend Icare, mais pour la première fois en bien longtemps, tu es en train de cesser de tout contrôler pour juste accepter les choses comme des évidences. Elle est une évidence, elle, c’est certain. Tu n’as jamais fait ces efforts pour personne d’autre. Et encore faudrait-il que ce soit des efforts… Ce n’est pas ce que tu ressens et quand ses lèvres reviennent s’unir à toi, que tu oses la prendre dans tes bras, tu te rends compte que tu ne pousses rien. Tu prends des miettes de choses déjà là et tu arrêtes de te poser trop de questions. Pendant quelques secondes, minutes, tu ne sais plus vraiment, tu cesses d’être dans la réaction constante pour juste profiter de l’instant présent. Son souffle, comme un gémissement contre tes lèvres fait faire un saut périlleux à ton estomac, puis tu la relâches pour respirer. Et tu la regardes Icare. Ce que tu vois sur son visage, de ses yeux brillants à ses lèvres gonflées ou à son teint coloré, tu comprends qu’elle ne mentait pas sur ses émotions. Et ça te plait.

Au final, tu viens te cacher contre sa gorge pour parler et continuer à l’avoir contre toi. Tu lui demandes comment elle a su pour ses sentiments, et tu cherches bien évidemment à savoir pour toi. Puis tes propres se changent encore. Tu voudrais qu’elle t’enseigne comment l’aimer, comment en tombé complètement amoureux. Tout lui donner sans une once d’inquiétude. Et tu sais que c’est la prote ouverte à ce qu’elle te déçoive ou trahisse, mais tu as l’impression qu’elle t’a donné la force suffisante pour endurer ça.

Ses mots viennent complètement bouleversé ton esprit si cartésien, Icare. Tu es un être d’émotions, de base, mais tu as tout enfermé sous la vérité et le pragmatisme pour ne pas te faire dévorer. Et elle, ce qu’elle explique, ça vient faire bouillonner toutes les émotions qui dorment en toi. Tu l’écoutes sans l’interrompre, et même quand elle revient chercher ton visage, tu ne dis rien. Tu la laisses revenir à toi et t’offrir ses mots qui te touchent en plein cœur alors qu’elle se glisse contre ton cou.

« Je crois que je comprends. Tu finis par lui offrir, d’une voix lente, parce que tu réfléchis en même temps que tu lui réponds. Je… sais que tu es spéciale. Je ne comprends pas encore pourquoi, mais tu es spéciale pour moi. Tu as pu entrer dans ma vie sans m’effrayer ou me gêner… C’est comme si maintenant, c’était acquis. Ton absence cette semaine m’a fait peur, parce que la solitude qui était ma seule compagne depuis trop longtemps ne me suffisait plus. J’avais… envie que tu sois là ? »

Tu bouges, contre elle, et si tu viens glisser ta main dans ses cheveux, l’autre toujours au bas de son dos n’ose pas se retirer. C’est comme si tu avais la réponse à tes questionnements silencieux sans oser le tester.

« Je crois… je crois que quand je t’ai vu avec Eka, j’ai ressenti de la jalousie. Pourtant, j’ai toujours tout cédé aux autres, quand j’étais en position d’être blessé, mais la dernière fois, quand j’ai cassé le tabouret… je l’ai fait parce que j’ai cru que tu étais partie avec. Je pensais… que tu l’avais choisi, lui. »

Est-ce que ça veut dire que tu l’aimes Icare ? Tu n’en es pas certain. Il te manque des choses qu’elle décrit, il te manque ce battement de ton cœur à tout rompre d’un seul de ses regards, mais tu en viens à te dire qu’elle est en train de prendre cette place pour toi. Tu as envie de l’aimer, et c’est peut-être que tu l’aimes déjà sans te l’autorisé… C’est compliqué mon vieux.

« Je veux t’aimer. Tu lui murmures d’une voix grave, tout à coup, en faisant presque trembler ta gorge contre son visage. Je sais que ce n’est pas autant que ce que tu me dis, mais je ne veux pas te mentir. »

Et tu vois, tu finis par oser, au moins essayer. Alors tes mains glissent contre le bas de son dos et tu oses venir soulever à peine ses vêtements pour que tes doigts frais, réchauffés par tout cela mine de rien, viennent se glisser contre sa peau, directement. Parce que tu te demandes si c’est ce qui lui plait tant… Parce qu’aussi, ça te plait de l’entendre gémir contre toi. Ca fait sauter ton estomac dans une pirouette agréable.
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 11:39 ||
Vega C. Echeverría
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Date d'inscription : 04/02/2021
Tu te sens visiblement assez en confiance pour mettre des mots sur ce qui te chamboules complètement depuis des jours, et des jours. Puisqu’il te demande, tu es prête à tout lui dire, à t’exposer, à t’ouvrir et à te dévoiler comme tu ne l’as probablement jamais fait pour personne. Pour toi, ça ne fait aucun doute, ça ne peut pas être chose, tu es tombée amoureuse, un point, c’est tout. Tu ne sais toujours pas si l’idée est bonne, mais, à ta décharge, on ne peut non plus dire que tu aies eu le choix, ou le contrôle sur tout ça. C’est arrivé, et c’est tout, maintenant, tu fais avec, et probablement que d’une certaine manière, tu en subis les conséquences, aussi. L’envie qui en découle. Les besoins qui vont avec. Absolument pas simple à gérer, quand on y pense.

Tu t’arrêtes sur cette conclusion, la vérité, clairement exposée, encore une fois, alors que ton visage glisse dans son cou pour venir y chercher son contact, sa chaleur, son odeur. Et tu vois, maintenant, c’est à lui de te livrer son ressenti, et à travers ses mots, tu comprends bien, toi, qu’il a déjà fait une partie du chemin vers toi sans même s’en rendre compte. Tu lui manques, tout comme il peut te manquer, et puis … il y a autre chose. Une chose dont tu ne t’es absolument pas rendu compte, la dernière fois, lorsqu’Ekaitz est venu jusqu’à la maison de son frère, lorsque les nerfs d’Icare ont lâché et que tu t’es imaginé que c’était simplement dû au fait de la présence de son double. Tu as finalement compris qu’il y avait quelque chose, au-delà, mais en l’écoutant te parler de jalousie, tu comprends mieux encore. « Je n’ai pas pensé une seconde à partir avec lui … » Et pourtant, tu as une certaine tendresse pour Ekaitz, évidemment. Tu as de la peine pour le médecin, parce que, tu aurais bien voulu ne pas avoir à le blesser, tu aurais voulu ne pas avoir à lui faire de mal mais, tu te devais de lui faire savoir, et comprendre, même s’il ne t’a pas laissé l’occasion d’être claire et de lui exposer correctement les choses. « C’est toi que je veux. Uniquement toi. »

C’est quand il t’exprime cette volonté qu’il a de t’aimer, de tomber amoureux de toi, que tu finis par bouger, légèrement, par te dégager, par relever un peu les yeux vers lui. « Si c’est ce que tu veux, je ferais en sorte que tu m’aimes. » Tu étais pourtant résolue à ne pas le faire, la dernière fois, parce qu’il t’avait expliqué les choses et que tu en étais arrivé à la conclusion que tu ne pouvais pas forcer, t’imposer, mais, cette fois, il exprime ce désir de réussir à t’aimer … et tu vois, sans savoir tout ce que tu sais, tu pourrais certainement mal prendre cette affirmation, mais, là, ça vient juste provoquer un vrai raz de marée en toi, des émotions qui implosent et explosent dans tous les sens, à l’intérieur de toi.

Ce a quoi tu ne t’attends pas, Vega, c’est au mouvement de ses doigts dans le bas de ton dos. A chaque mouvement de sa main, dans cette zone, tu réagis, tu ne peux pas faire autrement, et là, il glisse ses doigts sous tes vêtements, il vient caresser ta peau et tu échappes ce soupire lourd de sens tout en revenant littéralement te cacher tout contre lui. Tu n’as jamais su pourquoi tu étais si sensible à cet endroit précis, immanquablement, ça te fait frissonner … dans un cadre plus intime, ça te fait soupirer, gémir, et forcément, c’est l’homme que tu aimes, et que fatalement tu désires, qui vient te toucher à ce moment, alors, tu te tends, contre lui, parce tout ton corps réagit bien trop, parce que, ce n’est pas la première fois qu’il fait ça, et parce que les étincelles qu’il a provoquées sont devenues des flammes. « Tes mains … » Tu murmures, en faisant glisser ton nez contre sa gorge alors que ton souffle est probablement devenu atrocement bouillant. « Ne t’arrête pas … juste … encore un peu. » Une accro, on a dit. Tu sais que tu n’obtiendras pas beaucoup plus, d’ailleurs, tu ne te permettras pas d’en demander plus, non plus, pas pour l’instant, du moins, par contre, tu veux au moins profiter pleinement de ce qu’il peut t’offrir, et franchement ? Il provoque le plaisir en toi, avec cette simple caresse, ce touché particulier.
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 12:03 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
Tu te livres avec presque de la facilité. En tout cas, toi qui avait autant de difficulté à parler, à formuler clairement les choses, tu te mets à parler d’une manière bien plus claire. Comme quoi, Icare, quand tu cesses de te prendre la tête, il semblerait bien que tu puisses être compréhensible. Tu lui livres tout ce que tu sais déjà sur toi, tout ce que tu as découvert et analysé en toi. Tu n’as pas de raison de le lui cacher, tu vois, puisque tu veux l’aimer. Et puis, entre vous deux, elle est celle qui s’y connait le mieux en termes de sentiments amoureux, alors tu te dis que ça lui permettra aussi d’y voir plus clair en toi.

« Je le sais, maintenant, mais sur le coup… Tu soupires, lourdement. Eka a bien des qualités que je n’aurais jamais et on se ressemble, alors à mes yeux, tu avais tout a gagné de le choisir lui. »

Et pourtant, elle t’apprend encore une fois que c’est toi, toujours et irrémédiablement toi, qu’elle choisit. Et c’est certain que ça te fait réagir, Icare; Tes bras se referment sur elle, alors qu’elle bouge contre toi pour t’observer. Elle est belle Vega, c’est quelque chose que, sans émotions, tu aurais vu de toute façon, mais tu découvres que lorsqu’elle te regarde de cette manière, elle devient parfaitement désirable et lumineuse à la fois.

« Je te fais confiance. Tu lui souffles, les yeux particulièrement brillant. Ne change plus de comportement pour toi, et je sais que tu seras capable de soulever des montagnes. »

C’est ce que tu en comprends de votre relation en tout cas. Parce que la Vega qui est venue à la chasse avec toi, aujourd’hui, a provoqué bien des doutes que celle de la semaine dernière avait chassée. Tu ne veux pas douter d’elle, c’est une chose dont tu es certain au fond de toi. Tu veux simplement apprendre d’elle, comme elle a appris à tirer de toi. C’est idiot, hein, mais dans le fond tu espères faire honneur à son apprentissage tout en sachant que c’est ce qu’il te faut. L’aimer. C’est ce que tu veux de la vie, là, maintenant et tout de suite.

Et tu vois, tu finis par bouger contre elle, parce que tu as beau voulu bien des choses, tu as aussi l’envie de comprendre ses réactions. Tes doigts se frayent un chemin à sa peau et quand tu les passes sous son vêtement tu la sens réagir contre toi. Elle revient se coller à ta gorge et tu fermes à moitié les yeux, parce que le chaud de son souffle contre ta peau te plait. Et puis tu entends sa voix, et tu vois, cette fois-ci, ca fait battre ton cœur, un peu, quelques instants.

« Tu aimes ça ? Tu lui demandes, un peu bêtement, avant de t’enhardir et l’attirer un peu plus près de toi, pour avoir plus de marge de manœuvre. D’accord, tout ce que tu veux. »

Et tu vois, tu repousses plus clairement ses vêtements vers le haut pour venir coller non plus tes doigts mais toute ta main contre cette partie d’elle. Tu glisses lentement ta peau contre la sienne, tout en surveillant ses réactions. Et ça finit par te donner envie de l’embrasser, de toi-même. Ta main libre vient rechercher son visage, le retirer de sa cachette qu’est ton cou et tu te penches sur elle pour unir tes lèvres aux siennes sans cesser de lui donner ce qu’elle veut. Ce qui est fou, c’est que si Vega a une capacité d’apprentissage rapide, tu as une capacité de mimétisme aussi rapide. Tu viens entrouvrir tes lèvres et approfondir le baiser comme elle l’a fait avant, en faisant peser ton corps contre le sien.

« Ca me plait de te voir comme ça. Tu finis par lui souffler en reprenant ton souffle. Je ne pensais pas que tu avais un endroit aussi sensible, mais ça me plait de le connaître. Tout me plait chez toi. »
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 12:57 ||
Vega C. Echeverría
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Date d'inscription : 04/02/2021
Ils sont différents. Tu le sais, ça, Vega, tu t’en es rendu compte, ne serait-ce que dans leur manière d’agir avec toi, de se comporter vis-à-vis de toi. Ekaitz est doux, attentif, protecteur, toujours prêt à te récupérer, probablement sans cesse sur le qui-vive, surtout en ce qui concerne ton cœur dont il connait l’état dans le détail, forcément. Icare est plus sauvage, bien plus distant, si la douceur existe chez lui, elle est timide et il faut creuser pour la récupérer, et puis, il t’estime assez forte pour tout surmonter et ce dernier point, c’est probablement ce qui t’as le plus plu, chez lui. Ce que tu aimes le plus, oui. Sa foi en toi, inébranlable, à toute épreuve.

Mais tu vois, tu as finalement rapidement fait ton choix, contre toute attente, tu ne t’es pas tournée vers le médecin pourtant épris de toi, pourtant si dévoué, tel un preux chevalier. C’est comme si dans les contes, la princesse finissait par choisir le dragon, en quelques sortes, c’est compliqué, probablement inattendu et hors du commun, mais autrement plus fort et plus intense, sans doute. Tout ton être est tourné vers Icare, et tu sais que tu ne t’en détourneras plus, d’autant que maintenant, tu es gonflée d’espoir, tu sais qu’il veut de toi, qu’il a envie de t’aimer …

Ce sont ses doigts contre toi, qui viennent véritable tout balayer. Ce n’est pas la première fois, et cette fois, après tout ça, après ces baisers qui sont venus te charger de désir … c’est pire. Ta réaction face à ce touché est instantanée, et pour la cacher un peu, tu viens tout contre lui, tu viens cacher ton visage tout contre sa gorge, en soufflant légèrement, en formulant cette demande parce que clairement, tu en veux plus, tu ne veux pas qu’il s’arrête, tu veux continuer de sentir ses doigts contre la peau de ton dos, tu veux continuer de ressentir, ce qu’il semble avoir le don de te faire ressentir. Il a compris. Et du coup, vient la question. « Enormément … » Tu ne peux pas mentir à ce sujet, même par pudeur – lol – parce que ton corps montre tous les signes de ton contentement, sans que tu ne lui aies accordé ce droit.

Et parce que tu le lui demandes, il bouge, il fait remonter plus clairement tes vêtements pour venir complètement poser la main contre cette partie de ton corps si sensible, il la glisse contre toi et bon sang, tu ne peux pas te retenir de soupirer tant ça te fait du bien. Tu pourrais rester là, à apprécier à ce point cette caresse, tout en gardant tout ce qui passe dans le brillant de tes yeux, et dans tes traits, mais, c’est lui qui vient te tirer de l’endroit où t’es cachée, il ramène ton visage dans la lumière et il le fait pour mieux t’embrasser … rien à avoir avec le premier baiser qu’il t’a offert cependant, cette fois, il entrouvre ses lèvres de lui-même, il vient chercher plus et tu lui réponds avec le même désir, ta langue contre ses lèvres, puis contre la sienne, lentement, et puis surtout, ces gémissements de ta part, qui vont, qui viennent, parce que tu pourrais le dévorer, maintenant, vu tout ce qu’il provoque chez toi à ce moment précis. D’ailleurs, alors qu’il finit par éloigner ses lèvres, tu ne peux même pas retenir tes dents de retenir sa lèvre inférieure quelques toutes petites secondes.

Et bon sang, quand vos lèvres se séparent tu es … complètement retournée, ta peau est rougie, tes lèvres sont comme un appel, ton corps tremble, ta peau est bouillante, tout autant que ton souffle complètement irrégulier. « C’est … je n’ai jamais compris pourquoi. » Tu lui expliques, simplement, comme à bout de souffle, et tentant tout de même de reprendre un minimum. « Tu dois avoir ça aussi … quelque part. » C’est naïf, et peut-être stupide, mais tu te dis que tout le monde à ce genre de … levier, caché, quelque part, que c’est surtout plus petit, plus intime pour certains, mais que, ça existe pour chaque être. « Il suffit de le trouver. » Et bon sang, tu as l’air d’une affamée en disant ça, tu n’ajoutes rien, mais ton regard lui, il en dit bien plus long à ce sujet précis.
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