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[DONE - HOT] - Leurs chemins venaient s'entremêler. (Vega)
Icare Argyre
Lun 22 Fév - 17:46 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
Tu es accroché à elle comme un damné, et honnêtement t’es pas loin de ça. Ton corps est si sensible, tes émotions tellement exacerbé que tu pourrais donner sans remord ni regret ton âme au diable pour elle. Parce que tu la veux, Icare, plus que tu n’as jamais désiré quoi que ce soit. Ca te fait ressentir ce plaisir suprême, oui, mais au fond de toi, ça te fait mal. Fort. C’est impérieux, parce que tu as beau la toucher et l’avoir dans les bras, tu as beau être nu contre elle, tu en veux. Toujours plus. Et dire que tout est parti d’un baiser… non d’un coup de fusil réussi et de ta promesse. Si tu avais su que ça te mènerait à là, l’aurais-tu fait tout pareil ?

Ton souffle commence à se calmer, ton corps à cesser de trembler quand elle te regarde en souriant, alors que tu tiens son visage entre tes mains. Tu la tiens elle entre tes doigts, et ça te plait affreusement. Au final, tu lui as demandé l’accord et bien entendu c’est ce qu’elle te donne sans hésiter. Tu n’as même pas vraiment à douter de sa volonté, regarde comme elle te regarde, Icare. Si tu la veux à en mourir, tu as la sensation que c’est un désir partagé et c’est probablement pour ça que tu fais sauter tous les verrous les un après les autres.

Elle glisse sur le dos, et toi, tu te retrouves entraîné avec elle, parce que tu ne veux absolument pas décrocher ton corps du sien. Tu te retrouves dans cette position où tu la bloque de ta personne, et ça te plait, mon vieux, mais ce qui te rends complètement dingue, finalement, c’est de sentir sa jambe contre toi, ses ongles contre ta peau. Tu viens embrasser sa gorge alors que tes mains, elles, se frayent un chemin à ses fesses, pour l’attirer plus clairement à toi.

« Accroche-toi à moi.Tu finis par la supplier. Je veux sentir tes doigts, tes ongles, contre moi. Je veux que tu ne me lâche plus. »

Et tu lui dis ça, hein, mais tu craques aussi sec. Tu ne lui laisses pratiquement pas le temps de réagir que tu viens la basculer plus contre toi pour finir par lui offrir ce qu’elle réclamait, ce que toi aussi tu voulais. Et dans ton état, cette sensibilité extrême de toute ta peau, partout, tu pourrais tout prendre tout de suite, tant c’est bon et brûlant. Et pourtant, non. Tes mains glissent sur sa peau jusqu’à ramener ses jambes contre elle et tu bouges oui. Tu bouges lentement, langoureusement. Relâchant ses jambes, tu viens prendre appuies sur tes mains non pas pour la préserver, nan, mais parce que tu veux la regarder. Tes yeux ne la lâchent plus.

« Tu es… tout ce que j’ai jamais désiré. »

Et tu finis par craquer, c’est bon hein, mais ton corps est déjà au point de rupture. Tu finis par revenir plonger sur elle, et alors que ta bouche revient chercher sa poitrine, comme si tu étais incapable de ne pas profiter de cette zone de son corps, tes mouvements s’accélèrent. Et c’était prévisible, surement, mais tu ne tiens pas si longtemps avant que l’orgasme, d’une puissance insoupçonné ne vient te ravager, alors que le visage contre sa poitrine, tu te mets à répéter son prénom comme une litanie. Jusqu’à ne plus pouvoir et retomber contre elle, en tremblant. Et incapable de parler, tu ne fais que reprendre son corps contre le tien et la serrer comme si tu craignais de la perdre.
Vega C. Echeverría
Mar 23 Fév - 9:57 ||
Vega C. Echeverría
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rankpersoMessages : 543
Date d'inscription : 04/02/2021
Il n’y a plus que lui. Rien que lui … rien que vous deux. Tu ne vois plus que ça depuis de longues minutes déjà, Vega, tu ne penses plus à rien d’autre, non plus. Il pourrait se mettre à te manquer à chaque fois qu’il s’éloigne de quelques centimètres de trop à ton goût, c’est dire à quel point tu t’es accrochée à cet homme, ma grande. Toi, pourtant si indépendante, tu ne résumes plus ton monde qu’à Icare, et c’est bête, et surement naïf, mais, tu ne penses plus autrement, et surtout, tu n’imagines pas une seconde que ça pourrait avoir des conséquences, parce que, tes pensées ne vont certainement pas aussi loin. Non. Elles s’arrêtent à cet instant, entre vous, comme si tu refusais qu’il puisse passer.

Te voilà de retour sur le dos, et tu viens aussitôt le tirer à toi, l’attirer au-dessus tout en remontant l’une de tes jambes pour venir effleurer son flanc, tu passes le bout de tes doigts sur sa peau, tes ongles passent et repassent sans pour autant l’agresser alors qu’il se penche sur toi, que ses lèvres reviennent embrasser ta gorge et que ses mains, elles, viennent s’emparer de tes fesses pour attirer ton bassin contre lui, encore plus. Et tu entends sa voix, tu comprends bien ce qu’il veut, Vega, sauf qu’il a peine terminé sa tirade qu’il a ce mouvement pour te faire basculer, et puis … tu le sens vous offrir ce que vous désirez tant, tous les deux maintenant, alors, tu laisses échapper non plus un gémissement, mais un cri de plaisir. Et encore une fois, ce n’est en rien comparable à ce que tu as pu voir ou connaître au cours de ta vie, parce qu’il ne vient pas juste en finir, en te faisant l’amour brutalement, non … il remonte lentement tes jambes, les replient contre toi, avant de se hisser plus clairement, de poser les yeux sur toi alors qu’il t’offre ce lent va et vient, son corps bouge contre le tien et honnêtement Vega, tout ton corps ne se résume plus qu’au plaisir qu’il est en train de te donner. Tu n’es même pas gênée de savoir qu’il t’observe de cette manière alors que tu ne fais que profiter du plaisir de vos deux corps liés de cette façon.

Et puis, finalement, après quelques secondes ainsi, il revient à toi, sa bouche revient à ta poitrine, et tandis qu’il accélère le mouvement, qu’il donne une cadence plus passionnée à votre étreinte, tu viens naturellement t’accrocher à lui, tes jambes de chaque côté sans pour autant le retenir ou le gêner dans son mouvement, tes mains, tes doigts, tes ongles qui finissent par s’accrocher à sa peau, tu le griffes, sans même t’en rendre compte, encore une fois, tu le marques au moment où tu sens le plaisir te submerger, ou littéralement, tu cris son prénom comme une damnée, une désespérée juste avant de sentir son orgasme, à lui, se propager en toi.

Quand il retombe, contre toi, le visage toujours enfoui dans ta poitrine, tu trembles probablement tout autant que lui contre toi, et tu viens refermer tes bras sur lui, alors qu’il en fait de même en te venant te presser contre lui, à nouveau. Tu as littéralement les yeux remplis de larmes, maintenant, tant l’orgasme qu’il t’a offert aura été … puissant et violent, et franchement, il te faut un petit moment pour te reprendre, pour revenir à la réalité, finalement, et passer tes doigts dans ses cheveux, avant de te mettre à les lui caresser dans un mouvement doux, répétitif. « Je ne veux plus jamais te quitter … » Tu finis par souffler, la voix bien trop pleine d’émotion, et sans te dire une minute que tu brusques probablement complètement les choses, que tu ne peux pas t’imposer à lui, malgré ce qui s’est passé. Non, toi, tu es encore bien trop plongée dans tout ça, et surtout, tu ne sembles pas ressentir l’envie ou encore le besoin d’en sortir, bien au contraire. « Je t’aime … S’il te plait … garde moi avec toi. »
Icare Argyre
Mar 23 Fév - 19:05 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
Tu n’en reviens pas d’avoir pu ressentir ça Icare. Pourtant… pourtant bon dieu que tu étais complètement bloqué sur ce point. Le sexe te dégoutait, qu’on se le dise. Les rapports charnels te semblaient aussi superficiels qu’inutiles. Et il a fallu que tu la rencontres, que tu la laisses entrer dans ta bulle pour comprendre que tu n’étais juste pas encore prêt… pas tombé sur la bonne personne aussi. Ca te remue, te secoue, mon vieux, et franchement, alors que l’orgasme retombe au rythme de tes battements de cœur effréné, tu ne réfléchis pas plus. Tu viens de comprendre que ce serait-elle, et personne d’autre. À jamais. Tu le sens dans la moindre de tes cellules.

Tu finis par reposer contre elle et venir la chercher dans tes bras. Et tu vois, si toi tu t’accroches à elle, parce que tu es tout bonnement incapable de lui dire ce que tu ressens, elle, elle vient en faire de même. Vous vous retrouvez blotti l’un contre l’autre et tu viens glisser un peu plus ton visage contre sa poitrine, pour ne plus jamais oublier le contact de sa peau, en même temps que celui de ses doigts dans ta crinière hirsute.

« Chuuuut… Que tu finis par murmurer, alors qu’elle vient ainsi te supplier, presque, de la garder avec toi. Vega. Tu bouges, tu retires ta tête de sa peau pour te hisser vers son visage, et poser une main, qui te semble immense par rapport à la finesse de ses traits, sur sa joue. Je ne te laisserai pas partir, à moins que tu ne le veuilles. Je… suis bien avec toi. »

Et tu arrives à lui offrir ce petit sourire qui n’existe à chaque fois que pour elle. Ce n’est plus tes demi-sourires paniqués ou tes sourires cassés. Il est petit, léger sur tes lèvres comme un papillon éphémère, c’est vrai, mais il est aussi sincère et plein d’émotion. Il a  l’air humain et si tu pouvais le voir, mon grand, ça te ferait un choc, c’est certain.

Finalement, tu bouges. Tu viens te laisser retomber sur le matelas, à côté d’elle, pour ne pas l’écraser outre mesure, et si tu bouges, c’est uniquement pour rabattre les couvertures en bout de lit sur vous, non pas de honte de votre nudité, mais parce que tu ne veux pas qu’elle ait froid. Ensuite, tu reviens la chercher, la prendre contre toi, dans tes bras et pendant de longues secondes, tu ne fais qu’inspirer doucement l’odeur de ses cheveux.

« Ca allait ? Tu finis par lui demander, maladroitement comme tu le fais toujours. Je veux dire… Ca avait l’air mais… Pour ton cœur aussi ? »

Et c’est ça la vérité, hein, Icare. Sous le coup des émotions, tu t’es fié aveuglément à ce qu’elle te disait et à ce dont vous aviez envie tous les deux, sans jamais ne penser aux risques qu’elle pouvait avoir, au niveau de son coeur malformé. Ce n’est que maintenant que tu bouges, pour glisser tes doigts entre vous, et déposer ta main toujours chaudes contre son sein gauche et vérifier les battements que tu ressens sous ta peau.

« Je ne voulais pas te blesser et je n’y ai même pas pensé… Excuse-moi. »
Vega C. Echeverría
Mar 23 Fév - 22:14 ||
Vega C. Echeverría
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Date d'inscription : 04/02/2021
Tu as confiance en lui, Vega. Vu où vous en êtes, tous les deux, et surtout, vu par quoi vous avez dû en passer pour en arriver là, votre cheminement sacrément étrange, et hors du commun, il faut bien l’avouer, tu ne peux pas imaginer qu’il ait eu ce qu’il voulait et qu’il puisse ensuite … te jeter ? Non. N’importe qui d’autre, mais pas lui, d’autant que finalement, c’est probablement toi qui as pensé aux plaisirs de la chair, en posant les yeux sur lui, avant qu’il ne songe ne serait-ce qu’à potentiellement te donner une chance à ce sujet. Et pourtant, maintenant que l’ivresse du moment, et la chaleur de votre échange retombe, peu à peu, alors que le calme revient s’installer, que ta respiration et ton cœur s’apaisent un peu, voilà que tu as comme … oui, un instant de panique, probablement, appelons ça comme ça. Comme si, à partir de ce moment, les choses pouvaient changer, revenir à leur point de départ. Tu crains sans doute un retour arrière dont tu ne veux pas, alors, tu viens presque le supplier de te garder, de ne pas se remettre à te fuir, de ne pas te forcer à t’éloigner à nouveau parce que, tu ne pourrais plus le faire, tu ne veux plus le faire. C’est impossible.

Immédiatement, pourtant, il vient te rassurer, Vega. Il revient à toi, après être resté contre ta poitrine un moment, sa main vient se poser sur ta joue et il vient t’assurer qu’il ne compte pas te laisser partir, à moins que tu ne le veuilles vraiment. Ça tombe bien, non ? Vu que tu n’en as pas envie du tout. Tu te contentes donc de lui sourire, et toi, ça te fait du bien, de l’entendre te dire qu’il est sans doute aussi bien avec toi, que tu l’es avec lui. Et puis, il retombe à côté de toi, sur le lit, il vient rabattre les couvertures sur vos corps toujours évidemment entièrement nus, avant de revenir à toi, et reviens simplement te blottir tout contre lui, probablement comme la petite chose fragile et adorable que tu te targues toujours de ne pas être. Comme quoi …

Durant de longues minutes, c’est le silence qui règne dans la chambre, à nouveau. Et puis, sa voix s’élève à nouveau, et il vient te questionner. Au début, c’est une question relativement légitime – même si tu as, selon toi, été assez démonstrative pour qu’il puisse déjà avoir la réponse – et puis, la suivante te semble … oui, probablement plus étrange. Elle vient faire remonter de mauvaises choses à la surface, et en vérité, pour une fois, tu parviens à tout repousser, pour souffler, relativiser, prendre les choses autrement. Tu le laisses même venir déposer ses doigts contre ta poitrine, au niveau de ton corps qui, oui, bats tout à fait normalement. « C’était plus que parfait … » Tu souffles, en premier lieu, pour le rassurer sur ce point, tout venant lier tes doigts aux siens, contre ton sein. « Mon cœur va bien, Icare … j’ai même l’impression qu’il bat mieux que jamais. » Tu as ce petit sourire, à nouveau, avant de te pencher un peu dans sa direction pour venir déposer un baiser léger sur ses lèvres. « Tout va bien, crois-moi, il en faut bien plus que ça pour qu’il ne vienne me poser des soucis … je te l’aurais dit, s’il y avait eu un souci. » Ton ex petit-ami semblait te penser complètement incapable d’endurer la cadence d’un rapport sexuel. Ce crétin s’était même servi de cette excuse pour t’expliquer ses raisons, quand tu avais découvert qu’il passait son temps à te tromper. « Tu ne m’as pas blessée, en fait … je n’avais jamais … fait ça comme ça, c’était … unique. » Et tu t’approches, tu reviens enfouir ton visage contre sa gorge pour simplement y déposer un baiser ou deux, avant de relever ton visage vers le sien. « Dis-moi que tu me feras encore l’amour comme ça … » Parce que toi, tu n’es plus sûre de pouvoir te passer de ça, maintenant.
Icare Argyre
Mer 24 Fév - 16:09 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
Tu te rends que c’est possible, Icare, mais tu te sens bien. Pas détendu, pas en sécurité, pas simplement au calme. Tu te sens bien comme si tu étais enfin à la place où tu avais toujours eu envie d’être. Ca te percute quand tu refermes tes bras sur elle, sous les couvertures et mine de rien, toi qui dort peu et d’un sommeil bien souvent agité, tu pourrais peut-être sombrer sereinement dans les bras de Morphée. Enfin… si tu étais capable de l’abandonner pour ça. Ce qui n’est pas le cas. Pas maintenant en tout cas.

Il ne faut pas si longtemps pour que tu recommences à t’inquiéter. Tu bouges contre elle, tu viens lui demander si ça allait pour elle, et puis tu t’attardes un peu plus sur son cœur, sans te rendre compte que tu pourrais la blesser ou l’énerver en revenant à ce problème qu’elle porte au sein de sa poitrine. En faite tu reviens poser ta main contre l’endroit qui vibre des battements de son cœur mal formé, et elle te rassure, elle.

« D’accord. Tu finis par souffler alors qu’elle entremêle vos doigts contre sa peau. Je te fais confiance, Vega. Je… n’y ai juste pas pensé… Je ne veux pas être égoïste. Pas avec toi. »

Voilà la raison de ce questionnement soudain. Tu as craint d’avoir pu lui faire du mal pour ton propre désir et c’est quelque chose que tu n’accepterais absolument pas si ça arrivait. Dans le fond, tu te doutes que ça a dû aller, parce que tu ne l’as pas vue souffrir, mais tu t’interroges et ce sont ses paroles qui t’apaisent. Vega a définitivement un pouvoir particulier sur toi.

Ce sont ses paroles suivantes qui font naitre un battement particulièrement fort et puissant dans ton buste. Elle n’avait jamais vécu ça comme ça, et tu as beau n’avoir aucune expérience, tu te sens heureux d’avoir eu cette première fois à elle aussi. Sauf que tu n’as pas le temps de le dire qu’elle vient glisser ses lèvres contre ta gorge et tu grognes de satisfaction en refermant plus fort tes bras sur elle.

« Je ferai tout ce que tu veux que je fasse. Tu lui souffles, avant de venir poser tes lèvres contre les siennes, pour un baiser fait de tendresse et de douceur. Je veux recommencer encore et encore, mais avec toi. Uniquement toi. Tu reviens coller ton front au sien, comme tu as pu le faire au départ, en fermant les yeux pour juste profiter du contact et de son odeur. Il n’y aura jamais personne d’autre que toi, voilà ce que j’ai appris aujourd’hui. »

Et est-ce que ce ne serait pas une sorte de “je t’aime” ça ? Oui, sûrement. En tout cas, ça a la même force quand tu le dis alors que tes mains remontent un peu le long de son dos avant de passer dans ses cheveux et de bailler légèrement en te laissant retomber un peu plus confortablement sur l’oreiller.

« Je voudrais dormir avec toi, ce soir. Que tu lui apprends, comme un enfant demande une permission. Si tu ne veux pas, je peux comprendre, mais je ne t’embêterai pas. Ton odeur m’apaise… C’est comme un verger en plein été et remplis de fruits mûrs. J’aime cette odeur. Tu lui expliques sans réfléchir à tes paroles plus que cela. En faite, tu deviens sacrément instinctif avec elle. »
Vega C. Echeverría
Jeu 25 Fév - 8:35 ||
Vega C. Echeverría
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Date d'inscription : 04/02/2021
Ça pourrait bien littéralement t’effrayer de l’entendre te parler de cet aspect qui te concernes. Ton cœur est malade, c’est quelque chose que tu ne pourras jamais changer, surtout plus au sein de ce qu’est devenu le monde. Tu es née comme ça. En fait, ça fait juste parti de toi, Vega, mais, si tu l’as accepté depuis longtemps, si tu fais avec, si tu le gardes dans un coin de ta tête tout en essayant, au maximum de vivre ta vie le plus normalement possible, tu sais que d’autres ne réagissent pas de la même manière. Certains évitent. D’autres sont compatissants. D’autres encore ont juste atrocement pitié. Et puis, il y a ceux qui cherchent à te préserver de tout, ou qui encore se servent de ce que tu es pour se permettre bien des choses. Tu ne supportes rien de tout ça. L’amour c’est la confiance, pour toi, et c’est d’ailleurs pour ça que tu t’es rapidement confiée à ton ex compagnon, il savait. Il connaissait ton état de santé, et il est parvenu à s’en servir pour te faire du mal. La vérité, c’est qu’il est parvenu à te faire te sentir honteuse de ce cœur défaillant, tu as été en colère contre toi-même, et tu as détesté ça, c’est l’une des raisons pour lesquelles tu as été si radicale lorsque tu as envoyé ce type balader … ça et le fait qu’il avait osé te tromper, aussi, accessoirement, quoi.

Et pourtant. Pourtant, étrangement, avec Icare, tu parviens à rester calme. Tu as confiance, justement, pleinement confiance, voilà la différence. Il sait. Il savait. Et tu sais que s’il est inquiet, il n’est pas le moins du monde mal intentionné envers toi. Tu as compris, Vega, que cet homme ne te rejetterait pas pour ce que tu es, tu as eu du mal, c’est vrai, mais maintenant, tu peux sans mal affirmer à quel point tu es sûre de toi à son sujet. Tu viens donc le rassurer, doucement, tu lui assures que ton cœur tiendra, que tu iras bien, tu viens même lui avouer à quel point tu te sens bien et surtout, comme ce que vous venez de partager, tous les deux, t’as semblé pour le moins … unique. Tu pousses même plus loin encore en revenant embrasser sa gorge et formuler cette demande qui prouve certainement à quel point tu as aimé, à quel point ça ira parce que, oui, tu penses déjà à l’idée de recommencer tout ça du début, avec lui. Il vient te répondre par l’affirmative, revient même poser ses lèvres contre les tiennes, avant de laisser son front reposer contre le tiens pour finalement venir t’affirmer qu’il veut recommencer, avec toi, juste toi, qu’il n’y aura jamais personne d’autre que toi, et toi, ça te tire un adorable sourire. « J’espère bien … » Tu murmures, contre lui, avant de bouger légèrement contre lui pour déposer quelques baisers sur ses lèvres, son front. « Je te veux rien que pour moi. »

Tu le laisses finalement bouger, s’installer un peu plus confortablement tandis que toi, ma grande, tu ne le quittes tout simplement pas des yeux. C’est seulement lorsqu’il se remet à parler, pour formuler cette demande que tu reviens à lui, tu t’installes contre, tête contre son torse, main sur son ventre, doigts qui jouent tranquillement sur sa peau. « Comme si j’allais te laisser dormir loin de moi… » Tu lui apprends, et franchement, on peut clairement entendre ton sourire dans ta voix. « Je veux rester avec toi. Je me sens bien avec toi. » D’ailleurs, tu te sens si bien qu’il y a de grandes chances que tu finisses par t’endormir comme ça, ici, contre lui.
Icare Argyre
Lun 1 Mar - 18:11 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
Tu comprends que les choses ne seront plus jamais les mêmes, à cause de ce qu’il vient de se passer. Parce qu’honnêtement, mon vieux, tout vient de changer. Toi qui pensait passer ta vie seul, isolé dans cette existence d’ascète que tu t’es infligé par peur du monde, tu te retrouves dans ce lit, nu, contre une femme que tu aurais pu détester. Au fond de toi, tu ne peux pas empêcher ton pessimisme glisser que tu aurais peut-être dû la détester, t’évitant ainsi bien des douleurs, des doutes ou des colères. Et pourtant, tu repousses tout ça, pour venir refermer tes mains un peu plus contre elle.

Et tu viens lui offrir cette vérité. Tu ne la désires qu’elle, et absolument elle. Tu ne voudras jamais quelqu’un d’autre comme tu l’as désirée elle. Même si ça ne recommencer pas, même si tu ne parviens pas à ressentir à nouveau du désir pour elle, tu sais qu’il n’y aura pas d’autres personnes qui pourront te prendre ça. Ce que tu as découvert en toi, grâce à Vega, restera pour elle, jusqu’à ta mort, voilà ta certitude.

« Ca me va, tu peux m’avoir tant que tu n’en as pas marre de moi. »

Il y a même un vague sourire dans ta bouche, alors que tu lui donnes cette autorisation. Au final, tu bouges un peu pour t’installer au mieux et tu viens chercher cette volonté que tu ressens en toi, de ne pas t’écarter d’elle maintenant oui, mais aussi quand le sommeil viendra. Et tu es probablement un peu maladroit, toujours timide, mais tu le lui demandes, sans détour et quand la réponse vient, avec sa présence contre et sur toi, tu soupires.

« Ca me va. Tu fermes les yeux. Ne me laisse pas partir, s’il te plait. »

Ca ressemble presque à une supplique, dis comme ça, tu vois. Et pourtant, tu ne continues pas. Tu ne la laisses qu’entrevoir tous les doutes qui sont au cœur même de ton existence, avant de l’attirer plus clairement contre toi, et finalement tu bouges la tête pour nicher ton nez dans ses cheveux. Tu te drogues littéralement de son odeur, à ce niveau-là.

« Repose-toi, Vega. Je veille sur toi. »

Que tu te mets à murmurer, en passant ta main contre ses cheveux, pour la détendre doucement. Et si tu voudrais l’endormir contre toi, pour qu’elle puisse se faire des forces et parce que tu veux la garder contre toi encore un peu, égoïstement, c’est toi qui sombre lentement. Sans que tu ne puisses le prévoir, un sommeil d’un calme incroyable se dépose sur toi et t’attires lentement vers Morphée. Tu ne le sais pas, Icare, mais tu auras l’un des meilleurs sommeils de ta vie...
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