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[DONE - HOT] - Leurs chemins venaient s'entremêler. (Vega)
Icare Argyre
Ven 19 Fév - 13:03 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu perds pied. En tout cas, c’est la sensation que tu te donnes, toi, parce que voilà que ça ne te suffit plus, et tu viens la hisser sur le canapé oui, pour changer l’ordre des choses. Tu es déjà tout secoué de ce qu’elle t’a donnée, tu cherches à lui offrir la même chose, parce que tu comprends, tout à coup, en quoi ce genre de liens et de rapports peuvent être parfaitement déséquilibré entre deux personnes. Et si tu adores, littéralement, ce qu’elle te fait, tu as envie qu’elle ressente la même chose que toi. Alors ouais, Icare, tu t’appliques, ça pourrait même être mignon de te voir aussi… concentré ou motivé.

Tu finis par glisser le long de son échine et c’est un tout au type de… plaisir, oui, qui vient te secouer. Celui de savoir et de voir ce que tu lui procures, d’être celui qui lui donne ça. Tu n’as jamais été égoïste, ou pas volontairement, mais la pensée qui te traverse à ce moment-là tu vois, c’est clairement que tu refuses net que quiconque puisse un jour avoir ce droit sur elle. Tu veux être le seul à provoquer ça, à avoir le droit de faire ça. Et tu vois, quand elle t’apprend que tu es le seul à avoir eu ce droit et que, visiblement tu t’en sors plutôt bien, ce n’est pas un gémissement qui t’échappe… c’est un grognement de satisfaction.

« Vega… Tu fais entendre quand elle vient se caler contre toi, et que tu te redresses pour l’accueillir contre ton buste, ton visage brulant dans son cou. Je veux être le seul… pour toi. Le seul qui puisse faire ça. Tu appuies plus clairement ton visage fiévreux contre sa gorge. Je veux que tu restes avec moi. Je te donnerai tout ce que tu veux. »

Et tu vois, quand tu redresses la tête, c’est pour découvrir ce regard qu’elle porte sur toi. Elle est… si belle, et c’est toi qu’elle ne quitte plus des yeux. Sous le feu de son regard, tu as l’impression d’être unique et important Icare, et autant dire que ça te bouleverse encore plus. Tant et si bien qu’en sentant ses lèvres revenir à toi, tu cherches aussi sec à lui offrir un baiser qui déborde de ces émotions.

« Je… Tu t’arrêtes, tu reviens appuyer ton front contre elle en fermant les yeux pour essayer de te concentrer. Je ne sais pas. Un peu d’inquiétude recommence à naitre sur ton visage. Je… te veux mais… je ne sais pas si… jusqu’où je peux aller. Et je ne veux pas te décevoir. »

C’est la pure vérité, et tu vois, ça fait prendre une intonation presque malheureuse à ta voix, parce que malgré ce que tu découvres, tu crains tellement ton propre comportement… Tu finis pourtant par refermer plus fort tes mains sur elle, respirer, lutter pour te reprendre et finalement, Icare, tu viens lui demander.

« Je peux… t’emmener dans ma chambre ? Juste nous deux, juste… te toucher, te sentir. Tu la regardes avec peur et passion, un mélange explosif pour toi. Je veux aller plus loin, mais j’ai besoin de toi, pour ça. »

Parce qu’elle a compris qui tu étais et comment tu fonctionnais tu vois, mais aussi parce qu’elle te guide depuis le début. Et t’as beau être vieux, tu n’as rien pour t’aider. Aucune connaissance, aucun attrait, rien. Alors c’est à elle que tu te raccroches, tout en te disant que tu vas peut-être finir par la décevoir, justement. Tu t’y attends presque Icare.
Vega C. Echeverría
Ven 19 Fév - 18:40 ||
Vega C. Echeverría
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Tu n’en peux plus, c’est comme ça, c’est terminé, tu as décidé de cesser de lutter … du moins, en partie, parce que, si tu ne te retenais pas un minimum, tu lui aurais probablement déjà sauter dessus d’une manière bien plus … brutale et sauvage, disons les choses comme ça. Ce qu’il te fait, c’est au-delà de tout ce que tu as connu, tu peux le dire, tu ne peux que l’avouer, aucun autre homme au monde n’as réussi à provoquer ça, en toi. Tu ne fais plus que soupirer, souffler, gémir, prononcer son prénom de cette manière, bien particulière, qui ne cache rien de ce qui est en train de se passer dans ton corps littéralement en feu.

Et oui, finalement, tu recules contre lui, tu reviens chercher un contact nouveau et à la fois, tu te tentes de reprendre le contrôle sur toi-même en lui imposant une pause dans les baisers qu’il vient sans cesse déposer dans le bas de ton dos, et te cales contre son torse, ta peau contre la sienne, tentant de reprendre ton souffle, en premier lieu. Il vient mettre son visage contre ton cou, et tu penches un peu la tête pour la laisser faire avant de t’offrir quelques paroles qui témoignent d’une certaine … possessivité. Et bon sang, ça pourrait mettre certaines femmes mal à l’aise, dit comme c’est dit, mais toi, ça te plait. Ça te plait de savoir qu’il veut être le seul, qu’il veut te garder pour lui, qu’il veut que tu restes avec lui et que pour ça, il est prêt à tout. Tu tournes légèrement la tête, tu viens l’observer, quelques instants, avec ce regard, si enflammé que tu n’as que pour lui, et tu ne peux même pas te retenir de lui avouer à quel point tu as envie de lui, maintenant.

Tu reviens l’embrasser, comme pour prouver ce que tu avances, tu ne forces rien, encore une fois d’autant que, lorsque vos baisers cessent enfin, tu sens sont hésitation, à nouveau, sa crainte qui remonte, se réinstalle. Il ne sait pas. Et tu te dis que peut-être, c’était pousser un peu trop loin que de formuler cette envie … sauf que tu vois, il vient te faire savoir qu’il en a envie, qu’il te veut, simplement, il ne sait pas s’il en sera capable, il doute de lui-même, il craint surtout de te décevoir. « Sht … quoi qu’il arrive, tu ne me décevras pas, Icare, je te le promets … » Parce qu’au final, même si tu brûle d’envie pour lui, même si, disons les choses clairement, tu as envie de faire l’amour avec lui, tu ne lui tiendras pas rigueur du fait que tout ça finisse par s’arrêter avant que vous ayez … concrétiser, pour dire les choses clairement. « On n’est pas obligés d’aller jusqu’au bout … je veux te donner ce que tu veux, et tes mains sur moi suffisent pour que je prenne du plaisir avec toi. » Tu reviens l’embrasser, tout doucement, te tournant davantage dans sa direction tandis qu’une de tes mains est revenue se perdre contre sa joue.

« Juste nous deux… » Tu répètes, quand il vient finalement te demander l’autorisation de pouvoir t’emmener dans sa chambre. Tu lui offres un léger sourire, et puis, tu bouges, tu te redresses, tu viens chercher ses mains et tu le fais se redresser du canapé pour te retrouver debout, face à lui. Si tu viens l’embrasser à nouveau, ça ne dure pas parce que tu te mets à reculer jusqu’à quitter le salon, rejoindre la chambre comme il le voulait et d’un geste doux, tu chasses le petit renard du lit qui s’empresses de trottiner jusqu’à l’extérieur de la pièce pour ne vous laisser que tous les deux. Enfin, tu reviens à lui, tes mains, tes doigts contre son torse, tu lui offres quelques caresses, tu viens te blottir contre lui, tu viens enfouir ton visage contre son cou. « Je t’aime. » Tu viens lui répéter, encore une fois, comme si tu voulais lui faire comprendre que, qu’il puisse se passer, à partir de maintenant, c’est acquis, et ça ne changera pas.
Icare Argyre
Ven 19 Fév - 23:42 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu as peur. Tu ne le veux pas Icare, mais tu le sens au plus profond de toi. Tu as peur de la décevoir, de la blesser. Peur de tes propres limites et peur d’entrer en conflit avec elles. C’est étrange quand on y pense, tu vois, mais tu en as envie autant que tu as peur. Et tu ne sais même pas que c’est à peu près ce que tout le monde ressentirait dans ton cas. T’es juste persuadé d’avoir un problème… et tu en as un. Ou plutôt tu en avais un.

« Vraiment ? Que tu lui souffles, alors qu’elle te dit que tu ne la décevras pas. Je veux… essayer. Vraiment, je te veux mais… Tu secoues la tête, alors que tes lèvres se perdent dans son cou. J’ai peur, j’imagine. »

Tu te doutes qu’elle l’a vu, qu’elle l’a compris mais tu te dois de le lui formuler. Et au final, tu te prend speut-être la tête, mon vieux, mais elle, elle chasse tes craintes de ses mots. Elle aime que tu la touches et tu comprends qu’elle peut s’en suffire pour le moment. Alors tu oses lui demander de s’isoler avec toi, quelque part qui t’appartient, certes, mais aussi là où vous serez mieux installé.

C’est elle qui bouge la première. Elle se remet sur ses jambes et honnêtement, mon vieux, tu ne parviens même pas à ne pas la regarder complètement, entièrement, avec un regard… d’homme. D’un homme sur une femme qui lui plait à ce point-là. Tu la suis, tu laisses ses lèvres détourner tes pensées et finalement vous entrez dans ta chambre. Le petit renard se fait un plaisir d’aller jouer avec les autres animaux de la maison Et t’as pas le loisir d’y penser parce qu’elle revient contre toi et tu souffles difficilement en la sentant si proche.

« Je crois… tu t’arrêtes, alors que ton cœur se remet à battre fort, assez pour qu’elle puisse le sentir contre sa poitrine, tu t’en doutes. Je crois que je t’aime aussi. »

Tu ne pensais pas oser le dire, parce que tu n’es pas certain et tu te poses un tas de question, toi, mais tu lui offres cette demi-vérité maladroite en sa serrant plus fort. Et puis tu bouges, tu viens avancer, la forcer à reculer jusqu’à ce que le lit soit derrière elle. C’est avec une douceur extrême que tu la fais basculer en arrière avant de revenir l’embrasser. Un genou sur le lit, pencher sur elle, tu oses bien plus clairement parcourir son buste de tes mains et de tes lèvres. Tu découvres combien sa poitrine est douce, et tu profites un moment de ses mamelons érigés puis tu craques et c’est à sa bouche que tu reviens, en la serrant fort contre toi.

« Je veux te voir nue. »

Ca c’est un sacré aveu, et tu sais aussi que ce sera dangereux, parce que soit ça passera, soit tu paniqueras et tu comprendras que ta limite se trouve là, pour le moment. Oui, pour l’instant, tu le sens au fond de toi, Icare, tu seras capable de repousser ça pour elle. Quand tu vois la force de ce qui te secoue, tu te doutes que tu pourras dépasser toutes tes craintes pour cette femme.

En attendant, tu viens la soulever, et tu l’installes au milieu de ton lit, pour qu’elle y soit bien installer. Tu ne t’en rends pas compte, toi, mais ton odeur est partout, forte, peut-être plus piquante aussi. Ca te plait de la voir sur l’oreiller où tu dors seul depuis toujours. Tes mains glisses de ses épaules à son pantalon lentement, passant par toutes les zones sensibles que tu lui découvres et tu t’arrêtes là, en la regardant avec des yeux beaucoup trop brillants jusqu’à avoir son accord.
Vega C. Echeverría
Sam 20 Fév - 13:34 ||
Vega C. Echeverría
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Tu n’as jamais été du genre à blesser les autres gratuitement … tu as toujours été compréhensive, ouverte, parce que tu as été éduquée comme ça. Et puis, oui. Tu l’aimes. Plus tu le dis, aussi clairement, plus c’est ancré en toi comme une vérité qui ne changera pas, alors, tu sais que rien n’est plus important que ça. Quoi qu’il en dise maintenant, il est capable de te faire du bien, il peut te tirer des choses que d’autres ne sont pas parvenus à obtenir de toi et toi, tu sais que tu peux le faire réagir, que tu es capable de lui faire plaisir, et lui faire ressentir certaines choses et franchement, c’est ta victoire du jour. Tu n’es pas idiote, tu sais que ce n’est qu’un début et par-dessus tout, tu es bien conscience que la suite viendra, comme elle pourrait ne pas venir avant longtemps, voir ne pas venir du tout. Le truc, c’est que tu pourrais te contenter de son touché, de ses mains et de ses lèvres encore bien longtemps alors tu te fiches du reste, et tu veux qu’il le sache, même si tu veux bien continuer d’essayer de repousser ses craintes au loin, pour aller plus loin, justement.

Dans l’intimité de sa chambre, là où il n’y a que vous deux, tu reviens à lui, doucement, simplement pour récupérer le contact de sa peau contre la tienne. Tu ne cherches rien, tu ne tentes rien de plus, tu le laisses faire, même si ton cœur fait un bien agréable et soudain looping lorsque tu l’entends t’exprimer ce sentiment incertain. Ce n’est pas un « je t’aime » clair, net et sans doute, loin de là, mais, tu te rends compte du chemin parcouru entre vous en l’entendant te dire une telle chose. Lui qui pensait ne pas en être capable. En tout cas, c’est lui qui vient te pousser, te forcer à reculer jusqu’à son lit, lui aussi qui t’y fais basculer et qui vient se pencher au-dessus de toi pour reprendre tes lèvres, pour te toucher, plus clairement encore. Tu te cambres sous lui, alors que ses lèvres embrassent ta peau, tandis qu’il s’attarde sur l’un de tes seins, puis l’autre, et de nouveau, tes lèvres laissent échapper soupirs et gémissement de plaisir et de contentement avant qu’il ne vienne faire taire tout ça d’un baiser, tout en prenant te presser contre lui.

Et finalement, Vega, alors que tu le laisses prendre son temps … c’est lui qui semble d’un coup vouloir accélérer les choses. Il veut te voir, te voir nue. Entièrement nue. Et on ne peut pas dire que ça ne te surprend pas, loin de là, en réalité, pendant un instant, tu es même tellement ailleurs qu’il a tout le temps de venir te soulever, te déposer plus au centre de son matelas avant de laisser ses mains glisser tout le long de ton corps pour s’arrêter à tout ce qu’il te reste de vêtement : ton jean. « Retire le … » Tu murmures, alors, parce qu’honnêtement, ça te va. Tu n’as pas eu d’hésitation, pour te débarrasser de ton haut, plus tôt, tu l’as laissé découvrir ton buste, et tu es déjà seins nus, sous son regard sans parvenir à ressentir la moindre trace de gêne, ou de honte.

Tu le laisses donc te débarrasser ce qu’il a envie de te retirer. Le jean, seulement, si c’est ce qu’il veut, l’intégralité de ce qu’il te reste s’il préfère, et puis, tu te rends compte, finalement, que tu es disposée à le laisser faire ce qu’il veut de toi. C’est rare, Vega, tu n’as jamais rien eu d’une femme objet, et on sait à quel point tu n’as pas passive dans ces choses-là, cependant, pour le coup, ça te vient, instinctivement. « Je suis à toi … » Tu viens lui offrir, tout en le fixant de tes grands yeux brillants, de ce regard enflammé. « Fait ce que tu veux de moi. » Et là, tu lui laisses simplement le champ libre de venir chercher, regarder, toucher ce qu’il veut de toi, tu sais qu’au besoin, tu reviendras le guider, tu sais que s’il le faut, tu reprendras les rênes mais pour l’heure, tu es … plutôt curieuse de le voir faire, agir, disposer de ce que tu lui offres.
Icare Argyre
Sam 20 Fév - 15:05 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Mine de rien, Icare, tu te rends compte de ce que tu fais, sans prendre l’ampleur de tes choix. Tu ne pensais pas être dans une telle position avec une femme, et ce jusqu’à ta mort. Ca ne t’inquiétait pas, mon vieux, c’était plutôt acté dans ta tête. Sauf que Vega est venue clairement tout chambouler. Regarde comme ton corps cogne fort pour elle, comme tu te sens capable de dire certaines choses. Et ce n’est pas incroyable, ce n’est même pas un pur je t’aime, et pourtant c’est bien plus que tu n’as jamais donné à personne.

Tu finis par lui dire que tu veux la voir nue. Tu ne sais pas d’où te vient cette inspiration, mais s’il y a bien quelque chose qu’elle est parvenue à réveiller chez toi, c’est le fait de te laisser aller. Tout en la calant au centre de ton lit, en l’embrassant et en la touchant, tu viens glisser tes mains le long d’elle, jusqu’à attendre sa réponse. Et elle ne met pas longtemps à t’offrir ça aussi. Franchement, Icare, cette femme s’abandonne complètement à tes volontés et ça devrait te faire peur, mais ça ne vient qu’accélérer plus ton cœur.

« D’accord. Tu finis par accepter quand elle s’offre complètement à toi. Tu effleures ses lèvres des tiennes, avant de lui promettre : Je ne te ferai pas de mal. Jamais. Je… te donnerai tout ce que tu veux. »

C’est peut-être en vous disant ça que vous sceller une relation si particulière. Parce que si elle se donne à toi, toi tu lui offres tout ce qu’elle veut. Il n’y a pas une once d’égoïsme en vous, voilà tout. Et tu reviens l’embrasser en douceur, alors que tes mains se mettent à remuer contre son jean. Il te faut même deux tentatives pour battre le bouton puis tu relâches sa bouche pour venir lui retirer presque timidement ses derniers vêtements. Et là voir comme ça, tu te rends compte combien elle te plait.

« Tu es trop bien pour moi. Tu souffles finalement, en attrapant une de ses jambes entre tes doigts et en la soulevant vers ton visage. J’ai envie d’aimer chaque partie de toi. »

Et tu vois, tu t’abandonnes à cette envie, puisque tes lèvres viennent se poser au creux de sa cheville et remonte lentement le long de sa jambe. Tu n’oses pas aller plus haut, tu ne sais probablement pas y faire, amis quand tu bouges, Icare, tu sais que tu as peur, mais que tu ne fuiras plus. Alors tu viens te re-glisser couché, sur le lit, et la serrer fort contre toi, en l’attirant un peu vers toi pour pouvoir glisser tes doigts dans son dos. Si tu t’attardes au bas de ses reins, tu trouves l’audace de venir glisser tes paumes contre le galbe de ses fesses et ça, étrangement, ça te fait soupirer fort, parce que… ça te plait.

C’est en continuant de l’embrasser, de te repaître de ses lèvres et de sa gorge, de te rassurer de son odeur aussi, que tu trouves le courage de continuer à glisser tes doigts sur elle. Lentement, maladroitement par moment c’est certain, tu viens découvrir chaque partie d’elle qu’elle t’a permis de voir et d’effleurer. Et tu ne t’arrêtes qu’en ayant la sensation que tu vas exploser. Tu es brulant, tes vêtements te gênent et te brulent, t’écrasent. En faite tu souffles, tu finis par la serrer très fort autour d’elle.

« Je n’avais jamais ressenti ça. J’ai l’impression… que je vais mourir brulé. »
Vega C. Echeverría
Sam 20 Fév - 17:32 ||
Vega C. Echeverría
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Tu lui offres tout, et tu le fais sans limite, Vega. Tu veux cet homme. Tu aimes cet homme. Tu as envie de lui appartenir, complètement, entièrement, et s’il y a des choses à éveiller en lui, tu veux le faire, tu veux y contribuer, tu veux l’aider. Ce matin encore, en partant de la ferme, tu n’aurais jamais imaginé ne serait-ce que pouvoir poser tes lèvres sur les siennes, c’était pratiquement devenu ton fantasme, des images d’éventuels baisers s’étaient mises à te hanter pendant la nuit faisant de tes rêves habituellement fades et sans intérêt des songes pratiquement … érotiques, disons les choses comme elles sont. En ce moment, pourtant, tu es étendue sur ton lit, et ce, parce qu’il a fait en sorte que tu y sois, tu es pratiquement nue, ton corps est presque entièrement offert à sa vue, autant qu’à son touché, et tu brûles pour lui. Tu es envieuse. Tu le désires plus que jamais.

Et pourtant, il vient de lui-même en réclamer plus encore, alors, tu lui donnes ton autorisation. S’il bataille un peu avec le bouton qui retient ton jean, il finit par le faire glisser le long de tes jambes, emportant avec ton sous-vêtement. « Ne dis pas de bêtises … » Tu souffles, alors qu’il t’annonce que tu es bien trop bien pour lui. Pourtant, tu n’as pas le loisir de te battre à ce sujet plus longtemps, parce qu’il attrape l’une de tes jambes, il se met à déposer des baisers sur ta cheville et puis, il remonte, doucement, lentement, avant de s’arrêter, et encore une fois, tu te rends compte comme cet homme est unique, comme c’est particulier, de faire tout ça avec lui parce que te sens … choyée, aimée, désirée, et à la fois, il ne presse rien, il prends tout son temps, si bien que tu as le plaisir de pouvoir sentir ses mains, et ses lèvres partout sur ton corps, absolument partout. Un autre se serait déjà empressé de se glisser entre tes jambes, lui, il continue de te caresser, de t’embrasser, et même si le feu est à la limite du supportable, tu tiens le coup, juste parce que tu découvres à quel point c’est incroyablement bon, de faire les choses de cette manière-là.

Quand il revient sur le matelas, avec toi, c’est pour mieux te serrer contre lui, se remettre à te toucher et … immanquablement, les mêmes sons que précédemment se remettent à sortir de ta bouche. Ses mains viennent jusqu’à tes fesses, et puis, de fil en aiguille, il touche, effleure, caresse tout le reste de ton corps. Autant dire que tu ne peux pas rester silencieuse, que lorsque tu le sens passer sur certaines parties de ton anatomie, ce sont pratiquement des cris que tu étouffes, ou encore son prénom que tu appelles tout en le suppliant de ne plus s’arrêter. Tu te sens complètement à sa merci, Vega, et il n’y a rien qui te plait plus que ça, à ce moment précis. Ses lèvres, ses doigts … ton corps qui réagit, qui l’appelle. « Icare … tu … » Tu ne parviens même plus à parler, à aligner les mots correctement pour t’exprimer de façon claire, c’est dire quel effet il a sur toi. « Je pourrais jouir … juste … comme ça tellement c’est … c’est si bon. » Et te voilà, maintenant, contre lui, tes mains glisser le long de son torse bouillant et tes doigts s’accrochent à son pantalon avant de relever sur lui un regard aussi envieux que suppliant. « Je veux te sentir … juste contre moi, entièrement, complètement. C’est … je veux juste … ton corps … ta peau. Je veux te toucher ... »
Icare Argyre
Sam 20 Fév - 20:40 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Elle est belle. Elle est jeune. Elle...a tout ce qu’il faut là où il faut. Et toi, face à ces assurances, tu te rends compte que tu n’as aucune raison de te trouver là. Tu n’es pas… ce qu’elle devrait vouloir. Tu es vieux, et idiot. Ton esprit est cassé. T’es même pas certain que ton corps sera capable de l’honorer. Alors clairement, Icare, tu te rends bien compte qu’elle est trop bien pour toi, et que, si elle ouvrait les yeux, elle prendrait probablement ses jambes à son cou. Tu la comprendrais en tout cas. Et pourtant, elle, elle n’accepte pas. Elle te parle de bêtise et tu secoues la tête. Non, tu ne te trompes pas. Tu en es certain maintenant… Cependant, tu as assez de sentiments et de désir en toi pour ne pas vouloir la relâcher pour autant.

« Si tu ne me rejettes pas, moi, je ne te laisserai pas partir.  Tu lui apprends tout à coup, en revenant te blottir contre elle. »

Et puis tu te laisses emporter. Tes lèvres contre les siennes, qui ont un goût exquis mais qui commence à te goûter toi aussi, étrangement, tu reviens glisser les mains contre elle. C’est dans cette position, en continuant de garder tout son corps contre le tien, vos peaux en contact, que tu parviens à aller plus loin. Tu découvres chaque forme, chaque courbe. Tu viens même oser glisser plus encore contre elle, déclencher des souffles et des gémissements qui te font trembler d’envie.

C’est quand tu entends finalement sa voix, qui t’apprend qu’elle aime ce que tu fais, et que, du coup, tu dois pas si mal t’en sortir que tu t’écartes un peu d’elle. Tu l’observes, tu graves chaque trait et son expression en toi, et il est fort probable que tout cela t’accompagnera dans le royaume du sommeil dans les temps à venir. C’est quand elle s’accroche à tes derniers vêtements que tu comprends ce qu’elle veut. Tu devrais avoir peur, mon vieux, mais tu lui offres juste un léger sourire rassurant.

« D’accord. Que tu acceptes, aussi sec en glissant tes mains avec les siennes pour au moins faire sauter la boucle de ta ceinture et le bouton de ton pantalon. Je veux te sentir avec tout mon corps. Tu viens souffler contre son oreille. Je veux… sentir ce que tu ressens. »

Et tu vois, tu ne vas même pas jusqu’à te déshabiller toi-même, comme si tu craignais qu’elle change d’avis. Tu viens juste retirer tes mains de tes vêtements pour l’attirer un peu plus clairement sur toi et poser tes mains contre ses fesses, venir littéralement prendre leur forme en l’observant avec une forme d’adoration claire et nette dans tes yeux sacrément bleus maintenant.

« Je n’oublierai plus jamais ça. Je voudrais… que ça dure à jamais… »

Même si tu manquerais probablement de mourir d’une crise cardiaque, de fatigue ou de faim à un moment. Tout ce que tu ressens est si fort en toi que tu ne parviens pas à imaginer une existence sans ça. T’en viens à te dire que tu ne sais pas comment tu as vécu avant. Et incapable de te tenir bien longtemps loin d’elle, tu finis par tirer sur tes abdos pour te redresser un peu et ramener ta bouche contre sa poitrine, en grognant de satisfaction.
Vega C. Echeverría
Dim 21 Fév - 10:52 ||
Vega C. Echeverría
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As-tu déjà désirer un homme aussi fort que tu le veux, lui ? Non. Clairement non, et c’est une assurance que tu as parce que tu n’as jamais rien ressenti de comparable à ce que peut te faire ressentir Icare avec personne. Tu lui appartiens. Ni plus, ni moins. Il n’y a plus que lui, le reste à disparu, a été complètement éclipsé. Tu l’as laissé te retirer ce qui pouvait te rester de vêtements, maintenant, tu le laisse simplement te toucher, t’effleurer, caresser chaque parcelle de peau ou de corps exposé à sa vue, et sous ses doigts, tu n’es plus que soupirs et gémissements tant c’est bon, tant ton corps ne semble plus vouloir se nourrir que de ça. Et tu sais quoi ? Oui. Tu pourrais largement te contenter de ça, même s’il est évident que tu en veux plus, parce que tu sens le plaisir qui monte en toi, grandissant, et a certains moment, quand il te touche, c’est une telle sensation qui vient te prendre que tu te demandes si tu ne vas pas atteindre l’orgasme de cette manière avec lui ce qui serait … une première, clairement.

C’est poussée par tout ça que tu oses encore réclamer plus, tes doigts viennent s’accrocher a sa ceinture pour lui faire comprendre à quel point tu as envie de le sentir plus clairement et de ta voix, tu viens tenter de formuler une demander d’autorisation pour l’avoir, contre toi, sans vêtement pour entraver le contact de vos peaux et de vos corps qui ne font plus que s’appeler maintenant. Et bien vite, tu as la permission, ses doigts viennent rejoindre les tiens, il défait la boucle de sa ceinture, le bouton de son pantalon tout en venant murmurer quelques mots au creux de ton oreille. Il en vaut autant que toi … et pourtant, il délaisse ses vêtements, il vient te chercher pour t’attirer sur lui, et ses mains reviennent englober tes fesses et poser les yeux sur toi. Il est beau. C’est une pensée qui te traverses l’esprit a cet instant. Tu l’as pensé, sans doute à la minute où tu l’as vu pour la première fois, certes, son physique n’avait globalement rien d’une inconnue pour toi, mais, c’est comme si tu étais capable de noter toutes les différences qui peuvent exister entre lui et son frère. Tout ce qui le rends unique, tout ce qui fait que c’est lui, rien que lui qui t’attire autant. « On a qu’à faire en sorte … que ça dure le plus longtemps possible. » Mine de rien, ça fait déjà un moment que vous y êtes, quand on y pense, occupés à vous embrasser, vous toucher et vous découvrir dans les moindres détails. Pourtant, tu sens bien que tu ne t’en lasseras pas le moins du monde …

Tu bouges, légèrement de manière à te hisser un peu mieux au dessus de lui, finalement, tu te retrouves assise sur lui, à califourchon, et il se redresse pour ramener des lèvres a ta poitrine. Tu le laisses faire, tu bascules même à nouveau la tête vers l’arrière pour savourer le contact de ses lèvres sur chacun de tes seins dont la pointe est dressée, signe de ton plaisir et de ton désir. Et puis, finalement, tu te redresses, tu bouges, tu le prives de ta poitrine et tu viens reprendre que tu avais commencer. T’es doigts reviennent chercher son vêtement, et sans hésitation, tu le lui retires sans le quitter tes yeux, comme si tu guettais ses réactions. Après avoir jeter ses derniers vêtements au sol, près du lit, tu reviens à lui, toujours à califourchon, tu te penchés cette fois en avant pour plaquer ta poitrine contre son torse et revenir l’embrasser avec une douceur et une tendresse qui ne font que témoigner de tout l’amour que tu peux lui porter. C’est probablement ta manière de le rassurer, parce que cette presque sagesse passagère s’estompe à la seconde où tes lèvres de nouveau, quittent sa bouche pour descendre lentement, sur son menton, sur sa gorge a laquelle tu t'attarde un moment, et puis, son torse que tu cribles de baisers brûlants, bouillants, tout en laissant parfois le loisir a tes dents de venir le titiller. C’est lorsque tu arrives sous son nombril que tu ralentis la cadence. Tu n’oses pas le moins du monde descendre plus bas de tes lèvres, alors tu remontes, mais tes mains elles viennent remplacer ta bouche, tes doigts glissent sur son ventre tandis que tu reviens l’embrasser et ta main ose enfin s’aventurer plus bas, sans pour autant rien tenter de plus que des caresses douces et légères.
Icare Argyre
Dim 21 Fév - 21:15 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
Date d'inscription : 06/02/2021
C’est fou, quand même, parce que toi, t’es plein de peur, au final, de doutes aussi, à l’idée de pouvoir dire quelque chose qui ne se dit pas, ou de mal faire, de ne pas provoquer désir mais douleur et gêne. Alors tu as un peu de mal à lui avouer certaines choses, même si, en faite, ton précepte de vérité te pousse à continuer de lui dire ce qui t’anime. Et tu apprends des choses sur toi, Icare, plus que tu n’en as jamais appris en thérapie ou dans ce genre de conneries. Tu aimes entendre sa voix, tu aimes savoir ce qu’elle ressent, qu’elle parle autant qu’elle gémisse. Tu aimerais que ça dure, tu veux ça encore longtemps. Et quand elle t’offre une réponse pour que ça dure autant que vous le voulez, tu reviens l’embrasser, un peu bouleversé. Elle répond à toutes tes attentes, toutes tes envies avec une justesse qui te remue, mon vieux.

« On fait ça, alors. Que tu finis par lui dire en reprenant ton souffle. »

Et il est fort possible, vu comme tu te sens au point de non-retour, que tu ais envie de recommencer, dans un futur plus ou moins proche, mais tu chasse cette idée pour t’interesser à ce que tu ressens maintenant. Elle est là, elle s’offre à ta bouche qui dévore littéralement ses mamelons, même si tu n’irais pas lui faire mal. C’est un subtil mélange de tes dents, tes lèvres et ta langue, qui pourrait toi-même te faire mourir de plaisir.

Puis elle s’échappe de ta bouche pour venir continuer ce qu’elle voulait plus tôt. Tu ne la lâches pas du regard alors qu’elle dénude tes jambes ouais, mais aussi qu’elle te libère de tes sous-vêtements qui commençaient à te blesser, tant tu étais serré dedans. Si tu te crois au bord de l’apothéose, simplement de la voir faire ça, quand elle revient se hisser sur toi, et venir t’offrir un contact total entre vos deux cœurs, un gémissement bien plus puissant que tous les autres t’échappent.

« Je te veux. Je… te… veux… Vega. »

Et tu as beau dire ça, d’un ton sacrément précipité en faite, tu ne cherches même pas à l’obtenir de suite. Parce qu’elle continuez de parsemer ton torse de ses lèvres, puis revenir vers ton visage, et quand ses mains reprennent le travail de ses mains, qu’elle vient te caresser plus bas, tu te retrouves crispé autour d’elle, tant ces bons. En faite, Icare, tu es sur le point de jouir, là, comme ça, pour ça, alors tu la bloques contre toi pour reprendre ton souffle et calmé ton corps.

« C’est trop bon. Tu la rassures, tes lèvres brulantes contre son oreille. Et tu vois, il te faut quelques minutes pour calmer les pulsations de ton cœur qui se sont répandues à tout ton corps, et quand tu la relâches un peu, sur toi, tu viens chercher son visage de tes mains et tu l’observes avec presque des larmes d’émotions dans tes yeux trop bleus. Je peux te faire mienne ? Tu… veux bien de moi ? »

Ne te viendrais même pas à l’esprit de tout prendre sans son accord oral, quand bien même elle accepte tout à chaque fois, depuis que vous avez coulé dans cet échange langoureux. Tes pouces jouent contre ses joues, alors que tu la regardes et la laisse voir jusqu’au fond de ton âme.
Vega C. Echeverría
Lun 22 Fév - 7:16 ||
Vega C. Echeverría
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Date d'inscription : 04/02/2021
Tu n’as jamais été aussi aventureuse, n’est-ce pas ? A croire que c’est une chose que tu n’osais pas faire, ou que tu ne voulais pas faire avec un autre mais … avec lui, Vega, ça vient tout seul. C’est incroyable comme chaque geste est instinctif et naturel, comme si vous étiez tous les deux bien à votre place et que tout ne pouvait que fonctionner à la perfection entre vous. Et dire, ma grande, que lorsqu’il t’avait avoué son « incapacité » à partager ce que tu pouvais ressentir, toi, tu avais résolu de le laisser tranquille avec ça. Tu voulais continuer de le voir, et d’être près de lui, mais, tu avais décidé que tu ne forcerais en rien les choses. Au final, il a fallu que tu oses profiter d’une occasion pour obtenir en baiser et regarde où vous en êtes. Tu n’as, tout comme lui, plus la moindre envie que ça puisse s’arrêter. Tu te sens si bien entre ses bras, son contact à lui seul semble être capable de te combler et jamais au grand jamais tu n’aurais imaginé vivre ça, un jour.

Vous semblez tous les deux dans une volonté pure et sincère de vouloir faire plaisir à l’autre, et s’il caresse et touche ton corps, si son touché te fais réagir plus que jamais, tu finis par faire en sorte qu’il te rejoigne dans ta nudité, et puis, c’est ton tour de parsemer sa peau de baisers, ton tour de partir à la découverte de son corps et de tenter de provoquer de nouvelles choses. Et ça marche, au moment où tu te permets de glisser tes doigts en bas de son ventre pour le caresser, lentement, tandis que tes lèvres reviennent aux siennes quelques instants. Et c’est lui qui bouge, vivement, il te sert brutalement à lui, et ton regard se pose sur lui, interrogateur, durant quelques instants avant de laisser place à un sourire. Ça lui plait, Vega … probablement un peu trop, et trop vite, c’est ce que tu comprends de sa réaction, alors, tu restes calmement contre lui, sans chercher à revenir provoquer quoi que ce soit, tu le laisses s’apaiser quelques instants, jusqu’à ce que ses doigts reviennent à tes joues, jusqu’à ce que ses yeux d’un bleu absolument hypnotisant reviennent aux tiens.

« Icare … » Tu souffles, avec un très léger sourire accroché aux lèvres, sans le lâcher des yeux parce que tu ne le peux pas, tout simplement. Parce que ce regard qu’il a sur toi t’appelles et te retiens. « Je te veux … comme je n’ai jamais voulu personne avant toi. » Et probablement comme tu ne voudras plus jamais personne après ça. Tu le sais. Peu importe ce qui arrive, comment ça se passe à partir de maintenant, c’est terminé, il n’y a qu’avec lui que voudra de ces échanges charnels. Et tu bouges, légèrement, tu t’accroches à lui, et si tu bascules de nouveau dos au matelas, c’est pour mieux l’attirer avec toi, au-dessus de toi tandis que l’une de tes jambes, repliée se glisse contre son flanc comme un appel et que tes doigts parcourent ses côtes, en caresses du bout des ongles. « Prends moi… » Tu viens lui souffler à l’oreille avant de laisser tes lèvres revenir aux siennes quelques instants. « Je veux te sentir en moi. »
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