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[DONE - HOT] - Leurs chemins venaient s'entremêler. (Vega)
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 14:01 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Énormément. C’est ce qu’elle te dit quand tu lui demande si elle aime tes mains sur son dos. Tu n’es pas encore parfaitement conscient de pourquoi ou de jusqu’où, mais tu te surprends, Icare, à te dire que tu vas expérimenter. Tu apprendras à lui tirer ce genre de soupires de manière volontaire. En attendant, tu te laisses juste aller et pousser par des instincts que tu ne pensais pas avoir en toi. Tu l’attires à toi, tu viens reprendre ses lèvres entre les tiennes et pendant quelques minutes, Icare, tu cesses d’être l’homme timide et complètement inexpérimenté que tu es. Tu deviens un homme, qui veut une femme, d’une certaine manière tout du moins.

Quand tu viens finir par écarter ta bouche de la sienne, tu as la sensation que tout ton corps est vivant. Tu sens ta peau se réchauffer, ton cœur se réveiller, tu la sens, tu la vois, tu la touches, tu l’entends. Tu es littéralement en train de résumer toute ton existence à celle que tu tiens dans les bras et c’est étrangement reposant et rassurant. C’est plus simple que tu ne le pensais aussi, d’ailleurs.

« Pas la peine de chercher à comprendre. Que tu finis par rejeter au loin, en arrivant à étirer tes lèvres sur un sourire presque moqueur. Ca me va de le savoir. »

Et en faite, c’est quand elle te fait la remarquer que tu dois avoir la même chose, puisque tout le monde l’a, que tu sors un peu de ce mood tout doux, tout sentimental, pour l’observer avec surprise. Le doute passe dans tes yeux, alors que tu finis par reculer un peu la tête, pour l’observer et puis tu secoues la tête en soupirant, avant de lui offrir une nouvelle permission, sans y réfléchir.

« Je ne suis pas certain d’avoir ça, mais s’il y a quelqu’un qui peut le trouver et le réveiller, c’est toi. Ta main dans ses cheveux s’échappe pour venir caresser sa joue, lentement. Je te fais confiance pour trouver. »

Et du coup pour chercher aussi, c’est un peu ce que tu sous-entends. Par contre, mon vieux, tu te rends compte que tu n’as pas spécialement envie de bouger malgré ton installation directement sur le sol. Les animaux vous observent sans comprendre et tu finis par juste te débattre pour étendre tes jambes, t’appuyer dos au canapé, et tu l’attires pour la caler dans tes bras, sans un mot. Tu es réfléchir, ouais, même si tu ne retires pas ta main de son dos.

« J’aime bien sentir ton souffle sur ma gorge. Tu finis par lui apprendre, en lui jetant un regard curieux. Tu crois que c’est ça mon truc à moi ? »

Et tu n’envisages pas vraiment que ce ne soit qu’un début de réponse. En tout cas, tu finis par bouger la tête, et tu reviens coller ton front au sien en soupirant doucement, pour relâcher la tension. Tu ne sais pas jusqu’où tu veux aller, mais tu te rends compte que tu acceptes bien plus facilement d’être contre elle, et mine de rien ça t’apaise.

« Tu veux faire quelque chose ? Que tu finis par lui demander, sans rouvrir les yeux, juste en restant contre elle avec un calme que tu ne lui as jamais montré avant. J’ai envie que tu passes une bonne journée. »
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 15:02 ||
Vega C. Echeverría
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Tu le laisses te toucher, tu lui en réclames même davantage parce que … toi, ça te rend complètement dingue de le sentir venir titiller cette partie de ton corps du bout des doigts. Quand il semble comprendre que tu apprécies ce contact, tes vêtements remontent plus encore, et c’est sa main, au complet que tu sens venir glisser sur ta peau, sur le bas de ton dos et ça, plus le baiser qu’il t’offre, ça te fait complètement perdre pied durant les longues secondes durant lesquelles ça dure. Si tu voulais encore essayer de faire preuve de retenue, Vega, autant dire que c’est perdu parce que les soupires et gémissements que tu échappes contre lui ne laisse que peu de place à l’imagination, tu n’en doutes pas une seconde.

C’est quand il s’éloigne de toi, que, sans comprendre pourquoi, tu cherches à t’expliquer face à tes réactions, et tu sais quoi ? Il envoie ça balader, avant que tu ne te permettes de lui faire savoir et comprendre que c’est probablement la même chose pour lui, qu’il a surement un endroit, quelque part, sur son corps, qui est plus sensible que le reste et oui … dans tes yeux, on sent bien que tu n’es pas du tout contre l’idée d’essayer de mettre le doigt dessus. L’autorisation, tu ne tardes pas à l’obtenir, de toute façon, il t’offre ça tout naturellement, et tu sais maintenant que tu vas te faire un plaisir de chercher, de tester, d’essayer pour trouver son point faible. En fait, ça t’amuse, même d’y penser, et tu réponds à ça par un sourire aussi satisfait que taquin, probablement.

Il finit par bouger, sans pour autant se redresser, ou se lever, il se contente d’étendre ses jambes tout en restant assis sur le plancher et il t’attire immédiatement contre lui, alors, tu t’installes au mieux, calée dans ses bras, tandis que sa main se trouve toujours dans le bas de ton dos. Et tu vois, à ce moment-là, il vient t’offrir une information aussi précieuse qu’intéressante : il a aimé la sensation de ton souffle contre sa gorge. « Mh, ça pourrait … » Tu lui souffles, doucement, alors que son front revient se poser contre le sien, quelques secondes, et qu’il vient te demander ce que tu as envie de faire.

A ça, tu as un début de réponse ; tu n’as pas la moindre envie de bouger de là où tu es. « Dans ce cas tu es sacrément bien parti … » Parce que oui, tu passes un bien agréable début de journée, en ce qui te concernes et en réalité, tu n’aspires qu’à une chose, c’est continuer sur cette lancée. C’est pour ça que, finalement, tu te redresses, et tu viens t’installer un peu mieux, à califourchon sur lui. Ainsi, tu restes entre ses bras, tu lui laisses la possibilité d’atteindre et de toucher ton dos et surtout, tu es proche, assez proche pour pouvoir te pencher, pour revenir chercher le contact avec sa gorge … et tester. « Je veux essayer. » Tu lui annonces, dans un murmure, alors que l’effleure simplement, que tu laisses ton souffle toujours bien trop chaud se propager contre sa gorge. Puis, tu viens y glisser le nez, tout doucement, avant d’y poser tes lèvres, une fois. Tu déposes simplement un baiser, puis un autre, et encore un autre et tu parcours sa gorge comme ça, avant de te laisser aller encore davantage, et de te mettre à tester sa peau de tes dents, délicatement, sans aller jusqu’à faire mal ou marquer son épiderme, juste … pour voir.
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 16:38 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Au final, Icare, ce n’était pas prévu mais tu es plutôt bien, toi, poser comme tu l’es, avec la jeune femme dans les bras. Tu ne te sens pas sous l’eau, pas obligé et tu vois, quand tu viens l’observer avant de poser ton front contre le sien, tu découvres qu’elle a l’air bien là, dans tes bras. C’est surprenant, comme spectacle, mais aussi grandement appréciable. Et toi, tu ne peux pas t’empêcher de te demander si c’est ce que les gens en couple vivent au quotidien. À te l’imaginer, en tout cas, c’est un quotidien qui pourrait te plaire.

« Ah oui ? Tu finis par souffler quand elle t’apprend que tu es visiblement bien parti pour qu’elle passe une bonne journée. Ne rien faire et rester là, comme ça, avec moi ça te va ? Tu lui demandes, alors que tu inspires sont odeur de pêche mûres. Je n’avais jamais fait ça, mais je crois que ça pourrait m’aller. De toute façon, je n’ai rien d’autre à proposer. »

D’ailleurs, mon vieux, c’est un peu comme si tout ce que tu avais à faire, parce que tu as toujours des trucs à faire, toutes ces routines que tu as mis en place pour éviter de te laisser trop prendre par tes pensées, tout ça, ça sortait de ton esprit. Tu n’as pas la foi de t’y mettre et tu découvres qu’il est plus appréciable de profiter de l’instant que de continuer à te remuer dans tous les sens.

Ce que tu ne prévois pas, par contre, c’est qu’elle finisse par te répondre à ce qu’elle veut faire. Elle bouge, elle vient s’asseoir sur tes jambes, directement face à toi, et tu as un instant de surprise. Puis quand elle revient toucher ta gorge, c’est comme si tu perdais pied. Tu refermes aussi sec les yeux, en basculant légèrement la tête en arrière et tu cesses de penser. Tu veux juste découvrir ça, avec elle.

Ses lèvres reviennent contre ta peau et tu te mets à trembler au fond de ton âme. Tu n’es plus là, plus conscient, mais ta tête se basculer plus encore alors que tes lèvres s’entrouvrent sur un son que tu ne prévois pas. Et tu vois, mon vieux, quand ses dents se joignent à ses lèvres, contre cette peau fine de ta gorge, c’est comme si un arc électrique te traversait. Tu sursautes, avant de refermer les bras fortement sur elle et l’empêcher de continuer en lui refermant ton cou.

« Je… Tu as le souffle coupé, et quand tu parviens à reprendre ton souffle, tu te rends compte que tu as retenu ta respiration trop longtemps. Tu es essoufflé, Icare, de la sentir contre ta gorge. Je suis désolé. Tu lui énonces d’une voix grave. C’était… C’est… bon. »

Et tu vois, Icare, tu prends conscience à ce moment-là de deux choses distinctes : tu as envie qu’elle recommence, donc tu es capable de ressentir du désir et des envies. La seconde, c’est que ton cœur palpite si fort, que tu as l’impression qu’il va s’arracher de ton buste. Et c’est ça que tu viens partager avec elle, en attrapant sa main pour venir la poser là où l’on sent les battements affolés de ton palpitant.

« C’est toi qui a fait ça. Tu lui apprends, en la regardant presque avec un genre de fascination. Tu as réussi à faire… à me faire ressentir ça. C’était… bon… incroyable ? »

Et doucement l’euphorie des sensations et probablement des hormones qui se sont déclenchées aussi retombent, alors ton coeur se calme et tu restes juste là, à la regarder, sans savoir si tu peux lui redemander d’essayer ou pas.
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 17:43 ||
Vega C. Echeverría
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Tu ne peux pas ne pas t’y essayer. C’est complètement impossible, déjà parce que, maintenant que tu as l’autorisation, tu n’as plus à réfléchir des heures à une potentielle tentative ou demande pour ça, et puis, surtout, il vient de te donner une piste à explorer qui reste acceptable pour vous deux, à ton sens. La gorge … tu n’as pas besoin d’aller trop loin pour l’effleurer, la toucher, ou même l’embrasser, alors, tu bouges oui, tu t’installes plus clairement face à lui, guettant mine de rien toujours ses réactions à chaque fois que tu oses entreprendre quelque chose avec lui, et puis, tu te penches, et tu viens l’effleurer, souffler contre lui avant de te mettre à l’embrasser, tes lèvres effleurent sa peau, viennent y déposer des baisers bouillants, et puis, tu te risques à tester cette zone de tes dents … pour voir, parce que, finalement, ça te ressembles bien d’agir comme ça, dans ce genre de situation, non ?

Au départ, il semble simplement te laisser l’espace pour que tu puisses faire ce que tu veux, il penche légèrement la tête en arrière et quand tu te mets à l’embrasser, tu le sens se laisser aller plus, encore, tu as sa gorge, offerte, et tu n’en perds pas une miette, sentant bien qu’il apprécie ce que tu es en train de lui faire. En fait, ça t’encourage, chaque souffle, chaque son que tu entends te pousses à aller un peu plus et c’est comme ça que tu en arrives à venir mordre, légèrement, et là, tu vois, sa réaction est instantanée, c’est comme un sursaut, ses bras se referment brutalement sur toi et alors qu’il se redresse, tu recules, les yeux grands ouverts craignant un instant d’avoir été bien trop loin pour le coup. « Est-ce que ça va ? » Tu demandes, dans la précipitation, alors qu’il peine à aligner les mots. Finalement, tu es littéralement soulagé de te rendre compte que cette réaction, bien que violente, n’était pas un rejet … c’est même tout l’inverse. Il a aimé ce que tu étais en train de lui faire, alors, tu viens lui sourire, à nouveau, probablement un peu victorieuse, cette fois.

Tu le laisses se reprendre, sans amorcer le moindre geste de plus, et c’est lui qui vient chercher ta main, pour la déposer sur sa poitrine, sur son cœur et … tu le sens Vega, qui bat, fort. Particulièrement fort et vite, aussi. Autant dire qu’avec ton vécu, tu sais reconnaître un cœur qui bat normalement, et un cœur qui s’emballe. « Tu … tu aimes vraiment ça ? » Tu finis par demander, sans retirer la main de son buste, juste en le fixant. « Je veux te voir comme ça encore … je veux t’entendre encore. » Tu as bien réclamé plus, toi, alors, tu veux lui offrir plus encore. Tu veux entendre ce que tu as entendu s’échapper de ses lèvres, encore une fois, tu veux être celle qui provoque ça, et tu vois, ça te change, d’avoir autant le dessus, pour ainsi dire, sur un homme. Ça a toujours été l’inverse, pour toi, jusqu’à présent, et tu te rends compte à quel point ça te plait d’être celle qui lui fait découvrir, et ressentir toutes ces choses, tu … pourrais faire ça pendant des heures. « Est-ce que tu veux que je recommence ? »
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 19:07 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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T’avais pas prévu ça, tu vois. Tu pensais que tu apprécierais, bien entendu, que la chaleur de son souffle sur ta gorge, ça te plairait et te ferais remuer ton estomac. Pourtant, Icare, tu découvres directement que tu y réagis bien plus fort. C’est de l’énergie pure qui te traverse, te fait complètement sursauter et arrêter l’échange pour venir l’entourer fort de tes bras en reprenant ton souffle. Tu es complètement dépassé, Icare, sous le choc et en même temps ton corps envoie des signaux dans les tous les sens, parce que ça t’a fait quelque chose, hein.

« Ca va… Tu lui souffles, avant de lui expliquer ce qu’il t’arrive et même venir guider sa main vers ton cœur. Je ne m’attendais juste pas à ça. C’est comme si une vague de sensation brûlante m’avait déferlé dessus… ou un coup d’électricité. »

Tu es encore sous le choc, toi, mais le fait de sentir sa main contre ton cœur qui bat bien trop fort, ça vient littéralement te calmer et t’apaiser. Tu respires, Icare, parce que tu comprends qu’elle n’a pas eu peur de ta réaction. En faite, elle te laisse le temps de te reprendre et d’assimiler cette réaction que tu étais persuadé de ne pas pouvoir ressentir, avant de t’interroger, à nouveau.

« Oui. Tes lèvres s’entrouvrent et tu finis par rajouter, lentement. Tes lèvres et tes dents contre ma peau, c’était… incroyable. »

Tu finis par bouger contre elle, et quand tu l’entends t’apprendre qu’elle veut encore te voir et t’entendre, tu viens relever sa tête d’un doigt sous le menton. Et sans vraiment hésiter, tu lui offres un baiser d’une douceur qui égale, peut-être même surpasse, ce qu’Ekaitz est capable de faire. Il n’y a que la volonté d’offrir quelque chose qui t’anime avant que tu ne la relâches pour juste te blottir contre elle.

« Oui… Tu finis par souffler à sa proposition. Je le veux. »

Ca sonne un peu mariage, cette histoire, mais il semblerait que tu n’y penses pas. Et puis, ce que tu acceptes, au final c’est un peu pareil, c’est un engagement. En tout cas toi, tu le vis comme ça. Et si tu as accepté, il te faut tout de même quelques minutes pour desserrer les bras autour d’elle et venir la libérer, lui laisser le droit de bouger et de prendre les rênes, si elle le veut. Tes yeux glissent sur elle, et puisqu’elle a osé te le demander, tu viens même en réclamer plus :

« Je peux relever ton haut, pour pouvoir y mettre plus facilement mes mains ? Tu n’es pas peureux, mais t’es pas certain non plus d’avoir le droit de demander ça. S’il te plait. Que tu penses même à ajouter, avant d’étirer un peu tes lèvres sur un sourire en coin parfaitement adorable. »

Tu attends sagement son accord, même si l’une de tes mains et toujours tout près de son dos. Et finalement, tu viens te caler un peu mieux contre le canapé pour la laisser revenir à toi si elle le veut toujours. Et mine de rien, mon vieux, t’es presque curieux de voir ce qu’il va se passer. La retombée de l’adrénaline réveille en toi la peur que ce n’était qu’une anomalie d’une fois et que rien ne se passe cette fois-ci… Tu as peur Icare… Peur de la décevoir, parce que tu découvres que tu ne veux pas la blesser. Jamais.
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 19:51 ||
Vega C. Echeverría
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Te voilà … gourmande, face à lui. Cet homme te plait, Vega, même sans ça, il te plaisait alors, tu te doutes bien que le voir réagir de cette manière à tes lèvres, à ton souffle, à tes dents contre sa peau, ça te plait encore plus, ça te plait énormément. En fait, tu te fiches bien de te retrouver dans une situation comme celle-ci, peut-être qu’une autre aurait fui, de se retrouver face à un homme qui n’ose pas, qui n’a pas d’expérience, qui hésite, mais tu sais quoi ? Tu te prends à aimer ça, d’une certaine manière. Tu es plus jeune que lui, tu as l’expérience que tu as – peu, c’est certain – à ton âge, mais surtout, tu es probablement du coup bien plus entreprenant qu’il ne l’est, alors, oui, tu veux bien avoir ce rôle, pour lui, uniquement pour lui. Tu veux le guider, tu veux lui montrer, tu veux tester, et le faire réagir, tu veux le toucher, le découvrir pas à pas, tu veux l’embrasser, lui montrer, tu veux le voir réagir, tu veux l’entendre, aussi, en somme, tu veux tout de lui, et tu te fiches du temps que ça va prendre parce tu te sens heureuse, tu te sens chanceuse, et par-dessus tout … parce que tu l’aimes.

Tu viens donc lui proposer de recommencer, sans gêne, sans hésitation, tu te sens pousser des ailes, maintenant, et lui, il vient t’embrasser, ses lèvres reviennent chercher les tiennes pour un baiser bouleversant de douceur, et de sincérité. Quand il récupère ses lèvres, c’est simplement pour se blottir tout contre toi, et puis, il accepte que tu lui en donnes plus, que tu puisses reprendre, recommencer. Et tu ne te presses pas, pourtant, ses bras sont autour de toi, tu profites de chaque contact et de chaque étreinte qu’il t’offre … et ce n’est que lorsqu’il dessert ses bras de toi que tu bouges, à nouveau, que tu te cales au mieux contre lui, et face à lui. C’est à ce moment précis qu’il formule une nouvelle demande surprenante … qui honnêtement, ne fait qu’élargir ton sourire.

Si tu hésites, un instant, au meilleur moyen de répondre à ça, tu finis par gesticuler, quelques secondes, et puis, finalement, ce haut, le tien, tu viens le retirer complètement, pour le reposer juste à côté toi, tout en ramenant tes yeux dans les siens. Tu n’es pas nue, évidemment, la brassière que tu portes cache encore ta poitrine, mais le reste de ta peau est offerte à sa vue, ainsi qu’à son touché, s’il le souhaite. Ensuite, tu te penches à nouveau dans sa direction, tu poses doucement tes mains sur ses épaules, et tu viens chercher, durant quelques secondes, ses lèvres des tiennes tandis que tes doigts se permettent de faire sauter un seul bouton, en haut de sa chemise. « Laisse-moi m’occuper de toi … » Tu viens alors souffler, près de son oreille, avant de laisser tes lèvres descendre à nouveau le long de son cou, pour rejoindre sa gorge.

C’est lentement que tu fais toi-même basculer sa tête en arrière pour l’avoir tout à toi, et tu vois, tu reviens, comme tout à l’heure, cette fois, pourtant, tu prends tout ton temps, tu viens lui offrir de douces caresses, te délectant de son odeur, et puis, c’est ta langue que tu viens promener sur sa peau, à certains moments, avant de te remettre à l’embrasser, tout en soupirant, de temps en temps, parce que tu prends un plaisir certain à faire ça, et que ça se ressent dans ton corps. En fait, Vega, c’est mieux que passer directement au lit avec un homme, c’est presque un supplice, mais bon sang, ce que c’est bon, c’est presque … toute une autre façon de faire l’amour et cette simple pensée t’enflammes tellement qu’à nouveau, tu viens le mordiller, le suçoter, et si au départ, tu y vas doucement, tu finis tout de même par le marquer de ta bouche sans même t’en rendre complètement compte. Et puis, tu prends un peu plus d’aise, tu descends légèrement, tu viens déposer des baisers dans cet espace offert par ce bouton défait, tu t’y attardes, quelques secondes, avant de revenir à sa gorge dans un gémissement envieux …
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 21:23 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu veux pouvoir glisser tes mains sur elle sans limite, c’est ce que tu dis entre les lignes de tes paroles et tu pourrais ne pas le faire, ne pas oser, te retenir, mais tu as le courage de l’exprimer et tu vois, Icare, tu es récompensé. Parce qu’elle n’accède pas simplement à ta demande, mais qu’elle vient plutôt retirer ses vêtements, qui cachent et protègent son buste pour te laisse tout l’accès que tu veux à son corps. Tes yeux se posent sur elle et franchement, Icare, c’est mieux que ce que tu pouvais imaginer.

« Tu es belle. Tu lui apprends, en revenant la serrer dans tes bras. Tu me plais, en tout cas. »

C’est ses lèvres qui finissent par te détourner de ce que tu as vu d’elle. Ses baisers ne t’enflamment pas comme un feu de brindille sèche, mais ils viennent tout de même réchauffer graduellement ton corps qui n’a jamais été aussi chaud que maintenant. Elle revient à ton oreille, ses mots t’arrachent un soupire étrange et enfin, elle revient à ta gorge.

Franchement, Icare, c’est le summum. Tu te retrouves sans y penser à fermer les yeux pour profiter de ses baisers alors que des doigts glissent tout le long de son dos, s’attardent souvent tout en bas, là où elle a l’air de tant aimer les sentir. C’est instinctif, parce qu’à l’instant où sa langue, ses dents, ses lèvres viennent se rajouter à la partie, tu cesses de réfléchir pour juste ressentir. Ton souffle s’accélère à nouveau, et bientôt ce sont des bruits qui s’échappent de ta bouche. Des gémissements, des souffles et quand tu la sens plus clairement attraper ta peau de ses dents, te laissant probablement une trace plus tard, tu ouvres la bouche plus grand.

« Vegaaaaa… »

Tu ne sais pas vraiment ce que tu veux, si tu la supplies de continuer ou d’arrêter. En faite, tu veux juste lui faire savoir ce qu’elle te fait, combien ça te remue, et ça sort sous la forme de ce presque cri retenu sur son prénom. Et au final, mon vieux, la sentir glisser au-delà de ta gorge, vers ton torse, tu ne sais même plus si tu le veux ou si ça te fait peur. Tu bouges, contre elle, et comme enflammé (tu l’es c’est bon, hein), tu viens tirer sur les pans de ta chemise pour tenter de l’ouvrir. Ta tête se penche, tu reviens chercher ses lèvres alors qu’elle gémit contre ta gorge

« Je veux ta peau… Vega. S’il te plait. »

Et te voilà à littéralement batailler avec les boutons de ta chemise pour t’en débarrasser, tant bien que mal, parce que tu veux être en contact avec elle. Rien de plus pour l’instant, mais c’est déjà si fort que tu as la sensation que tu pourrais pleurer de frustration si cette foutue chemise continue de te la faire à l’envers. C’est tout en l’embrassant, puis en glissant ton visage et ton nez surtout le long de sa joue, jusqu’à son cou, puis son épaule, sa clavicule que tu continues de batailler tant bien que mal et à défaire les boutons de tes doigts tremblants.
Vega C. Echeverría
Jeu 18 Fév - 23:21 ||
Vega C. Echeverría
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Tu n’as pas la moindre gêne, la moindre … hésitation à offrir ton corps dénudé à sa vue, Vega. Il ne t’en avait pas demandé tant, pourtant, mais, c’est ce que tu lui offres avant de fondre sur lui, de revenir t’attaquer à sa gorge, tout en douceur, parce que, tu ne peux plus te retenir, parce que, c’est plus fort que toi, parce que c’est ce qu’il veut et que c’est ce que tu veux. Parce que tu es belle dans ses yeux. Tu viens donc faire glisser tes lèvres, ta langue, ton nez contre sa gorge, tu joues, tu testes, tu ne t’arrêtes plus, et tu ne réfléchis plus non plus.

Et bon sang, ma grande, tandis que tu l’embrasses, il te touches, ses doigts glissent dans ton dos, reviennent parfois tout en bas et tu brûles, tu te consumes pour lui tandis que tu mords, que tu viens le marquer sans même y prêter attention parce que tu te laisses emporter et qu’il gémis, qu’il soupire, que ton prénom s’échappe d’une façon bien trop plaisante de sa bouche, ça t’enflamme, complètement littéralement, et tu prends l’audace de glisser de sa gorge vers cette peau dévoilée par la chemise que tu as toi-même ouverte.

C’est quand tu le sens bouger, remuer, que tu lâches finalement sa peau, que tu recules, légèrement, alors qu’il est en train de tirer sur sa chemise et au départ, tu ne comprends même pas ce qu’il cherche à faire, d’autant qu’il revient chercher tes lèvres, qu’il t’embrasse alors que tu es complètement en train de sombrer, avant qu’il ne t’offre ces quelques mots, cette demande. « Icare … » Et il revient chercher ta bouche, et il t’embrasse à nouveau et tu sens bien qu’il est toujours en train de tirer, de s’acharner, même, sur son fichu vêtement, quand tu sens son nez contre ta joue, ton épaule, et tu penches la tête en arrière, en soufflant, en soupirant, avant de te reprendre, de te redresser et de venir accrocher tes doigts à sa chemise. « Attends … » Tu souffles, pour finalement te mettre à retirer un à un les boutons du vêtement pour l’ouvrir, petit à petit et en fait, si tu luttes bien moins que lui, tu te rends compte qu’il te faut quand même de gros efforts pour être patiente pour tout défaire et ne pas simplement tirer dessus d’un coup pour tout faire sauter.

Quand enfin, sa chemise est ouverte, c’est toi qui en écartes les pans pour finalement la repousser de ses épaules et la lui retirer, ensuite, tu viens juste te coller tout contre lui, tu récupères ses lèvres, tu reviens parfois à sa gorge, tu le touches, tu le respires, tu l’embrasses, tu le mordilles, encore et encore. « Tu … tu me rends folle, Icare … » Tu viens lui avouer, entre deux baisers fiévreux. « Il faut que tu m’arrêtes … » Parce que tu sais qu’à ce stade, tu n’es plus capable de prendre la décision de le faire toi-même tellement ce que vous êtes en train de faire te fais juste perdre la tête. Tu ne veux pourtant pas pousser, tu ne veux pourtant pas lui imposer le désir fulgurant qui est le tien, même s’il semble envieux de te toucher, et de découvrir ce que tu peux lui faire ressentir, tu veux aussi qu’il sache qu’il peut te repousser, t’arrêter.
Icare Argyre
Jeu 18 Fév - 23:49 ||
Icare ArgyrerankpersoMessages : 353
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Tu finis par ne plus pouvoir retenir ta voix et c’est son nom qui se forme sur tes lèvres et qui t’échappe. Ce qui est fou, Icare, c’est la manière dont tu le dis. C’est comme s’il n’y avait plus aucune retenue, que tu avais abaissé toutes les barrières d’un coup d’un seul. Tu en trembles, tu luttes, et finalement, tu craques complètement en sentant ses lèvres tout en haut de ton torse. C’est comme ça que tu comprends ce que tu veux, là, maintenant.

Sans attendre, tu la repousses, tu reviens prendre ses lèvres tout en tentant de te débarrasser de cette foutue chemise et franchement, Icare, ce n’est pas une réussite. Tu ne penses même pas à tout arracher, tu viens juste faire courir ton visage, ton nez surtout contre la peau de son cou, de son épaule jusqu’à sa clavicule et tu découvres que son odeur y est plus claire, plus agréable encore.

« D’accord. Tu souffles tant bien que mal quand elle te demande d’attendre, et tu crois, toi, que tu es allé trop loin. Je ne… Rien, parce qu’elle ne te repousse pas, elle vient reprendre le travail de tes mains sur ta chemise. Oh. Merci. »

Parce que tu ne parviens à rien toi. Et quand, enfin, ta chemise tombe, tu es secoué d’un gros frisson. Tu as un mal de fou à respirer avant qu’elle ne vienne se coller à toi et… oh Icare, tu découvres combien ce contact est appréciable. Ses mots t’enflamment, et même quand elle te dis qu’il faut que tu l’arrêtes, tu la trouves désirable, parce que tu as de l’effet sur elle, comme elle en a sur toi. Alors tu devrais peut-être l’arrêter mais tu préfères refermer tes bras sur elle, venir toucher un maximum de centimètre carré de sa peau avec la tienne. Des soupires t’échappent, juste pour ça, et tu comprends combien tu t’étais trompé. Tu es capable de ressentir tout ça, Icare… Fort. Pour elle, uniquement pour elle.

« Je veux te toucher. Partout. Je veux… Tu finis par bouger, la repousser un peu oui, mais pas cesser ça. Juste quelques minutes, je veux que tu m’appartiennes. »

Tu n’as pas conscience du choix de tes mots, de ce que ça peut signifier tu vois. Par contre, tu bouges, tu la hisses dans tes bras pour te relever sans même sentir les fourmis dans tes jambes et tu la repousses sur le canapé, près de toi hein, mais de dos. Parce que tu veux toucher cet endroit à ton tour. Tu veux… lui rendre ce qu’elle t’a offert ?

Enhardis par tu ne sais quel miracle, tu viens repousser ses cheveux par-dessus une de ses épaules pour venir déposer tes lèvres contre son épaule, et remonter à sa nuque. Tes mains la parcourent et lentement, tu glisses tes lèvres contre sa colonne vertébral, en découvrant une nouvelle source de plaisir : savoir que ça lui plait. Ce n’est pas ton propre plaisir que tu ressens, mais le sien à travers toi. Et ça te fait littéralement tourner la tête, mon vieux, jusqu’à ce que ta bouche atteignent le bas de son dos, et que tes mains viennent courir sur son ventre. T’es peut-être tout tordu dans une drôle de position, mais bon dieu, Icare, tu as juste l’impression de vivre, pour la première fois de ta vie.

« Tu es si… désirable. Tu lui apprends finalement, entre deux baisers. Et je n'avais jamais ressenti ça avant»
Vega C. Echeverría
Ven 19 Fév - 10:13 ||
Vega C. Echeverría
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C’est là que tu te rends compte qu’au final, tu es dotée d’une certaine force quand il le faut. Tu pourrais simplement sombrer, te laisser aller, venir chercher que ton corps semble réclamer de toutes ses forces, maintenant. Tu pourrais, parce que tu sens que c’est tout ce que tu veux, uniquement ça, à ce moment bien précis. Et pourtant, tu n’as pas oublié votre discussion, vos discussions, tu as compris qu’il y avait un blocage, quelque part, et s’il semble maintenant décidé à le faire sauter, ou au moins à l’affaiblir autant que possible, tu sais aussi que tu ne peux pas forcer, que tu ne veux pas aller trop loin et prendre le risque de le braquer parce que, malgré chacune de vos réactions l’un envers l’autre, tu ne perds pas de vue que tu pourrais faire un faux pas, prendre une mauvaise direction, et qu’il pourrait te rejeter d’un coup. Du moins, c’est ce que toi, tu penses.

Et pourtant, alors que tu viens de l’aider à retirer cette chemise, visiblement devenue bien trop gênante, alors que tu lui offres la possibilité de t’arrêter, il n’en fait rien, il referme ses bras sur ton corps, te presses tout contre lui, ta peau contre la sienne, et franchement, ça vous fait un effet incroyable à tous les deux, si l’on en croit les soupires qui s’échappent de vos lèvres. Tu n’as jamais ressenti une chose pareille, du moins, par pour « si peu » selon bien des critères. Vous ne faites que vous embrasser, vous toucher, depuis de longues minutes maintenant, c’est une lente découverte de vos corps respectifs que vous avez entrepris, lente, parce qu’à chaque fois, vous vous attardez, vous prenez le temps de sentir, de ressentir.

Il vient en réclamer plus, à nouveau. Doucement, il te réclame … tout, du moins, on pourrait le croire. Il veut te toucher. Il veut t’avoir, pour lui, et autant dire que, quand tu l’entends te dire qu’il veut que tu lui appartiennes, tu ne peux que te sentir … chanceuse. Tu le laisses donc te redresser, te soulever dans ses bras. « Je … je t’appartiens déjà. » Tu le sais que c’est terminé, tu n’as probablement jamais été amoureuse à ce point, tu as toujours été réaliste et tu as surtout toujours eu la tête bien sur les épaules. L’amour, c’est bien, mais tu es toujours restée maître de toi-même, liée à une personne, oui, mais en gardant une part de toi bien à toi. Pour lui, tu offres tout. Tu pourrais lui offrir ton corps, ton cœur et ton âme, le tout, sur un plateau d’argent et en le suppliant de tout accepter. C’est dire comme tu es mordue …

Il revient au canapé, il t’y repousse, sans pour autant s’éloigner de toi et tu vois, au départ, tu ne comprends pas bien ce qu’il fait, tu es dos à lui, et tu as un mouvement pour te retourner que tu stoppes, en le sentant bouger tes cheveux, puis venir déposer ses lèvres sur ton épaule. Tu es déjà dans un autre monde, Vega, alors tu as l’impression que chacun de ses baisers sur toi te brûles la peau, ça t’arrache des soupirs lorsqu’il glisse de ta nuque pour suivre le tracé de ta colonne. Tu frisonnes. Tu trembles même, légèrement, et pas parce que tu as froid, loin de là, mais parce que tu bouillonnes, au contraire. Tes souffles, et soupirs deviennent des gémissements que tu peines à retenir, quand il atteint le bas de ton dos, et puis, subitement, tu n’as plus que son prénom à la bouche, qui revient, encore, et encore comme un doux refrain. « Icare … Icare ... » Tu te cambres, tu rejettes ta tête en arrière, ton corps entier est tendu alors que ses lèvres dans le bas de ton dos te rendent fiévreuse, que ses mains sur ton ventre ne font qu’accentuer tes gémissements.

« Moi non plus … » Tu finis par avouer, dans un souffle, parce que lui, il continue de t’embrasser, et que forcément, ça continue de te rendre complètement dingue. « Personne ne m’a jamais touchée comme tu le fais … c’est … c’est si bon … » Et pourtant, tu viens finalement attraper ses mains, toujours accrochées à ton ventre pour tirer dessus, tout en reculant, avant de venir coller ton dos tout contre son torse. Tu souffles. Tu essaies de reprendre une respiration normale, et au final, tu tournes la tête et tu bouges légèrement sans quitter ta position pour chercher ses lèvres des tiennes. « Dis-moi ce que tu veux de moi … je te donnerais tout. Je … je suis … j’ai envie de toi. »
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